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n° 17981Fiche technique14348 caractères14348
Temps de lecture estimé : 9 mn
05/07/17
Résumé:  Un homme m'emmène chez lui. J'aurai droit à une petite surprise.
Critères:  hh hhh hagé hsoumis fellation préservati hsodo -hhomo
Auteur : Gustave            Envoi mini-message
Un homme peut en cacher un autre

Ma femme étant retenue par son travail, j’étais allé seul un samedi après-midi visiter une exposition à Paris.

La foule habituelle : des grappes de visiteurs autour de chaque œuvre. Au bout d’une demi-heure, je n’avais pas beaucoup avancé. Comme j’attendais mon tour pour m’approcher d’une toile exposée comme s’il s’agissait du Graal – en fait une toute petite croûte d’un obscur peintre de l’atelier de Courbet, je regardais autour de moi la foule de mes semblables. C’est alors que j’ai croisé le regard d’un homme qui faisait la même chose.

Nous avons échangé un sourire entendu. Cela avait-il un sens de succomber au battage médiatique qui accompagne chaque exposition parisienne ?


L’homme devait avoir, comme moi, la cinquantaine, peut-être un peu plus. Il était grand et de forte carrure, les cheveux ras. Sa tenue, chemise bleu clair sur pantalon beige, avait une élégance décontractée. Son expression était franche, et toute sa personne exprimait l’assurance et la puissance. Le genre d’homme qui sait ce qu’il veut et qui sait comment l’obtenir.


Quelques salles plus loin, me retournant pour revoir un tableau, j’ai croisé à nouveau son regard pénétrant. Cette fois, je me suis senti un peu gêné, car j’avais la nette impression qu’il me fixait. Je lui plaisais donc ? Moi, je lui trouvais en tout cas un certain charme… J’ai chassé d’abord de mon esprit cette idée. Mais je n’ai pu m’empêcher de temps en temps de le chercher des yeux. Et presque chaque fois, je l’apercevais. À la pensée qu’il me suivait, je sentais mon cœur accélérer ses battements. L’inconnu se tenait cependant toujours à distance. Pendant un moment il a disparu et j’ai été presque déçu de ne plus le voir, mais dans la dernière salle, il a réapparu.


Pour aller jusqu’au bout de notre petit jeu de cache-cache, je me suis dirigé vers les toilettes après lui avoir jeté un dernier regard. M’y suivrait-il ? Je le pensais. Je l’espérais. À peine m’étais-je mis devant l’urinoir qu’il est entré à son tour et a pris la place libre tout à côté de moi. Mon cœur battait la chamade. Il a ouvert sa braguette, a sorti son sexe et m’a regardé en souriant, me laissant admirer une verge circoncise de belle taille, bien épaisse. J’étais comme tétanisé. L’émotion au contraire avait fait se recroqueviller la mienne. Comme d’autres visiteurs entraient à ce moment, nous en sommes restés là, mais il était clair que ce n’était pas pour échanger des idées sur les maîtres du réalisme qu’il m’avait suivi. Et j’avais suffisamment montré l’intérêt que je lui portais pour qu’il s’enhardisse à m’aborder.


À la sortie de l’exposition, il est venu vers moi, et avec beaucoup de naturel :



Cela me convenait. Il m’a proposé de venir chez lui. Le cœur battant, je l’ai suivi jusqu’au parking où il avait garé sa voiture. Je n’avais pas trop l’esprit à la conversation, me demandant dans quelle aventure j’allais me fourrer.


Nous sommes montés dans une grosse berline. Le parking souterrain était pratiquement désert et l’emplacement où se trouvait la voiture plongé dans l’obscurité. Il a ouvert la fermeture Éclair de son pantalon et a dégagé sa queue qui bandait déjà. Je m’apprêtais à la prendre dans ma bouche quand l’approche d’une famille a interrompu nos ébats. Il a remballé son matériel et a démarré.


Mes expériences avec les hommes avaient été limitées jusque-là. J’avais pris goût sur le tard à la fellation au cours de promenades dans les bois. Un homme rencontré sur Internet m’avait pris assez brutalement. Cela ne m’avait pas donné l’envie de recommencer… autrement que dans mes fantasmes.


