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Temps de lecture estimé : 11 mn
04/09/17
corrigé 06/06/21
Résumé:  En bonne soumise, je vais maintenant vous raconter ma première fois, pas celle que vous croyez, mais la première fois que j'ai fait l'amour à un autre homme que mon mari et Maître, mon premier trio aussi...
Critères:  fhh cocus fsoumise fellation cunnilingu préservati pénétratio lettre confession -candaul
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message

Collection : Lettres à Monsieur Jacques
Ma première fois

Un peu plus de sexe, cette fois-ci.

Mais sans que ça ne vire au stakhanovisme :)

Je sais que cette série ne déchaîne pas l’admiration des foules en délire, mais j’ai encore quelques épisodes à raconter par la suite. Le « pourquoi du comment du parce que » m’appartient en propre :)




Bonjour Monsieur Jacques


En bonne soumise, je vais maintenant vous raconter ma première fois, pas celle que vous croyez, mais la première fois que j’ai fait l’amour à un autre homme que mon mari et Maître, mon premier trio aussi…


Nous avions décidé de franchir le pas, je me sentais assez mûre pour le faire, même si j’avais quand même des appréhensions. De ce fait, nous avions consulté diverses annonces sur deux ou trois sites spécialisés, et un profil avait attiré notre attention. Après quelques échanges d’abord par mail puis par téléphone, nous avions décidé de nous rencontrer pour faire simplement connaissance. Éric était un homme charmant, et ça m’a beaucoup aidée à franchir le pas. Je ne comptais certainement pas franchir le pas avec n’importe qui, même si je suis une soumise. D’ailleurs, mon Maître et mari était d’accord avec moi. Ce n’est pas évident de s’offrir comme ça à un autre homme que son légitime. Surtout la première fois !


Le jour J, nous avons été tous les trois au restaurant. Ce fut un agréablement moment de détente, puis nous avons été prendre le second dessert chez lui. Je n’étais pas très rassurée, comme avec toutes mes premières fois. Mais nous y étions, il me fallait aller jusqu’au bout.


Que je vous raconte ça plus précisément, Monsieur Jacques…


Je peux vous raconter les moindres détails de cette soirée, car mon mari et Maître a pris des photos et quelques vidéos. De plus, ma mémoire est bonne, surtout pour pareil événement ! Ce jour-là, vers fin septembre, j’étais habillée d’une fine robe noire avec en dessous mon bustier violet, à mes pieds des chaussures assorties à talon aiguille, avec des bas de la même couleur. Le noir était alors ma couleur préférée. Depuis, je suis plus colorée…


Après nous avoir fait les honneurs de son appartement, Éric nous propose de nous asseoir dans son salon. Mon Maître se tient un peu à part, son appareil photo en main, nous laissant tous les deux le canapé. Je m’assieds et Éric en fait de même, juste à côté de moi.



Éric nous avait dit qu’il n’en était pas à sa première fois. Il n’avait pas menti, vu la façon dont il a mené les choses. Avec un certain tact, mais une certaine audace, il lutine très vite ma petite personne. Quand même assez stressée et un peu déboussolée, je me suis néanmoins laissée faire avec le sourire. Il est toujours plaisant de se faire papouiller dans les règles de l’art !


Les premières minutes, je suis totalement passive, je ne sais pas quoi faire, la situation est trop nouvelle pour moi et assez gênante, je suis quand même partie pour tromper mon mari sous les yeux de mon mari ! De ce fait, je laisse venir, je joue à la pauvre petite chose, ce qui me dédouane, dans le genre : « ce n’est pas ma faute si je suis une faible femme dont on profite éhontément ». Je sais que c’est un peu lâche comme parade, mais je fais ce que je peux !


Puis, lentement, je me détends, la situation m’excite petit à petit, et cette excitation est plus forte que mon embarras. Je stresse un peu quand sa main, caressant mes jambes, remonte vers mes cuisses, retroussant le tissu de ma robe. J’ai un peu peur qu’il ne découvre trop vite que je n’ai mis pas de petite culotte !



