n° 18094 | Fiche technique | 57937 caractères | 57937Temps de lecture estimé : 33 mn | 26/09/17 |
Résumé: Sam et sa DRH se retrouvent coincés dans un ascenseur. Il est tard. Il va falloir attendre car personne ne répond à leurs appels. | ||||
Critères: fh fhh fplusag couleurs cocus collègues ascenseur travail fellation cunnilingu pénétratio sandwich fsodo jeu confession | ||||
Auteur : Romain |
C’est la seconde fois que je me retrouve seul avec elle.
La première, c’était à mon entretien d’embauche, dans son bureau, où elle m’assenait toutes ces recommandations : efficacité, propreté, discrétion, ponctualité, honnêteté, etc. Tout cela avec une expression sévère, parfaitement dans son rôle de DRH.
« Oui Madame… Oui Madame… »
Depuis, je l’ai croisée plusieurs fois, alors que je prenais mon service – je commence par son étage – et qu’elle était encore au travail ou partait. Juste un « Bonsoir. » assez sec. C’est en général la seule qui travaille encore. Les autres sont partis et je peux faire le ménage tranquillement.
Mais alors que la porte de l’ascenseur se referme, elle le bloque pour passer. Je recule avec mon chariot pour lui laisser un peu de place.
Elle appuie sur le bouton du parking. Mais dès la porte refermée, la descente juste amorcée, j’entends un « Zut ! », et frénétiquement elle enfonce la touche stop. On s’immobilise.
L’ascenseur s’est immobilisé mais ne repart pas. Elle appuie à nouveau. Rien. Encore et encore : rien. Elle commence à s’inquiéter, moi aussi d’ailleurs.
De longues minutes passent avec des tentatives sur l’appel d’urgence – la sonnerie, qui de toute façon doit résonner dans le vide – et la constatation que son smartphone ne passe pas.
On se regarde. Elle paraît inquiète. Je la sens fébrile.
Un long moment passe où chacun réfléchit. Moi, personne ne m’attend aujourd’hui. Parfois la secrétaire à l’étage en dessous m’attend afin que nous baisions, mais pas ce soir.
Elle ne cesse de bouger. La cabine oscille légèrement.
Étrangement, elle semble vraiment me remarquer, et par ce « mais vous ? » me réintègre dans la catégorie « individu » et non plus comme homme de ménage.
De longues minutes passent. Elle regarde son smartphone, manifestement travaille dessus.
Il fait chaud. On est en septembre mais l’été n’en finit pas. Les bureaux ne sont pas climatisés, et avec cette chaleur il m’arrive de faire mon travail en short lorsqu’il n’y a personne. Le règlement oblige à avoir une combinaison de travail, mais il fait chaud pour travailler.
Je lui propose de l’eau. Elle ne fait pas la difficile et boit au goulot de longues rasades.
Le temps passe. Le smartphone est rangé. Je lui propose de la lecture. Il y a toujours des journaux et des revues dans les poubelles. Les gens ne pensent pas qu’en les vidant on peut, sans forcément chercher à voir, y découvrir leurs petits secrets.
Elle sélectionne parmi le petit tas. Et puis elle me regarde et me montre une revue. Je savais pertinemment que cette revue faisait partie du lot. Une publication plus que leste avec des photos et des textes érotiques dont le nom U… parle de lui-même.
Je fais l’innocent.
Mais j’ajoute :
D’une certaine façon je suis content de rabaisser le caquet de cette femme et de lui montrer que ce n’est pas parce que je suis noir et que je fais le ménage que je n’ai pas de savoir-vivre.
Elle ne dit plus rien. Pourtant, comme je fais semblant de ne pas regarder, je vois bien qu’elle tourne quelques pages du document.
Il fait chaud. De plus en plus chaud. Cela fait deux heures que la température augmente, transformant la cabine en sauna. Elle aussi transpire. Je vois bien que son visage brille.
Elle me regarde.
Je tire sur le zip et libère mon torse, laissant retomber le tissu sur mes jambes.
Je respire. Le tissu synthétique bloquait la transpiration. Je suis une fontaine.
Elle me regarde.
La question est directe ; je ne m’y attendais pas. C’est vrai que mes épaules et mes muscles impressionnent, mais je ne voyais pas ma DRH poser ce genre de question.
