n° 17979 | Fiche technique | 14112 caractères | 14112Temps de lecture estimé : 9 mn | 04/07/17 |
Résumé: Lors d'une randonnée dans les Pyrénées, un jeune homme rencontre une inconnue qui changera sa vie. | ||||
Critères: fh vacances bain nudisme anulingus pénétratio fdanus | ||||
Auteur : Phoebus17 Envoi mini-message |
J’étais élève-ingénieur d’une école du Sud-Ouest, et avais prévu avec deux camarades de faire une sortie montagne en Haute-Ariège début juillet, avant que nous n’entamions nos stages industriels durant l’été.
Nous avions choisi de bivouaquer quelques jours près du lac de Soulcem que l’un d’entre nous connaissait bien et qui permettait de nombreuses randonnées en haute et moyenne montagne. Nous étions presque seuls, car uniquement un groupe de deux tentes apparaissait dans notre voisinage, au-dessus des nôtres. J’ai l’habitude de me lever tôt et en montagne, aimant me laver au petit matin dans l’eau glacée des torrents.
Le premier jour de notre bivouac, je ne dérogeai pas à mes habitudes et me rendis dans le gave voisin pour ma toilette du matin. Je me baignais nu, goûtant le plaisir d’être caressé par les premiers rayons du soleil. L’endroit était désert et me permettait donc de le faire sans risque de gêner qui que ce soit.
En fait, mes parents étant naturistes, je suis très à l’aise avec la nudité. Pendant les vacances, nous fréquentions souvent de petits campings naturistes de montagne ou campagne plutôt que les grosses structures de bord de mer. Depuis que j’étais étudiant, je ne fréquentais plus ces lieux, mais avais gardé le goût et l’habitude de la nudité.
C’est alors que je vis au-dessus de moi une silhouette descendre le long du gave, puis s‘en éloigner et s’arrêter derrière un rocher, puisque je ne la vis pas ressortir de suite.
J’avais cependant bien eu le temps de voir qu’il s’agissait d’une jeune femme, qu’elle avait des chaussures de montagne aux pieds, et juste habillée d’un tee-shirt qui lui arrivait en haut des fesses… J’avais aussi eu le temps de bien voir qu’elle avait un buisson brun et fourni. Les bruits qui me parvenaient du rocher ne laissaient aucun doute sur ses activités matinales.
Quelques minutes après, je la vis réapparaître dans la même tenue et gagner une petite « baignoire » dans le gave ménagée par un barrage de pierres, en dessous d’où je me trouvais. Elle avait sous son bras avait sa serviette et sa trousse de toilette. Elle acheva de se déshabiller, s’assit dans l’eau, se rinça les fesses, s’aspergea d’eau et se savonna. Il semblait à son attitude qu’elle ne m’avait pas vu.
Ella avait les cheveux plutôt courts et bruns. Son visage faisait penser à une personne très déterminée, sûre d’elle. Elle était assez fine, mais pas de celles que l’on appelle un « canon ». Sa poitrine était assez petite, très ferme, avec de larges aréoles. L’eau glacée faisait ressortir ses pointes de sein. Par contre ses hanches étaient larges, ses fesses fermes et bien arrondies exacerbant sa féminité.
Le soleil se levait, et donc était rasant. Lorsqu’elle était de profil, je voyais briller les gouttes d’eau accrochées à sa toison. Je ne restai pas longtemps indifférent à ce spectacle et commençais à en sentir les effets bien visibles sur mon sexe. On aurait pu penser que c’est le spectacle d’une femme nue qui suffisait à provoquer cet émoi.
Comme ma jeunesse naturiste m’avait permis de faire la connaissance de toutes sortes de nudités féminines à l’aise dans la nature, ce n’était pas pour moi quelque chose d’extraordinaire et m’avait permis de constater que j’étais plutôt attiré par les filles très « nature », et que la mode débutante des pubis épilés ne me séduisait pas.
NON, cette fille me subjuguait, il émanait quelque chose d’elle, aussi bien dans son corps, que dans son attitude qui déclenchait en moi une intense émotion. Le fait qu’elle arbore un pubis qui visiblement n’avait jamais vu le rasoir ou le ciseau participait aussi à l’attirance que j’ai eue immédiatement pour elle.
Elle se rinça abondamment, ne semblant pas souffrir du froid malgré que toute sa peau fût marquée par la chair de poule. Elle se sécha avec sa serviette, remit ses chaussures et son tee-shirt, et remonta le long du gave… devant ainsi passer inévitablement près de moi. Elle ne pouvait donc plus feindre d’ignorer m’avoir pas vu et me le confirma puisqu’en passant au plus près de moi, elle me fit un petit sourire en coin et un petit signe de la main en remuant les doigts.