Obéissante, je me lève, mais je ne comprends pas pourquoi. Je suis vite fixée quand Éric se colle à moi et commence à me caresser de partout. Il est vrai que debout, j’offre beaucoup de possibilités et de surface à palper !



Le tissu de ma robe noire est assez fin. Il est vrai qu’il fait encore bon en ce mois de septembre. Au début, Éric se contente de me caresser par-dessus le tissu. Mais ça ne lui suffit bientôt plus, surtout quand ses mains s’aventurent du côté du bas de ma robe. Elles passent par-dessous pour venir caresser mes cuisses gainées de bas. À son expression, son séducteur du jour aime beaucoup ce contact. Ce n’est pas désagréable, je le reconnais, même si je reste un peu stressée.



Je me contente de sourire un peu gauchement. Ce n’est pas évident de se faire peloter par un autre homme sous le regard assidu de son mari ! Plus bas, la main remonte sur mon bas pour venir effleurer à présent la chair nue de ma cuisse. Je vois bien que ce contact excite un peu plus mon partenaire.



Pour toute réponse, je glousse. Ça fait quand même jeune-fille à son premier rendez-vous, ce qui est quelque part un peu mon cas. Les doigts s’égarent un peu plus haut, sur l’arrondi d’une fesse, nue elle aussi. Posément, s’enhardissant, de ses deux mains, Éric caresse lentement et voluptueusement mon cul :



Voyant que n’oppose aucune résistance, il continue de plus belle, déposant quelques baisers torrides sur mes seins, croquant mes tétons. Pour ma part, je ne fais plus attention au fait que mon mari est en train de prendre des photos et des vidéos. Une main quitte lentement ma fesse pour venir glisser petit à petit devant. Ses doigts folâtrent sur mon pubis tout lisse, délicatement, sensuellement.



Et joignant le geste à la parole, son majeur s’insinue à l’orée de ma fente. Je tressaille un peu, mais je ne me recule pas, ni ne proteste sous cette intrusion intime. À voix basse, Éric me fait remarquer :



Il ne répond rien, il accentue sa caresse, je soupire, ça me fait du bien, un bien différent qu’avec mon mari, mais j’éprouve un réel plaisir à me faire tripoter de la sorte ! Et Éric, qui l’a très bien compris, en profite !


Après quelques agaceries très bonnes, caressant à la fois mes fesses et s’insinuant entre mes lèvres humectées, sans parler de ses lèvres qui ne s’éloignent pas de mes seins, Éric soupire :



Calmement, il enlève ma robe, qui s’en va choir sur un fauteuil, dévoilant ainsi mon bustier violet. Mes seins, aux tétons toujours cachés, sont présentés presque comme sur un plateau ! Tout de suite, Éric pose ses mains sur mes douces masses molles :



Puis il dépose divers baisers bien appuyés sur la poitrine. Néanmoins, visiblement, ça ne lui suffit pas, car abaissant un peu mon bustier, mes tétons libérés surgissent à l’air. Fier de lui, Éric contemple ma poitrine offerte :



Et à nouveau, il embrasse mes seins sans oublier à présent mes tétons qu’il mordille, tel un bébé affamé, et tout ceci sous l’œil attentif de mon mari. Sans parler d’une main qui s’en va s’égarer plus bas sur mon pubis puis sous celui-ci. Je sais que je me répète, mais la situation me paraissait étrange, irréelle. N’empêche que j’adore être câlinée de la sorte !


Puis mon mari se lève, et je me retrouve encadrée par deux hommes qui me caressent. Je dois reconnaître que c’est très bon ! Je sens leurs mains avides sur mon corps, leurs présences, leurs chaleurs. Être désirée par plusieurs hommes en même temps, c’est excitant à souhait !


Sans vergogne, mon mari extirpe mieux encore mes seins de mon bustier. Ceux reposent à présent comme carrément présentés à plat sur un plateau. Bien sûr, Éric se fait un plaisir de les toucher aussitôt puis de jouer avec. Durant ce temps, plus incisif et cruel, mon Maître pince mes tétons déjà bien durs, les étirant, les tordant. Incité par cet exemple, mon séducteur fait de même.



