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n° 18002Fiche technique28228 caractères28228
Temps de lecture estimé : 17 mn
17/07/17
Résumé:  Ma femme me propose de s'offrir à mes fantasmes pour une journée et dépasse ses limites.
Critères:  fh ffh couple exhib intermast fellation cunnilingu fgode pénétratio fdanus -couple
Auteur : Mari normal
Ma femme s'offre... à moi

Couple amoureux, dans le début de la quarantaine, notre vie commune nous a permis de varier les expériences et on peut dire que notre sexualité est épanouie.


Karine aime la bite, elle aime se faire bourrer la chatte et se faire lécher le clito, ses orgasmes sont puissants. De mon côté j’aime des plaisirs plus pervers et variés, je passe mon temps à proposer des jeux et des variantes, qui choquent au premier abord puis réjouissent, généralement. Des godes, des butt-plugs, de l’exhib, de la sodomie, du sperme et même quelques perversions plus osées, parfois jouissives et parfois douteuses.


Comme nous vivons dans la vie réelle, nous connaissons autant de réussites que d’échecs. Quand nous sommes en phase, nos jeux sont bandants et peuvent aller assez loin. Quand nous nous ratons, nous subissons des moments décevants. Rien de plus débandant qu’une femme attachée et soi-disant offerte, mais qui n’a pas envie et dont le corps ne répond pas.


Alors que nous sommes dans une phase un peu routinière, en attente de la prochaine période plus enflammée, je reçois un message de ma femme, bandant à lui seul :


Mon homme, ma bite.

J’ai décidé de m’offrir à toi pendant toute une journée.

Mais inutile de m’attacher, j’aime ce que tu me fais, je ne vais pas m’enfuir !

Inutile de me forcer, je veux m’offrir vraiment, il te suffit donc de demander.

Pense à des perversités qui me feront jouir autant qu’elles te feront bander, propose-les et je les réaliserai avec plaisir.

Cette journée sera pour vendredi, je rentre en fin de matinée après la gym et je suis à toi.

Sois imaginatif pour bien en profiter !

Bisous, à vendredi.


Autant dire que j’ai mis un bon moment avant de pouvoir marcher normalement après avoir lu ce message. Ma femme, enfin offerte, ça allait être génial ! Les scenarii les plus divers se sont bousculés dans ma tête pendant deux jours, pollués par l’envie de réaliser de vieux fantasmes très « viande », et le souci profond de ne pas gâcher cette superbe offre par de trop basses pulsions.


Mais je finis par me rappeler que toutes les initiatives de ce genre avaient été un peu décevantes jusque-là, il fallait que je me contrôle pour rester dans sa zone de confort, sinon elle perdait vite l’intérêt du jeu. Sa soumission est toujours plus symbolique que réelle, avec un gros décalage entre l’effet d’annonce et la réalisation concrète, et j’ai appris à ne pas trop en demander pour ne pas nous mettre tous les deux en situation de déception.


J’étais sur le point de me dégonfler et de laisser les choses prendre une tournure très classique : la lécher pour l’exciter, profiter de son excitation pour faire semblant de lui imposer des godes, la faire jouir très fort et en profiter moi-même ensuite, comme d’habitude en fait. Juste avant son arrivée, je n’avais rien préparé et j’avais tellement retourné mon cerveau que j’étais certain qu’elle allait se dégonfler elle-même, qu’elle ne serait jamais à la hauteur de son merveilleux message.


Elle entra dans la maison rayonnante, alors que j’étais plutôt gêné par le tourbillon dans ma tête. Je faisais bonne figure et nous n’échangeâmes que quelques mots, mais de larges sourires et de profonds baisers. C’est elle qui entra dans le vif du sujet :



Ma stupéfaction n’a d’égale que l’intensité des étoiles dans ses yeux, je suis sans voix et elle est ravie de son effet.



Mon cerveau était déjà embrumé, mais c’est encore pire avec tout le sang qui vient de migrer dans ma bite, tendue vers ma femme qui mène le jeu d’un air hyper satisfait. Je reste bouche bée, alors qu’elle se retourne et relève sa jupe, ses yeux plantés dans les miens.


