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n° 18085Fiche technique19363 caractères19363
Temps de lecture estimé : 12 mn
19/09/17
Résumé:  Il se pensait homme, mais finalement pas tant que ça, pour le plaisir d'Elodie aussi, mais pas que.
Critères:  fh fbi couple hféminisé travesti cunnilingu anulingus 69 pénétratio hdanus portrait
Auteur : CmaPlume      Envoi mini-message
Un jeudi qui change tout

Jeudi


À cette époque, je vivais avec Elodie depuis environ cinq ans, j’avais 31 ans et Elodie 33. Nous nous étions connus sur les bancs de la fac où nous avions quelques UV en commun. Je suivais un cursus commerce, alors qu’elle étudiait le marketing. Nous avions alors sympathisé sans jamais devenir vraiment proches, puis, nous nous étions perdus de vue une fois nos diplômes obtenus.


Nous nous sommes retrouvés quelques années plus tard alors que je venais présenter un nouveau produit dans la société dans laquelle elle était devenue directrice des achats. Cette fois, après plusieurs rendez-vous et soirées passées ensemble, il était devenu évident pour nous que nous étions faits l’un pour l’autre, et après quelques mois nous finîmes par vivre ensemble dans son grand appartement de Hyères, puis enfin nous nous mariâmes. Nous ne pouvions pas avoir d’enfants, et ne faisions pas le projet d’en adopter.


Elodie est une fille plutôt grande, précisément 1,75 m (Elodie adore la précision), pas vraiment fine avec ses 65 kg, et avec des cheveux châtain clair tout bouclés et mi-longs, des grand yeux verts et gris malicieux. Plutôt sportive, elle se rendait deux fois par semaine à son club de natation, et participait parfois à des compétitions, mais elle n’avait jamais véritablement brillé dans la discipline. Par contre la natation avait bien modelé et musclé son corps, et je ne l’avais jamais connue qu’avec cette silhouette pas véritablement très féminine avec ses épaules de nageuse, toutefois le reste de son corps restait relativement fin, mais sa taille très peu marquée.


Cela ne l’empêchait pas d’être plutôt coquette, et elle avait surtout un goût marqué pour les dessous fins en dentelle et en satin et les escarpins à talon hauts. Dans ses tiroirs on pouvait trouver aussi bien des strings, que des tangas, ou des shortys, toute la déclinaison des petites culottes dans toutes les matières et couleurs, bien qu’elle appréciât particulièrement le noir. Elle avait aussi quelques guêpières, et des bodys. Elodie possédait même un petit corset, pour les rares fois où elle voulait vraiment marquer sa taille (ce qui se résumait à la fête de fin d’année de sa société en fait) taille qui ordinairement était plutôt droite comme celle d’un homme. Mesurant déjà une belle taille, elle n’abusait pas des talons hauts en ma compagnie, une femme plus grande que son homme ce n’est pas si courant et on nous en faisait souvent la remarque.


Quant à moi, si Elodie avait une silhouette de nageur, c’était plutôt le contraire. Mon petit mètre 65, pour mes 56 kilos, me rangeaient dans la catégorie poids plume de la gent masculine. Elodie aimait mes traits fins et mon quasi manque de pilosité, sur ce point je ressemblais à mon père qui lui aussi était imberbe, sûrement à cause son ascendance indienne. Nous ne formions pas un couple vraiment standard c’est le moins que l’on puisse dire, mais nous étions heureux et notre vie sans heurts ni histoires.


Début juin, Elodie devait aller passer quelques jours à Nice, sa société participait à un salon, et c’était pour elle l’occasion de rencontrer nombre de ses fournisseurs. Elle partit le mercredi matin, et bien que Nice ne soit pas si éloignée que cela de chez nous, elle préférait rester sur place pour le reste de la semaine. Quant à moi, j’avais pris des RTT, et j’en profitais pour refaire un peu de déco dans notre appartement, Elodie me confiant toujours ce genre de tâche. Je passais donc ma journée du mercredi dans l’Ikea de Toulon afin de dénicher quelques lampes, des coussins, ainsi qu’un grand miroir. J’eu un peu de mal à rentrer le miroir dans la voiture, mais je repartis content de mes achats.


Le jeudi matin, j’entrepris d’arranger nos nouveaux luminaires dans le salon et dans la chambre, quant au miroir, vu son poids je me contentais de le laisser dans le couloir menant à la chambre, Elodie se chargerait de le poser, elle est bien plus douée que moi lorsqu’il s’agit de manier la perceuse.


