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Temps de lecture estimé : 13 mn
25/09/17
Résumé:  Je veux pénétrer les souvenirs de Mélissa, me les approprier et vivre son passé par procuration...
Critères:  fh couple vacances hotel amour cérébral revede photofilm fellation pénétratio confession -mastf
Auteur : Ekkeko      Envoi mini-message

Série : Mélissa, son intimité, son passé : mon fantasme

Chapitre 02 / 04
Un beau cadeau, une belle révélation

Dans mon dernier récit, je vous ai conté le plaisir que j’ai pris à entendre Mélissa me narrer ses activités solitaires lors de nos ébats. Mais je veux pénétrer ses souvenirs, me les approprier et vivre son passé par procuration…


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Recto : Mars


Sans être systématique, c’était tout de même assez régulier que, tout en lui faisant l’amour, je demande à Mélissa de me raconter ses dernières séances de masturbation. Elle se prêtait bien au jeu et avec force détails, comme j’aimais qu’elle le fasse. Elle ne se masturbe que d’une seule façon, ou tout du moins n’arrive à jouir seule que d’une seule façon. Son truc, c’est le pillow humping, le « chevauchement d’oreiller » en bon français pas glamour. C’est à dire qu’elle s’allonge sur le ventre, glisse un coussin ou une couette sous elle entre ses cuisses, et se frotte dessus en de petits mouvements circulaires et d’avant en arrière. Il ne lui faut que quelques minutes de ce traitement pour arriver à la jouissance !


Un soir je lui demandai si, au lieu de me raconter ce qu’elle avait fait seule, elle accepterait de me raconter ce qu’elle faisait avec ses ex, un bon souvenir qu’elle aurait gardé tant elle se serait éclatée par exemple.



J’arrêtai là de l’embêter avec ça, de crainte de gâcher la soirée et plongeai illico sous les draps et, ma tête entre ses cuisses, j’entamai un cunni que je lui promettais long et bon…


Je n’ai plus réclamé d’elle ce genre de souvenir jusqu’à nos dernières vacances, en Croatie. Enfin, je n’ai même pas eu à lui réclamer, en fait… Un soir où nous étions détendus après un bon p’tit resto en amoureux où nous avions bien mangé mais surtout bien bu, et fin excités en arrivant dans notre chambre d’hôtel, je proposai à Mélissa, entre mille caresses et baisers, si elle serait open pour garder un souvenir coquin de nos vacances et que l’on se filme dans l’action. Acoquinée par l’abus de mojitos, elle me dit « Pourquoi pas ? » et acquiesça d’un petit air mutin qui lui allait à ravir ! Elle me dit d’installer la caméra pendant qu’elle allait se rafraîchir à la salle d’eau.


En équilibre précaire sur la tranche supérieure du téléviseur de la chambre, la caméra y était reliée par un câble afin que l’on puisse se voir en même temps, tout en enregistrant. Je cadrai le lit et allumai une lumière supplémentaire pour pallier la mauvaise qualité des prises de vue intérieures de cet appareil.


J’ai souvent, par le passé, eu la chance de pouvoir faire ce genre de petites vidéos avec mes ex, que je garde secrètement dans un dossier chiffré de mon PC.


Je lançai l’enregistrement, et ma belle Mélissa arriva. Elle avait revêtu pour l’occasion un ensemble de sous-vêtements noirs que je ne lui connaissais pas encore. Soutif push-up et tanga affriolants. Elle ne portait pas de bas ni de porte-jarretelles ou de talons aiguilles, sachant que je n’aime pas ce que j’appelle « un déguisement de pute ». Elle était terriblement sexy ! Ses yeux bleus et son mascara noir illuminaient son beau visage. Elle avait un regard de biche et un petit sourire en coin qui finissaient d’érotiser la scène. Elle était bandante à souhait ! Mais c’était normal : pour moi, c’est la plus belle !



J’opinai du chef et lui désignai d’un geste de la tête la télé accrochée en hauteur face au lit. Elle se vit à l’écran, se déhancha face à moi, déjà allongé nu sur le lit et en érection. Elle entama une méga-pipe dont elle a le secret, sûrement un héritage de sa longue expérience de suceuse. Elle ne tarda pas à venir s’empaler sur moi, et se penchant pour m’embrasser me demanda ensuite :



J’aurais aimé lui dire que non, que je découvrais ça avec elle, mais je répugne à lui mentir.



