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n° 18090Fiche technique19626 caractères19626
Temps de lecture estimé : 11 mn
25/09/17
Résumé:  Malgré le décès de son mari, l'avenir de Véronique Squillace s'annonçait fructueux. Elle s'était offerte à son notaire et au plus têtu de ses élèves, mais que valait la fortune sans une véritable jouissance ?
Critères:  fh fplusag fagée grosseins amour fsoumise hdomine cunnilingu pénétratio fdanus fsodo jeu conte
Auteur : Patrick de Toscane  (Patrick, 49 ans)            Envoi mini-message

Série : La professeure de musique

Chapitre 04 / 04
Virtuose

Précédemment :


Depuis deux ans, Véronique veillait sur les derniers instants de son conjoint. Ensemble, ils avaient connu les joies d’une vie sexuelle débridée, mais dès le début de la maladie, la dynamique se brisa. Malgré la mélancolie, le corps de Véronique demeurait un déclencheur d’excitation pour ses visiteurs et c’est dans les bras d’un solide amant qu’elle trouva une nouvelle pitance.


Le jour où le soupirant refusa d’être la doublure sexuelle d’un mourant, Omar la quitta et un long chemin de croix débuta. Elle fut accusée par ses beaux-fils de détourner l’argent du futur héritage et elle plaida son innocence aux yeux du notaire ; mais celui-ci la démasqua…


Le décès prématuré du mari lui ouvrit de nouveaux horizons et surtout, l’opportunité de reconquérir celui qui entretenait sa jeunesse à coups de reins. En attendant cette dernière potentialité, elle protégea son héritage en couchant avec maître Toulouse et en attendant de débuter une nouvelle vie, elle avait accédé au fantasme de l’un de ses plus fervents admirateurs.


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La fin de l’histoire débute ainsi… :


Véronique Squillace s’était levée à l’aube pour profiter des derniers instants de fraîcheur d’un été interminable. Ceinturée dans une longue robe de chambre noire et transparente, elle profita d’un copieux petit déjeuner. Elle se souvint de la veille, de l’enterrement et surtout de cette soirée avec le passage de Quentin. Naïvement, il avait voulu la faire chanter et prise de pitié, elle avait accédé à son fantasme.


En fin de matinée, la jolie veuve reçut un appel de son béguin de la veille. Froidement, il manifesta le désir de récupérer son smartphone et il la convainquit de le déposer sur la table de la terrasse.


Le jeune promu au rang des hommes stationna en dehors de la propriété. Il remonta l’allée centrale qui le séparait de la terrasse et récupéra son Graal. Avec attention, il vérifia ses nouveaux messages, avant de lever le regard vers la baie vitrée. Discrètement, il s’avança et une planche de la terrasse craqua sous son poids. Quentin se rappela ses mains à la découverte du buste de sa professeure de musique, de son étreinte en levrette et l’éclosion de son plaisir dans le divin écrin…


Depuis le premier étage, habillée de transparence, Véronique l’accompagna du regard jusqu’à la rue. Elle recula de la fenêtre de sa chambre à coucher et ouvrit l’une des portes de son armoire. Elle leva immédiatement ses mains vers un oreiller. Elle le prit entre ses mains et le posa sur son lit : une souillure de sang marquait son centre. Véronique le déhoussa et singulièrement, elle ouvrit la fenêtre et noua la taie à la rampe.



Deux jours plus tard… :


Le rendez-vous chez le notaire fit s’envoler les dernières inquiétudes de Véronique Squillace. Son investissement charnel avec maître Toulouse ajouta une plus-value à l’héritage qui allait bientôt lui revenir. Toutefois, il ne manqua pas de la mettre en garde vis à vis des « curieux » pour ne pas dire des « idiots » qui ne manqueraient pas de « s’inviter » pour gratter quelques euros au nom d’une amitié quelconque avec le défunt.



Cinq jours plus tard… :


Cela faisait une semaine que Jean-Paul l’avait quittée et que Véronique avait récupéré sa liberté. En attendant la régularisation de la succession, elle donnait ses derniers cours particuliers avec cette même élégance qui suscitait les passions. Quentin n’avait plus donné signe de vie et dimanche dernier, Véronique l’avait aperçu avec une fille…


Un matin, elle ferma les volets de la demeure, sauf un. Toujours accrochée sur la rampe, aux mille vents, la taie d’oreiller commençait à perdre de sa fraîcheur.