Penchée en avant, croupe tendue vers moi, elle écarte ses fesses pour dévoiler le plug, effectivement bien en place, et sa chatte rose, ouverte et trempée juste en dessous. Elle quitte mon regard, baisse les yeux, et reprend la parole d’un air moins provocateur, plus invitant :



Mes fringues qui tombent par terre masquent à peine le silence qui suit cette nouvelle invite, elle ne bouge pas, elle m’attend effectivement, et je fais la seule chose que mon cerveau arrive à imaginer à cet instant : j’empoigne ses fesses et j’enfile ma bite au fond de sa chatte, d’un seul grand mouvement libérateur.


Je devine son sourire satisfait alors que je ne peux retenir des grognements de plaisir en limant sa chatte, bien profond comme elle aime, comme j’aime. Le genre de baise qui nous vide généralement en quelques minutes. D’ailleurs mes couilles envoient vite un signal d’alerte au cerveau, il va falloir trouver une diversion, sinon la journée va être trop courte !


Je m’immobilise le temps de reprendre un peu mes esprits. Elle ondule alors que je suis tout au fond. Ça n’arrange rien et je pourrais jouir sans bouger avec ce traitement. Je me retire donc, en accompagnant le mouvement d’une jolie claque sur sa fesse, histoire de reprendre un peu la main.



Je replonge doucement ma bite dans sa chatte pour savourer le moment. Il est temps d’assumer mes fantasmes et d’oser proposer…



Je la regarde attraper le plug et le retirer, avec une grimace et un petit cri quand la partie plus large franchit le passage. Il y a trois petites taches de merde sur le bout du plug, je suis curieux de voir la suite, d’habitude c’est un « no go » bien normal dans cette situation. C’est pervers, mais c’est très bandant, alors je ne me dégonfle pas.


Elle se retourne en brandissant le plug sale, elle me sourit un peu gênée, hésite.



Cette remarque volontairement provocatrice me vaut une œillade amusée, puis un sourire, impossible de mettre des mots sur cet échange intense et excitant.



Elle approche le gode de sa bouche assez lentement. Malgré sa grimace, je suis sûr qu’elle va le faire, mais je la vois vraiment dégoûtée alors ce n’est plus drôle. Je propose donc une alternative honorable :



J’apprécie son sourire soulagé, je finis de me déshabiller et m’allonge sur le tapis. Je sais que ma proposition n’est pas tout à fait gentille, car elle préfère que je sois actif quand il s’agit de sodomie. Là, elle va devoir tout faire…


Avec le plug toujours à la main, elle se positionne au-dessus de moi, et descend lentement son joli cul vers ma bite bien tendue. Une main sur ma poitrine, elle s’encule effectivement, tout doucement, puis fait quelques mouvements délicats de haut en bas, avant de s’immobiliser, littéralement assise sur ma bite.

Elle me regarde droit dans les yeux d’un air grave.



Elle agite le plug entre nous.



Elle plonge ses yeux dans les miens et apporte le plug vers sa bouche. Je fais tout ce que je peux pour ne pas jouir dans son cul à cet instant, sa provocation m’enflamme. Quand elle referme sa bouche autour du plug et le suce en me foudroyant du regard, je n’en peux plus. J’ai honte de ce que je lui fais faire, mais son aplomb me fait bander comme jamais.


Elle ondule un peu sur ma bite avec un air malicieux et continue de mener le jeu :



Elle se retire en fermant déjà les yeux et s’installe à genoux, à côté de moi. Elle n’a pas jeté un seul coup d’œil à ma bite.



Je me relève en prenant mon temps, bite tendue, luisante et gonflée, et je vérifie : propre. Puisqu’elle veut jouer, jouons…



J’enfourne ma bite dans sa bouche et elle suce effectivement sans hésiter, elle empoigne la hampe et bouge sa main bien vite alors qu’elle me gobe, autant dire que je n’ai plus le choix. Je résiste pour la forme, mais mon bassin prend sa liberté, je suis le mouvement. Elle veut me vider, alors j’y vais, je lâche tout sans me retenir, je sais que sa bouche experte n’en perdra pas une goutte.


Elle ralentit le mouvement, mais ne s’arrête pas tout de suite, sa main relâche la pression et sa bouche joue doucement sur mon gland, mon râle se transforme en long soupir. Du grand art.