Immédiatement ma queue réagit et un nouvel afflux sanguin la fit enfler de plus belle.



Je sentais que peut-être Mélissa aller enfin accepter de me raconter, et la pression dans mes burnes augmenta rien qu’en y songeant.



Ça y était ! Le 10 juin, à 22 heures et des poussières, en Croatie, un de mes fantasmes allait se réaliser ! Ma belle Mélissa allait me raconter tout pendant que je la pénétrais, comment elle s’était elle-même fait baiser par son ex et, cerise sur le gâteau, sous l’œil avide d’une caméra !



Mon cœur battait à tout rompre, ma bite était animée de soubresauts rythmés sur mon palpitant. Je buvais ses paroles comme on peut se délecter d’un bon porno ; d’ailleurs, pour moi ça valait largement un porno !



Oh putain, quel kif c’était de l’entendre me raconter ça ! Je priai Saint Numerik d’avoir bien enclenché le micro de ma propre caméra et que celui-ci ne soit pas trop loin… Mais Mélissa ne parlait pas bien fort, alors je profitai à fond du moment présent car ce serait peut-être la dernière fois qu’elle s’y prêterait…



Visiblement, et malgré sa réticence du début, ça ne semblait ne pas trop déplaire à ma miss qui, toujours empalée sur moi, se démenait sur ma bite comme une diablesse. Entre deux gémissements et tout haletante, elle continuait son récit…



Les yeux clos, la bite tendue au maximum, je n’avais aucun mal à l’imaginer ; je connais par cœur son attitude pendant l’amour, et ces détails supplémentaires me satisfaisaient parfaitement. Seul point négatif : j’avais du mal à me construire une image nette du type en question, Emerick. Je l’avais juste aperçu sur une photo de groupe à la plage ; il se la jouait surfeur californien. Bref, je ne connaissais même pas son nom de famille, mais maintenant je savais qu’il avait apparemment une grosse bite. Son visage était flou, mais qu’importe : les images que je me créais étaient cadrées bien plus bas.



Je lui susurrai que je n’allais pas tarder à jouir, ne voulant pas qu’elle-même reste sur sa faim après le beau cadeau qu’elle m’offrait là.



C’en était trop ! À ces dernières paroles, à l’image de la bite de son ex qui giclait en elle, j’éjaculai à mon tour en Mélissa, dans cette chatte qui avait vu passer tant d’autres queues que la mienne, qui avait accueilli tant de sperme autre que le mien. Je jouis dans un souffle rauque, avec une puissance que j’avais rarement connue avec quelqu’un d’autre ; je lui agrippai les fesses et la plaquai contre moi, ma bite fichée en elle et elle qui, dans un dernier élan de frotti-frotta, fut emportée par son propre orgasme, secouée de spasmes et de tremblements, de bons, de très bons tremblements…


Elle continua encore un peu ses va-et-vient sur ma queue qui mollissait déjà, vidée de toute sa force, et finit par se retirer de sur moi. Ma queue retomba mollement sur mon ventre, gluante de sperme et de cyprine mêlés, un filet de cette substance poisseuse la reliant encore à l’antre qu’elle venait de remplir. Mélissa vint m’embrasser tendrement et, avec une main sur son sexe qui tenait un Kleenex, me glissa en souriant :



Elle disparut dans la salle de bain. Je me levai du lit, la tête embuée et les idées pas claires. Je venais pour ainsi dire de réaliser un fantasme, mais l’excitation et la jouissance passées, je ressentais une étrange sensation. Culpabilité de l’avoir entraînée à me raconter tout ca ? Non, car elle semblait avoir bien apprécié aussi… Dégoût de l’avoir imaginée ainsi, dans cette situation ? Non plus, car au fond de moi le plaisir était toujours présent en y pensant.


