Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 18084Fiche technique14101 caractères14101
Temps de lecture estimé : 9 mn
19/09/17
Résumé:  Le rencontre avec la femme de ma vie.
Critères:  fh ffh 2couples fbi frousses fellation 69 double fsodo hdanus hsodo jouet
Auteur : Strongbear  (Une rencontre non tarifée)      Envoi mini-message

Série : Cécile, Claire et moi

Chapitre 01 / 02
La rencontre

Messieurs et Mesdames,


Je me présente Paul la quarantaine, 1,85 m et 105 kg, j’arrive un maintenir un aspect sportif grâce à des séances régulières de natation. Je pense que l’amour entre deux êtres humains peut exister quelle que soit l’activité de l’autre : je vais vous raconter ce qui m’est arrivé il y a une quinzaine d’années.


Jeune ingénieur sur Paris, je sortais fréquemment avec une équipe de joyeux lurons. Souvent et bêtement, le samedi soir nous passions en voiture dans les allées du bois de Boulogne pour s’encanailler. Lors de l’une de ces soirées, nous sommes tombés en panne de voiture. Jeunes couillons penauds, nous nous sommes retrouvés à marcher pour rejoindre le métro. Lors de cette balade imprévue, j’ai croisé le regard d’une jolie rouquine qui marchait et attendait le client : il y a eu un déclic, elle m’a souri. Elle était habillée d’une robe noire très très courte et très décolletée ; la robe ne lui allait pas, elle la rendait vulgaire. Son visage légèrement maquillé était éclairé par un regard vert pétillant mais fatigué. Elle mesurait environ 1,60 m avec une belle poitrine.


Arrivé au métro, j’ai prétexté être fatigué et vouloir rentrer chez moi. Je suis revenu sur mes pas et je la vois monter dans une voiture. Je me dis « Tu es con, elle t’a souri car tu étais un client potentiel… » J’ai donc zoné un petit peu dans les allées du bois sans trop savoir ce que j’attendais. Je me suis même fait aborder par un trans brésilien sympa qui directement a voulu vérifier qu’il me faisait de l’effet.


Au bout d’une demi-heure, je repartais sans avoir rien consommé et triste. Et là, je la revois, elle me refait un grand sourire et j’ose l’aborder. Elle me dit : « J’ai fini, je m’en vais. » Je lui ai donc proposé d’aller boire un verre : elle a accepté mais elle voulait se changer avant. Elle m’a donné une couverture issue de son sac et m’a entraîné dans les bois. Là elle m’a demandé de la protéger du regard des autres avec la couverture et elle s’est changée pour enfiler un jean et un tee-shirt. Elle était là pratiquement nue sous mes yeux, je la trouvais très attirante.


Ensuite, nous nous sommes retrouvés dans un bar à cocktails où nous avons discuté longuement. Elle me dit s’appeler Lucie. Elle avait trois ans de moins que moi et était étudiante à la Sorbonne. N’arrivant pas à joindre les deux bouts, elle avait décidé avec une copine de franchir le pas.


Elle m’a expliqué comment les filles défendaient leur bout de trottoir, comment elles essayaient de sélectionner leurs clients, comment elle s’était fait racketter par un proxénète. Je pense qu’elle avait besoin de se confier et que mon statut d’inconnu lui faciliter la chose. Je buvais ses paroles. Nous nous sommes quittés vers 3 heures du matin sans qu’elle ne me laisse un numéro pour la rappeler ; d’ailleurs je ne lui avais pas demandé.


Je ne savais plus quoi penser. Cette fille me plaisait et j’avais envie de la revoir, mais pas au bois, pas comme une prostituée. Elle était belle et avait gardé une certaine pudeur, elle était intelligente, voire brillante. Sans le vouloir, elle m’avait suffisamment donné d’indications pour savoir dans quelle fac elle étudiait. Ayant un copain au bureau des élèves, j’ai eu accès au trombinoscope et j’ai pu trouver son nom et son planning de cours.


Le vendredi soir suivant, je l’ai donc attendue à la sortie de sa fac. De loin elle m’a reconnu la première et a foncé sur moi en colère, me demandant ce que je foutais là. Je lui ai simplement dit que j’avais envie de la revoir pour l’inviter au restaurant mais qu’elle était libre de refuser et que l’on en resterait là. Elle m’a giflé. Triste, j’ai tourné les talons sans rien dire de plus, et là elle m’a retenu le bras. On s’est regardés dans les yeux pendant quelques minutes. Une de ses copines est venue la voir et Lucie m’a présenté comme un copain de son frère. Je les ai invitées toutes les deux au restaurant.


