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n° 17983Fiche technique24366 caractères24366
Temps de lecture estimé : 15 mn
06/07/17
Résumé:  J'accepte d'emmener un inconnu faire une promenade en bateau.
Critères:  hh hagé inconnu grossexe bateau voir exhib nudisme intermast fellation anulingus hdanus hsodo init confession
Auteur : Kristal      Envoi mini-message
Pauvre pêcheur...

Bien que je ne sois pas souvent le personnage principal de nos jeux et aventures avec Kris, je suis bien vivant, réel et je profite systématiquement de toutes les occasions qui nous sont offertes de jouir de tous les plaisirs de la vie. Candauliste dans l’âme, je prends un plaisir infini à voir, savoir, parfois imaginer ma chère et tendre épouse aux prises avec d’autres hommes, voire des femmes. Je ne connais pas de spectacle plus excitant que de pouvoir admirer les lèvres de Kris s’ourler autour d’une splendide tige érigée en son honneur, voir son ventre s’ouvrir sous la poussée fougueuse d’un amant entreprenant, l’entendre gémir, puis crier son plaisir, possédée, embrochée, parfois par deux sceptres qui se partagent son ventre et ses reins… Pourtant, moi aussi je participe à ces jeux sensuels, érotiques ou carrément lubriques. Cependant, je ne me laisse aller à faire des folies de mon corps que très rarement : eh oui, j’aime trop Kris, notre vie, nos jeux pour être tenté de donner un coup de canif dans le contrat.


Le hasard a fait, la semaine dernière, que je me suis trouvé dans une situation très… particulière et que j’ai cédé à une envie inattendue.


L’an dernier, je me suis offert un bateau. Non, pas un yacht ; je n’en ai ni la prétention, ni les moyens ! Juste un petit bateau à moteur pour taquiner tranquillement les brochets et autres habitants des profondeurs rhodaniennes. On y loge (en se serrant un peu) quatre ou cinq personnes. Même si j’embarque souvent seul, je ne suis pas un « fana » de la pêche. Le soleil, une glacière pleine, un peu d’huile de bronzage suffisent à mon bonheur. J’adore jeter deux cannes à l’eau puis me laisser dériver en oubliant les trépidations de la vie quotidienne.


Vendredi, j’avais décidé de m’offrir une matinée sur l’eau. Le réveil fut-il plus difficile que d’habitude ? Toujours est-il que l’heure tardive m’a incité à repousser mon projet à l’après-midi (on dit que les poissons ne mordent pas l’après-midi ; mais, après tout, je profiterai au moins du soleil).


Vers treize heures, me voici au bord de l’eau. Tout est calme, à part quelques personnes qui flânent sur les berges, à l’ombre des grands platanes. Je m’affaire un petit quart d’heure à installer mon matériel à bord ; j’ai tout mon temps, et assis sur l’avant de mon embarcation, j’allume une cigarette. Je passe ainsi un moment à observer sans but les promeneurs qui passent devant moi. Un homme d’un certain âge (je dirais plus près des soixante ans que des cinquante), le cheveu gris, vêtu d’un jean et d’une chemise claire s’arrête à quelques pas. Svelte, costaud (plus que moi, a priori), il a une certaine prestance.


Il m’aborde avec un sourire, me pose quelques questions concernant mon bateau, le plaisir que je prends à naviguer. Rapidement nous nous lançons dans une conversation agréable, à tel point que je lui propose de partager une boisson fraîche. Il accepte et nous nous retrouvons assis tous deux sur les sièges arrière. J’apprends qu’il s’appelle Henri. Nous décidons de nous tutoyer. Nous ne voyons pas le temps passer jusqu’à ce qu’il me demande si j’accepterais de lui faire faire une petite promenade à bord car il ne connaît le fleuve que depuis la berge et n’a jamais eu l’occasion de faire un tour en bateau. Je n’ai rien à faire qu’à tuer le temps ; alors pourquoi pas, avec un passager qui me semble d’agréable compagnie ?


Un quart d’heure plus tard, nous voici au milieu du fleuve. Je me dirige vers une zone plus calme, à l’abri du vent, où la végétation, les oiseaux, offrent une vision beaucoup plus agréable de notre tumultueux fleuve. Je mets en panne. Nous dérivons lentement le long de la berge, au soleil.



Nous éclatons de rire et, dans un bel ensemble, nous tombons chaussures, chemises et pantalons. Henri me regarde, sourit à nouveau, et d’un geste naturel fait glisser son dernier vêtement. Pour ne pas être en reste, je fais de même. Nous voici tous deux nus. Je sors deux bières de la glacière, en tends une à Henri. Nous sommes bien, rafraîchis par une légère brise qui pousse lentement notre embarcation.