Dans son tailleur jupe sexy, Véronique partit dans le sud de la France où elle visita diverses propriétés.


En fin de semaine, elle revint dans sa demeure où la taie d’oreiller s’était envolée. Dans un courrier, elle put découvrir le cheminement de la succession : l’abandon de ses parts dans la société et la griffe d’Omar sur un document. Elle effleura la signature du bout des doigts et sur ces douces rêveries, Véronique descendit dans le parc. Elle découvrit la taie au pied d’un rosier et elle décida de la nouer au cadran solaire.


La nuit était tombée sur le parc. La fenêtre de la cuisine était grande ouverte. Au salon, l’entrebâillement de la porte coulissante donnant sur la terrasse faisait voler le rideau. Sur ses mules à talons hauts, Véronique passa devant le canapé dans un kimono transparent noué à la taille. Près du pupitre à partitions, elle s’assit sur le tabouret et prit son violon. Ses doigts caressèrent les courbes de l’instrument, avant de saisir son archet. Elle ferma les yeux et entama un morceau aux accords pleins de mélancolie… Ses cuisses entrouvertes sur son sexe lisse, le kimono se dénoua et sa poitrine fut délivrée…


Soudainement, Véronique s’arrêta de jouer. Elle ouvrit les yeux et posa le violon sur sa cuisse gauche. Le dos droit et les épaules en arrière, elle resta un instant immobile. Son regard descendit sur sa main droite qui tenait l’archet et elle dirigea les crins vers la rondeur de son sein gauche. Le frottement des crins de l’archet sur le gros téton perturba le souffle de l’enseignante…


Soudain, le plancher de la terrasse grinça et Véronique s’immobilisa. L’adrénaline envahit tout son corps et elle tourna les yeux en direction d’une terrasse plongée dans l’obscurité.

Elle posa son instrument et se leva ; à moitié nue, elle avança vers la baie vitrée. Le rideau toucha plusieurs fois son corps. Dehors, il n’y avait personne, mais voulait-elle voir ? Omar l’avait abandonnée, le notaire comptait les jours qui le séparaient d’un divorce et Quentin, préférait les jeunes. Véronique se rappela les « idiots » du notaire, ceux qui rôdaient dans les propriétés à la recherche d’une part d’héritage.

La légèreté de sa tenue n’empêcha pas Véronique de franchir le rideau et elle s’immobilisa près de la table au milieu de la terrasse.



Son regard handicapé par la nuit balaya le parc. La fraîcheur s’empara de son corps, les courants parcoururent ses cuisses et la nudité de son sexe… Véronique s’avança vers la rampe et défia le jardin. Ses yeux s’accoutumèrent à l’obscurité et soudainement, elle les immobilisa sur le cadran solaire où la taie d’oreiller avait disparu.

Véronique posa ses mains sur la rampe, un mélange de peur et d’excitation se confondit dans ses veines.


Majestueuse et provocante, elle regagna l’intérieur du salon. Elle activa la fermeture du volet roulant, boucla le rez-de-chaussée et monta à l’étage.


Dans sa chambre, elle régla l’intensité de l’halogène du bout de son pied chaussé. Elle se dirigea vers le chevet et se pencha pour éclairer sa petite lampe, lorsque soudain, un bout de textile s’enroula autour de son cou. Véronique expira en panique, juste avant qu’une main ferme et gantée de cuir noir ne se plaque sur sa bouche.



Les mains de l’héritière saisirent l’avant-bras de son agresseur, mais irrémédiablement contrainte, elle obtempéra en fixant le plafond. La force de l’homme à la capuche écarta les pans du kimono… tandis que le bout de tissu cerclé autour du cou se révélait être une taie. L’homme la libéra en la projetant – à plat-ventre – sur le lit et Véronique suffoqua en retirant la pièce à conviction. Son agresseur arracha le cordon de la lampe de chevet et l’enroula méticuleusement autour des poignets qu’il contraignit dans le dos.



Posé sur les jambes dénudées, l’homme saisit la crinière et se pencha vers la nuque dégagée.



