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n° 18031Fiche technique55795 caractères55795
Temps de lecture estimé : 32 mn
06/08/17
Résumé:  Marc s'est fait dépouiller pendant ses vacances, mais on lui propose un job pour qu'il se refasse. Un job pas prise de tête, mais tout de même assez "prenant".
Critères:  fh hplusag fplusag vacances piscine hotel hsoumis fellation pénétratio hgode hsodo confession
Auteur : Romain      
Châteaux en Espagne.

Je me suis fait baiser dans les grandes largeurs.


La fille qui m’a dragué, sans avoir l’air d’y toucher, dans la boîte de nuit et que j’ai ramenée sous ma tente, a disparu. La seule chose qui me reste c’est le souvenir d’une fille qui n’avait pas peur au lit et qui s’est « donnée » avec entrain et à plusieurs reprises.

C’est juste le « donnée » qui est hors de prix, car la garce est partie avant que je me réveille en emportant, argent, carte de crédit, papiers et même téléphone portable. Il ne me reste que mes yeux pour pleurer et une bite encore douloureuse de ce que je lui ai fait subir par mes longs assauts.

La garce ! La salope !


Ce n’est pas ma déclaration à la police espagnole qui m’a remonté le moral. Totalement submergée. Et pour le Consulat : « Monsieur, on ne peut rien pour vous, il fallait prendre une assurance ».

Les cons. Moi qui voulais justement partir seul, à l’aventure, au fin fond de l’Espagne parce que c’est moins cher, je n’allais pas « m’assurer ». Ma seule assurance a été les capotes…

Mais le temps que je contacte des amis, la plupart en vacances, pour qu’on m’envoie du fric, il fallait que je gagne un peu d’argent.

Je viens de m’inscrire à une agence d’intérim et je patiente pour que la nana contacte des employeurs éventuels.



C’est un homme d’âge mûr, manifestement français qui me parle.



En peu de temps nous faisons affaire, surtout qu’il me propose une avance au bout de deux jours de travail. J’annule mon dossier à l’agence. Nous partons ensemble. Sa voiture est juste à quelques mètres. Il va m’ouvrir la porte, mais me dit :



Je souris. J’ai passé huit jours dans un club naturiste et mes fesses gardent encore le souvenir du soleil ardent.



Je pense que le problème est réglé, mais il reste en attente. J’insiste.



Et j’explique mon expérience du naturisme. Mais il semble gêné. On dirait qu’il veut dire quelque chose.



J’ai bien envie de lui dire que je m’en fous, que ce qui m’intéresse, c’est le job et que si ce sont des originaux cela ne me regarde pas. Mais il insiste.



Je pense qu’il veut parler d’horaires décalés, de repas très tard, de brunch…



Il sourit.



À voir le gars, la cinquantaine bien tassée, le ventre bedonnant, je me dis que cela ne doit pas arriver souvent de les retrouver en train de baiser ailleurs que dans leur chambre. Il me suffira de faire un détour et puis c’est tout. Ce serait même « piquant » de jouer les voyeurs discrètement. Peut-être que je pourrais apprendre des choses ?



Il m’avait prévenu, mais je ne m’attendais pas à cela.


D’abord sa femme est bien plus jeune que lui et sa nudité permet de remarquer qu’elle est très bien faite. Femme charmante en l’occurrence. Pas compliquée pour l’organisation des repas. Mais aussi une femme qui ne laisse pas son mari indifférent.

La première fois que je suis tombé sur eux, c’est au bord de la piscine. Madame chevauchait Monsieur avec envie.


Comme je ne m’y attendais pas, je fais semblant de ne rien voir et je dépose les verres qu’ils m’avaient commandés quelques minutes avant. Mais je dois reconnaître que dès que je peux, je me cache pour regarder. Regarder et écouter, car Madame, Béa pour les intimes, ne se prive pas d’accompagner son plaisir et sa chevauchée de petits cris et gémissements.


Il faut reconnaître que cette indécence est troublante. Personnellement j’ai déjà baisé en public, enfin je veux dire alors que d’autres baisent aussi. Cela m’est arrivé pas plus tard qu’il y a une semaine. Une soirée improvisée sur la plage qui se transforme en beuverie accompagnée de fumées exotiques qui libèrent les esprits. On a même échangé nos partenaires. Mais eux sont seuls. Ils font comme si ils étaient seuls. Au début je croyais qu’ils avaient besoin du regard de quelqu’un pour avoir du plaisir. Mais non.


