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n° 18010Fiche technique9377 caractères9377
Temps de lecture estimé : 6 mn
22/07/17
Résumé:  Un jeune technicien piégé par l'épouse du sous-directeur ...
Critères:  fh fplusag travail
Auteur : Joël2
L'épouse du sous-directeur

Jeune technicien informatique de 26 ans dans une administration départementale en région Occitanie, je suis chargé de finaliser l’installation téléphonique au nouveau domicile de fonction du sous-directeur, un quinquagénaire quelque peu rondouillard et assez pisse-vinaigre.


Le jour dit, je vais superviser les travaux du partenaire de France Télécom qui achemine les deux lignes, téléphone et télécopieur-ADSL, jusqu’au boîtier courant faible situé avec le tableau électrique dans un placard du hall d’entrée mais n’assure pas la continuité intérieure qui m’est confiée, un certain nombre de prises RJ étant déjà câblées mais non repérées. Le technicien ayant réalisé les travaux et effectué ses essais concluants, il se retire et je monte vers l’appartement, toque.


Une charmante brune bouclée, la quarantaine, pas très grande mais des formes harmonieuses, vêtue d’un tee-shirt moulant et d’une jupe en jean plutôt courte m’ouvre la porte, je me présente.



« Charmante l’épouse de notre sous-directeur’’ je me pense ! Je la suis, appréciant du regard son petit cul qui ondule, elle grimpe un escalier où je lui laisse prendre un peu d’avance pour apprécier le galbe de ses cuisses et essayer discrètement d’apercevoir au moins sa culotte, mais impossible, je suis trop grand. Nous arrivons dans une grande pièce, anciennement salle multimédias qui a été partagée par une cloison en un coin bureau et une salle de jeu avec un billard au milieu.



Tout sourire elle me répond :



Disant cela, elle se dirige dans un coin de la pièce où j’aperçois un meuble-étagère qui ferme un recoin. Elle retire une pile de linge, se penche et glisse la tête entre les étagères. Je reste un instant figé devant le spectacle qu’elle m’offre ; une corolle en jean autour d’un charmant petit cul voilé de dentelle blanche et deux charmantes cuisses musclées et fermes.



Sa voix me rappelle à la réalité, la tête réagit mais ne commande pas tous le corps, et notamment entre les jambes, mon sexe en érection, en est encore au spectacle de ce charmant petit cul … Je me glisse comme elle entre les deux étagères et aperçois une dizaine de prises secteurs, des câbles vidéos de toutes sortes et une prise RJ. Coincé contre elle, entre les étagères, je savoure la proximité de son corps qui dégage un parfum plus qu’agréable. Je prends tout le temps, et même plus, de lui expliquer que cette prise me permettra de remonter les deux lignes téléphoniques. Nous ressortons de notre piège, j’essaie tant bien que mal de masquer mon érection plus que visible sous mon pantalon d’été, me regardant étrangement je la vois sourire :



Moi, jeune adulte, pris en flagrant délit d’érection par une belle femme la quarantaine passée, qui plus est, épouse de mon sous-directeur, je ne sais que répondre, je reste figé face à elle comme un pot de fleur, son regard lubrique m’excite encore un peu plus, je suis de plus en plus à l’étroit. Elle fait un pas vers moi, elle tend la main vers mon bas-ventre, saisit mon sexe à travers mon pantalon. Je suis comme électrisé ! Je me laisse faire ? Je recule et m’enfuis ? Je réponds à son attente ? C’est quand même l’épouse du directeur adjoint, que dois-je faire ?



Ses yeux bleus, brillants de concupiscence, droit dans les miens, elle défait ma ceinture, ouvre mon pantalon, libérant mon sexe qui jaillit.



