n° 17998 | Fiche technique | 16842 caractères | 16842Temps de lecture estimé : 10 mn | 14/07/17 |
Résumé: Le service d'étage doit veiller au bien-être des clients de l'hôtel en toutes circonstances. | ||||
Critères: fh fplusag extracon inconnu uniforme hotel lingerie intermast fellation cunnilingu nopéné aliments portrait | ||||
Auteur : Yann (Room service, s'adapte aux besoins des client(e)s) Envoi mini-message |
J’aime la littérature et les femmes, le sport et la culture, les mets délicats et les voitures décapotables. Mes parents m’ayant élevé avec leurs moyens, réduits, et n’ayant pas trouvé de travail assez rémunérateur, je décidai à vingt ans de m’approcher de ma vie rêvée en côtoyant les personnes aisées de ce monde. Pour cela, je devins groom dans un luxueux hôtel fréquenté par les stars et les riches entrepreneurs. Ces célébrités du monde du spectacle ou de celui des affaires sont toujours entourées de leur époux (se), d’un manager, d’une esthéticienne ou d’un coach. En tant que groom, il m’arrive d’être quelques instants seul avec un client de l’hôtel. Il en profite souvent pour me demander un conseil ou se confier à moi sur ses difficultés, personnelles ou professionnelles. C’est ainsi que je me suis rapproché, la première fois, d’une épouse d’un client fortuné de mon hôtel cinq étoiles.
La première fois que je rencontrai Sylvia, elle était en pleurs dans son appartement. Elle avait commandé de nombreuses pâtisseries, mais était seule dans la suite réservée pour quinze jours. Je compris qu’elle avait l’intention d’engloutir ces gourmandises elle-même. Je me permis de lui faire remarquer qu’elle risquait l’hyperglycémie et l’indigestion si elle avalait les forêts noires, le fraisier et les délices caramélisés mis à disposition. Elle me répondit :
L’idée était plaisante, mais présentait des défauts. J’exposai spontanément un raisonnement selon lequel il valait encore mieux avoir accès à toute une fortune plutôt qu’à la moitié, qu’un mari absent de temps en temps était moins envahissant et permettait une plus grande liberté…
Disant cela, elle enfourna un éclair au chocolat avec un petit sourire ironique qui lui allait à ravir. Notre discussion l’ayant distraite, les larmes avaient séché. Elle continua :
Je la laissai savourer sa répartie et son éclair au chocolat. Elle m’invita à enlever mon gilet, partie intégrante de mon uniforme de groom, et à m’asseoir pour déguster ces pâtisseries avec elle.
Le fraisier était également à tomber, mais il n’y en avait malheureusement qu’un. En ayant avalé déjà la moitié, je lui dis qu’elle devait absolument le goûter.
Joignant le geste à la parole, elle se pencha vers moi en ouvrant la bouche et en fermant quasiment les yeux. Je glissais un gros morceau de fraisier entre ses lèvres qui vinrent se refermer sur la cuillère.
Je tirai sur la cuillère afin de la récupérer, ses lèvres suçant la cuillère afin d’en récolter toutes les miettes. Elle était belle, sensuelle, avec de jolies lèvres bien dessinées, ni trop fines, ni trop grosses, des lèvres coquines qui savaient rire et s’ouvrir sur de jolies dents, des lèvres qui savaient faire la moue avec un naturel désarmant. Ses yeux étaient toujours solidaires de ses lèvres, pouvant être tristes, remplis de larmes, accompagnant les lèvres tremblantes aux commissures qui s’affaissaient, ou au contraire rieurs avec une bouche s’épanouissant dans un ravissant sourire. Waouh, s’approcher de ce genre de femme, c’est tomber sous son charme ! Les effets doivent se dissiper au bout d’un certain temps, si j’en crois le mari. Quant à moi, je tombais dedans comme un pantin dépourvu de volonté. Ramener la cuillère à moi n’a fait que rapprocher Sylvia et sa bouche de mon corps.