La deuxième fois, c’est une demi-heure plus tard. Un coup d’œil me montre que le champ est libre et je vais récupérer les verres vides et porter de l’eau fraîche avec des fruits. Je sais par expérience qu’on a souvent faim après une baise. Mais s’ils ne sont pas là. Enfin pas sur la terrasse. Mais un bruit me fait retourner et je les découvre dans l’eau. Madame est accrochée à la margelle de la piscine. L’eau transparente est une loupe où je vois que son mari est derrière elle lui tenant les hanches pour la maintenir allongée alors qu’il la possède. Je ne vois pas leur intimité, mais les mouvements parlent d’eux-mêmes déclenchant des séries de vaguelettes qui submergent par instant le visage de Madame. Je ne sais pourquoi, mais je me demande s’il la prend par-devant ou par-derrière. J’imagine que c’est ce questionnement associé à la surprise, mais je reste quelques secondes, qui peuvent faire penser que je les mate. Le soupir de la femme me réveille et je me sauve, craignant un reproche.

Mais non. Rien. Enfin rien de plus qu’un : « Merci pour l’eau et les fruits » que l’épouse me dit gentiment un peu plus tard.


Voilà donc mon quotidien. Leurs baises rythment le cycle de la maison. Je compte quatre à cinq baises par jour, et cela sans compter ce qui pourrait se passer dans leur chambre. Mais je pencherais pour une chambre de repos plus que d’ébats. Le mec a de la santé et je dois revenir sur mon jugement. Son âge et ses rondeurs ne l’empêchent pas d’être manifestement un bon coup. Et d’une certaine façon j’admire ce couple marié de se comporter comme s’ils étaient en voyage de noces.


Bien évidemment je ne peux pas rester insensible à toute cette sexualité. Je ne peux m’empêcher de les regarder parfois, surtout qu’ils débordent d’imagination. Un mur, un arbre, une table, une chaise, une balancelle, tout est prétexte pour diversifier leurs positions. Le gros ventre de l’homme, Georges pour les intimes, ne l’empêche pas d’être d’une souplesse qui s’harmonise avec celle de sa femme. J’ai l’impression de tourner les pages d’un livre d’images sur le Kama Soutra.


Aussi la nuit tombée, je laisse le couple et, avec mon scooter, vais en ville. C’est « Georges » qui m’a donné des adresses où on s’amuse. Comme j’ai la chance d’avoir un physique qui plaît aux filles, je trouve toujours une partenaire qui doit être surprise de mes ardeurs. Elle ne peut pas deviner ce que « j’endure » chaque jour.


Mais finalement tout n’est pas si simple.


D’ABORD, je découvre, en surprenant une conversation, que Madame n’est pas l’épouse de Monsieur. L’échange, d’ailleurs assez sec entre eux, est du genre :



Béa se fait plus douce et se cale contre lui.



Il la caresse. Il la chatouille. Et les voilà repartis pour une de leur spécialité.



Ensuite, en rangeant leur chambre, je découvre sous le lit une mallette mal refermée. Je reconnais que je n’aurais pas dû, mais j’ai la curiosité de l’ouvrir. J’y découvre tout un attirail sexuel. Je ne suis pas surpris d’y voir le sextoys, Rabbit rose que j’ai vu Béa utiliser sur elle, outrageusement ouverte afin que son « mari » la photographie, possédée et gémissante par les vibrations de l’engin. Mais il y plein d’autres choses. Des menottes, une cravache, un petit fouet, un collier avec une chaîne, une masse métallique qui doit être un plug si j’imagine bien, d’autres sextoys et en particulier une ceinture sur laquelle on doit pouvoir monter certains de ces objets.


Brefs, tout ce qu’il faut pour que Monsieur dirige Madame vers des plaisirs encore plus sophistiqués. Mais manifestement, c’est une partie de leur sexualité qu’ils veulent garder pour le secret de leur chambre à moins que ce soit lorsque je m’absente.

J’ai la réponse inattendue le lendemain alors que je reviens à peine une heure après mon départ de la villa. Je suis affreusement dérangé par une digestion difficile et incapable de faire quoi que ce soit.


Ils ne m’ont pas entendu revenir. D’ailleurs l’entrée est à l’opposé de la piscine. Ce que je vois me fait l’effet du plus puissant des médicaments. La mallette n’est pas que pour l’usage de Madame. Monsieur en profite aussi. Enfin si on peut dire « profite ».

C’est lui qui a le collier autour du cou et que Béa tire à elle, lui la suivant à quatre pattes comme un petit chien. Un chien dont le cul brille aux éclairages de la piscine. Un disque de métal semble figé dans la raie des fesses et je réalise que c’est le plug. L’homme a le plug dans le cul.


Elle l’emmène jusqu’à l’olivier. Elle le fait se lever à coup de claques sur les fesses. Je suis trop loin pour entendre, mais je sais qu’elle lui parle. C’est trop fort. Si inattendu ! Mon dérangement est oublié. Je n’ai qu’une envie. Regarder ! Surprendre ce que ce couple d’amants, déjà si impudique et imaginatif, peut bien vouloir célébrer lorsqu’ils sont seuls.