D’une main, elle palpe ma colonne dressée, pendant que de l’autre elle défait les boutons de ma chemisette que je laisse glisser au sol, tout comme le pantalon et le slip que je retire ainsi que mes sandalettes. Me voilà nu comme un vers face à l’épouse du sous-directeur ! Il est trop tard pour revenir en arrière, les dés sont jetés ! Je pose les mains sur ses hanches et tout en caressant son corps de braise, posément je lui retire son tee-shirt, dévoilant un soutien-gorge blanc à balconnets bien remplis. D’une main leste, je défais les agrafes dans son dos, libérant ses deux nichons aux tétons arrogants, et je peux vous affirmer que le soutien-gorge ce n’est que du confort. J’avance la bouche vers ses nichons en poire, je les embrasse alternativement, titille du bout de la langue les tétons rose, flatte d’une main douce le galbe de chaque sein. Sans dire mot, elle s’accroupit et embouche mon sexe tendu, lippe longuement le gland décalotté, titille chaque parcelle de ma colonne, soupèse mes bourses, essaie d’avaler ma colonne mais manque de s’étouffer. Les mains dans sa chevelure brune bouclée, je subis le doux supplice de sa bouche sur mon sexe …


Elle se redresse et me tenant par le sexe, m’entraîne par les couloirs vers ce qui semble être la chambre conjugale, en un tour de main sa jupe choit au sol et la voilà, allongée en travers du lit, cuisses ouvertes le sexe voilé par sa culotte blanche où des traces humides apparaissent. Oubliant toute retenue, je grimpe sur le lit entre ses cuisses ouvertes, flatte ses jambes en remontant vers ses cuisses, caresses le dôme de son sexe à travers la dentelle de sa culotte, sa respiration s’accélère. Mes mains courent le long de ses hanches pour aller caresser ses nichons avant de redescendre vers son bas-ventre et s’insinuer sous la dentelle blanche de la culotte.


Du bout des doigts, attentif à la moindre de ses réactions, je caresse ses lèvres gourmandes, en force la barrière et infiltre un doigt curieux sur la margelle de son puits d’amour, je saisis la culotte et posément la fais glisser le long de ses jambes fines et musclées, découvrant une toison finement taillée en ticket de métro. J’approche ma bouche de ce trésor enfin dévoilé à mon regard, la pose sur ses lèvres charnelles déjà bien humides, les embrasse délicatement. Comme une huître s’ouvre sur une perle, ses lèvres s’ouvrent sur son bijou que je titille du bout de la langue me délectant du doux élixir qui imprègne son fruit. Mes mains glissent le long de son ventre pour flatter ses nichons et exciter ses tétons érigés. Elle se cambre pour mieux s’ouvrir à mes caresses pendant que d’une main elle écrase mon visage entre ses cuisses. J’insinue ma langue tendue dans son sexe humide, titille son bouton qui n’attendait que ça, j’introduis deux doigts dans son sexe et commence à la fouiller délicatement. Sa respiration s’accélère, son corps se tend, elle hurle : ‘’Oui, plus vite !’’


Ce que femme veut, Dieu le veut ! J’accélère le mouvement de mes doigts dans son sexe de plus en plus humide, quand soudain, sa bouche émet un ‘’Oui, c’est bon !’’ très bref, je sens une sourde ondée prête à jaillir, encore deux ou trois allées et venues, retire mes doigts et pose ma bouche sur son sexe au moment où une vague jaillie de ses entrailles dont je me délecte abondamment avant qu’elle ne parte dans un fou rire incontrôlable.



Disant cela, elle embouche mon sexe et met toute sa science à une fellation d’anthologie à laquelle, après l’exercice précédent, je ne résiste pas bien longtemps. Tout y passe, la langue sur le gland, les papilles sur la colonne, les pincements des bourses, j’en peux plus de résister. Le plaisir, monte en moi, je suis prêt à gicler, pas besoin de le lui dire, elle l’a senti venir et guide le jet sur sa poitrine, première salve entre les deux seins, les autres sur divers points de sa poitrine. La vague passée, elle lape les dernières gouttes sur mon gland, se redresse et m’entraîne vers la salle d’eau. Je prends une douche réparatrice en premier, nous échangeons un baiser fougueux au moment où je lui laisse la place avant de me sécher. Nos douches respectives finies, nous devisons sur le but premier de ma visite, l’installation téléphonique. Je l’informe que je reviendrai effectuer les travaux jeudi après-midi, elle essaiera d’être seule mais sa fille aînée risque fort d’être présente. Intérieurement, je me sens rassuré, nous seront plus sages.