Il est évident qu’elle ne pouvait ignorer dans quel état « physique » elle m’avait mis.
Je fus obligé de me « soulager » avant de repartir afin d’éviter de rejoindre mes amis dans un état que je n’aurais pas pu cacher malgré le caleçon que j’avais passé pour les rejoindre.
Dans un premier temps, je pensais fanfaronner auprès de mes amis, en leur racontant en détail l’épisode que je venais de vivre. En fait je me ravisai très vite et me dis qu’il valait mieux garder tout cela pour moi, espérant qu’il y aurait une suite… Nous partîmes en randonnée pour la journée, et mes camarades furent très étonnés de voir ma vigueur à rentrer vite le soir… J’avais hâte de savoir si mon apparition était encore là.
Effectivement, les occupants des tentes, un jeune couple, et ELLE étaient bien là et venaient aussi de rentrer.
Je tentais de cacher mon trouble mais mes camarades me firent remarquer que j’étais « dans la lune » ne comprenant pas pourquoi je n’étais pas « avec eux ». Bien sûr, le lendemain matin, je me levai encore plus tôt, et allai rejoindre ma salle de bain habituelle, guettant constamment les deux tentes situées en haut.
Cette fois-ci, je la vis partir de la tente dans la même tenue, descendre le long du gave, gagner le rocher pour y passer quelque temps, et rejoindre sa salle de bain personnelle.
Elle se baigna donc, et les mêmes causes produisant les mêmes effets, je me retrouvai très rapidement avec un sexe dur et tendu. Après sa toilette, elle remonta le torrent, et arrivant près de moi, sortit de sa trousse de toilette un petit sachet carré. Elle entra dans l’eau, me prit par la main et, sans un mot, me demanda de m’asseoir sur un rocher plat un peu surélevé situé à proximité.
J’avais l’impression qu’elle ne voyait que ma verge turgescente et rouge. Elle déchira le sachet, en sortit le préservatif, et entreprit d’en coiffer mon engin. Ensuite, elle enleva son tee-shirt, ses chaussures et montant sur le rocher en mettant ses pieds de chaque côté de mes fesses, s’accroupit sur mon sexe, en le prenant avec sa main pour le guider afin qu’il atteigne une vulve qui avait l’humidité requise pour m’accueillir.
Elle passa ses bras autour de mon cou pour se retenir, et m’embrassa les lèvres d’abord de petits baisers, et puis comme si elle y prenait de plus en plus de plaisir, plaqua ses lèvres sur les miennes et me fit faire la connaissance d’une langue… très agile.
J’entrai ainsi rapidement jusqu’au fond de son vagin, puis elle commença à monter et descendre sur moi de plus en plus vite.
Étant déjà très excité, je ne pus résister très longtemps à ces assauts et explosai rapidement dans le caoutchouc. Elle sentit bien que ma verge avait vidé son contenu, et elle ne semblait pas avoir eu le temps d’avoir eu son orgasme. Elle me fit un dernier baiser léger sur les lèvres, se releva, et se baissa pour prendre son tee-shirt afin de repartir vers sa tente. J’étais désemparé, et ne voulais pas la laisser me quitter. Alors je pris les choses en main afin de sauver la situation.
SI je n’avais pas eu jusque là beaucoup d’expériences féminines, j’avais eu quelque temps auparavant une « copine » musicienne un peu plus âgée que moi à qui je dois beaucoup. Celle-ci, experte en solfège, arpèges et accords m’avait surtout appris le solfège du corps féminin, à le faire vibrer et à jouer avec tous les registres secrets qu’il renferme. La vie nous a séparés rapidement mais, j’avais été un bon élève et avais parfaitement retenu ses leçons.
Je pris donc mon inconnue par la main, et sans un mot comme elle l’avait fait, je la conduisis sur l’herbe rase des estives et lui fis comprendre que je désirais qu’elle s’allonge. Par un tacite accord, elle obtempéra, considérant probablement qu’elle devait accepter ma demande, comme j’avais accepté la sienne. Je commençai par la couvrir de baisers légers, sur les yeux, au creux du cou, au coin des lèvres, sur les lobes des oreilles, puis descendis vers ses seins, en profitant quand même pour mordiller les tétons et les aspirer à pleine bouche.
