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n° 18095Fiche technique7952 caractères7952
Temps de lecture estimé : 5 mn
26/09/17
Résumé:  J'ai toujours aimé rendre service aux dames, même si elles ne sont plus toutes jeunes.
Critères:  fh fplusag fagée extracon cocus miroir lingerie pénétratio fsodo nostalgie
Auteur : Pourquoi pas ?  (Pourquoi pas)      
Nostalgie

Ils habitent un petit village. René en a été le garde champêtre durant toute sa carrière. Ils venaient juste d’être retraités lorsque je les ai vus pour la première fois. Ils m’avaient demandé de passer réparer un volet. Et la confiance s’est doucement installée entre nous. Je suis revenu pour leur installer du nouveau matériel, pour allonger une pergola qui leur permet de circuler le long de la maison à l’abri de la pluie. Chaque fois, la conversation a roulé sur la vie à la campagne, sur la culture des tournesols – je n’en ai jamais vus avec d’aussi larges fleurs – sur les concours de pigeons qui ont été depuis toujours son passe-temps.


Les années ont passé, et je les ai revus ainsi une dizaine de fois.


Il y a quelques jours, ils m’ont fait venir pour une autre panne, bénigne. Et nous avons pris un verre ensemble en parlant de bien des choses. Ils ont peu de visites, et cela leur fait plaisir d’avoir quelqu’un chez eux. Cette fois, ils m’ont proposé de les accompagner au restaurant. Oh rien de bien luxueux : un simple petit resto avec un menu du jour où ils vont quand Denise préfère ne pas cuisiner. À leur âge, ils ont bien raison de se simplifier la vie.


On se retrouve sur le parking de ce petit centre commercial et on s’installe à une table devant la fenêtre. Arrivés au dessert, René, un peu embarrassé, me dit :



Je regarde Denise ; elle m’adresse un timide sourire. Elle a passé les 80 ans. Elle est petite et mince, assez effacée d’habitude. Sa chevelure sombre (avec l’aide de sa coiffeuse, je pense) entoure un beau visage serein. Elle a encore bien du charme. Et ce matin, en arrivant quand on s’est fait la bise, c’était avec plus de tendresse que les fois précédentes. Elle allonge le bras, me prend la main en disant :



Je n’ai jamais fait l’amour avec une dame de son âge, mais ce ne serait pas pour me déplaire. Surtout avec elle, qui ne m’est pas indifférente. J’ai toujours été bien accueilli et je n’ai jamais eu l’impression de n’être que le type pour le volet, comme m’a une fois dit une cliente un peu snob.



J’ai rarement eu droit à un tel sourire.



Nous nous sommes séparés. Franche accolade de René, et petit bisou sur les lèvres de Denise, plein de tendresse en me regardant droit dans les yeux. On dirait une ado à la veille d’un premier rendez-vous.



* * *



Quand le lendemain je suis entré par derrière, directement dans la cuisine comme toujours, elle m’a pris dans ses bras et m’a embrassé sur les lèvres en passant timidement la langue. J’ai glissé mes doigts dans ses cheveux et nous avons partagé un long baiser plein de douceur.



Et elle m’entraîne vers la chambre. Une de ces chambres à l’ancienne, avec un grand miroir sur la porte de la garde-robe et un lit bien haut. Les rideaux sont tirés. Nous recommençons à nous embrasser. Il y a chez elle un attendrissant mélange de timidité et d’envie de le faire quand même. Je passe mes mains sur son dos, elle se colle à moi, toute cambrée en arrière ; j’ai une tête de plus qu’elle.


Doucement, je l’amène devant le grand miroir. Je me glisse derrière elle et je lui caresse les seins. Elle veut fermer les yeux pour mieux en profiter, mais je lui dis :



Lentement je tire vers le haut son pull. Elle lève les bras. Je découvre un joli soutien-gorge blanc, assez transparent. Ses seins sont menus ; elle a des airs de jeune fille. Puis elle défait la fermeture de sa jupe qui tombe à ses pieds. La petite culotte est assortie. Bravo : elle est encore coquette malgré les années ! Je décroche l’agrafe de son soutien-gorge et découvre ses seins, bien flasques, mais avec des tétons qui commencent à pointer. Je les prends en main : ils sont fort souples, mais que sa peau est douce… Elle me fait face et s’en prend à mes boutons de chemise. Je libère ma ceinture, et mon pantalon se retrouve à terre. Elle me prend la main et nous entrons dans le lit.


Nous nous enlaçons, nous nous caressons, nous nous bécotons. Nos mains parcourent nos dos, et glissent sous la ceinture de nos slips. Nous les faisons descendre en nous tortillant. Nous nous enlaçons ; elle glisse sa main entre nous et me caresse avec beaucoup de douceur. Mes doigts glissent le long de son ventre, passent à travers sa toison courte et clairsemée. Elle écarte les jambes et je laisse se faufiler un, puis deux doigts dans sa chatte déjà toute glissante. Léger soupir de plaisir.


Elle se remet sur le dos en écartant largement les jambes et m’attire au-dessus d’elle. Position classique du missionnaire, bien sûr, mais pourquoi compliquer les choses ? C’est elle qui me guide en elle, et doucement je commence mes va-et-vient. Elle remonte les genoux et croise les chevilles sur mes fesses. Je rejette la couverture. Éloge de la lenteur au début, mais elle s’impatiente et me pousse sur les fesses pour augmenter la cadence.


Il ne nous faut que quelques minutes pour arriver au septième ciel. Son orgasme n’est pas bien violent, mais son visage exprime une telle satisfaction… Je glisse lentement en dehors d’elle.

Nous changeons de position : je me retrouve sur le côté, derrière elle. Mes mains enferment ses seins ; je joue un peu avec les pointes qui relèvent la tête. Elle commence à me parler de sa vie avec René, des deux garçons qu’elle a connus avant lui. La pilule n’existait pas alors. Pour ne pas prendre de risques, elle les avait accueillis par la petite entrée des artistes. Cette évocation de ses souvenirs, racontée simplement, réveille ma virilité. Mon membre se pousse contre ses fesses, glisse dans son sillon.



Elle positionne mon gland contre sa rosette lubrifiée avec de la salive. Et lentement elle se pousse contre moi. J’entre assez facilement, sur toute ma longueur.



Je coulisse en elle, une main sur sa hanche, l’autre agace ses tétons. Je ne peux me retenir longtemps ; j’envoie quelques jets de semence dans son cul.


Nous avons pris une douche ensemble. Nous nous sommes rhabillées.

Sylvain avait dû partir, et René avait fait du café en nous attendant.