Je fais le tour par la maison et en une minute me retrouve derrière le local technique heureusement silencieux. Je suis à quoi ? Moins de cinq mètres d’eux !

Pendant mon absence la femme a attaché son amant en utilisant les menottes passées au-dessus d’une branche. Elle se sert du petit fouet pour caresser son corps. L’homme bande. Elle le saisit à pleine main.



Il ne répond pas, il grimace sous la pression. Mais le fouet ne sert pas qu’à caresser. En faisant le tour elle les claques, mais avec une douceur bien propre à juste exacerber plutôt que de faire vraiment mal. Seules les fesses rosissent d’un traitement plus rude. Des fesses que l’homme ne cherche pas à protéger, bien au contraire, des fesses qu’il pousse en arrière, au-devant de la punition.



La mallette n’est pas loin. Elle l’a manifestement amenée pour l’avoir sous la main. Je la vois se saisir de cette ceinture sur laquelle elle fixe deux godes. Elle montre l’étrange accoutrement à l’homme.



Béa s’installe la ceinture. Elle s’ouvre pour se glisser le plus court des godes. La voici munie d’une excroissance monstrueuse qui déforme sa silhouette de femme, mandrin rose qui se tient bien horizontal. Elle fait le tour de l’homme attaché, la longue tige vibrant des quelques pas. Georges, s’il a les bras attachés à la branche n’en garde pas moins une certaine liberté de mouvement. C’est une évidence qu’il se cambre.



Madame s’empare du disque. Elle joue avec, un moment de ces doigts manucurés et puis elle tire dessus, puis le relâche. L’engin à peine sorti semble aspiré par le cul. Je comprends la forme particulière et oblongue qui rend presque vivant le métal comme s’il refusait de quitter la chaleur des entrailles. Mais elle force un peu plus et se retrouve avec le plug en main. Elle s’en débarrasse cependant pour venir se placer derrière Monsieur.



En parlant, Béa s’est positionnée. La queue, bien horizontale n’a pas besoin d’être guidée et alors que Madame attrape Monsieur par les hanches, d’un coup de rein le mandrin disparaît dans le cul encore baillant de ce qui l’a dilaté avant.

Le « Ahhhh » qui semble sans fin est accompagné d’une grimace sur le visage de Monsieur. Madame est dans Monsieur. Bien à fond. Elle donne un dernier coup de rein pour gagner quelques millimètres avec le gode qu’on ne voit déjà plus.



Et elle le fait. Pendant de longues minutes, l’homme n’est plus qu’un trou qu’elle possède. Si au début, elle lui parlait encore, le traitant de tous les qualificatifs, maintenant je vois bien qu’elle aussi ressent du plaisir. Nul doute que le gode qui est en elle ne lui apporte des sensations délicieuses. Un long moment ils ne sont plus qu’un, relié par cette cheville synthétique qui est plus qu’un objet, mais aussi un lien qui les unis dans le plaisir. Ils ont les yeux fermés. Chaque coup déséquilibre Monsieur avant que les mains qui agrippent ses hanches le retiennent vers elle.


Les gémissements de Georges se transforment en une longue plainte qui accompagne sa jouissance. Une jouissance qui me semble sans fin. Il bande toujours autant, mais ne crache pas son foutre.


C’est après, alors que les deux amants ont eu leur plaisir que Madame toujours équipée va terminer Monsieur en le suçant. Oh une fellation de quelques secondes. Une fellation dont elle garde le fruit pour aller le faire couler dans la bouche de Georges.


Ils ont terminé. Monsieur a longuement remercié Madame. Elle l’a détaché. Elle s’est déséquipée. J’attends qu’ils partent, car si je passe par la maison je vais les croiser. Lui part devant, la laisse toujours au cou. Elle s’attarde le temps de refermer la mallette. Un dernier coup d’œil et là, je la vois faire deux pas de côté et regarder dans ma direction. Elle me voit. Elle m’a vue. Depuis quand ?


Le doigt sur les lèvres en signe de silence me donne la réponse. Elle sait que j’étais là. Mais lui certainement pas. Que faire, sinon montrer que je serai une tombe en répondant par le même geste ! J’ai honte. Pas honte d’avoir regardé, mais de m’être fait prendre. Ils voulaient garder ces pratiques secrètes. Avec leur exhibitionnisme évident, ce doit être une sorte de pudeur de l’homme. Un homme que j’ai compris chef d’entreprise et dominateur dans le quotidien. Mais un homme que sa maîtresse enfile comme une femme…


Le lendemain, le sourire de Béa me rassure. Manifestement elle n’en a pas parlé à son amant. Pourtant la journée se déroule étrangement. D’habitude, si je les surprenais, ce n’était manifestement pas calculé par eux. C’était comme si je n’existais pas, ou si peu. Mais aujourd’hui, je surprends plus d’une fois le regard du couple sur moi. C’est comme s’ils me découvraient vraiment.