« La vache ! Elle me pousse dans mes retranchements. »
La colère me prend. Non, les Blacks ou les mecs de banlieue, nous ne sommes pas tous de la racaille.
Un long silence s’installe. Et puis de la voir en sueur, je me lance :
Et puis une idée me vient à l’esprit.
Elle hésite, mais une goutte de sueur glisse sur sa joue.
Ces mots sibyllins, chargés d’ironie, la calment.
Elle s’arrête, me regarde et continue :
Comme je dois avoir l’air ahuri, elle continue avec un brin d’exaspération :
Je hoche la tête.
Et je termine d’enlever ma salopette pour apparaître en short, genre shorty. Je sens bien son regard découvrir le bas après le haut. Je sais l’effet que je peux avoir sur certaines femmes et je remercie chaque fois ma mère de m’avoir fait si bien proportionné, même si j’ai plus qu’entretenu ce que la Nature m’a offert. Mais ce n’est pas une femme normale : c’est ma DRH, femme à poigne, la cinquantaine bien avancée, aussi je me fais discret.
J’obéis et j’entends l’escabeau bouger. Mais je fais plus qu’entendre car sans vraiment le vouloir, je me retrouve presqu’en face du petit miroir qui est accroché à mon chariot. Un miroir qui reflète ce qui se passe derrière moi. La femme qui déboutonne cet interminable manteau censé cacher jusqu’au dernier moment sa lingerie coquine, et que moi je découvre à la place du mari.
Je comprends la réticence de ma DRH. Ce que je vois est plus que coquin, plus qu’érotique ; plutôt carrément porno, du genre de lingerie plus fréquente sur les sites de cul que dans les tiroirs des bourgeoises. Encore que…
Elle a beau essayer d’ajuster le soutien-gorge, elle ne pourra jamais recoudre la fente qui laisse passer le téton avec son aréole. Pour la culotte, c’est encore pire : il y a plus de vide que de tissu, et là aussi la fente est présente. Présente au centre d’un triangle si petit qu’il ne cache pas grand-chose alors que les ficelles qui font le tour des hanches sont comme des lignes qui dirigent le regard.
Elle se rassied sur son siège improvisé et je la vois chercher une position qui la cacherait un peu. Je souris de cette décence de pucelle.
La situation commence à m’amuser. Au départ je me voyais mal obligé de rester en tête-à-tête avec ma patronne. Mais maintenant, d’une certaine façon les masques tombent, et c’est une femme à qui je tourne le dos.
« Sacque-moi donc, chère patronne… » pensé-je en me retournant et en essayant de ne pas la dévisager.
Chacun dans son coin. Elle, assise, recroquevillée, encore qu’avec mon indifférence affichée elle commence à se relâcher. Moi, assis par terre, me forçant à ne pas la détailler, et pourtant ce n’est pas l’envie qui m’en manque !
Le ton est en rogne, virulent.
Et je ris, la regardant dans les yeux.
J’attends plus de confidences, mais elle se tait, devient songeuse, soucieuse, et je vois des larmes couler. Bientôt elle sanglote.
Elle se reprend un peu.
Elle sanglote. Je rampe vers elle et m’agenouille en face.
Elle sourit, mais c’est un sourire forcé.
Je lui prends la main. Puis l’autre. Elle se redresse un peu.
Je crains un instant d’avoir trop parlé mais elle sourit.
Et j’ajoute en souriant, la détaillant sans vergogne, faisant passer mon regard de ses seins à sa chatte qui brille dans la fente du tissu :
Petits rires.
Et devant le contraste entre sa remarque et sa position, elle aussi rit de bon cœur.
Son regard montre mon entrejambe. Je bande, et mon satané mandrin n’a rien trouvé de mieux que de repousser l’élastique pour laisser le bout respirer.
Je ne sais que répondre. Avec une femme normale, je penserais que c’est une ouverture, mais avec elle le risque est trop grand. Pourtant il me semble que sa respiration est différente, que ses mains sont encore plus moites, que malgré la chaleur une chair de poule semble surgir.
Je pose ses deux mains sur ses cuisses, les abandonne et plaque les miennes à pleine paume. Un frisson, et j’attends la réplique qui doit me remettre à ma place.
Rien. Au contraire, les siennes me laissent la place. Je caresse la peau soyeuse à l’intérieur des cuisses, osant progresser millimètre par millimètre vers le V magnifié de sa culotte.