Nous restons silencieux un long moment, profitant des rayons du soleil, de la brise qui caresse nos corps. Henri m’offre une cigarette, se penche vers moi pour me donner du feu puis s’étire et se laisse aller en arrière sur les coussins, les jambes allongées, légèrement écartées. Il pousse un soupir d’aise, souffle une volute de fumée et ferme les yeux.


Je ne sais pas pourquoi mon regard glisse sur son torse velu, ses abdominaux encore entretenus, et découvre un sexe volumineux bien qu’au repos. N’étant ni homo ni bi, je ne peux tout de même pas m’empêcher d’imaginer l’engin en état de fonctionnement. J’ai déjà eu maintes occasions d’en voir, d’en admirer parfois lorsque Kris se livre à certains jeux ; mais là, Kris n’est pas à mes côtés. Perdu dans mes pensées, je n’ai pas remarqué qu’Henri a rouvert les yeux et me regarde attentivement.



Même à mon âge, j’avoue que le rouge m’est monté aux joues. Et mes yeux ont croisé le regard d’Henri au fond duquel j’ai cru discerner une flamme nouvelle, dérangeante. Regard que je n’ai pas soutenu, baissant les yeux, la honte au front. Hélas, ce fut pour rencontrer à nouveau la virilité d’Henri. Lentement, je la vis s’ériger, gonfler, se tendre, prenant des proportions hors du commun. Nous ne prononcions pas une parole mais l’ascension de l’obélisque de chair perdurait. L’engin se dressait désormais dans toute sa splendeur, long, large, surmonté d’un gland gros comme une petite pomme. Impressionnant ! Et j’avoue que j’étais impressionné.



Il éclate de rire alors que je baisse les yeux et découvre mon sexe déjà dressé. C’est vrai : au fond de moi, inconsciemment, l’excitation, accentuée par mes dernières pensées, est montée en flèche. Riant toujours, Henri pose une main sur sa lourde tige et commence de lents va-et-vient qui font encore durcir et enfler son sexe monstrueux.



Nos regards se retrouvent. Dans le sien, je sens la fierté, le vice et… l’envie ! Dans le mien maintenant, il a dû découvrir plus que mon trouble : un désir inavoué. Ses doigts coulissent toujours sur l’énorme mandrin, tirant le prépuce vers le bas avec force, découvrant le gland luisant, écarlate, avant de remonter pour le cacher à ma vue. Il est désormais tout à fait conscient des sentiments qui s’emparent de moi à la vue de ses caresses.


De mon côté, je suis quasiment subjugué face à cet homme hors du commun. Une excitation inconnue s’empare de moi. J’ai parfois été à la limite de tendre la main vers certains sexes dont Kris se régalait, pour tenter de découvrir les sensations qu’elle pouvait éprouver en branlant ou suçant un homme. Là, c’est pire : j’ai envie de poser mes mains sur Henri, de caresser ce mandrin stupéfiant, de lui offrir mes lèvres, de découvrir sa saveur, sa chaleur…

Mon passager n’est pas dupe. C’est lui qui rompt le silence, d’une voix rauque tout en accélérant sa masturbation :



À mon âge, je tremble comme un gamin ! Et pourtant je tends la main vers Henri. Je frôle la sienne qu’il s’empresse de retirer de son sexe. C’est la mienne qui vient se poser sur le monstrueux pal. C’est tiède, doux, ferme. Mes doigts découvrent, apprécient, et se livrent à une lente caresse le long de la tige frémissante. Ce simple contact m’électrise ; brutalement, je perds tous mes repères. Mes doigts s’enroulent autour de cette colonne de chair inconnue. Je branle un autre homme ! Et j’y éprouve un plaisir indécent, délicieusement pervers. J’admire, ébahi, le gland que je découvre par à-coups : il est lisse, luisant, surmonté d’une petite perle de plaisir qui suinte au bord du cratère comme les prémices d’une formidable éruption de lave bouillonnante. Henri gémit doucement, savourant ma caresse.



Je dois reconnaître qu’il n’a pas tort… Subjugué par cette situation totalement inédite, je me sens prêt à outrepasser tous mes principes pour plonger dans une relation hors norme. Nos regards se croisent. J’y découvre la même lueur d’extase que celle qu’il m’est déjà arrivé de surprendre dans les yeux des amants de Kris lorsqu’elle leur fait l’offrande de sa bouche, lorsque ses lèvres s’ourlent langoureusement autour d’une belle queue et qu’elle les pompe lentement.


