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n° 18103Fiche technique28617 caractères28617
Temps de lecture estimé : 15 mn
30/09/17
corrigé 06/06/21
Résumé:  Voilà une histoire que j'avais déjà publiée il y a 15 ans. Pour être très honnête, l'histoire ci-dessous n'est qu'un prétexte. En effet, je me suis amusé à glisser 27 contrepèteries plus ou moins érotiques dans le texte.
Critères:  fh soubrette pénétratio fsodo pastiche humour
Auteur : Pericles  (Epicurien marxiste, tendance Groucho !)      Envoi mini-message
CONtent de son SORt !

Voilà une histoire que j’avais déjà publiée il y a quinze ans. Pour être très honnête, l’histoire ci-dessous n’est qu’un prétexte. En effet, je me suis amusé à glisser 27 contrepèteries plus ou moins érotiques dans le texte. Allez, plutôt moins ; j’avoue que les contrepèteries qu’on trouve sur le marché sont souvent graveleuses.

À vous, chère lectrice ou cher lecteur, de les retrouver.


Le même texte est retranscrit ci-dessous avec les contrepèteries solutionnées.

Peut-être avec ce texte pourrai-je passer à la postérité (ou mieux, hériter à la poste) : je sens que mon Génie va Percer !

Bonne lecture…



_____________________





J’étais surpris : la comtesse de la Mite de Mésabis ne m’avait pas appelé depuis bien longtemps.



De fait, la comtesse est très jeune d’esprit ; jeune veuve, elle adore Les Nuls.



Je lui répondis :



Elle poursuivit :



Étrangement, la comtesse adore déménager. Que de gîtes cette femme habita !

Je lui répondis :



Cosette, c’est sa bonne.


Je me préparai et je partis très tôt. En fait, j’aime bien ce boulevard ; on y trouve des vendeuses pétillantes qui proposent de superbes fripes ; moi qui suis un épicurien à la recherche des sources du bonheur, qu’est-ce que j’ai pu déceler comme jolies demoiselles dans ces boutiques !

Enfin j’arrivai devant son immeuble. Je passai la loge du concierge qui me héla durement :



On reconnaît les concierges à leur avidité, aussi lui demandai-je l’étage de la comtesse en lui glissant quelques euros dans la main. Après qu’il m’ait indiqué l’étage, je montai et sonnai à la porte du duplex de la comtesse. Cosette, la bonne, vint m’ouvrir et m’amena dans le salon.



Vous ai-je dit que je suis professeur ? Quel beau métier, professeur ! Enfin, je digresse.



La comtesse me répondit :



De fait, Cosette nous apporte un énorme saladier de moules marinières qui sent vraiment bon.

Bonne de la comtesse, Cosette est une superbe jeune femme d’une trentaine d’années, avec des rondeurs placées où il faut et que j’ai toujours regardée avec gourmandise, m’imaginant allongé contre son corps voluptueux. De manière amusante, elle porte des tresses comme une petite fille de bonne famille.

Elle annonce le plat :



D’où vient cette lueur égrillarde que j’ai cru lire dans ces yeux ?

Nous dégustons donc les moules, avec la bonne qui s’est jointe à nous, puis arrivent les tomates farcies.



C’est vrai que la farce est excellente, et, le petit vin aidant, je me laisse à imaginer la charmante bonne se levant et entamant un strip-tease rien que pour mes yeux. Dans quelle extase je serais…

La comtesse me ramène à la réalité :



Je rétorque :



Après ce dessert, Cosette nous offre son jus, un café en provenance d’Afrique noire, au goût très corsé.



Par contre, les Africaines, si ! Mon sexe se dresse dans mon pantalon rien qu’à ce souvenir.

Cosette, qui n’a pas ses yeux dans sa poche, a remarqué la bosse qui déforme mon pantalon et me fait un clin d’œil des plus vicieux. J’en reste comme deux ronds de flan. Aurais-je une ouverture avec la charmante enfant ?

S’approchant de moi pour me resservir du café, elle en renverse malencontreusement sur mon pantalon.



Je regarde la comtesse pour quêter son approbation, mais je m’aperçois qu’avec la torpeur ambiante elle s’est assoupie dans son fauteuil. Je pense en moi-même « À quoi bon me pousser pour que je vous trompe, Comtesse ? » Je suis donc Cosette.