Après le déjeuner, le mari m’appelle.



C’est la femme qui ajoute cela, avec un sourire malicieux.



Compliment assené par Béa.



Il s’éloigne.



Un léger silence. Elle m’observe. Je me sens obligé de lui parler.



Pas un mot sur le fait que j’aie espionné. J’hésite à répondre, pourtant son visage est serein. Elle est belle. Elle doit avoir une dizaine d’années de plus que moi. Si je l’avais rencontrée en boîte, je l’aurais draguée.



J’ai trop parlé. Elle me questionne du regard, mais aussi :



À quoi bon mentir. Dans cette maison la liberté est une maxime appliquée.



Elle sourit franchement.



Un silence. Et puis elle reprend.



Elle sourit. Elle doit me prendre pour un jeunot qui couche, vite fait bien fait, sans imagination, avec les filles.



C’est bien moi qui viens de dévoiler un secret enfoui au fond de ma mémoire. Un secret que personne ne connaît. Personne sauf quelques hommes que je ne rencontre plus.



Je ne peux que rire de ce que sous-entend sa remarque.



Elle m’explique que finalement cela se passera à la villa. Juste une personne invitée, pas plus. Repas déjà commandé chez le traiteur. Je n’aurai qu’à servir et veiller à la musique. Soirée cependant habillée et moi je devrai mettre une chemise et un pantalon. Heureusement que j’ai cela dans mon sac. Un repassage sera nécessaire !




ooo0000ooo




La personne invitée est en réalité une femme. Béa la présente comme une amie. Une Espagnole si j’en juge par son accent lorsqu’elle parle français. Mais pas une Espagnole typique ! Plus grande que moi, blonde, mais platinée et un corps à rendre jalouse la maîtresse des lieux.


Le repas est agréable. Ils bavardent de choses et d’autres. C’est drôle de les voir, surtout Béa et Georges, habillés et conversant autour d’une table. Leur liberté est bien loin. On dirait un repas en France, au restaurant ou en famille.

Ils prennent le digestif dans les fauteuils, près de la piscine. Il fait à peine jour, la lumière se fait discrète. Ils sont un peu « pompettes ». Ils parlent moins fort. Le couple est assis côte à côte, la femme, Lucina, de l’autre côté de la table basse.


D’un geste, Béa me demande de mettre la musique. Elle a bien spécifié, « que des rythmes lents, chauds, langoureux », de ceux qui clôturent normalement une soirée. C’est son choix. Manifestement le premier déclenche une réaction chez Georges.



C’est elle qui répond et lui tend un paquet. Il l’ouvre. À l’intérieur, un rouleau attaché avec un ruban et une enveloppe. Je suis assez loin, mais le rouleau semble être une photo. Il l’ouvre entièrement. Format A4, papier brillant. C’est une femme en photo. Je suis trop loin, mais à la façon dont Georges tourne l’image vers Lucina, je devine que c’est elle.



L’image disparaît, le rouleau se referme sur lui-même.

Dans l’enveloppe juste une carte. Une carte qu’il lit. Son regard passe de la carte à Béa puis l’invitée.



Un silence qui se prolonge.



Deux couples. Danses langoureuses. Je sens le corps chaud de ma cavalière contre moi. Un peu plus loin, Georges et Lucina sont littéralement soudés. Mais rien ne se passe. Si j’ai bien compris, cette femme est le cadeau et Georges hésite manifestement à en défaire l’emballage.



Ils nous suivent du regard, mais nous n’allons pas loin, juste assez afin que le paravent nous cache.



Elle a raison, Lucina a pris les choses en main. Mais qui est cette Lucina que Béa a présentée comme une amie de longue date ? Elle connaît les gens du coin ? En tout cas « la Lucina » n’a pas ses deux mains dans le même panier. Alors qu’elle embrasse Georges, qui, le pauvre, doit subir les assauts d’une femme sublime, elle est déjà en train de lui enlever sa chemise. Le « pauvre homme » manifestement libéré du poids de sa conscience alors que sa maîtresse est partie, défait la robe qui bientôt tombe à terre.