Dans ma tête, ce n’est pas moi qui incline le visage ; ce ne sont pas mes lèvres mais les siennes qui frôlent l’énorme gland, c’est le bout de sa langue qui découvre la douceur de cette peau légèrement sucrée. C’est enfin sa bouche qui se distend pour accueillir millimètre par millimètre ce fruit gorgé de sève. Étrange mais agréable sensation…


L’excitation monte en moi au fur et à mesure que le dard envahit ma bouche. Je l’abandonne, l’admire une seconde puis replonge sur ma proie avec gourmandise. Incroyable : je suis en train de sucer un homme, et j’adore ! Je m’enhardis, laisse une main glisser sur deux boules dures tandis que l’autre continue ses va-et-vient sur l’énorme tige que je ne peux engloutir en totalité. Je savoure pleinement ces instants fabuleux, immoraux et pervers. Je tente d’offrir à mon partenaire les caresses et le plaisir que j’aimerais recevoir. Je le sens frémir sous mes doigts, entre mes lèvres alors qu’il gémit sans cesse, prononçant des phrases décousues.



Je recrache un instant le gland luisant de salive tout en continuant à le branler et à presser entre mes doigts les boules gonflées de semence.



Nous voici tous deux en train de nous caresser mutuellement. Ses doigts glissent lentement sur mon sexe. Il sait s’y prendre lui aussi, et mon érection prend de l’ampleur. Nous sommes assis face à face, lui sur le siège arrière, moi sur le fauteuil pivotant qui permet d’accéder rapidement aux commandes du bateau. Moins d’un mètre nous sépare. Henri joue d’une main avec mon sexe tandis que je le branle lentement, bien à fond. Sa deuxième main vient malaxer doucement mes testicules puis s’insinue plus avant, cherchant à me prodiguer une caresse nouvelle. Je m’avance légèrement sur mon siège, laissant mes jambes s’ouvrir, lui offrant le passage qu’il désire. Un doigt curieux mais habile frôle ma corolle, m’arrachant un long frisson. Il y a une heure à peine, je me sentais totalement hétéro, et brutalement, je viens de faire la bascule vers des plaisirs interdits !


Il m’échappe, tombe à genoux entre mes jambes, engloutit lentement presque la moitié ma tige tendue. C’est largement aussi agréable qu’une bouche de femme ; peut-être plus excitant car cela transgresse toutes mes convictions. Henri me regarde, les yeux plein de vice et entame un lancinant va-et-vient sur mon sexe. Il abandonne mon gland, lèche toute la longueur de ma hampe, descend sur mes boules, passe au-delà. Des deux mains il m’écarte les cuisses, fait passer mes jambes sur ses épaules, me tirant un peu en avant. Je suis ouvert, écartelé, indécent, offert à sa lubricité et à ses lèvres qui viennent butiner mon anus.


Démentielle caresse à laquelle je ne résiste pas ; je laisse échapper un gémissement lorsqu’il insinue la pointe de sa langue en moi et qu’un doigt longe ma raie. Je sens que je m’ouvre sous l’indécente poussée du doigt viril. Une phalange franchit la barrière de mes reins. Une envie indicible s’empare de moi. Je ne peux retenir un léger cri. Brutalement, je lance mes reins en avant et m’empale sur le doigt qui vient de m’ouvrir. Sensation inouïe… Je suis sodomisé par ce doigt qui maintenant va-et-vient en moi comme une petite bite.


Tout en continuant sa lente caresse sur ma tige durcie d’envie, il accélère ses va-et-vient dans mes reins puis réembouche avidement plus de la moitié de ma queue. Je ne peux contenir un long gémissement lorsque sa langue se met en mouvement autour de mon gland. C’est démentiel ! Je n’ai plus qu’un désir : exploser, jouir, même si c’est avec un homme. Cette bouche brûlante, ce doigt qui me pénètre hardiment, les sensations que je viens de vivre lorsque j’ai dévoré le sexe monstrueux d’Henri me donnent envie de bien plus encore. Ce sont à nouveau les images de Kris, hurlant de plaisir alors qu’un pieu viril laboure ses reins, qui me mettent en transe. Je veux découvrir ces sensations folles qui lui donnent ce plaisir incommensurable !


Je fais fi de tous mes préjugés, me redresse puis me tourne vers l’avant du bateau. Prenant appui sur le dossier de mon siège, je prends la position que j’ai maintes fois vue adopter par Kris, les reins cambrés, la croupe haute, les jambes fléchies et légèrement écartées. Me placer ainsi suffit à me rendre fou.