La peur ? Peut-être bien. La peur de sa réaction à froid, de la transgression de cette espèce d’interdit, du fait de parler de ses ex, de mentionner son passé sulfureux, peur de son interprétation que je sois excité à l’imaginer faire la salope avec un autre que moi, peur de ce qu’elle dira lorsque je lui en redemanderai… Car il était là, le souci : Mélissa avait ouvert ma boîte de Pandore, elle m’avait fait goûter à quelque chose dont je n’étais pas rassasié, dont je n’avais pas envie d’être rassasié tant j’avais pris du plaisir. Ma peur ? Oui, ma peur d’y prendre trop goût, de ne plus pouvoir m’en passer, d’en redemander encore et toujours plus, peur de me perdre dans ce désir de voyeurisme inquisiteur…


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Ludo se leva, s’essuya aussi un peu la bite et rangea la caméra, impatient qu’il était de pouvoir, une fois les vacances finies et rentré à la maison, visionner tranquillement cet enregistrement, le premier du genre, où non seulement il verrait sa belle Mélissa, mais où il espérait aussi entendre ce qu’elle disait. Il se promettait une belle branlette dès qu’il en aurait l’occasion. Mais pour lui, dans sa tête, c’était doublement bingo car il savait maintenant que Mélissa avait tourné une autre sextape, avant, avec son ex.


« Mélissa n’a qu’un seul PC, et celui-ci a bien 7 ou 8 ans. En toute logique, son âge croise avec celui de la sextape… Si celle-ci a transité dessus, peut-être y est-elle encore ? Et si jamais elle l’a effacée, il existe des moyens pour la récupérer, ou au moins des bribes ; et en bon informaticien que je suis, j’ai les programmes nécessaires… » pensa-t-il.


Un must have s’offrait à lui s’il réussissait à mettre la main dessus : non seulement il avait sa vidéo où, peut-être, il entendrait suffisamment bien Mélissa raconter, mais aussi une hypothétique vidéo où il la verrait bien franchement en train de baiser avec son ex. Ouch ! Rien que d’y penser, il sentit sa bite reprendre de la vigueur…


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Verso : Vénus


« Putain, mais qu’est ce qui s’est passé, là ? Non, je ne veux pas parler du fait que ma chatte soit comme un chou-fleur ou des grosses gouttes de foutre qui en tombent depuis trois minutes. Ça, je sais ce que c’est : c’est le résultat de la baise mémorable que je viens d’avoir avec mon chéri. Non : qu’est-ce qui a justement fait que cette baise a été aussi mémorable ? »


Assise sur les toilettes, Mélissa se remémorait la dernière demi-heure, celle où Ludo dit avoir réalisé ce qu’il disait être un fantasme. Celle où elle lui avait raconté un torride souvenir de son passé. Elle se sentait bizarre, incomprise d’elle-même. Non pas que Mélissa soit particulièrement frigide ou coincée d’habitude ; ça non. Pour elle, rien n’est sale dans le sexe tant que c’est fait dans l’amour, le respect, et entre gens consentants. Elle en a eus, des mecs, et il y a peu de choses qu’elle n’ait pas essayées. Du foutre, elle en a eu à peu près partout où il est possible d’en mettre : dans sa chatte, dans son cul, dans sa bouche, sur son visage, sur son dos, ses seins, ses fesses, dans ses mains, dans son estomac même… et aussi involontairement à des endroits bien moins sympathiques comme ses yeux ou ses cheveux. Dans les yeux, ça pique horriblement ; quant aux cheveux, c’est le grand shampooing qui s’impose si on ne veut pas avoir après la tignasse collée et qui pue le sperme rance. Comme elle dit, « Un mec qui gicle, c’est comme quand il pisse : la juste visée n’est jamais assurée ! »


Et ces fameux gicleurs – enfin, plus globalement des ex – elle n’en reconnaît auprès de Ludo qu’une dizaine, mais leur nombre approche allègrement la trentaine si elle doit tous les compter. Ceux avec qui il ne s’est rien passé si ce n’est de chastes bisous, ceux avec qui elle a effectivement baisé, en plan cul ou plus sérieux, en passant par ceux rencontrés un soir de fiesta à qui elle a juste offert une petite pipe entre deux portes quand elle était un peu trop éméchée.