Elle gardait les yeux fermés, avec un léger sourire aux lèvres et semblait donc apprécier mes hommages. Descendant ensuite ma bouche vers son pubis, je léchai d’abord son nombril, puis passai mon majeur au bas de son sexe afin de remonter avec mon majeur dans sa vulve afin d’en écarter les lèvres. Comme je l’ai souligné, sa toison fournie nécessitait un traitement particulier ! Avec mes deux mains, j’écartai ses grandes lèvres, découvrant deux charmantes petites lèvres bien développées et un clito déjà bien gonflé.
Je plaquai ma bouche sur la fleur ainsi offerte et usai de ma langue pour en explorer tous les recoins, titillant son clito et enfonçant ma langue au plus loin dans son vagin. Je n’ai pas oublié de furtives incursions vers son petit trou du cul, bien serré, ce qu’elle sembla apprécier à en juger par la contraction des fesses qui s’ensuivit.
Je sentis venir son « jus de fille » et eus envie de lui proposer de nouvelles caresses que j’apprécie particulièrement, et qui, je l’espérais, la raviraient.
Je lui demandai par de douces pressions des mains de se mettre sur le ventre et d’écarter les jambes, ce qu’elle comprit bien vite. Je commençai par descendre mon doigt sur sa colonne vertébrale jusqu’à obtenir ce frisson de tout le corps lorsque l’on atteint les dernières vertèbres. Je pris ensuite ses fesses à pleines mains et les massai, les malaxai, et les écartai largement.
Ensuite, avec ma main gauche, je passai entre ses fesses, et entrai dans son vagin avec un puis deux puis trois doigts, très profondément afin de prélever son jus et le ramener dans sa raie culière, et tout spécialement sur son petit trou du cul.
Je commençai d’abord par y faire entrer un petit bout de mon majeur lorsque je passais dessus, puis un peu plus, et encore un peu plus. Enfin, j’enfonçai profondément trois doigts dans son vagin et enfonçai d’un coup, mais avec douceur, mon pouce entier dans son cul.
Pendant ce temps, j’en profitais pour la couvrir de baisers, sur le cou, le dos les épaules.
Et moi ? Eh bien, j’avais bien sûr une érection phénoménale, mais, venant de m’exprimer peu de temps auparavant, et ne lui laissant pas la possibilité de me caresser, je réussis à contenir mon émoi. Donc, avec mes doigts ainsi positionnés, je pouvais faire une pince à travers son corps, et la malaxer au plus profond d’elle.
Ce traitement fut rapidement efficace car je sentis bientôt se contracter en même temps son vagin et son anus autour de mes doigts, en plusieurs soubresauts orgasmiques.
Je fus heureux de l’avoir amenée là où je n’avais pas réussi précédemment.
Elle se retourna alors, me prit la tête entre ses mains et plaqua ses lèvres sur les miennes.
Elle écarta les jambes et me fit venir sur elle, mon sexe étant prêt à la pénétrer. Je lui dis alors « Mais je n’ai pas de… » Elle me coupa la parole en me disant seulement « Viens ».
Dès que je fus en elle, elle leva ses jambes agiles et les croisa dans mon dos, me tenant fermement en elle, et passa ses bras autour de mon cou. Je pus l’aimer suffisamment longtemps pour qu’elle ait un nouvel orgasme, et que je me répande au fond d’elle.
Nous restâmes quelques minutes collés l’un à l’autre. Enfin elle se leva, m’entraîna dans sa baignoire. Nous nous lavâmes mutuellement puis elle se rhabilla et nous remontâmes ensemble le long du gave.
Au moment de séparer nos chemins, elle me caressa la joue et me fit un baiser furtif sur les lèvres. Je me dépêchai alors de regagner ma tente. Je fus accueilli vertement par mes camarades :
Je grommelai une vague réponse d’un air courroucé. Une nouvelle fois, je ne fus pas très attentif à la randonnée, m’attirant quelques quolibets de mes copains. Encore une fois, au retour, je précédai mes camarades et là, je vis très vite que les deux tentes du haut n’étaient plus là. Je sentis une enclume me tomber sur la tête.
Je vis ensuite qu’un petit cairn de pierres avait été dressé près de ma tente. Je vis aussi rapidement un papier plié coincé entre deux pierres. Mon cœur battant la chamade, je le pris et le mis dans ma poche afin d’éviter des questions. Dès que je le pus, je regardai le billet et lus :
« Merci – Camille – Toulouse » suivi d’un numéro de portable.
Il me fallut ensuite un certain temps pour avoir le courage d’appeler le numéro.
Je suis maintenant ingénieur à Toulouse chez Airbus, où je suis responsable du montage des moteurs sur la ligne des A380. Ma compagne et moi avons pris une semaine de vacances début juillet, et décidé de partir faire de la randonnée en Haute-Ariège avec les filles, et préparons nos bagages.