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n° 18005Fiche technique13107 caractères13107
Temps de lecture estimé : 8 mn
19/07/17
Résumé:  Un inséminateur pourra enfin assouvir un de ses fantasmes lors d'un déplacement professionnel dans une ferme.
Critères:  fh grosseins taille fellation cunnilingu pénétratio hdanus -totalsexe
Auteur : Rana
L'inséminateur

Rémy roulait doucement. La journée n’avait pas été trop chargée avec une quinzaine d’inséminations ; c’est vrai que l’été est toujours calme, mais ces temps-ci ça devenait presque du mi-temps.


Il était content de son boulot. Il y était venu sur le tard, car il avait été ouvrier d’usine pendant dix ans et puis d’un coup : ras-le-bol ! Et il avait vu un inséminateur officier dans une ferme d’un cousin, ça lui avait plu et il s’était reconverti avec succès, car il avait déjà, au bout de trois ans, obtenu de l’avancement. C’est ce qui le mettait en joie notre vaillant inséminateur et là, en plus, il terminait sa journée dans la ferme des Guillot. Il allait pouvoir encore mater les nichons de la grosse Michèle. C’était la maîtresse de maison, mais de maîtresse elle n’en avait pas que le nom, car il filait doux son Mathieu de mari.


La Michèle était grosse, certes, mais assez jolie ; son visage rond s’éclairait toujours d’un rire tonitruant et magnétique. Elle respirait la joie de vivre. Manifestement, elle ignorait l’existence du soutien-gorge, car on devinait, plus ou moins aisément selon la saison, le ballottement de ses grosses mamelles libres sous les habits. Et en ce moment, avec la grosse chaleur, Rémy était prêt à parier qu’il n’y aurait pas beaucoup de tissu pour s’interposer entre son regard et l’objet de toutes ses convoitises. Déjà la dernière fois il s’était retrouvé à vingt centimètres de la tentation et était resté scotché bêtement à les regarder. Cela n’avait pas échappé à la belle qui avait eu un sourire non dissimulé. Manifestement, elle savait que ça faisait de l’effet, la matrone ! Il faut dire que les deux formes laissaient deviner des seins toujours fermes malgré la quarantaine avec encore du volume. C’est ce qui était excitant. Justement, cette fois-là il avait très bien deviné leurs pointes qui boursouflaient le tee-shirt et ils avaient encore fière allure !


La camionnette de Rémy entra dans la cour de ferme accompagnée de l’éternel corniaud qui aboyait tout en mordant les pneus. La Michèle trônait devant sa porte en jean surmonté d’un tee-shirt pas très net sur lequel on lisait « I am a women » ce dont on ne pouvait pas douter avec les formes que l’on devinait dessous ! On ne pouvait pas rater les deux « pastèques », car la dame avait choisi un tee-shirt assez moulant, du moins, disons un peu juste en taille et, en dessous, un large bourrelet de chair nue débordait par-dessus le jean. « Bigre, se dit Rémy, là, j’ai droit à la totale ! »



Chez les Guillot on baptisait les vaches avec des noms de personnalités politiques ce qui permettait de se défouler allégrement : « La Ségolène s’est encore fait remarquer aujourd’hui, elle a sauté les clôtures. » Ou bien : « Salope de Rachida, elle s’est sauvée pour rejoindre le taureau ! »


Rémy sortit le registre pour vérifier les données de la vache, il enfila sa combinaison plastique stérile et prépara la paillette qu’il plaça dans la seringue à insémination. Michèle l’emmena vers l’étable ; la vache était déjà entravée. Rémy mit du gel lubrifiant sur son gant de fouille et s’introduisit dans la vulve, il plaça habilement l’embout de la seringue à travers le col de l’utérus et injecta la semence ; cinq minutes montre en main !



Il prit du recul pour regarder la vache et continua :



Rémy surpris se retourna et eut une vision d’apocalypse ; la Michèle avait retroussé son tee-shirt ce qui faisait jaillir ses deux seins comme des obus. Oblongs et fermes, ils se terminaient par deux aréoles très larges et turgescentes. Tels qu’il se les était imaginés. Il resta muet, bouche ouverte sans bouger et, visiblement, Michèle se dit qu’il allait falloir prendre l’initiative.



Rémy se ressaisit comprenant enfin qu’une occasion comme ça ne se loupe pas. Il enleva son gant et approcha fébrilement des deux masses tentatrices. Il commença par toucher les pointes doucement – c’était chaud – une main, puis les deux, il caressait maintenant les deux en même temps. « Bon sang ils sont vraiment fermes… » se dit-il. La Michèle commençait à glousser manifestement ravie de cette exploration ; Rémy s’enhardit et commença à téter un des mamelons, mordillant, léchant, avalant, il sentait déjà de l’effet dans son pantalon. Il malaxait maintenant à pleines mains les deux pastèques profitant de cette aubaine qui ne se représenterait peut-être pas.



Il constata vite fait qu’elle n’avait pas de culotte. « C’était donc prémédité… » se dit-il et puis il sentit une brousse épaisse, chaude et vraiment très humide ; ça la travaillait dur, la grosse ; en manque ? Il chercha le sillon qu’il trouva dégoulinant et délicieusement poisseux ; bon dieu, maintenant il bandait tellement qu’il en avait mal, sa queue étant coincée dans le pantalon.



Elle le prit par la main et l’emmena vers la maison. En passant devant sa voiture, Rémy se débarrassa de son matériel et de sa combinaison.