Elle n’a toujours pas rouvert les yeux, et ses lèvres, qui ont enfin lâché la cuillère, viennent se poser sur les miennes. Elles ont un goût sucré et vanillé, le goût du fruit défendu. Elle entrouvre les lèvres et le baiser devient plus appuyé. Je réponds à son avance en glissant ma langue entre ses lèvres et en goûtant le fraisier englouti. Nos langues se nouent, se dénouent, se cherchent et se repoussent. Elle pose ses deux mains sur mes cuisses et me caresse tout en continuant son baiser passionné. Ma main attrape ses cheveux, caresse sa nuque et ses épaules. Elle est divine ; je fonds complètement. Quand elle me dit « Viens ! », nous nous levons. Elle me prend la main et me guide vers le lit conjugal.
Nous reprenons notre baiser dès la porte de la chambre refermée. Mes mains explorent son dos, la cambrure de ses reins, la rondeur de ses fesses. Son chemisier glisse et crisse légèrement sous mes doigts ; sa jupe est chaude et enserre ses deux globes que je viens malaxer.
Ses mains ne restent pas inactives : l’une est enfouie dans mes cheveux tandis que l’autre s’est glissée entre nos deux corps pour venir caresser mon torse. Elle entreprend de défaire ma cravate et de déboutonner un à un les boutons de ma chemise.
Je souris en repensant à mon job de l’hiver dernier, mais ceci est une autre histoire. Je la laisse parcourir mes pectoraux bien développés, y faire glisser ses ongles comme si elle avait l’intention de les enfoncer dans mes chairs, puis descendre sur mes abdominaux afin d’en évaluer la fermeté et le relief.
Elle s’assoit au bord du lit puis s’attaque à mon pantalon. Une sorte d’urgence apparaît dans ses yeux, une peur que sa friandise ne disparaisse sans raison. La ceinture est vite dégrafée et le pantalon glissé aux chevilles. Je le rejette du bout du pied. Son regard se fixe sur la bosse qui vient gonfler mon boxer. Elle sourit et vient glisser la paume de sa main le long de mon sexe bandé. Elle m’embrasse le ventre, les pectoraux et se relève pour me faire asseoir à mon tour face à elle.
Je n’avais pas osé jusqu’à présent poser mes yeux sur sa poitrine : un groom doit être discret, et les femmes ont un don pour savoir quand un homme reluque leurs nénés. Donc, si tu ne veux pas te faire remarquer comme mateur professionnel et par la même occasion perdre ton job, tu apprends à éviter de regarder les seins et les croupes des clientes, aussi attirantes soient-elles.
Ses seins sont sagement emprisonnés sous son chemisier. Pas de décolleté, mais le tissu léger laisse deviner le galbe des seins, et leur pointe semble s’être tendue depuis le premier baiser.
Je m’exécute en caressant au préalable ses deux seins à travers le tissu. Ils sont chauds, doux et fermes à la fois ; un prodige de la nature qui s’offre à moi. Je tremble presque en défaisant les boutons de son chemisier, en glissant le vêtement le long de ses épaules et de ses bras. Le soutien-gorge est blanc, avec des dentelles qui soulignent le pourtour des seins. Je me penche en avant et viens embrasser son ventre qui est souple et musclé également. Je remonte vers la poitrine et mes mains partent à la recherche des agrafes du soutien-gorge. L’enlever est presque trop facile, et ses seins se retrouvent dénudés face à mes yeux émerveillés comme ceux d’un enfant découvrant le jouet tant attendu.
Mes lèvres viennent gober la pointe d’un sein à l’aréole d’un brun clair, presque rosé. Une main englobe et caresse l’autre sein. Mes dents mordillent, ma langue lape, lèche. Mes lèvres sucent, aspirent pendant que ma main pétrit, malaxe ce joyau qui fait courir les hommes depuis le premier d’entre nous. Sylvia gémit doucement sous la caresse, sa gorge s’étire. Mes mains descendent à la recherche de la fermeture Éclair de la jupe. Elle est sur le côté et s’ouvre sans opposition. La jupe tombe à terre ; les collants sont un nouvel obstacle à franchir.
Je lui souris et retire le collant en me penchant en avant. Le haut de mon visage vient frotter son entrejambe ; il est chaud et ne fuit pas ce premier contact.
Sylvia réfléchit à la situation. Elle se recule légèrement.