Cette année là, la météo nous avait gâtés et je décidais de passer l’après-midi au bord la piscine privée de notre résidence. L’après-midi était chaud, très chaud même, et je passais plus de temps dans la piscine que dehors. Vers 17 heures, complètement assommé par cet après-midi de bronzette, je rentrais à l’appartement et je pris une douche pour enlever cette odeur tenace de chlore. Nous avions une grande douche italienne, et je prenais toujours plaisir à passer un temps fou sous la douce pluie fraîche. Malgré cette douche rafraîchissante, je sentais encore la morsure du soleil sur mon corps, j’avais pris un sacré coup de soleil sur les jambes et dans le dos.


Elodie rangeait ses crèmes dans la coiffeuse dans notre chambre, j’adorais l’odeur de son lait hydratant, je pris la bouteille, et je pris soin de bien m’enduire tout le corps de ce produit magique. Une sensation de fraîcheur bienfaisante prit la place de la chaleur passée, et j’éprouvais un plaisir certain lorsque je passais la crème sur mes fesses.


Légèrement excité par ce massage, je laissais mes mains vagabonder sur ma verge qui prit de l’ampleur. Ampleur toute relative, la Nature n’ayant pas été vraiment généreuse avec moi de ce côté-là. De toute façon Elodie ne s’était jamais plainte de la taille de mon sexe (un pauvre 13 cm les jours de grande forme), je ne me sentais donc pas véritablement complexé à ce sujet.


Je continuais ce jeu de massage sur moi-même, et j’explorais l’effet des caresses sur mon bouton de rose, ce qui renforça encore mon érection. D’un tiroir d’une commode dépassait un morceau d’un joli string blanc d’Elodie, je me surpris à me dire à moi-même « Pourquoi pas ? » J’enfilais le string, il était un peu grand pour moi, un 38 alors que je faisais tout juste un 36, mais je le gardais et filais me regarder dans le miroir posé dans le couloir. Bien sûr avec mon sexe bandé ce n’était pas terrible, alors aux grands maux les grands remèdes : un tour dans la salle bain, un peu d’eau froide pour calmer ce sexe rebelle et tout rentra dans l’ordre. Je coinçais mon sexe entre mes jambes, puis je remis le string. « Wouah ! fis-je me regardant à nouveau dans le miroir, Putain ça me fait un joli petit cul ce truc, et le devant aussi est pas mal sans la bosse. »


Pris de je ne sais quelle folie, sûrement à cause du soleil, et aussi des cocktails que j’avais sirotés dans l’après-midi, j’essayais différents modèles que je trouvais dans le tiroir d’Elodie, je finis par trouver un shorty rose-bonbon qui lui était à ma taille. Comme Elodie j’avais les cheveux mi-longs mais de couleur noir profond, je pris une crème démêlante dans la salle de bain, et je me fis une petite queue-de-cheval en tirant et plaquant bien mes cheveux en arrière. De profil, dans la glace, avec cette petite culotte rose, cette queue-de-cheval, hormis la poitrine absente, je n’avais pas grand-chose de masculin. Mes jambes étaient fines et mes fesses plutôt rebondies pour un homme, jusqu’à cet instant précis je ne m’en étais pas rendu compte, ou du moins je n’y avais jamais prêté attention.


Je décidais de pousser le test un peu plus loin, tout d’abord un soutien-gorge, Elodie fait un petit 90B, je choisis un push-up Dim rose, que je remplis de papier toilette, ensuite j’enfilais une jupe plissée noire qui m’arrivait aux genoux, je voyais rarement Elodie avec cette jupe d’ailleurs, en fait à par les dessous, Elodie était le plus souvent habillé en costume, et de dos elle aurait pu passer pour un homme. Une petite ceinture rouge pour faire tenir la jupe, je pris ensuite une chemise rouge en satin, elle aussi un peu trop grande, mais elle complétait quand même bien la tenue. Je fouillais la coiffeuse à la recherche de quelques accessoires, un collier de fausses perles blanches, quelques bracelets fantaisie, des boucles d’oreilles à clip, le seule modèle à clip d’Elodie d’ailleurs, un trio de perles blanches comme le collier. J’abandonnais l’idée du maquillage, je tentais juste un rouge à lèvres rose plutôt discret. Un peu de fond de teint pour parfaire le tout. Pas la peine de songer aux bas ou aux collants c’est sûr qu’ils seraient trop grands pour moi. Par contre pour les chaussures pas de problème, nous faisions un 40 tous les deux, je choisis donc une paire de chaussures bien rouges avec un talon plat d’environ 6 cm.