Oui, certains ont l’alcool méchant, gai ou triste ; Mélissa, elle, a l’alcool cochon. Et ce soir, Ludo s’en est définitivement rendu compte.


En cuvant son rhum, Mélissa se demandait maintenant ce qui lui était passé par la tête pour céder aux demandes ô combien curieuses de Ludo. Jamais elle ne se serait crue capable d’en parler si ouvertement, à ce moment-là et avec son actuel. Mais surtout, jamais elle n’aurait cru que cela l’exciterait à ce point ! Bien sûr, lorsque sa main s’abandonne entre ses cuisses et prépare le terrain pour son oreiller, elle y pense quelquefois. Elle pense le plus souvent à Ludo, mais s’autorise quelques extras en pensant à Emerick avec qui elle avait connu une vraie passion, ou à Ben, un amour de jeunesse qui lui avait beaucoup appris, mais aussi à Seb, un ancien plan cul régulier avec qui elle s’était bien éclatée… mais aujourd’hui, c’était lorsqu’elle était emmanché sur la bite de Ludo, eux-mêmes filmés, qu’elle avait raconté le déroulement du tournage d’une sextape faite avec un ex.


Elle ne put réprimer un p’tit rire tant c’était cocasse. D’ailleurs, cette fameuse sextape… elle se demandait où elle pouvait être. Elle se rappelait à l’époque l’avoir stockée dans plusieurs sous-dossiers de son PC, des dossiers de cours de la fac. Lorsqu’il lui était arrivé de la visionner une ou deux fois avec Emerick tout en faisant l’amour, c’était sur son ordi à elle, car elle craignait – à juste titre – qu’en cas d’éventuelle séparation Emerick n’en fasse mauvais usage… il y en a tant qui se retrouvent sur le Net !


Mais ce qui était sûr, c’est qu’elle n’y était plus maintenant : elle l’avait enlevée au moment d’emménager avec Ludo, mais en avait gardé une copie sur disque dur externe. En cas de retour au célibat, elle s’en serait joyeusement servie comme support masturbatoire. Elle se rendait compte qu’à penser à tout ça, il ne s’écoulait plus de sperme de sa chatte, mais que celle-ci était de nouveau humide de son nectar de désir.



Cela fit rire Ludo et lui fit ressentir une pointe d’orgueil, comme la satisfaction d’un travail bien fait et reconnu. De son côté, elle coupa court à ses pensées et autre élucubrations, et décida de ranger ce qui s’était passé avec les autres délires qu’elle avait pu se taper sous éthanol sans réellement s’en rendre compte, comme la fois où elle avait branlé un collègue de fac au fond de l’amphi, ou le jour où elle s’était fait sauter sur le capot de sa voiture en sortant de boîte. À la réflexion – et contrairement à ce qu’elle avait pu dire à Ludo – des souvenirs, elle en avait, et à la pelle.


Mais même si elle s’était ouverte à Ludo en lui racontant cette fois-là, elle avait quand même voulu faire soft et avait tranché dans son récit, en omettant quelques détails – un en particulier – et ce détail s’appelait Kevin. Le troisième protagoniste de cette sextape tournée non pas comme cadeau d’anniversaire pour Emerick, mais pour le sien à elle…


Elle secoua la tête comme pour disperser ses pensées, se leva des toilettes, se rinça et mit sa nuisette avant de rejoindre Ludo et de profiter d’un sommeil bien réparateur dans les bras de son homme qui la couvrit de baisers en la remerciant du formidable moment qu’elle lui avait offert.


Les vacances se terminèrent sans heurts et dans la bonne humeur. Ni l’un ni l’autre n’aborda à nouveau le fameux sujet ; Ludo, car il ne voulait pas abuser et pensait déjà à une autre suite, et Mélissa qui n’en voyait pas l’intérêt et redoutait sa propre réaction s’il venait à lui demander des précisions sur cette fameuse sextape qu’elle avait faite avec Emerick avec Kev…


Elle ne le savait pas à ce moment-là, mais il était évident que Ludo voudrait en savoir plus, et quand il en saura plus, il en redemandera encore et encore…