Chez lui, il m’a proposé un rafraîchissement. Pendant que nous buvions un jus de fruit en bavardant dans la cuisine, il m’a dit doucement, abandonnant le vouvoiement :



Je me suis déshabillé, laissant tomber mes habits sur le carrelage. Je me tenais nu devant lui, dans cet endroit insolite, entre une machine à café et le réfrigérateur ; il est resté un moment silencieux, visiblement satisfait. J’étais trop ému pour dire quelque chose.


Il m’a caressé légèrement sur tout le corps, m’a fait pivoter d’une légère pression de la main. Je me suis retourné, prêt à faire ce qu’il me demanderait, puisque nous en étions convenus. Mon cœur battait à tout rompre. Tout en me caressant les hanches, il s’était rapproché, tout contre moi, et je sentais son souffle sur ma nuque. Il m’a dit à voix basse :



N’était-ce pas ce que j’avais voulu ? Je n’en étais plus trop sûr, mais il était un peu tard pour reculer.


Il m’a fait traverser l’appartement dans le plus simple appareil jusqu’à la salle de bain, m’a remis une poire à lavement, m’a demandé de me nettoyer et de l’attendre sous la douche. Il est parti se déshabiller. Je me suis lavé soigneusement. L’eau chaude m’a fait du bien et a dissipé une partie de mon appréhension. Il m’a rejoint dans le petit espace de la douche.


J’ai été surpris de son apparence. Sur son torse, son système pileux était bien développé et il était plus costaud encore que je ne l’avais imaginé. Il avait un petit peu de ventre, ce que je n’avais pas remarqué quand il était habillé. D’une broussaille de poils bruns sortait un beau membre à demi dressé que j’ai pris dans les mains. Il s’est collé contre moi ; l’eau ruisselait sur nos corps. Il a pris du savon et m’a caressé. Je le savonnais à mon tour. Je sentais son sexe dur contre le mien. Je bandais aussi. C’était vraiment une sensation étrange de caresser à loisir les parties et les fesses poilues d’un homme.


Nous étions enlacés et ses lèvres parcouraient mon torse, mes épaules et mon cou. J’ai senti son doigt sur mon anus. J’ai écarté les jambes. Il m’a pénétré d’un doigt, en a introduit bientôt un deuxième, l’a enfoncé assez loin, s’est immobilisé. Sa bouche a cherché la mienne. Je me suis dérobé d’abord, puis je l’ai laissé faire. Sans doute la douche rendait-elle ce mélange intime des corps plus acceptable, et de toute façon je pouvais à peine bouger. Sa langue a forcé mes lèvres, s’est engouffrée dans ma bouche et j’ai eu l’impression qu’elle l’envahissait. Pendant ce baiser fougueux, ses doigts allaient et venaient en moi. J’avais l’impression de m’ouvrir à sa volonté.


Quand nous avons repris notre respiration, il m’a appuyé doucement sur les épaules et mon visage s’est retrouvé à la hauteur de son sexe qui me paraissait énorme maintenant. Je le lui ai léché d’abord longuement, ainsi que ses bourses. J’ai pris ensuite doucement son gland entre mes lèvres, j’ai enveloppé de ma langue la colonne de chair chaude, lui arrachant des soupirs de plaisir. Son membre, malgré sa taille, a fini par entrer tout entier, venant cogner dans mon arrière-gorge. Il a entamé un lent mouvement de va-et-vient, ménageant des pauses pour que je puisse respirer.



Ces paroles m’excitaient. Quand je me suis relevé, je lui ai soufflé à l’oreille :



Il a eu un petit rire. Nous nous sommes essuyés rapidement, il m’a pris par la main et m’a conduit dans la chambre attenante.


Seule une lampe de chevet éclairait la pièce. J’ai noté que gel et préservatif se trouvaient déjà sur la table de nuit. Nous nous sommes glissés sous les draps. Il m’a attiré à lui, s’est mis au-dessus de moi, m’écrasant un peu, frottant son sexe contre mon ventre. Je me sentais dans ses bras comme une femme. Je le lui ai murmuré à l’oreille, ce qui a déclenché chez lui des grognements de satisfaction. Pendant que nous nous embrassions à pleine bouche, il a introduit d’abord un, puis deux et cette fois trois doigts, m’écartant largement les sphincters.

Enfin, après de longs préliminaires, il a rejeté les draps en même temps qu’il allumait la lumière :



J’ai mis ma tête en appui sur le lit et je lui ai présenté mes fesses en les écartant des deux mains. Offert dans cette pose indécente, j’ai perçu l’éclair d’un flash. Je pensais à la photo que cela avait pu donner. Un souvenir bien bandant.