Mais le jeu est inégal. Alors que l’homme n’est que torse nu, la femme n’a qu’une petite culotte pour cacher sa vertu. Elle ne portait pas de soutien-gorge, mais j’imagine que ce n’est pas une surprise, tant ses tétons pointaient sous le tissu. Et quels tétons ! Et quelle poitrine ! Une perfection de deux lobes, bien en chair, généreux et pourtant se défiant de la pesanteur. Est-ce l’œuvre d’une nature qui a comblé cette femme ou la signature d’un artiste sculpteur de ces formes parfaites ?


Peu importe pour Georges qui, découvrant ce chef-d’œuvre, y passe les mains pour en vérifier la vérité. La femme gémit de ce simple attouchement qui bien vite se transforme en adoration puisque bouche, langue, paumes et doigts en deviennent les scrutateurs.


Mais pendant cette revue de détail, Lucina n’est pas inactive. La ceinture du pantalon se défait, le zip s’ouvre, le slip apparaît et puis, bien vite, l’homme laisse voir son sexe en érection. C’est une position un peu ridicule avec un slip et un pantalon sur les genoux. Il doit le sentir, car il laisse Lucina se pencher pour l’en débarrasser.


Il bande fort et la femme à son tour, explore cette intimité. Elle le caresse, mais l’invite à s’asseoir sur un transat. Aussitôt c’est elle qui devient une prêtresse, s’agenouillant devant le Dieu Phallus pour pratiquer sa religion. Que c’est beau une femme dans cette position ! Lorsqu’on est l’heureux partenaire, on a une vision plus qu’érotique de cette tête qui se penche pour venir vous sucer. De loin, de profil, c’est magnifique. L’homme à demi allongé qui regarde sa bite disparaître. La tête de la femme qui monte et descend sur le mandrin qui ne retrouve la lumière que pour être mieux léché et dégusté. La femme, à genoux, avec cette poitrine si ferme, cette chute de rein et ce tissu qui ne fait que souligner que le plus beau reste à découvrir.



Voilà ce que me dit Béa alors qu’elle quitte notre cachette pour s’approcher des amants. Il faut un moment pour que Georges découvre sa maîtresse. Une maîtresse qui fait alors les quelques pas qui la rapprochent du couple. Elle aussi s’assoit, à côté de son amant alors que le « Cadeau » continue sa danse.


Un long moment de silence uniquement ponctué par le bruit d’une bouche qui pompe et les petits gémissements de l’homme. Béa est une assistante parfaite. Elle câline les deux partenaires. Mais Georges donne des signes de faiblesse. Il faut dire que la salope qui le suce y met du cœur et qu’elle arrive à le gober en entier, s’immobilisant les lèvres au contact des couilles alors que ses joues donnent l’impression d’aspirer.


Il jouit, c’est une évidence. Le visage se contracte, le corps se crispe et chaque frisson accompagne ce que je ne vois pas, mais que je devine à la vue de ce trio. Il éjacule sa liqueur dans la gorge de Lucina qui s’est immobilisée pour devenir un réceptacle magnifique et cochon.

Lorsque la queue faiblit, les lèvres se referment sur elles-mêmes, montrant aux autres que la liqueur est toujours là.

Alors Béa a un geste pervers. Elle guide la tête de Lucina au-dessus de son amant. Alors, bouche contre bouche la liqueur tombe, tirant des filets obscènes pour disparaître dans la bouche de Georges.


C’est bien plus qu’un « Cadeau », c’est une partenaire pour eux deux.


Une partenaire qui se redresse, abandonnant le couple et le défiant de toute sa majesté. Lucina ondule devant eux, devant Georges qui ne quitte plus ce corps magnifique. Déjà je devine une nouvelle érection. Qui resterait insensible sachant que la nuit ne fait que commencer ?


Lucina leur tourne le dos. Ils ont ses fesses devant les yeux, des fesses qui ondulent comme un appel.

C’est Béa qui guide les mains de Georges. Des mains qui attrapent la petite culotte pour la faire descendre le long des jambes et l’aider à passer les hauts talons. Lucina fait durer le plaisir. Elle se tourne très lentement et…

et… Je pense l’avoir vue avant Georges, avant qu’il découvre en face de lui, une masse de chair qui ne ressemble en rien à l’intimité d’une femme. C’est un sexe d’homme, sexe au repos, encore fripé et froissé d’avoir été contenu pour ne pas être découvert. Certainement dissimulé entre les cuisses par une « culotte prison ».



Pourtant, il paraît désemparé et ses yeux passent de ce qui ne peut plus nier sa vérité, une tige maintenant relaxée, au sourire pervers de sa maîtresse.

Une maîtresse qui lui prend la main, comme on guide celle d’un enfant pour qu’il découvre un contact, une sensation, une texture. Mais la texture c’est bien celle d’une verge, verge d’abord alanguie reprenant son souffle après une immersion éprouvante, mais verge sensible qui réagit à cette sollicitation.