Sylvia me fixe et me demande :
Elle se rapproche, pose ses deux mains sur mes épaules, vient me chevaucher et me bascule en arrière sur le lit. Son entrejambe protégé par sa culotte blanche vient frotter la bosse de mon boxer.
Elle saute de côté sur le lit, glisse sa main sous le boxer et enserre mon membre.
Elle glisse sa main pour soupeser mes couilles, puis à l’aide des deux mains retire mon boxer.
Ses lèvres viennent se poser sur mon gland. Sa langue lèche le prépuce. Son regard est sérieux et concentré ; sa bouche s’ouvre en grand et je vois une bonne partie de mon sexe disparaître dans sa bouche. Que c’est bon, ses va-et-vient le long de mon sexe, ses mains qui massent mon corps, sa joue qui se déforme au rythme de mon sexe s’enfonçant dans sa bouche ! Elle le fait exprès ?
Tout en la regardant s’appliquer, ma main part explorer ses fesses. Je la glisse dans l’entrejambe pour remonter vers sa chatte. Elle est humide et bombée à souhait. Je pétris ses lèvres intimes et l’entends gémir malgré ma queue enfoncée dans sa bouche.
Il ne va pas falloir que ce traitement s’éternise, parce qu’en l’absence de branlette et de baise durant la semaine passée, les spermatos sont pressés de sortir. Je le fais comprendre à Sylvia en poussant un petit soupir et en me retirant légèrement.
Aussitôt dit, on s’installe confortablement sur le grand lit, on se couvre du grand drap, je lui enlève sa culotte et viens coller ma bouche contre sa vulve tropicale. Ma langue part à l’assaut de sa fente, remonte jusqu’au clitoris pour recommencer aussitôt. Ses mains sur ma tête m’encouragent à presser davantage ou au contraire à jouer de la pointe de la langue sur son clito. Tour à tour, j’enfonce ma langue pointue dans son vagin, mon nez frottant le clito, je gobe ensuite ses lèvres pour les aspirer, je fouine comme un chien de ma langue râpeuse son intimité qui devient liquide.
Je la sens se crisper. Nos regards se croisent puis sa tête part en arrière alors que son corps se cambre dans un bel orgasme que je me félicite de lui avoir procuré.
Mes genoux viennent encadrer son visage et ma queue tombe presque parfaitement entre ses lèvres ouvertes. Ma langue revient titiller son clitoris.
Une demande pareille ne se refusant pas, ma main vient se plaquer sur sa vulve ruisselante, et deux puis trois doigts viennent pénétrer son vagin. Je progresse en bougeant les doigts à l’intérieur de sa chatte afin de maximiser les sensations ; pendant ce temps, elle lèche ma hampe avec application pendant que sa main enserre fermement la base de ma queue.
Les mots sont aussi forts que ses caresses. Sa main va-et-vient le long de ma queue. Maintenant je la baise avec quatre doigts dilatant sa chatte ouverte.
Mon sperme jaillit en plusieurs saccades qu’elle dirige sur ses seins. Son autre main est venue sur mes fesses et s’aventure dans ma raie. Elle me vide. J’ai l’impression que ça fait des siècles que je n’ai pas éjaculé de la sorte. Elle frotte ma queue sur ses seins puis vient goûter le bout de ma queue de sa langue.
J’attrape un Kleenex sur la table de chevet et nettoie les larges coulées blanches qui menacent de se répandre sur les draps. Je me lève et, dans la salle de bain, me lave la figure à l’eau fraîche. Je sens la chatte et j’aime ça. Je me fais un bain de bouche avec une solution trouvée dans le meuble : l’haleine sera plus correcte ainsi. Je rejoins la chambre où Sylvia semble s’être assoupie, le drap remonté jusqu’aux oreilles.
Le mari, qui doit être en ce moment dans une chambre ayant la même odeur de luxure, pourrait s’offusquer de trouver sa femme dans la même situation que lui !
Je me rhabille et vais à la lingerie récupérer un jeu de draps. De retour dans la chambre, nous faisons le lit comme deux ados qui ne veulent pas que leurs parents découvrent les jeux interdits pratiqués en leur absence.