Mon premier baiser est pour le genou. Ce n’est pas grand-chose, mais c’est comme un dernier appel. Le « Ahh… » me semble bien disproportionné pour ce simple contact.
Maintenant, mes lèvres avancent. Le genou est un lointain souvenir alors que j’embrasse cette peau si douce, si tendre, si voluptueuse, de l’intérieur des cuisses, passant de l’une à l’autre, faisant un saut de plus en plus grand à mesure que la femme s’ouvre pour laisser ma tête se frayer son chemin.
Ses cuisses reposent sur mes épaules. Mes mains ont progressé sur le ventre, les hanches, n’hésitant pas à faire des détours sur ce corps de femme accomplie.
Quel homme prendrait pour argent comptant ces quelques mots de refus alors que le corps s’avance, que les tétons dardent sous mes paumes, que la chatte s’ouvre sous ma langue ?
Elle est humide, et c’est bon. Elle sent le parfum, reste de ce qu’elle avait dû se mettre pour retrouver son mari. Son sexe est lisse, preuve qu’elle avait mis tous les atouts de son côté. Et c’est moi qui profite de ces attentions.
Mais il n’y a pas que moi qui profite. Ses cris résonnent dans ce lieu clos et doivent se propager tout au long de la cage d’ascenseur. Depuis un moment elle me guide de ses deux mains plaquées sur ma tête. Je suce, je lèche, j’aspire, je pointe d’une langue aventureuse.
Son clitoris est un bouton de chair que j’aspire et tète comme un bébé tète sa mère.
Elle jouit. Elle jouit. Elle se tortille. Elle m’étouffe. Ses cuisses sont des étaux dont la puissance me surprend. Et puis, sans vraiment prévenir, elle se relâche dans un dernier gémissement.
Le bruit est assourdissant.
Au secours ! La cabine tombe !
Elle bouge. La porte s’ouvre.
Merde, quelqu’un vient de nous secourir.
Non, personne, le couloir est vide.
La porte commence à se refermer et je bondis pour la bloquer.
Véronique est toujours scotchée sur l’escabeau, les cuisses grandes ouvertes, totalement perdue, encore dans son plaisir.
Je comprends que c’est justement sa jouissance qui nous a débloqués. Sa jambe a poussé avec violence mon chariot qui a dû heurter le tableau d’affichage, semant la panique dans les boutons pressés en désordre, et ce grand bordel a débloqué le système, un peu comme une pression rageuse et continue sur le "marche/arrêt" d’un ordi lui fait comprendre qui est le maître.
Véronique est groggy, et j’en suis fier. Elle se dresse maintenant face à moi, sans plus de pudeur qu’une stripteaseuse, dans le couloir juste éclairé par les néons de sécurité.
Elle pousse la porte de son bureau et nous nous retrouvons dans ce local que je connais si bien : un bureau, une petite table de réunion, un canapé et deux fauteuils pour apporter une touche d’intimité.
Le tutoiement me rend soudain l’égal de cette femme.
Un silence pendant lequel un ange passe. Un ange dont les ailes sont couvertes de noms, de ceux et de celles qui, apprenant qu’ils sont licenciés, ont soudain des envies de vengeance sur le messager de la triste nouvelle.
Ma voix est forte et la surprend.
Elle comprend. Elle s’agenouille, un sourire aux lèvres.
Elle tire sur mon shorty pour libérer mon sexe. Le mandrin a perdu de sa superbe avec cette pause, mais il reste encore assez gonflé pour faire une longue tige qui se cale sur les couilles.
Je vois au regard qu’elle lui jette, qu’elle découvre vraiment mon engin, imposant même en demi-érection.
« Eh oui, ma belle ! C’est une queue noire, et encore tu n’as pas vu celle de mon cousin… » pensé-je alors qu’elle approche une main.
Elle entrouvre les lèvres, s’empare délicatement de mon gland qui déjà lui déforme la bouche. Elle commence son exploration mais je remarque tout de suite qu’elle joue un jeu délicat. Pas désagréable, mais loin de ce qu’attend un homme. Pourtant sa langue explore toute la longueur de mon vit, se glisse dans la vallée bien dégagée entre gland et hampe… et mon gland devient une boule de glace qu’une langue caresse, une boule autrement plus chaude, mais dont le cornet crie au favoritisme.