Au moins les choses sont claires, je suis vidé, j’ai le droit d’imaginer tout ce que je veux, mais j’ai intérêt à trouver un bon moyen de lui donner beaucoup de plaisir.

Elle ressort de la douche et me rejoint, à poil.



Quelques minutes plus tard, elle revient dans une grande robe, avec un petit pull à la main :



La robe cintrée à la taille lui fait une chute de reins superbe, elle enfile une paire de petits talons et on prend la route. On se dirige vers l’autoroute, pour aller dans une ville voisine, histoire de pouvoir jouer sans risquer de rencontrer des gens connus dans notre ville.


En approchant du péage d’entrée sur l’autoroute, elle pose sa main sur mon entrejambe et me demande si j’ai récupéré. Concentré sur la conduite et le freinage pour prendre le ticket, je ne réalise pas tout de suite qu’elle a repris le jeu. Elle a sorti ma bite et me prend en bouche alors qu’on quitte le péage. Tout va bien, je me fais sucer, j’accélère, mais pas trop, je reste sagement sur la voie de droite pour profiter. Une camionnette nous double, ralentit, nous klaxonne… Elle redresse la tête en souriant, fait coucou aux deux artisans hilares, et replonge de plus belle.


La camionnette finit par filer, Karine se redresse en souriant et je reprends mes caresses, cette fois plus précises, avec une idée en tête. Je ne crois pas qu’elle s’y attende, j’attrape la boucle des boules de geisha et les retire, je les suce en lui souriant et je les pose à ma gauche, hors de sa portée.



Elle enlève sa robe dans un rire. Je caresse ses jambes et amène doucement ses pieds à monter sur la planche de bord, elle comprend et écarte largement les cuisses, offerte à tous les regards. Sans camion, il n’y a pas vraiment de voyeurs bien placés, mais c’est l’intention qui compte. D’autant plus qu’en arrivant au péage suivant, je ne lui rends pas le jouet qui lui permettrait de se rhabiller. Là, elle stresse un peu plus !


Mais avec les automates, on passe sans encombre et je lui redonne les boules de geisha pour qu’elle se rhabille sur la voie rapide avant d’arriver à destination. J’ai bien l’intention de finir l’échange du matin, je me gare sur un grand parking de supermarché, un peu à l’écart, mais pas trop, soyons joueurs…


Je recule son siège et plonge littéralement entre ses cuisses, pour ne pas lui laisser le choix. Tandis que je me régale de sa chatte, elle peut vérifier que personne ne s’approche trop près.


Alors que ses soupirs vont crescendo, que mes doigts plantés dans son cul font bouger les boules de geisha dans sa chatte, que ma langue virevolte sur son clito, je la sens se tétaniser d’un coup, en même temps que j’entends une voiture se garer à côté de nous. Je lui laisse le temps de vérifier qu’il s’agit d’un adulte, mais je n’ai pas l’intention de m’arrêter en si bon chemin, je reprends donc mon activité avec assez de rythme pour qu’elle ne résiste pas, même si elle me dit que l’homme sorti de la voiture nous a remarqués. Entre deux soupirs, elle me dit qu’il mate, qu’il est seul, qu’il n’a pas l’air gêné bien au contraire. Alors, elle se lâche un peu plus, elle ajoute un peu de puissance à ses soupirs. J’accélère également jusqu’à la sentir vibrer puis exploser dans un grand cri libérateur. Elle retombe doucement et je peux enfin lever la tête pour apercevoir l’homme, qui me fait un signe d’approbation avant de s’éloigner. Nous nous remettons doucement et reprenons la route vers le centre-ville, complices et temporairement repus.


Tout cela nous permet d’enchaîner un apéro et un dîner bien détendus, dans l’ambiance cosy des petits restaus comme on les aime. On en profite pour débriefer un peu :



Elle repart en mode provoc’, il est temps que je propose des idées intéressantes. Le restau est trop petit pour jouer discrètement. On sort, c’est dans la rue que le jeu reprend.



Elle semble réfléchir à la manière de faire, puis sourit. Elle sort le plug de son sac et le prends tout simplement en bouche, et s’appuie contre une porte pour enlever les boules, qu’elle me tend fièrement, toujours « bâillonnée ».



Dans les petites ruelles de la vieille ville, il ne fait pas très clair, mais quand même pas assez sombre à son goût. Elle voit arriver un couple et se retourne prestement, se cachant dans un éclat de rire.