Béa et Georges découvrent la puissance de leurs caresses. La tige se transforme en roseau, puis en bâton, puis en chêne, enfin en baobab dont le tronc n’est fait que pour lancer vers le ciel quelques branches, quelques ramures qui semblent ridicules pour ce corps puissant. Mais sous leurs yeux la ramure est un gland bien rose, dont le méat est en liaison directe avec une sève qui piaffe d’impatience dans des couilles bien symétriques.



S’en suit une leçon de fellation. Béa montre à son amant comment sucer, comment lécher, comment gober des couilles, comment exciter un homme. La leçon est vite apprise. Georges sait ce qui est bon pour Lucina ! Il fait comme pour lui. C’est très vite un spectacle très prenant de voir cet homme en sucer un autre.

Mais tout le monde a compris depuis que la queue de Lucina est apparue, qu’elle a un objectif.


Inutile de détailler par quel miracle ou plus exactement pas quel moyen de persuasion, Béa a convaincu son vieil amant de se placer en femelle, à quatre pattes, prête pour le mâle, prête pour la saillie, prête pour être honorée et comblée.


Pour être comblé, Georges va l’être. La bite qui fouille ses entrailles est un charbon ardent qui le déchire. Le gode de Béa est bien loin, jouet pour gamins. La queue de Lucina est autrement plus vive, vivante, brûlante.


L’homme en supporte avec délectation toutes les contraintes. Des contraintes qui se transforment bien vite en plaisir, en jouissance jusqu’à ce que Lucina éjacule dans le cul, célébrant ainsi un anniversaire dont il se souviendra.


Et moi, dans tout cela ? Eh bien moi, je bande, malheureux spectateur qui a pensé un instant qu’on ferait appel à lui. J’étais prêt à tout. Me faire prendre. Enculer l’un. Enculer l’autre. Sucer. Pomper. Bref, prêt à tout pour relâcher enfin cette pression. Mais non. Je me suis fini, à la main, crachant mon foutre, dans une dérisoire vengeance, sur une chaise de tissu.


Je les ai laissé terminer sans moi. Mais si je dis que je n’arrive pas à trouver le sommeil n’étonnera personne. Personne et encore moins ma visiteuse qui après avoir gratté à la porte de ma chambre demande :



Bien sûr que non, je ne dors pas, pourtant je dois rêver.



Lucina avance et se retrouve nue avant que je n’aie le temps de protester.

Pour ce qui suit, c’est une autre histoire. Mes draps s’en souviennent. Mais pas que ! J’avais oublié ce que cela fait de se faire mettre…




ooo0000ooo




Le lendemain Béa est partie laissant la place à la femme en titre.

Une femme que je découvre, pas si « mégère » qu’annoncée. Au contraire, plutôt aimable et souriante. Une femme qui me respecte et qui me demande que le minimum de service. Juste que le lendemain elle me demande si je peux la conduire en ville :



Aie ! Aie ! Que répondre ? J’ai promis de ne rien dire. En plus, c’est Georges qui me paye et s’il apprend que j’ai cafté, je peux dire adieu aux primes promises.



Et elle sort une petite culotte de femme de sa pochette. Elle me la montre. C’est un string.



Merde. Merde. Béa a dû la laisser tomber. C’est un comble alors qu’elle vivait nue en quasi permanence. Je me sens coupable de ne pas avoir mieux fait mon travail. Il faut que je trouve une idée.



Elle rit devant ma surprise.



Un long silence. Et puis.



Elle attrape son téléphone, appelle, obtient son mari, l’informe qu’elle veut dîner en ville. Je comprends qu’il propose de venir la rejoindre.



Après une « bonne nuit » qui ne souffre pas la discussion, elle le laisse. J’espère que Georges ne va pas penser que je vais parler à sa femme. Aussi, discrètement je lui envoie un SMS disant :


« Tout va bien. Pas de soucis. »


Elle a une pêche d’enfer. Après le repas bien arrosé, elle me demande de lui faire visiter les endroits que je connais, car j’ai fait l’erreur d’insister que chaque soir j’allais en ville. Une façon de me dédouaner. Elle ne peut certainement pas imaginer que son mari et sa maîtresse baisaient de jour comme de nuit et sans se cacher. Sans parler de leurs séances de domination et de cette « Lucina ». À mesure que les heures passent, Maryse est de plus en plus familière. Nous déambulons « bras dessus, bras dessous ». Elle se déchaîne sur les rythmes exotiques. Elle se colle aux rythmes langoureux.