Le regard qu’elle me jette est un éclair, mais elle voit à mon sourire que je suis dans le rôle que son fantasme a créé.
Ce « vous » me montre qu’elle aussi a décidé d’entrer dans son personnage et que c’est à l’homme licencié qu’elle s’adresse.
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Je l’aide à se redresser, la pousse vers la table de réunion, la fais s’allonger sur le dos.
Elle croit un instant que je vais la posséder, mais j’ai une autre envie. Ce rôle me plaît bien. Véronique n’est pas seulement une femme que le hasard a poussée dans mes bras ; c’est aussi cette femme que j’ai croisée maintes fois et dont le « Bonsoir. » était empreint de froideur et d’indifférence, habillée de son statut de DRH.
Sa tête pend en arrière. Elle me voit approcher. A-t-elle une idée de ce qui l’attend ? Je ne sais pas. Elle m’a dit que son mari la trouvait « coincée », donc leur relation doit se résumer aux grands classiques.
Elle regarde. Ma queue est bien droite, pointée vers son visage. Je n’ai pas besoin de le lui demander : c’est naturellement qu’elle entrouvre les lèvres. Je crois que pour un homme, il y a peu de plaisirs supérieurs. Se faire sucer, c’est bien, surtout si la femme est un peu experte et sait vous gober profond et jouer de la langue, sans oublier un regard vicieux. Mais glisser son mandrin dans cette gorge, sachant que la femme voit passer au-dessus de ses yeux la longue tige qu’elle doit imaginer sans fin, les couilles rampant sur le visage, c’est le top du top ! Et puis aussi pousser son gland tout au fond de la gorge pour le faire ressortir gluant de salive.
Très vite, le visage de Véronique est un champ dévasté. Elle tousse, elle crache, ses yeux sont remplis de larmes, sa salive lui brouille les joues, détruisant le maquillage.
Je l’admire. Elle se laisse faire, et pourtant il lui suffirait d’un geste, d’un refus pour que je cesse. De longues secondes je la baise ainsi, lui laissant à chaque fois un peu de répit pour qu’elle reprenne son souffle, promenant alors mes couilles et mon cul afin qu’elle me lèche.
J’ai en face de moi la vision de cette culotte fendue qui semble me défier. J’abandonne la chaleur de la gorge pour aller en face. Les jambes pendent dans le vide, mais dès que la femme me sent, elles s’ouvrent. Je joue un moment avec ma queue, tapotant la fente et le clito. Elle gémit. Je vais la posséder d’un coup, continuant mon rôle d’employé mécontent.
Je ne peux m’empêcher de crier ma déconvenue. Que je suis con de ne pas y avoir pensé plus tôt… La femme, surprise et inquiète, demande :
Elle accompagne sa supplique en fermant ses jambes derrière mon dos, me faisant une douce entrave. En une seconde je me dis que cette femme est clean, et comme moi aussi…
Ma longue queue noire n’a fait qu’une bouchée de cette chatte de Blanche. Moi aussi je suis pressé de la posséder. Elle n’est bientôt qu’une femelle que je bourre avec puissance, remplissant sa fente de toute ma taille. Elle crie, gémit comme si on la forçait mais je sens bien la pression de ses talons de chaussures sur mes fesses, comme une cavalière qui pousse son cheval avec des éperons.
Je sais contenir ma jouissance, mais il y a des limites ! Combien de longues minutes ai-je léché cette femme dans l’ascenseur, suivies par une longue fellation, et maintenant ma queue qui bouge dans ce conduit étroit et délicat ? Je redoute de ne plus pouvoir me retenir, jouant de l’artifice en retirant ma queue afin que la pression diminue un peu avant de replonger. Mais enfin la femelle jouit dans une succession de frissons et de grognements, me permettant d’ouvrir les vannes et de cracher des flots de sperme qui inondent sa matrice.
« Putain, que c’est bon ! » pensé-je alors qu’elle et moi relâchons nos muscles tétanisés par tant de plaisir. Encore meilleur que d’habitude. Même avec la petite secrétaire que je baise de temps en temps à l’étage en dessous, et qui pourtant est une fieffée salope qui sait user et abuser de nos corps pour jouir, je n’ai autant de plaisir.