Je quittais la chambre et repartis vers le miroir. Ce fut un choc (une évidence ? une révélation ?), je ne savais plus quoi penser, me voir ainsi me troublait profondément, devant moi, il n’y avait plus un homme mais une femme, et sans me vanter outre mesure, je dirais plutôt jolie même.


Quand j’étais jeune j’avais bien sûr joué avec ma grande sœur à se déguiser, elle en garçon et moi en fille, mais jusque là cette idée de s’habiller en femme ne m’était jamais vraiment venue à l’esprit. Je restais plusieurs minutes perplexe à me regarder sous différents angles dans ce miroir, était-ce vraiment bien moi que je voyais ?


Je finis par quitter cette contemplation, et je retournais dans le salon. J’enlevais les chaussures, dans le bar je pris une bouteille de rosé bien frais et je m’affalais dans le canapé. Elodie devant rentrer le vendredi soir, pas de danger qu’elle me voie ainsi, je restais donc habillé en femme, j’appréciais la douceur de la chemise et du shorty en satin, et je me sentais bien dans cette odeur de crème hydratante, j’étais comme dans un nuage. À la télé, une émission de mode passait en revue les tendances de l’été, après quelques verres, je m’endormis comme une masse un peu avant 22 heures avec la télé allumée.


À 23 h 17 très précisément Elodie me réveilla ! Moi, dans ses vêtements, en parodie de femme alors que je la croyais à Nice jusqu’au lendemain soir. À voir son regard je devinais aisément sa perplexité. Je ne savais pas quoi lui dire, me trouvant ridicule, je n’arrivais même pas à bredouiller une vague explication sur ma tenue. Qu’aurais-je pu dire ? Pourtant en tant que commercial, j’étais rompu aux techniques d’entourloupe, mais là, je restais coi.


Elle me regarda, avec ses yeux brillants, tendit sa main vers ma joue, puis elle me dit : « Tu es belle ainsi. » Paf, second choc de la soirée ! D’abord je me rends compte que je pourrais être facilement confondu avec une femme, puis ma compagne qui au lieu d’être scandalisée me trouve juste belle ! Elle ne se moquait pas de moi, je voyais dans son regard qu’elle le pensait vraiment.



Où Elodie voulait-elle en venir ? Elle semblait vraiment apprécier me voir en femme, qu’en penser ?



Ce soir-là, Elodie vint me rejoindre dans la chambre, j’étais encore en train de me déshabiller lorsqu’elle entra, habillée d’un simple tanga noir en dentelle, il me restait toujours le soutif, la jupe et ce délicieux shorty rose, et, alors que je m’apprêtais à retirer le tout, Elodie me dit : « Garde s’il te plaît. » Instinctivement j’obéis et restais ainsi, immobile. Elle s’approcha de moi, me tourna autour, comme pour m’inspecter, puis je la sentis venir dans mon dos. Je sentis sa poitrine frôler mon coup de soleil, elle se rapprocha encore par derrière puis m’enlaça, me baisant le cou, et me caressant le torse.


Sa main droite glissait sur mon ventre et ma poitrine, pendant que de sa main gauche, elle maintenait fermement ma nuque en arrière, me mordillant le lobe, des frissons de plaisir me parcouraient déjà. Lentement la main droite d’Elodie passa sous la jupe et se dirigea vers ma verge, elle entreprit alors de caresser et masser mon sexe à travers le shorty, la sensation était délicieuse, la douceur du satin alliée aux mouvements de sa main, ne tardèrent pas à faire gonfler mon sexe comme jamais.


La main gauche d’Elodie relâcha son étreinte sur ma nuque, elle dégrafa le soutien-gorge, et descendit tout droit vers mes fesses, qu’elle se mit à caresser et masser avec vigueur. Encore une surprise décidément ce soir, jamais Elodie ne se comportait comme ça, habituellement c’était plutôt moi qui étais câlin et qui la couvrais de caresses et de baisers. Sa main gauche continuait ses caresses sur mon popotin pendant que la droite continuait à frotter ma verge à travers le shorty. J’aimais qu’elle caresse ainsi mes fesses, cette nouvelle sensation m’excitait hautement.


Je sentis sa main se glisser sous la jupe dans la culotte, et vagabonder sur la raie des mes fesses, doucement mais sûrement un doigt commençait à masser mon petit œillet. Cette sensation était incroyablement excitante. Elodie s’était déjà aventurée par là lors de nos jeux, mais ce n’était jamais qu’un effleurement ou un baiser furtif, aujourd’hui c’était différent, je sentais son doigt masser mon anus, et appuyer dessus cherchant à se frayer un passage.