Ils entrèrent dans la maison et, avant que Rémy n’ait eu le temps de dire ouf, Michèle le tirait déjà dans l’escalier pour entrer dans la chambre. Elle lui arracha littéralement ses vêtements et se déshabilla elle aussi avec une dextérité surprenante pour une femme de sa corpulence. Et Rémy se retrouva face à une montagne de chair. Ils étaient assis au bord du lit qui avait sérieusement accusé le coup avec une plainte de ressorts assez inquiétante.


Le temps suspendit son vol et Rémy en profita pour contempler l’objet de tous ses fantasmes. Finalement elle n’était pas si mal, la Michèle : des seins énormes, mais fermes et bien rebondis, surmontés par un cou de taureau. Un ventre rebondi lui aussi qui cachait un peu le sexe sous un pli délicieux. On voyait, par contre, une généreuse bordure de poils noirs. Les cuisses étaient plus grosses que le thorax de Rémy, mais il faut dire qu’à l’inverse, il était vraiment gringalet avec ses cuisses de mouche et son corps sec comme une trique. Seul son sexe, maintenant ramolli, pendait tout à fait honorablement entre ses cuisses. Ce n’était pas du goût de Michèle qui se pencha et l’engloutit tout en lui malaxant les testicules.


Il voyait sa queue disparaître totalement dans la bouche et se demandait si elle n’allait lui avaler pour de vrai. Mais le travail de succion fit rapidement effet et c’était maintenant un beau sucre d’orge que Michèle travaillait. Elle mordillait le frein et le gland et puis elle avalait ensuite toute la hampe avec de grands bruits de succion râpant bien consciencieusement le tout avec la langue.


Rémy sentit très vite les effets de ce travail consciencieux et stoppa Michèle avant l’irréparable. À son tour il se coucha sur elle et téta avec délectation et gourmandise les deux énormes melons, mordillant les tétons jusqu’à ce que Michèle fît « Aie ! » Ensuite il la repoussa doucement et Michèle comprenant très vite, se coucha sur le dos et écarta les deux colonnes énormes qui bordaient les portes du bonheur.


Rémy marqua un temps d’arrêt en contemplant une chatte velue à souhait et d’un noir de jais. Il fouailla largement pour dégager le sillon et lécha et mordilla les deux grandes lèvres avec un réel plaisir. Ensuite sa langue s’insinua plus profond pour trouver le petit trésor bien caché et il suça tellement vaillamment le bouton que Michèle commença à glousser avec des soubresauts de tout son corps accompagnés d’autant de plaintes du sommier qui n’en pouvait plus.


Sous l’excitation, elle rapprocha les deux cuisses et le pauvre Rémy eut l’impression d’étouffer. Il se sentait tel un explorateur avançant vaillamment dans une gorge profonde et inconnue encombrée d’une jungle impénétrable et humide. Il releva la tête et vit la lumière, il entreprit alors une courageuse remontée en s’agrippant aux plis offerts et se retrouva le nez encadré par les deux tétons. Il profita de ce que la Michèle venait d’ouvrir largement les cuisses pour, d’un bon coup de boutoir, la pénétrer jusqu’au fond.



Et le Rémy s’attela à la besogne avec courage, il se cramponna aux énormes citrouilles et donna de la queue vaillamment, haletant et ahanant sous l’effort, alternant les va-et-vient avec des mouvements de rotation, tantôt accélérant tantôt s’arrêtant presque. Mais ça, ça ne convenait pas à la grosse qui, dès que Rémy semblait baisser de rythme, lui agrippait les deux fesses et accentuait le mouvement.


Au bout d’un moment, elle profita d’avoir les deux fesses petites et fermes de Rémy bien en mains pour les écarter et lui agacer le trou du cul. Elle finit par y rentrer un doigt ce qui fit redoubler d’ardeur le prétendant. La scène était dantesque avec Rémy, tout petit, accroché à la grosse Michèle, tels ces mâles d’araignées tellement frêles à côté des énormes femelles gorgées d’œufs, de désir et d’appétit pour le courtisan !


Depuis combien de temps travaillait-il ainsi ? Il ne savait pas, mais la sève commençait à monter sérieusement et il essaya de se contrôler, car la Michèle ne semblait pas encore suivre le même chemin.



Maintenant elle hurlait, preuve que c’était bon. « Encore un effort… » se dit Rémy le visage cramoisi et les deux mains agrippées aux énormes mamelles ; il passa le point de non-retour, deux grosses mains travaillaient ferme ses deux fesses et son cul, l’écrasant complètement contre le con comme si Michèle voulait le rentrer tout entier dans sa fente. Elle hurla et se cabra provoquant un séisme dont, décidément, ne se remettra jamais le sommier ; Rémy renforça sa prise pour ne pas être désarçonné et redoubla d’efforts ; il éjacula enfin à moitié à côté à cause des mouvements convulsifs de sa partenaire, les mains enfoncées dans la chair tendre des mamelles.


Le calme après la tempête ! Le pauvre Rémy se retrouva à genoux par terre, le corps reposant ainsi sur le bord du lit, alors que la Michèle était totalement avachie, écartelée offrant un tableau de chair étalée rougie et humide agitée d’une respiration sifflante. C’est le tableau dantesque qui s’offrit à Rémy lorsqu’il se releva. Il resta captivé par la vue du con broussailleux englué de sperme et autres sécrétions. Les poils s’étalaient largement sur tout le bas-ventre et même le bord des cuisses. Ça lui rappelait cette photo de tableau qu’il avait vue sur Internet. « Mais là c’est mieux ! » se dit-il.



Il ne reçut qu’un vague borborygme pour toute réponse. « Eh bien voilà ; comment j’te l’ai ramonée, la grosse ! » se dit-il. Il se rhabilla avec une certaine autosatisfaction.