Lucie s’appelait en réalité Cécile, et sa copine Claire était sa colocataire et compagne d’infortune. La soirée fut agréable, et au moment de les raccompagner sa coloc nous a annoncé qu’elle allait rejoindre son copain. Elle nous a plantés tous les deux à l’entrée du métro.

Cécile m’a invité chez elle dans son petit studio de 15 m2.


Je n’osais pas la toucher de peur de casser cette ambiance de confiance entre nous. C’est elle qui fit le premier pas ; elle saisit ma main et m’attira à elle. Elle m’embrassa avec fougue et me dit : « J’ai envie de toi. » Ce fut un déclic commun : elle me sauta autour de la taille, je la serrai contre moi… Mes mains parcouraient son dos de son cou à ses fesses, les siennes s’accrochaient à mes épaules.


Puis elle me déshabilla avec sensualité, me caressant partout, léchant mes tétons, embrassant mon sexe en érection, flattant mes bourses. Je bandais comme jamais. Elle me fit m’asseoir sur son lit, mit de la musique et me fit un strip-tease, commençant par retirer sensuellement son pull, puis son jean. Elle s’approcha de moi, se mit à genoux et m’embrassa la verge, me lécha les bourses comme si c’était des boules de glace. Je n’avais jamais autant bandé ; je me laissais faire comme un jeune puceau que je ne pensais plus être.


Elle se releva et m’attira à elle. Me plaquant mes mains sur ses fesses, elle utilisa mes mains pour retirer son string et son soutien-gorge. Elle me regarda comme si elle allait me croquer et s’empala directement sur moi en me sautant dans les bras. En s’appuyant sur mes épaules, elle allait et venait sur mon sexe avec un rythme endiablé. Puis j’ai repris le cours des événements ; je l’ai allongée sur le lit et je lui ai léché la chatte qu’elle avait taillée en forme de ticket de métro. Elle se mit à gémir et à vibrer de tout son corps.


Elle se redressa et me dit : « J’adore faire l’amour sous la douche. » Nous nous dirigeâmes vers la minuscule salle de bain, mais équipée d’une douche italienne. Là sous l’eau chaude, elle me fit une fellation d’anthologie, léchant ma verge, mes bourses, me faisant une gorge profonde. Elle se releva et me présenta ses fesses ; je la pris debout contre la douche. Nous avons fini par jouir ensemble, les yeux dans les yeux, l’un branlant l’autre. Après nous être séchés mutuellement, nous nous sommes endormis, elle blottie dans mes bras.


Sur le matin, je sentis une seconde présence contre moi. Je tournai la tête et vis Claire couchée dans mon dos, juste vêtue d’un shorty rouge. Je réalisai qu’il n’y avait qu’un seul lit alors qu’elles étaient deux colocataires.


Je me concentrais sur Cécile ; je la trouvais belle, blottie contre moi, ses cheveux roux masquant un peu son visage, ses seins fermes tendus vers moi. La situation provoqua chez moi un début d’érection, je ne me sentais pas à l’aise. Cécile ouvrit les yeux et m’embrassa. Elle sentit que je commençais à bander, et tout doucement elle se mit à me branler. Je lui fis remarquer la présence de Claire et elle se mit à rire tout en n’arrêtent pas de me caresser. Elle me dit : « Laisse-toi faire… » et je sentis une main me caresser les fesses. Cécile me dit : « Avec Claire, je partage tout, les galères comme les plaisirs. »


Claire s’empara alors de ma bouche tandis que Cécile se glissa sous la couette pour faire une fellation. Puis elles permutèrent. Claire se débarrassa de son shorty et vint s’asseoir sur moi tandis que Cécile me présentait son sexe pour que je la lèche pendant qu’elle embrassait sa colocataire. À ce rythme et avec cette vision, je ne tins pas longtemps, juste assez pour que Claire puisse jouir. Elles s’écroulèrent toutes les deux dans mes bras en souriant. Nous nous rendormîmes les uns enlacés aux autres.


Une heure plus tard, je me réveillai le premier et délicatement je suis sorti du lit. Je leur préparai du café et des tartines, juste vêtu de mon boxer. Réveillées par l’odeur de pain grillé, elles me regardaient en souriant.


La suite a été relativement simple : pendant deux semaines, elles ont continué leurs activités (je n’en dormais pas, je les espionnais des nuits entières…) puis nous avons emménagé ensemble. Pour maintenir les apparences, nous avons loué un F3 avec deux chambres, même si la plupart du temps nous n’en utilisions qu’une, sauf quand Claire avait un copain.


Elles s’avérèrent beaucoup plus matures que moi sexuellement, Claire surtout. C’était une brune toute en rondeurs, un cul magnifique, des seins imposants (95D) et un appétit sexuel sans faille pour les hommes comme pour les femmes.


Notre première soirée dans notre nouvel appartement fut mémorable.