Femme mûre, encore belle, des rondeurs mais pas trop, elle n’est pas la seule que je connaisse. Mais elle a quelque chose de plus. Sa position, sa fonction de DRH qu’elle utilise pour se détacher du commun des mortels de cette société. Et c’est pourtant cette femme, intouchable, inaccessible que je viens de baiser dans son propre bureau, et d’une façon qui est loin d’une petite coucherie entre employés, fussent-ils de rangs différents.
Elle est sous moi. Je la couvre de mon corps de mâle. Nous avons baisé sans même enlever sa lingerie de pute. Sa lingerie qui fait écho à ce visage que je surplombe. Visage de femelle souillée et utilisée par un mâle, un vrai, et aussi dont la couleur de peau apporte une couche d’exotisme fantasmatique.
Je bande encore. Mes couilles sont vides mais mon érection dure encore. Mes maîtresses apprécient cet hommage à leur beauté et leur sensualité. Véronique le sent car elle bouge un peu sous moi comme pour en vérifier la réalité.
Je la soulève. Elle n’est qu’un fétu de paille entre mes bras. Chevillée par mon dard, accrochée par ses bras autour de mon cou, ses jambes m’enveloppant la taille, elle et moi ne faisons qu’un. Bientôt la pièce est notre champ de bataille. Juste appuyée contre un mur ou en appui sur un meuble, encore plus sur son bureau dont j’ai repoussé d’une main de maître tout ce qui gênait, je la promène, je la bourre, je la laboure. Mon sexe est fait d’un bois dur, mais chaud et vivant, et la femme est totalement ouverte à mon désir. Je glisse dans une crème onctueuse faite de salive, de mouille féminine et de mon foutre.
Mais je découvre sur le mur derrière un fauteuil un miroir qui me donne des envies. Tout le monde aime voir et se voir en train de baiser dans un miroir, vision permettant des angles improbables et faisant prendre conscience de la beauté de nos actes.
En une seconde, la femme est à genoux dans le fauteuil et ma queue la possède à nouveau.
Elle ne devait pas s’attendre à ce qu’elle découvre d’elle car il lui faut un moment pour comprendre.
Je pousse d’un coup de reins violent ma bite au plus profond de sa grotte, déflorant des zones jamais explorées.
À nouveau une forte poussée suivie d’un « Ahh… » Et puis une nouvelle, et encore, encore.
Elle ne se quitte plus des yeux. Oui, cette femme, c’est bien elle.
Je m’arrange pour la mettre de profil. Maintenant, ce n’est pas que son visage qu’elle peut voir. C’est aussi cet homme et sa queue si longue, brillante, noire, qui entre et sort de son intimité, son ventre tapant contre ses fesses, la propulsant à chaque fois en avant jusqu’à ce que ses hanches crochetées par des mains noires ne la ramènent. Encore et encore.
Quel plaisir de voir cette femme perdre pied petit à petit au rythme de mes poussées, passant de la femme passive à la femme plus délurée et finir en femelle brûlante et demandant encore plus !
Lorsque je la quitte, elle se refait une beauté pour rejoindre son mari qui n’a d’ailleurs pas dû l’attendre. Il ne s’est même pas inquiété de son absence. L’a-t-elle rejoint avec sa lingerie de pute ou a-t-elle repris son rôle d’épouse sage et surmenée ?
Mais moi, chaque soir depuis ce jour, je la retrouve. Je ne lui pose pas de questions. Nous baisons. Chaque jour apporte son lot de jouissances mais aussi de découvertes dans les moyens de l’atteindre.
**********
Je n’ai pas vu venir cet homme qui me pose cette question alors que je m’apprête à ouvrir la porte.
Que peut bien me vouloir cet inconnu ? En tout cas, il n’a rien d’agressif.
Un silence pendant lequel il semble me découvrir. Il continue mais à voix basse, comme s’il se parlait à lui-même.
J’insiste.
Et j’ajoute sans vraiment réfléchir :
Il semble se réveiller.
« Aïe ! Aïe ! Merde, son mari ! » Je décide de faire comme si de rien n’était.
« Ça se gâte… »
Il fouille un moment dans son portefeuille et me sort une photo. Pas de doute, la femme à côté de lui est bien Véronique.
Je commence à ouvrir la porte pour essayer de m’enfuir mais il réplique aussitôt :
Tout, mais pas de scandale ! Il passe encore des gens dans la rue, et ni pour moi, ni pour Véronique une altercation sur la voie publique ne serait une bonne chose. Je referme la porte.