Il est deux heures. Georges m’a déjà questionné plusieurs fois. Je le rassure par des « tvb ». Maryse est de plus en plus entreprenante. J’ai essayé de ne pas entrer dans son jeu, mais c’est vraiment chaud. Comme nous sommes de la même taille, sa tête trouve une place naturelle contre mon cou. Je sens sa respiration et depuis un moment ses lèvres me caressent sous l’oreille. Elle se comporte en femelle qui cherche à éveiller le mâle. Elle se frotte. Sa poitrine est toute de douceur et de fermeté. J’ai la sensation que deux pointes attaquent mon polo. Ses mains n’ignorent plus rien de mes fesses.


Une femelle en chaleur. Un pubis qui se moule à moi et qui… Eh oui, je ne suis pas de bois, je bande. Ses lèvres deviennent plus actives. La garce passe même une main entre nous pour aller vérifier la réalité de la bosse. Elle quitte la chaleur de mon cou et pendant qu’elle moule sa paume sur ma bite maintenant plus que dure, elle sourit et semble me défier du regard.



Depuis un moment elle me tutoie, mais à cet instant le tutoiement est lourd de sens.

Je la vois parler à une serveuse. Un regard vers moi et la fille lui montre une direction. Elle y va. Une minute, pas plus, elle est de retour.



Et elle me prend par la main. Nous ne sortons pas du club, juste une porte qui donne dans le hall d’un hôtel. Personne à l’accueil, mais nous montons au premier étage. Une clé apparue dans sa main ouvre une porte. C’est une chambre. Dès la porte refermée, elle me pousse vers le lit. Elle s’arrête et par un mouvement riche de sous-entendus fait glisser la fermeture de sa robe et se montre bientôt en petite tenue. C’est vrai que le string pouvait être à elle, au vu de ses dessous plutôt aériens.



Pendant ce discours, elle dégrafe son soutien-gorge et fait glisser sa culotte. Je l’avais vue en maillot de bain. Sa nudité la rend encore plus désirable. Une beauté lourde, enveloppée, des seins qui respirent, des hanches dont la rondeur la rend callipyge et même cette chatte, juste en face de mes yeux, ce mont de Vénus outrageusement bombé, ces lèvres très marquées et aussi ce bourrelet qui ne peut être que le bouton encore en retrait. Je suis aussi étonné par la nudité totale qu’aucun poil ne dissimule.


Georges a menti. J’en ai la preuve sous les yeux. Peut-être cherchait-il une excuse pour son infidélité en traitant sa femme de « bigote, pudibonde, frigide, n’aimant pas le sexe, etc. ». Une bigote qui a dû utiliser l’eau bénite pour se raser la moule. Une pudibonde qui cache bien son jeu, à défaut de se cacher elle-même. N’aimant pas le sexe ! Et sa façon de me séduire ! Quant à « frigide », c’est bien parti pour que je puisse vérifier !



C’est à mon tour. Elle se charge de me déshabiller. Chaque parcelle de peau révélée fait l’objet de caresses. Ses mains sont partout. Je suis debout face à elle afin qu’elle puisse tirer mon pantalon. Elle se penche et ses seins pendent comme deux masses à la fois fermes et souples. Elle s’agenouille pour mon slip. Mon érection est plus que visible, elle déforme le tissu qui moule ma bite de façon provocante. Elle prend bien soin de tirer sur l’élastique afin que le gland ne s’accroche pas et ne relâche le tissu qu’une fois ma queue totalement libérée, mandrin de chair si gorgé de sang qu’il s’est plaqué contre mon ventre. Je crois qu’elle ne quitte plus des yeux cette magnifique excroissance, j’ai une pensée pour cette Lucina qui a surpris tout le monde, alors qu’elle tire sur le slip pour enfin me rendre libre de mes mouvements.


Spontanément j’ouvre les jambes pour retrouver un équilibre. Ma nature est exposée à son regard et mes couilles déjà gonflées doivent lui paraître des fruits bien murs.



Elle approche ses mains dans un geste d’une douceur extrême.

Celle qui se saisit de ma hampe tire doucement sur la peau comme pour en vérifier la mobilité et sa propension à se tendre pour recouvrir le gland puis se relâcher pour le laisser dégagé et… oui, dégagé pour que deux lèvres se posent dessus et découvrent la délicatesse de la fine peau rose si sensible que je vibre de ce simple baiser.


L’autre enveloppe les couilles et je me sens l’espace d’un instant le taureau dont on vérifie les attributs. Mais cette main passe la cuisse et explore mes fesses. Elle explore, bien vite rejointe par l’autre, car ma queue qui est en bouche et qui se tient bien verticale n’a pas besoin de soutien.

Elle me pelote les fesses, n’hésitant pas à explorer la raie en y glissant ses doigts.

Elle me suce, lèvres rose carmin qui tranchent sur le rose pâle de ma peau, mais des lèvres gourmandes, gloutonnes qui laissent parfois une langue vicieuse venir lécher la sucette de chair.