Il a enfilé un préservatif et m’a enduit abondamment de gel. J’ai senti son gland contre mon anus. Il a forcé d’un coup de reins l’orifice. J’ai eu un petit cri de douleur. Il était dans la place. Il a fait une pause pour me laisser m’habituer à sa présence. Je me sentais déchiré, écarté, j’avais un peu mal. Ce n’était pourtant pas la première fois.

Puis lentement, avec une douceur que j’ai appréciée, il s’est enfoncé peu à peu en moi, ressortant de temps en temps son sexe pour l’enduire de gel et le replongeant chaque fois un peu plus profond. Enfin ses couilles sont venues buter contre mes fesses et il s’est immobilisé.



Il a commencé de lents va-et-vient. Il s’arrêtait de temps en temps, bien planté en moi, et me recouvrait de son corps tout entier, m’embrassant dans le cou et titillant mes tétons, puis caressait mon dos et mes hanches. Un bruit m’a fait tressaillir et j’ai entendu nettement le claquement d’une porte qu’on ferme.

Mon cavalier m’a rassuré :



J’ai pensé à me dégager : je ne me sentais pas très présentable dans cette position. Mais Gabriel pesait de tout son poids et maintenait fermement sa monture. Et surtout, la situation m’excitait au plus haut point. J’ai pris le parti de ne pas bouger.

J’ai entendu des pas qui se rapprochaient, puis un salut sonore qui ne marquait aucun étonnement, ce qui me paraissait bizarre. La situation ne demandait pas de plus amples explications, mais tout de même…



Victor était longiligne, tout aussi grand et bien bâti, mais plus mince, le genre sportif. Il était surtout beaucoup plus jeune. Je lui donnais dans les quarante-cinq ans.


Il s’est promptement déshabillé et j’ai eu bientôt sous les yeux son sexe bandé, d’une dimension plus modeste, mais tout de même respectable. Je m’étais relevé en appui sur les mains, empalé sur le pieu de Gabriel qui se maintenait bien au fond de moi. Victor, me prenant par les cheveux, a positionné ma tête à la bonne hauteur et m’a enfourné sans ménagement son engin dans la bouche. Les deux compères, après quelques mouvements désordonnés, ont synchronisé leurs efforts, l’un me tenant les hanches, l’autre la tête. Il ne manquait que de la musique pour leur donner le rythme ! Au bout d’un moment qui me parut assez long, Gabriel a accéléré la cadence et il a joui en moi en poussant un râle de plaisir.


Victor est alors venu prendre sa place. Pendant qu’il enfilait un préservatif, Gabriel s’est glissé sous moi, de manière à prendre mon sexe en bouche et à me présenter le sien. En se contorsionnant un peu, il a fait passer ses bras sous mes jambes, les bloquant et écartant de ses mains mes fesses. J’avais l’impression qu’il ouvrait davantage mon anus déjà bien dilaté. Je ne voyais rien, ayant au-dessus du visage son sexe débandé et ses couilles volumineuses. Il a replié ses jambes autour de mon cou. Il m’offrait, prisonnier comme dans un étau, à son ami. J’ai perçu un nouvel éclair de flash. Les bougres ! Ils complétaient leur collection !


Gabriel m’a léché longuement les bourses et le sexe ; je frémissais sous les caresses de sa langue. Puis j’ai eu l’impression qu’il m’aspirait la bite, si bien que n’ai pas été long à jouir dans sa bouche. C’est le moment qu’a choisi Victor pour me pénétrer. Son membre est entré facilement et s’est retrouvé presque d’un seul mouvement au fond de moi. Il prenait son temps ; son sexe bien lubrifié coulissait bien, et c’était assez agréable.



Pendant qu’il me besognait, je suçais Gabriel dont le sexe reprenait sa vigueur. Sa queue avait goût de caoutchouc. Il finit par éjaculer au fond de ma gorge. Peu après, Victor nous manifestait bruyamment qu’il jouissait aussi. Gabriel desserra alors son étreinte.


Allongé au milieu de mes deux gaillards, j’essayais de comprendre comment j’en étais arrivé là… Gabriel, en fait, avait téléphoné à son ami pendant que j’étais dans la salle de bain, pour l’inviter à la fête.

Nous nous sommes caressés gentiment tous les trois jusqu’à ce que je prenne congé.