À plat-ventre, Véronique s’agita pour se libérer, mais le cuir des gants passant sur elle anesthésia sa révolte. L’homme saisit fermement le kimono dans son centre et ses doigts le déchirèrent de bas en haut. Le pervers recula sur le corps pour contempler les fesses et ce mystérieux sillon… Il caressa les deux globes avec ses gants, força l’ouverture du sillon pour révéler les sujets de son excitation.



Il retourna le corps d’à peine 70 kilogrammes sur le dos. Les épaules étirées vers l’arrière, la poitrine de Véronique se cambra exagérément. Les deux aréoles, larges, semblaient terrorisées par la tournure de la situation. La captive défia le regard sombre de son agresseur qui renversa la tête en arrière pour y faire tomber sa capuche.

La respiration d’Omar s’accéléra et il avala une abondante salive, avant de s’allonger entre les jambes de la jolie veuve. Il cala ses épaules musclées entre les cuisses. Sa bouche absorba la vulve gonflée, avant que sa grosse langue ne s’anime dans le sexe juteux. Véronique ferma les yeux et se cambra de plus belle…



L’essoufflement succéda à l’ordre et la langue redoubla d’intensité. Le visage déformé de la soumise confirmait son âge, mais que valaient ces infâmes rides quand on était au bord de la jouissance ?


Le visiteur de la nuit vint s’agenouiller à la hauteur des épaules. Véronique ne quitta pas du regard le membre bandé ; ce gland rose boursouflé qui s’avançait lentement près de son visage. Privée de ses mains, elle grogna devant l’outil qui l’avait maintes fois fourrée.

Omar lui lança un regard ombrageux.



La bouche de Véronique se ferma et ses yeux s’emplirent de culpabilité.

Omar gifla la grosse poitrine.



La douleur se confondit avec le plaisir et elle cambra ses obus en remuant les épaules.



Les regards se confondirent sur la confession.



Omar détourna le regard sur cette chatte trempée d’un mélange à son goût, sur cette poitrine refaite et provocante, ainsi que sur les traits de ce visage.



Omar se dressa sur les genoux et il offrit ses deux gros abricots lisses à la criminelle qui tendit sa mâchoire vers les deux fruits qu’elle goba tour à tour. Assoiffée, essoufflée, sa langue et ses dents usèrent la résistance d’Omar. Il renversa la tête en arrière et s’extasia…



Véronique abandonna la paire de fruits et dans un effort supplémentaire, elle se hissa jusqu’au gland qu’elle fit glisser dans sa bouche.



Le gros membre tendit les rides, avant de déformer la fragile mâchoire… Omar retira ses gants. Il effleura le corps ligoté, avant de s’immobiliser sur le bas-ventre. Véronique ouvrit vulgairement ses cuisses et sa respiration s’accéléra…

Omar se retira. Il roula le corps sur le côté et libéra les liens. Délivrée, Véronique grimaça en remuant les épaules et les poignets. Ses deux mains ne tardèrent pas à s’enrouler autour du sexe de couleur et ses doigts commencèrent à branler l’outil de ses mille et une nuits…

Omar apprécia la besogne, avant de bomber son torse qu’il assena d’un poing ferme :



Sur un large sourire, Véronique s’exécuta, elle se cramponna sur la couche et à quatre pattes, elle cambra son fessier. Le regard de l’amant se fixa sur le temple d’où il approcha son sceptre, avant de le contraindre lentement dans cette fente qu’il avait un jour reniée. La respiration de Véronique se fit chaotique et elle baissa la tête pour tendre ses doigts vers le mandrin qui la martyrisait.



Les doigts déchaînés saisirent la chevelure… Débarrassé de tout sentiment, Omar s’activa en elle avec sa colère. Les jurons fusèrent dans la gorge fragile de Véronique dont le corps s’ébranlait à chaque assaut…

Peu à peu, le poids de sa lourde poitrine la contraignit à s’incliner sur le matelas.

Omar s’agitait en serrant les mâchoires, il caressa la hanche du train qu’il prenait avec ferveur, avant de tendre le bassin vers le butoir et s’y fixer. Il tendit la gueule et dans un grognement animal, il explosa au fond du nid. Fiévreux, il ajouta quelques coups de reins pour se vider… Pris dans l’ivresse du plaisir, il planta ses doigts dans la chair et grogna en poursuivant un lent façonnage du fourreau.