C’est bon ! C’est beau ! Quel homme n’apprécierait pas cette prière de femme, implorant le « Dieu Priape », lui apportant du plaisir avec l’idée que ce plaisir va le rendre plus gros, plus fort, plus vigoureux et qu’ensuite la bite céleste trace son chemin dans la grotte secrète. Moi je suis déjà fort, gros, dur, mais aussi sensible à ses caresses qui entament mon capital « résistance ».


Voilà une femelle qui connaît son affaire ! Je comprends que son mari aille voir ailleurs, car le temps altère le désir, mais il n’a pas le droit de la rabaisser devant les autres, même si ces « autres » sont sa maîtresse et des inconnus.

Oui, elle connaît son affaire. La grosse bite est maintenant brillante de salive, de la salive qui ponctue aussi les lèvres nourricières. Elle me pousse un peu plus contre le lit. Je m’y assois. Elle se redresse et j’ai devant moi cette beauté enveloppée avec cette poitrine si imposante. Je m’allonge et aussitôt elle vient sur moi, m’enjambe, me chevauche, se tient légèrement penchée, tirant sur mon mandrin, pour l’éloigner de mon pubis, pour aller vers un autre, une chatte, une fente et déjà un gouffre qui m’engloutit.

Elle est assise sur moi, bien droite le visage rayonnant.



Je suis un pieu autour duquel elle ondule. Elle ondule de partout. Ses hanches tremblent un peu, mais ses seins sont des boules qui se balancent. Et puis elle m’explore autrement. Elle monte et descend, se ramonant la grotte avec des gémissements de souris. Mes mains jouent avec ses seins, masses de chairs avec des aréoles énormes et des tétons qui pointent.



Il suffit de demander. C’est moi maintenant qui contrôle sa baise sur moi. Chaque téton roulé entre pouce et index est tiré vers le haut, soulevant les seins, engageant la femme à se lever de ma bite, pour redescendre, toujours guidée par ses seins.

Elle gronde. Elle gémit.



Elle le fait. Son plaisir est une évidence. Je sens parfaitement sa liqueur inonder ma queue. C’est une femme généreuse de partout. Mais moi j’ai envie de me finir autrement. D’un coup de rein je la chasse de son assise. Elle est maintenant sur le lit.



Pas un mot de protestation. C’est elle qui nous a amenés ici. C’est elle qui a mené le jeu jusqu’à maintenant. Mais je veux lui montrer que je ne suis pas qu’une bite, une queue de gigolo qu’on utilise pour son plaisir, pour une vengeance.


Je la bourre maintenant sans ménagement. Manifestement, elle aime. Elle en redemande. Je claque si fort mon ventre contre ses fesses que le bruit doit retentir jusque dans la rue. Je ne la retiens pas par ses hanches pourtant généreuses, mais encore par ses tétons. La salope jouit encore. J’ai parfaitement senti sa main qui est revenue vers son clito et qui accompagne ma baise.

Je jouis. Je l’inonde. Je marque mon territoire.


Georges nous attend, manifestement inquiet. Je le rassure d’une geste de connivence. Je pense que, pas un instant, il n’imagine ce qui vient de se passer. Son inquiétude doit être sur mon silence. Rassuré, il entoure sa femme de prévenance. Ils partent se coucher. Un peu plus tard, alors que je passe devant leur chambre, je les entends baiser. Quelques secondes et je bande d’imaginer ce mari glissant sa queue dans cette grotte que je viens d’honorer.




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Le reste du séjour se passe tranquillement. Maryse trouve toujours une occasion pour me retrouver. La femme « coincée » passe des bras de son mari à ceux de son amant.

Georges tient ses promesses et me gratifie de ses largesses. Je peux rentrer en France avec plus d’argent que j’en avais en partant.


Mais Maryse m’invite régulièrement. Je suis resté son amant. Je découvre avec elle des restaurants étoilés, des hôtels luxueux. Mais je lui ai fait découvrir ces chambres dans des sexshops, chambres à thème qu’on loue pour un moment. Elle se sent pute de devoir passer devant des clients qui examinent des sextoys et autres, pour me retrouver. Elle adore aussi baiser dans une cabine alors qu’un film de cul passe sur l’écran. La bourgeoise reste à la porte et c’est une femelle avide et obéissante que je possède.



Hier pourtant, j’ai reçu un SMS :


Georges sait tout.


Un peu plus tard :


Moi, j’ai parlé de sa maîtresse.


Le lendemain :


Finalement on a bien parlé et on a même fait l’amour.


Et puis elle m’appelle :



Je doute que Georges ait avoué son penchant pour la soumission et la séance avec Lucina et ce mandrin qu’il s’est pris dans le cul.