Et il ajoute avec un large sourire :
Voilà un drôle de cocu qui me parle du plaisir de sa femme. Mais je suis coincé, il me faut l’écouter.
Quelques minutes plus tard, nous sommes installés à une table qu’il a choisie un peu à l’écart.
L’homme me montre son smartphone où l’on voit Véronique manifestement en transe et avec son soutien-gorge fendu.
Je me sens piégé. Comment réfuter ces preuves ? Ce que le film va montrer, c’est moi en train de lécher sa femme. Il me reste l’indignation :
Il semble effrayé de cette éventualité. J’ai du mal à comprendre. Cela doit se voir sur mon visage.
Bien sûr que j’imagine. Il m’a fallu batailler longtemps pour qu’elle accepte mon foutre en bouche.
Je comprends que je peux difficilement refuser. Le voyeurisme, je le pratique lorsqu’avec mon cousin nous nous partageons la même femme ; mais un mari qui regarde m’étonne plus.
Quelques minutes plus tard, je le laisse à l’étage en dessous pour continuer par l’escalier alors que moi je finis en ascenseur.
Véronique m’attend. Elle est impatiente. C’est vrai que chaque jour elle devient de plus en plus coquine, inventant des scénarios, me laissant libre de jouer avec son corps et le mien. Ce soir, je l’entraîne aussitôt dans son bureau. Je ne peux m’empêcher de regarder si je vois son mari, mais il reste discret. Pourtant sa présence supposée est un formidable aiguillon. C’est comme un défi à relever de lui montrer ce que je peux faire de sa femme, et du même coup de ce qu’il peut en profiter.
Je commence par une fellation, la tête en arrière, position devenue notre « mise en bouche ». Mais une fellation menée à son terme et qui me permet de me vider les couilles dans la gorge maintenant bien plus accueillante. Ainsi l’homme peut voir sa femme, le visage souillé et la bouche pleine de mon foutre que je lui ai appris à goûter de la langue avant de l’engloutir.
Et puis une baise où elle me chevauche, cavalière qui se donne du plaisir toute seule. Elle se possède sur mon mandrin qu’elle connaît bien maintenant et qui lui semble presque normal, ce qui me fait penser qu’un jour je pourrai venir avec mon cousin pour une surprise. Je suis persuadé que son mari n’a jamais vu sa femme ainsi, exaltée, excitée, se caressant les seins, se frottant le clitoris dans une danse frénétique dont la musique n’est faite que de « Oh… Oui… C’est bon… T’es gros… J’adore… Je jouis… » Et si j’attrape un téton pour le tordre, « Oui… Fais-moi mal… Je suis une salope… Je mérite d’être punie… Encore… » Et lorsque sa jouissance la submerge, que son regard se trouble derrière ses cils collés de sueur et de salive, que sa bouche éructe son plaisir avec des restes de mon foutre, alors moi aussi je me joins à elle, cherchant un reflet, une ombre qui me montrerait la présence du mari.
Mais d’une certaine façon je n’ai pas besoin de le voir. Moi aussi, de me savoir observé, je me sens autre : plus fort, plus puissant, plus vigoureux. Une vigueur qui me permet, presque dans la foulée, de posséder Véronique en levrette. Une levrette maintenant classique, à quatre pattes face à la grande baie vitrée qui permet de voir chez les voisins, de l’autre côté de la rue. Des voisins qui, s’ils levaient la tête, pourraient deviner des ombres se déplacer bizarrement.
Je la baise avec force, lui tirant sur les cheveux pour la faire se cambrer et s’offrir encore plus. Mon ventre claque contre ses fesses, rythmant nos gémissements. Oui, nos gémissements, et donc les miens car je dois reconnaître que Véronique me comble. C’est une femme pleine de surprises. Une DRH froide, distante, cassante ; mais dès que le masque tombe, elle devient une femme, une femelle qui chaque jour découvre et expérimente sous ma direction des plaisirs nouveaux. Je suis son formateur et je suis fier d’être, si jeune, un enseignant pour cette épouse qui passait à côté de sa sexualité. Et ce soir je sais que, par ricochet, cette aventure fait le bonheur de son mari.