Il saisit mes fesses à deux mains, écartant mes globes pour venir y glisser à nouveau sa langue. Cette caresse humide m’électrise. Il tente très vite de glisser un autre doigt en moi. La douleur m’arrache un cri.



Je reste figé dans cette position indécente ; je l’entends fouiller dans la glacière. Deux doigts gras se posent à nouveau sur moi. Je le sens déposer une noisette de beurre qu’il étale lentement tout en poussant un doigt qui me pénètre sans difficulté ni douleur, très vite rejoint par un second. C’est doux, c’est bon, cette présence incongrue dans mes reins. Je savoure, je m’offre plus encore en gémissant. Il tourne en moi, s’enfonce, se retire, recommence… Un plaisir nouveau, indescriptible, s’empare de moi. Je suis fouillé, écartelé ; je bande. Je tourne la tête vers lui. Une main s’occupe de moi tandis que l’autre est en train de coulisser sur son pieu qui me semble avoir grossi encore. Il est véritablement hors norme : jamais je ne pourrai supporter un tel engin, et pourtant j’en meurs d’envie, à tel point que je laisse échapper :



Il étale d’un geste nonchalant le restant du beurre sur son gland, sa tige monstrueuse, puis pose les mains sur mes hanches, glissant son pieu entre mes fesses. D’une main, je m’ouvre un peu plus, lui offrant ma pastille grasse et frémissante. Le gland vient se loger juste au bon endroit. Il donne de petits à-coups, sans forcer. Je sens mes chairs se distendre. Une légère douleur me fait gémir à nouveau mais j’ai trop envie, et de mon côté je force légèrement vers lui. Mes reins cèdent brusquement. Une brûlure soudaine, et je sens une présence énorme en moi. Le gland a franchi l’obstacle. Immobile, il patiente, caressant mon dos.



Cette fois, la messe est dite : j’ai franchi le pas, et ces nouvelles sensations ont submergé tous mes a priori. Je le veux ! Je sens son gland palpiter à l’orée de mes reins, mais c’est au fond de moi que je veux l’amener. Dans une lente poussée, je m’empale… Il s’enfonce ; je m’ouvre. Il force ; je m’écarte. Il me remplit, me dilate ; je me donne. Horrible et délicieuse progression de ce mât de chair vibrante qui poursuit sa course dans mes reins, m’investit de sa puissance, sa chaleur, sa rigidité. J’ai du mal à respirer, haletant, les tripes nouées par cette invasion virile ; mes gémissements ne cessent plus. Je ne sais pas si j’ai mal ou si je savoure… mais j’irai jusqu’au bout !


Je ferme les yeux et, comme on retient sa respiration pour avaler un médicament amer, je donne l’ultime et brutal coup de reins. Un cri de douleur m’échappe. Le contact du ventre de mon violeur sur mes fesses me soulage ; il est au fond de moi ! Je viens de m’empaler totalement sur ce membre hors norme, et la douleur se diffuse doucement, remplacée par une sensation de plénitude. Les secondes s’écoulent. Une tige virile, frémissante, énorme, vit en moi. Mon ventre, mes reins eux aussi palpitent autour de l’envahisseur. Je viens de basculer dans un autre monde !



Un lent ballet débute au creux de mes reins. Henri a saisi mes hanches. Il s’enfonce, se retire, recommence… Le rythme s’accélère, et c’est bientôt une folle cavalcade. Je me sens perforé, envahi, mais je suis ravi. J’accompagne chaque poussée de mon amant par un cri de plaisir. Cela dure une éternité (ou simplement quelques minutes… mais délicieuses, torrides). L’envahisseur gonfle en moi, durcit. Henri râle de bonheur ; moi, je n’arrive même plus à gémir, bâillonné par la jouissance qui monte en moi.


Les doigts de mon partenaire se crispent sur mes hanches. Il s’abute au fond de moi. Je le sens gonfler encore, palpiter et, brutalement, exploser. Une première salve de semence inonde mes reins. C’est trop ! Je hurle ma jouissance, mon plaisir alors que trois ou quatre autres giclées terminent de combler toutes mes folies et mon corps en feu.


Nous retrouvons lentement nos esprits. Sommairement nettoyés, nous nous regardons fixement, puis éclatons de rire ! Expérience inédite pour moi comme pour lui, nous en resterons là, nous promettant mutuellement de garder un silence de tombe sur ces moments d’égarement.

Une dernière bière partagée tandis que je ramène l’arche de Noé à bon port, et nous nous quittons ravis d’une promenade hors du commun.