Elodie retira la main de mon derrière, elle glissa son doigt dans ma bouche afin que je l’humecte à l’aide de salive, puis entreprit à nouveau d’explorer mon cul, avec détermination cette fois. Avec ce lubrifiant elle introduisit facilement une première phalange dans mon anus, une poussée d’érection supplémentaire et un frisson me parcoururent alors, doucement elle entrait puis ressortait le bout de son doigt, mimant ainsi une pénétration tout en continuant de me branler doucement au travers du shorty.


Longtemps elle joua ainsi, dilatant inexorablement mon petit trou, me baisant le cou et dévorant mon oreille, elle branlait mon sexe aussi maintenant, puis d’un coup, elle introduisit deux doigts profondément dans mon intimité. Je jouis immédiatement, maculant le shorty alors qu’une vague de plaisir me secouait violement.

Je sus alors que j’étais perdu et que toute résistance serait futile face à Elodie et ce plaisir nouveau et différent.


Elodie, tout sourire : « Tu aimes ça coquine ! » Moi tout penaud et hébété : « Oui, oui chérie. » Elodie m’embrassa alors fougueusement, et j’entrepris à mon tour de lui rendre ses caresses. Je me débarrassais alors de la culotte toute gluante, de la jupe, et j’allongeais Elodie sur lit. En commençant par lui baiser les jambes de bas en haut, j’arrivais rapidement au niveau de son bassin puis je lui retirais sa petite culotte noire. Je vis sa vulve déjà humide, j’embrassais alors son clitoris lui aussi déjà turgescent. Tout en continuant de sucer cette adorable chatte, je caressais ses jambes et son ventre doux et ferme à la fois. Elodie me fit signe de rapprocher mon sexe et elle l’empoigna alors, ce qui lui redonna une seconde vigueur. Elle me tira ensuite vers elle et goba ma verge tel un sucre d’orge, nous étions désormais en un classique 69. Elle reprit également son jeu avec mon petit trou, le massant et introduisant juste une phalange dedans, en un va-et-vient régulier.


Tout en léchant et explorant sa chatte avec ma langue, je tentais également une approche de son anus avec un de mes doigt, le caressant en faisant des ronds autour de l’orifice, y risquant aussi ma langue. Tout en continuant de sucer avec amour son clitoris, et enhardi par ce qu’Elodie venait de faire à mon propre cul, j’introduisis mon doigt humide dans son rectum. Elodie gémissait et sa jouissance fut tout aussi fulgurante que la mienne précédemment, elle cria un « OUI ! » sonore puis elle serra ma tête entre ses cuisses et aspira si fort mon sexe (elle n’avait aucun mal à le prendre tout entier dans bouche), que je la suivis aussitôt dans l’orgasme. Elle finit d’avaler et de lécher le sperme qui coulait de ma verge et j’en fis autant avec sa cyprine.


Je m’allongeais alors, le souffle encore court, en pensant à ce qui venait de se passer. Jamais je n’avais vu Elodie dans cet état, aussi entreprenante et jamais non plus je ne l’avais entendue crier de cette façon. Je m’interrogeais, que ce passait-il ce soir ?


Cette nuit-là, nous discutâmes longtemps. Elodie finit par m’avouer qu’elle avait toujours été attirée par les femmes, mais que les expériences lesbiennes qu’elle avait eues auparavant ne l’avaient pas totalement satisfaite. Et que, entre autres, ce qui l’avait attirée vers moi c’était ce côté féminin latent, cette dualité qu’elle croyait distinguer, une femme dans un homme. Si elle ne m’avait pas vu ce soir si féminin dans ses propres vêtements, jamais elle n’aurait osé m’en parler. Elle m’avoua également qu’elle m’avait regardé longtemps dormir avant de me réveiller, et depuis ce soir-là, elle ne voyait plus que la femme en moi et voulait que je la sorte de l’ombre.


Je lui demandais alors plus de détails sur ses expériences homosexuelles et elle promit de me raconter cela très bientôt. Elle me redemanda si cela m’arrivait souvent de me travestir ainsi, à quoi je répondis que non, que c’était bien la première fois, que l’envie m’était venue subitement de me glisser dans la peau d’une femme, de me glisser dans la peau d’Elodie au travers de ses vêtements, de ses crèmes de ses odeurs. Je lui dis que lorsque je m’étais vu dans le miroir cela m’avait vraiment troublé, alors que ma démarche initiale était plutôt sensuelle que visuelle. Elodie voulut remettre le couvert, mais les coups de soleil et l’heure avancée de la nuit eurent raison de moi avant que mon sexe ne puisse reprendre de la vigueur et je sombrais dans le sommeil, Elodie blottie contre moi, ma verge dans sa main…