Après avoir offert un pot aux copains venus nous aider à déménager, nous nous retrouvions à quatre avec Quentin, le dernier copain en date de Claire. La soirée ayant été bien arrosée, la discussion dériva sur nos fantasmes. Claire lança : « Moi, ce serait de le faire avec deux garçons, l’un devant, l’autre derrière. Pierre, ça te tente ? » Cécile lui répondit : « OK, je te prête Pierre si tu me prête Quentin. » Je leur répondis : « Pourquoi pas ? Mais je pense que je suis tout seul : Quentin s’est endormi, le Pastis était trop fort. » Cécile reprit la parole : « Laisse-nous faire ! » et elle me banda les yeux et m’interdit de bouger les mains.


Je sentais leurs quatre mains me déshabiller, puis l’une d’entre elles vint me lécher. Je mis peu de temps à bander, et quand je fus bien dur je sentis une main me diriger pour pénétrer l’une d’entre elles. Je compris rapidement que j’étais conduit dans le passage le plus étroit, mais je ne savais pas à qui il appartenait. Quand je fus bien au fond, Cécile m’ordonna de bouger doucement, puis je sentis à travers ma partenaire un contact dur. Je me suis dit « Quentin s’est réveillé au bon moment ! » mais j’entendais ses ronflements avinés. N’y tenant plus, j’ai retiré mon bandeau, et là le spectacle me fit bander encore plus fort : j’étais en train d’enculer Claire pendant que Cécile la pénétrait avec un gode-ceinture !


Au bout de quelques minutes, Claire jouit avec de profonds gémissements, puis les filles inversèrent les rôles. Cécile me présenta son petit trou à lubrifier tandis qu’elle léchait le gode.

Je l’ai pénétrée tout en douceur et Claire également. Cécile nous demanda de bouger doucement. Claire se cala sur mon rythme et nous la caressions partout. Je titillais son clitoris pendant que Claire l’embrassait à pleine bouche.

À ce rythme, Cécile ne tint pas longtemps et jouit longuement.


Après cette séance endiablée, nous nous reposions dans le canapé quand je posai la question : « Je ne savais pas que vous aviez ce genre de jouet. » Claire me répondit : « C’est un cadeau de Quentin, il est bi. Attends, je vais vous montrer. » Elle commença à déshabiller son copain, prit de la crème et le lubrifia. Il était si saoul qu’il ne se réveillait pas. Elle le pénétra d’un coup. Il sursauta, surpris, mais tendit ses fesses pour que le gode le pénètre plus profondément.


Nous regardions la scène, Cécile assise sur mes genoux. Elle me demanda si elle pouvait se faire lécher par Quentin. Je lui dis oui et Claire me fit signe de m’approcher. Tout en me branlant, elle m’embrassait puis dirigea ma queue vers ses fesses. En résumé, j’enculais Claire qui enculait avec un gode-ceinture Quentin qui léchait la chatte de Cécile. Claire et Cécile jouirent en même temps et Quentin éjacula sans s’être touché. Je bandais encore ; Cécile me prit par la main pour aller se doucher et elle me fit une fellation sous l’eau tout en me mettant un doigt dans le cul en disant : « Peut-être un jour… »


Cela dura trois ans jusqu’à une soirée néfaste. Invités à l’anniversaire d’une copine de promo, nous nous sommes retrouvés dans une soirée guindée du 16ème, et là, le frère de cette copine, complètement saoul, reconnut Cécile et s’écriant à voix haute : « Tu n’as pas honte de ramener à l’anniversaire de ma sœur une pute du bois de Boulogne que j’ai baisée dans ma voiture ? »

J’ai nié, lui disant qu’il se trompait, qu’il était saoul…


Cécile est partie en claquant la porte. De retour à notre appartement, nous nous sommes engueulés. Elle me reprochait de ne pas lui avoir cassé la figure, qu’elle était restée une pute d’un autre genre vu que je payais pratiquement tout (elle finissait juste son master). Le lendemain, nous nous séparâmes. Une semaine après, elle partit en Angleterre en vacances et pour trouver du travail.


Cette aventure me laissa un goût amer dans la bouche.


Claire tenta de me consoler et nous fûmes ce qu’on appelle maintenant des sexfriends pendant quelques mois, partageant le même appartement et souvent le même lit dès que l’un de nous deux n’était pas en couple.


En septembre de l’année suivante, j’acceptai une mission de deux ans en Belgique et Claire trouva un poste en province. Nous restions en contact par mail ou téléphone régulièrement.


Oui, je savais ce que Cécile était, mais il n’y eut entre nous aucun rapport tarifé.

Oui, j’ai assuré son confort pendant trois ans, et j’avoue qu’elle m’a comblé sexuellement pendant cette période.

Je l’aimais…