Ils arrivent à notre hauteur, un couple dans la quarantaine, pas mal, je les interpelle doucement.



C’est la femme qui a parlé, accrochée au bras de son homme qui a l’air ravi.



Elle s’adresse à Karine.



L’œillade à son mari prouve qu’ils ne sont pas trop naïfs, on devrait s’amuser. Elle réfléchit un peu puis reprend la parole.



Sourire général, je suis pris à mon propre jeu, mais je n’ai pas l’intention de me dégonfler. Je sors ma bite et la tends, bien dressée, vers la provocatrice. Karine s’approche et me prend en bouche, fait quelques va-et-vient. Je profite sans être gêné, le couple mate en souriant et il n’y a personne d’autre dans la rue. Karine se redresse et s’adresse à la femme, lui indiquant ma bite.



Je me remballe et nous les regardons s’éloigner. Ils devraient passer une bonne soirée eux aussi !



Une fois installés avec un verre, j’annonce le jeu :



Les verres se vident doucement, je la vois réfléchir, un peu absente. Elle finit par se lever et s’éloigner avec un sourire. J’attends un bon moment, en matant les filles dans la salle, quand je reçois enfin un SMS…


Sur la photo, elle est souriante et topless, dans ce qui ressemble aux toilettes du bar. Un mot accompagne la photo : « J’ai trouvé une photographe très jolie… ». Je réponds : « Bravo ! »

Mais un second bip arrive rapidement, avec une nouvelle photo. Un selfie, où elle est toujours topless, mais ses seins sont cachés… dans des mains féminines. La fille se cache derrière Karine tout sourire. « Tu m’attends encore un peu ? »


Je n’ai même pas le temps d’écrire une réponse, nouveau bip. Presque la même photo, mais une des mains est clairement descendue caresser la chatte. Karine a les yeux fermés, la caresseuse est toujours invisible. J’attends le bip suivant… rien… Cinq minutes, je m’impatiente. Dix minutes… je ne compte plus… puis mon téléphone sonne.



Je bondis, je ne suis pas sûr que ce soit la voix de Karine. J’entre timidement dans les toilettes des dames, il y a deux portes, toutes les deux verrouillées. Je n’ose pas frapper, mais mon téléphone re-sonne.



Aussitôt fait, j’entends la porte s’ouvrir, une main m’attrape le bras et me guide doucement, je pense qu’on entre dans une des cabines, une personne est derrière moi lorsque la porte se referme. Rapidement ses mains s’attaquent à ma ceinture, plongent dans mon caleçon et sortent ma bite, qui n’a pas besoin de ces caresses pour être bien tendue. On me pousse légèrement en avant, mon gland frôle une humidité bien connue, j’entre dans une chatte, mes mains sont retenues, je ne peux pas toucher.


Le corps collé derrière moi freine mes mouvements, ondule avec moi, accompagne quelques va-et-vient puis me force à ressortir. Toujours aucun mot, je n’ai aucun repère, je ne sais pas qui me guide et qui je baise, les mains me tiennent fermement la bite et on me repousse en avant, les sensations sont différentes, j’entre dans un cul. Je suis le mouvement, puis les ondulations reprennent, je suis bien au fond, on me fait accélérer, c’est dingue, j’encule dans le noir, j’accélère, je râle, et je jouis, tout au fond de ce cul offert, mais inconnu. Le temps s’arrête, les ondulations ralentissent, je reste planté au fond quelques instants puis les corps se décollent.


J’entends des bruits de vêtements, on me colle dos contre un mur, quelques mouvements impossibles à comprendre, la porte s’ouvre puis se referme.



J’ouvre les yeux et trouve Karine accroupie devant moi, au niveau de ma bite toujours bandée, luisante de sperme. Elle sourit et donne un coup de langue sur mon gland.



Puis elle enfourne franchement ma bite dans sa bouche, suce, pompe, nettoie. Je remarque qu’elle est habillée. Je finis par mollir vraiment, elle me rhabille, se relève, m’embrasse.



Alors qu’elle s’endort dans la voiture, je rebande en repensant à toutes ces sensations. Impossible de savoir qui était qui dans cette cabine, mais l’avenir a l’air prometteur !