Puis il capture un téton qu’il suce aussitôt, lentement, suavement ! Puis plus vorace et audacieux, il fait ensuite disparaître aussi mon aréole dans sa bouche, cherchant à dévorer mon sein tout mou et tout blanc !



Mais je me laisse faire, avec ravissement, même si mes pauvres lolos sont malmenés ! Tandis que mes seins sont malaxés, tripatouillés, travaillés, torturés, alternativement, les deux hommes s’occupent de moi, en glissant autour de mon corps, déposant des bisous dans mon cou, mes bras, le bas de mon ventre, mes fesses, mes cuisses, ma fente tout humide. Ça fait franchement du bien d’être désirée doublement de la sorte !


Puis je me retrouve assise sur le canapé, jambes largement écartées, Éric agenouillé entre elles. C’est avec application qu’il commence un bon cunnilingus, sa langue sachant très bien virevolter entre mes lèvres humectées et venir agacer mon clitoris enflammé ! Je serre des poings afin de ne pas me laisser aller trop vite ! L’excitation de la situation, cet autre homme qui me lèche, tout fait que mon désir, mon plaisir, monte trop vite et que j’ai du mal à me contenir !



Éric m’obéit, sa langue fait des merveilles à l’orée de ma chatte détrempée ! J’ouvre la bouche, les yeux fermés, je tremble, puis n’y tenant plus, trop excitée par cette langue agile et la situation, j’explose, emportée par une grande et puissante vague !



Ce petit vicieux recommence cette douce torture deux fois ensuite, me laissant à chaque fois ravagée, défaite, mais heureuse ! Finalement, ce n’est pas si difficile de se laisser faire par un autre homme si celui-ci sait s’y prendre ! Puis après mon tour, vient celui des hommes…


Mes deux hommes sont installés dans le canapé, je m’agenouille entre eux. Puis sans hésitation, je m’empare des deux sexes déjà bien dressés. Je n’ose pas trop regarder ces deux hommes dans les yeux, je préfère me concentrer sur leurs queues chaudes que je branle doucement entre mes doigts. Je constate avec amusement que ces deux bites ne sont pas les mêmes, l’une est fine et longue, et l’autre plus volumineuse, mais plus courte. C’est différent, mais pas désagréable d’avoir ces deux modèles en main. Je m’amuse à les décalotter, à jouer avec la fine peau, à sentir les faibles frémissements des tiges.


Puis je me décide à venir goûter la plus longue et fine. Sans problème, j’absorbe cette bite entre mes lèvres, tandis que je branle toujours l’autre. Je joue de la langue sur le gland frémissant. Je me suis trouvé un nouveau jeu : deux bites en même temps. Ce n’est pas la première fois que je fais une fellation, il paraît même que je suis assez douée, dit-on. Mais deux queues à goûter, c’est nouveau pour moi.


À présent, je suce l’autre queue, sans oublier de branler la première. Finalement, c’est facile de s’occuper en même temps de deux bites. Oui, c’est facile de devenir une salope qui prodigue une double fellation…


Alors que je suis en train de sucer mon mari et Maître, qui suinte de plus en plus du méat, Éric se lève, me contourne, et tandis que je suis toujours à quatre pattes, il me prodigue un cunni qui me fait beaucoup d’effet. Il n’y a pas à dire, subir une bonne léchouille sur la chatte, pendant que j’ai une savoureuse queue en bouche, est un plaisir que j’aime beaucoup ! Je sens que j’en redemanderai souvent ! C’est le moment que choisit mon Maître pour éjaculer dans ma bouche. J’avale tout avec un grand plaisir tandis qu’Éric s’occupe de ma chatte qui est terriblement mouillée, je ne cherche même pas à cacher mon évidente excitation d’être la proie de deux hommes en même temps !