Son corps lourd et musclé s’écroula sur celui de Véronique. Lentement, tous les deux se retrouvèrent, l’un sur l’autre, à plat-ventre sur le lit. Planté en elle, il posa son visage sur la chevelure claire et ses mains sur les fragiles épaules.


D’un simple mouvement de reins, Omar se retira et cala son arme entre les cuisses tièdes : un filet de foutre régurgita de la fente écarlate. Véronique grimaça au moindre de ses mouvements et péniblement, elle glissa ses doigts vers son sexe pour s’occuper de son petit bouton perdu sous le déluge…

Le visiteur de la nuit se redressa sur les genoux.



Véronique ne répondit pas. Elle continua de violenter son bouton jusqu’à ce qu’une main ne se pose sur la sienne pour l’interrompre :



Un silence s’installa… La respiration de Véronique s’accéléra et ses doigts se retirèrent. Elle cambra le bassin au regard d’Omar et il glissa un doigt vers cette rondelle qu’il avait décidé d’explorer.

Véronique se redressa et, à quatre pattes, elle contourna le drap humide. Son regard pivota vers la porte de sa chambre.

Omar se dressa sur ses genoux.



Difficilement et grimaçante, Véronique s’exécuta… Elle posa sa lourde poitrine sur la couette et de ses deux mains, elle offrit servilement sa raie et son bulbe anal. Rayonnant, Omar posa vulgairement son index sur l’anneau et le brava, avant que le doigt ne disparaisse… L’entrepreneur la contraignit avec un autre membre et durant une longue minute, Véronique subit les foudres de la souffrance. Après quelques minutes, elle se toucha dans la discrétion et la douleur devint supportable, alors qu’Omar poursuivait son œuvre…



Le regard de Véronique s’attacha à cette porte ouverte et elle eut une brève pensée pour son mari.



Le pilon d’Omar s’activait dans le séant et quelques plaintes montaient de la gorge délicate…



Son doigt ralentit sur son bourgeon à vif. Le marteau-pilon disparut au fond d’elle avec une aisance déconcertante. Elle posa sa main libre sur la sienne et tenta de l’amadouer, mais son regard larmoyant se tourna vers la porte où rapidement, il sentit une présence.



Elle observa la porte et Omar reprit son rythme… Lentement, Véronique « pliait » sur la vigueur du jeune homme.



Véronique précipita ses doigts sur sa chatte et un hurlement bluffant ne tarda pas à brutaliser les murs de la chambre. Omar la percuta violemment et s’immobilisa au fond d’elle pour communier une nouvelle fois. Les deux bêtes feulèrent en une complainte diabolique. Transpercée, Véronique suffoqua quelques secondes, avant qu’un voile ne brouille son regard et qu’elle perde connaissance…


Dans une autre chambre, deux corps nus et Véronique assise en cavalière sur le sexe de son mari. Les mains du vieil homme étreignaient maladivement les seins fermes. Le sourire irradia le visage du vieil homme, avant que ses paupières ne se ferment… Lentement, Véronique prit l’oreiller voisin et le posa sur le visage du vieil homme… Il se débattit faiblement durant de longues secondes, toussota, avant de capituler… et d’expirer du sang sur l’oreiller…


Au présent, Omar gifla Véronique qui se réveilla en sursaut. Effrayée, elle tourna la tête vers la porte de la chambre. Les paroles de son amant la rassurèrent et rapidement, elle couvrit son entrecuisse.


Au milieu de la nuit, Omar se tourna sur le dos et Véronique défigurée par la fatigue le fixa. Devant le corps de la « sex machine », elle s’agenouilla, saisit l’oreiller entre ses doigts et pensive, elle le posa sur ses genoux. Soudain, le plancher craqua et son regard fixa le centre de la pièce.



Véronique confondit son regard dans celui de son amant. Elle cala l’oreiller plus haut contre sa poitrine et esquissa un large sourire qu’il lui renvoya, avant de lui tourner le dos.


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Épilogue : La dépendance sexuelle de Véronique à Omar touchait à sa fin. Quelques mois plus tard, la séduisante veuve fit ses bagages et s’installa, seule, dans le sud de la France.

Otage de ses obligations professionnelles, Omar lui rendit visite chaque week-end, avant de trouver des orgies moins distantes et plus jeunes.


FIN