Et il est là, le mari, quelque part à nous observer. Que pense-t-il de ce que je lui offre ? Il doit être étonné, surpris et j’espère heureux de découvrir une épouse qui ne doit lui montrer une fois chez elle que l’écume de sa nouvelle sexualité. Est-ce que ce n’est pas trop fort pour lui, cette femme, cette épouse, que je baise comme une chienne et qui se vautre dans cette luxure comme une autre dans la culture ? Et il ne sait sûrement pas tout. Sait-il que depuis quelques jours je l’ai convertie à la sodomie ?
***********
Elle ne voulait pas.
Déjà avec son mari, une fois, il avait essayé, il y a longtemps, mais elle n’avait pas aimé.
Trop vulgaire.
Trop contre nature.
Elle avait peur. Pourtant mes doigts jouaient déjà dans son anus et elle acceptait l’hommage de ma bouche et de ma langue comme une sorte de transgression, mais en appréciant le plaisir particulier.
***********
Elle comprend lorsque, d’une main ferme, je la force à poser son visage sur la moquette dans une position qui accentue encore la cambrure et m’offre ses fesses.
Elle ne proteste plus lorsque mon gland force son cul, et cette longue plainte est plus une promesse qu’une douleur.
Déjà je suis bien à fond, mes couilles tapant sa chatte. Là-bas, de l’autre côté de la rue, un couple dîne en regardant la télé. Peuvent-ils imaginer qu’il n’y a pas que la télé pour donner du spectacle ? Qu’un beau Black bien membré est en train d’enculer profond une bonne Blanche sous les yeux de son mari ? Au fait, il est où, ce mari ? Si cela se trouve, il n’a pas osé venir, reculant au dernier moment, ou bien il n’a pas supporté de voir sa tendre épouse se livrer entièrement à un amant comme moi.
Mais si ! Je le vois. Il est près de la porte, un pied dans le bureau, un pied au dehors. Je croise son regard ; il ne peut s’empêcher de faire un « chut » de la main. Mais le voir augmente encore ma libido. Cette femme que je tringle maintenant gémit et accompagne chacune de mes avancées par des « Oh ! Oh ! C’est gros… » Je la bourre devant lui qui a encore avancé dans la pièce. Je devrais le chasser ; il avait promis. Mais j’adore son regard qui ne voit que ma queue qui encule sa femme. Une queue sombre qui tranche sur la peau blanche et pourtant dorée par le soleil.
Combien de temps dure ce moment magique ? Je ne sais pas. En tout cas assez longtemps pour que la femelle gronde plusieurs fois de jouissance jusqu’à ce que je me libère pour la troisième fois en moins d’une heure. J’ai rempli ma mission. J’ai honoré cette femelle trois fois, coulant dans chacun de ses trous. Je me retire de ce cul sublime, libérant des coulures de mon foutre. Véronique se redresse, endolorie de partout.
C’est Véronique qui, se retournant, découvre son mari. Le con n’a pas fait les quelques pas en arrière qui lui auraient permis de retrouver son anonymat. Il semble pétrifié, et sa femme aussi. Ils se regardent. Elle hoquette :
Mais aussitôt elle se rend compte du ridicule de cette phrase.
Elle se retourne vers moi.
« Allons bon, c’est moi qui vais trinquer ! » Mais le mari prend ma défense :
Et, Jean, le mari, explique à sa femme ce qu’il m’a raconté.
Un long silence. La scène est surréaliste. Véronique et moi faisons face au mari, mais lui est en chemise alors qu’elle et moi sommes nus.
Question posée à Jean avec la voix d’une enfant prise la main dans le pot de confiture. L’homme sourit.
Il se tait un moment, puis :
Pour la première fois, Véronique sourit. L’ambiance change.
Jean hésite un moment avant de répondre :
Nouveau long silence après cet aveu.
Le moment est magique. Chacun fait un pas vers l’autre. Véronique se cale dans les bras de son mari. C’est beau, un couple qui se retrouve… Jean pose quelques bisous sur le cou et sous l’oreille de sa femme. Véronique réagit, et ils échangent un baiser. Le baiser s’éternise, devient plus langoureux, Jean semblant découvrir la chaleur du corps de sa femme.
C’est con, mais maintenant c’est moi qui regarde. Je regarde ce couple qui se redécouvre. Ce baiser qui se prolonge ne peut que révéler l’odeur âcre de mon foutre, qu’ainsi mari et femme partagent. Les mains du mari qui explorent le corps de sa femme, maîtresse encore chaude de moi, doivent aussi découvrir des humeurs que j’ai abandonnées.