Soudain, le petit vicieux remonte un peu plus et s’en va explorer mon petit trou du bout de la langue. Cette caresse me plaît beaucoup, ce n’est pas la première fois que je la reçois, mais c’est néanmoins une première dans le contexte que je suis en train de vivre. Oui, j’aimerais beaucoup de ces moments de quiétude et de plaisir ne cessent jamais…


Doucement, Maître Dumuzh relève ma tête, ôtant sa queue avachie de ma bouche. Je m’en étonne muettement, il s’explique aussitôt :



Oui, c’est le grand moment pour moi. Docile, je m’agenouille sur le canapé, présentant impudiquement ma croupe à cet autre homme qui va bientôt me pénétrer. Malgré ma soumission et mon sourire, j’ai une certaine appréhension, mais qu’en même temps, j’en ai envie, j’ai le désir de connaître cet autre homme, de m’offrir à lui. Durant ce temps, mon mari a ressorti sa caméra digitale et s’apprête à garder un souvenir vidéo de ce qui va survenir.


Méticuleusement, Éric met un préservatif, puis il se positionne derrière moi, je me mets en appui sur mes bras, attendant que sa verge s’enfonce en moi. Je sens alors quelque chose se positionner à l’orée de ma chatte. Je me dis en moi-même, ça y est, c’est le grand moment ; après, ce ne sera plus pareil. Comme à ma grande honte, je suis déjà très mouillée, mon amant du jour s’enfouit en moi sans aucune difficulté. Oui, je l’accepte de bon cœur. Je sens chaque centimètre de sa tige s’enfouir dans mon intimité, et ça me fait un bien fou !



Il va et il vient en moi, longuement, lentement, longtemps avec une résistance à forcer l’admiration. Ludique, il accélère, ralentit, joue avec moi, de mon corps, de mes réactions, de ma résistance. Sa queue n’est peut-être pas très grosse, mais elle est longue et mon vagin en sait quelque chose, c’est une sensation que je ne connais pas du tout, sauf avec des godes, mais pas avec une vraie bite.


Je me laisse aller complètement, sous cette autre queue, offerte à ce nouvel homme. Une vague chaude monte en moi, je gémis, c’est si bon, si nouveau, si excitant. La vague gonfle implacablement, mon corps tremble, je pousse des petits cris désarticulés. La vague me submerge complètement, je jouis avec une intensité douloureuse, la tête enfouie totalement dans les coussins, ma croupe défoncée !


Pour une première, c’est une réussite ! J’avais un peu peur en venant ici, j’avais largement tort !


Puis en remerciement, gourmande et conquise, je l’ai longuement sucé, avec le préservatif puis sans le préservatif… j’ai savouré cette queue empoissée de ma propre cyprine, cette bite qui m’avait donné un plaisir inconnu, à la saveur interdite et inédite… j’ai pu savourer un sperme chaud, au goût un peu âcre quand Éric s’est vidé intégralement dans ma bouche vorace qui ne demandait que ça…


Ce jour-là, je suis devenue vraiment libertine, une belle salope qui aime le sexe, une belle pute, comme la plupart des hommes nous aime et nous voudrait, mais sans toutefois avoir le courage de l’avouer et d’assumer. Sauf certains comme mon homme. Par la suite, j’ai rencontré bien des hommes, bien des mâles, et à ma grande fierté, je représentais à leurs yeux une sorte de fantasme éveillé, mais concret qu’ils pouvaient toucher des doigts et pas que des doigts… Ce n’est peut-être pas très modeste de ma part, mais c’est très valorisant !


Ma pénétration par cet autre homme n’a pas marqué la fin de cette soirée. J’ai subi avec beaucoup de plaisirs beaucoup d’autres choses, aussi bien de la part d’Éric que de mon mari, et même des deux en même temps ! Mais je ne vais pas prendre plus de votre temps, Monsieur Jacques. Néanmoins, sachez, pour la petite histoire, que mon mari et Maître regarde de temps à autre cette fameuse vidéo, celle de ma première jouissance avec un autre homme que lui…


Je vous présente mes respects, Monsieur, et au plaisir d’avoir de vos nouvelles.


Votre dévouée Innina, soumise de Maître Dumuzh



Toujours avec l’aide de ma très dévouée femme…