Véronique arrache littéralement la chemise de Jean. Ils sont peau contre peau, et j’imagine les seins pointés sur le torse de l’homme.
Mais la femme continue.
Une ceinture.
Un zip.
Un pantalon qui descend.
Un slip qui apparaît pour aussitôt suivre le chemin du pantalon, laissant voir un sexe bien tendu. Il doit être tendu depuis un long moment si son aveu de mari candauliste est vrai.
C’est Véronique qui le guide vers le canapé. C’est elle qui le pousse, et aussitôt qu’il est assis, tire sur pantalon et slip afin de libérer l’homme de ces entraves.
Je la regarde. Je suis fier, même si le terrain était favorable, en jachère mais prêt à libérer toute sa puissance à la moindre sollicitation.
Je la regarde et je la vois. Je l’accompagne par la pensée alors qu’elle gobe la queue de son mari, lui arrachant des gémissements. Ma bite est bien trop longue pour cela mais celle du mari doit lui paraître une friandise abordable et qui trouve le chemin de sa gorge. Est-ce qu’elle se rend compte que c’est un regard de salope accomplie qu’elle offre à Jean alors que ses lèvres butent sur les couilles ?
Elle est belle. Elle le suce. Elle le pompe. J’entends avec délice le bruit de cette salive généreuse qu’elle libère pour envelopper mandrin et gland d’une gangue perverse.
Mais Jean, excité depuis un long moment, ne peut se retenir ; et lorsqu’il jouit, c’est une délivrance. Il la regarde, encore étonné de voir cette épouse si coincée aspirer son jus, sa crème en préparation depuis qu’il jouait les voyeurs.
Mais Véronique n’en a pas fini avec lui. De quelques coups de langues vicieux et d’un doigt qui manifestement trouve le chemin du cul de Jean, relançant une érection bienvenue, elle se retrouve avec une bite neuve. Elle se relève et, l’enjambant avec grâce, vient s’empaler sur la bite maritale.
Ils sont face à face. Mais les masques sont tombés. La femme adultère devenue addict du cul, et le mari cocu, mais si content de son état qu’il en bande de plaisir.
Elle ondule comme elle sait si bien le faire. Il y a peu, c’est sur mon dard qu’elle se baisait.
Elle est belle.
Ils sont beaux dans cette posture si parlante. Elle le domine. Elle s’est donnée à son amant, et maintenant cela lui paraît naturel de chevaucher son mari.
Je sens mon mandrin revivre. Leur spectacle m’excite et je bande. Ma tige sombre encore alourdie de son propre poids se redresse pour se montrer horizontalement dans toute sa splendeur. Je suis à quelques pas d’eux, mais l’homme me voit ainsi. D’un geste que sa femme ne voit pas, il me fait signe d’approcher.
Elle ouvre les yeux. Je sens une main appuyer sur ma hanche afin de m’encourager à tourner. C’est la même main qui pousse ma fesse pour m’inciter à avancer encore, amenant mon gland à portée des lèvres qu’il connaît bien.
C’est un homme qui me complimente, et si ce n’était pour faire cette offre à sa femme, je penserais que la main sur mes fesses s’attarde bien longuement alors que déjà Véronique s’est penchée pour me gober.
Pour un cocu, je trouve ce Jean bien à l’aise dans son rôle, comme s’il l’avait déjà répété. Sa femme se dandine sur lui et il a sous les yeux le plus provoquant des spectacles par cette fellation gourmande. La main me tire en arrière. Me voici libéré du fourreau précieux et chaud.
La cavalière s’allonge sur lui. Il la cajole de ses bras mais son regard me fixe et semble vouloir me parler. Ses yeux se fixent sur la croupe de sa femme, et je comprends sa demande.
Véronique s’étonne de me sentir contre elle, mais ma destination est évidente.
Elle ne répond pas, mais déjà je pousse la porte de l’anus. Il est encore gras de mon foutre, et le début est facile. Mais lorsque ma queue se frotte à celle de Jean, je dois me frayer mon chemin.
Véronique m’accompagne. Enfin je suis calé au plus profond.
La femme bouge un peu, mais nos deux braquemarts limitent ses mouvements. Nous restons un moment immobiles, comme pour apprécier ce sandwich improvisé.
Et puis je commence à bouger.
Un peu.
Beaucoup.
Passionnément.
Et la folie nous emporte…