Elle monte à l’étage supérieur et, ouvrant une porte, elle rentre dans la lingerie où j’entre également. Elle referme la porte derrière moi et y met un tour de clé. Ceci fait, elle se retourne et, se collant à moi, elle m’embrasse à pleine bouche, promenant ses doigts sur ma verge qui continue à tendre la toile de mon pantalon.



Je me retrouve ainsi en caleçon et chemise devant la bonne qui s’empresse de laisser tomber à ses pieds sa robe de soubrette. Quelle surprise ! Sous cette robe qui remontait jusqu’au cou, elle ne porte pas de soutien-gorge. Ses seins sont magnifiques, en forme de poire, avec une large aréole plus foncée. Abaissant mon visage, j’aspire entre mes lèvres la pointe des seins tout en les caressant de mes deux mains.


Cosette n’est plus vêtue que d’un mignon tanga en satin blanc. Je le saisis des deux côtés et, au lieu de le faire descendre, je tire dessus légèrement. De cette manière, l’étoffe du slip s’insinue entre les grandes lèvres du sexe de Cosette.



Elle se tourne et dévoile ses fesses largement exposées, le tissu de la culotte partageant nettement les deux globes bien fermes en s’enfonçant dans le sillon.



Je la débarrasse alors de son tanga, le rejetant après en avoir humé le parfum. Elle fait de même avec mon caleçon. De la main droite je remonte le long de la jambe de Cosette, puis frôlant l’intérieur des cuisses, je ralentis mon parcours et continue de monter jusqu’à toucher les poils de son sexe. Là, je glisse la main derrière les reins de la bonne pour redescendre jusqu’à la raie des fesses.

Lentement, très lentement, je passe mes doigts sur son anus.

Elle se déplace légèrement pour me faciliter l’accès et j’en profite pour écarter les grandes lèvres de son vagin, découvrant un clitoris déjà érigé. J’introduis alors un doigt et pénètre une grotte douce, chaude, humide où mon index glisse facilement.


Maintenant le doigt à l’intérieur de sa chatte, je fais glisser le pouce jusqu’à son anus où je m’arrête quelques instants. Cosette n’ayant aucune réaction négative, j’accentue la pression de mon pouce qui doucement pénètre dans le cul ainsi offert. En gémissant, Cosette pousse ses fesses vers moi, secrète invite à la pénétrer plus en profondeur. J’alterne ainsi doucement la pression de mes deux doigts, les amenant à se toucher à travers les muqueuses qui les séparent.


Se courbant en deux, Cosette prend alors ma verge et la glisse dans sa bouche. Elle entame alors une superbe fellation puis, se relevant, elle s’accoude sur la planche à repasser :



J’obtempère et j’enfonce la totalité de ma queue dans le vagin de Cosette qui se met à gémir doucement. Petit à petit j’accélère, la possédant à grands coups de reins. Je la possède profondément, la consomme sans modération, son vagin ruisselant représentant l’Éden rêvé depuis si longtemps. Cosette m’aide en coulissant le long de mon sexe qui la laboure, appréciant visiblement ce déchaînement, cette possession sans merci de son intimité.


Je porte alors un doigt à ma bouche pour l’enduire de salive et je le positionne sur le petit œillet plissé de son anus. À ce contact, la seule réaction de Cosette est de gémir un peu plus fort. Encouragé, j’enfonce à nouveau mon doigt dans son anus et j’assouplis petit à petit le passage, le préparant pour assouvir un ultime fantasme entre ses fesses charnues.



La phrase de Cosette n’est pas tombée dans l’oreille d’un sourd ! Je saisis les globes de ses fesses à pleines mains, les écarte et admire le petit trou qui palpite dans l’attente de ce qui va suivre. Je présente alors mon sexe à l’entrée de l’étroit passage. Le gland entre aisément, et je n’ai plus qu’à pousser avec beaucoup de douceur. Cosette m’aide en écartant ses fesses avec les mains ; elle pousse même dans l’autre sens pour faciliter la pénétration. Petit à petit l’anneau anal coulisse le long de ma verge et enfin, emmanchée jusqu’au bout, mes testicules viennent buter contre ses fesses.



Mais dites donc, Cosette se lâche : voilà qui n’est pas pour me déplaire.


Doucement, je ressors ma queue, sans problème. Je pousse à nouveau et m’enfonce aussi facilement. Je commence alors un lent va-et-vient, appréciant la pression de l’anneau sur ma hampe. Je ressors intégralement et regarde cet anus qui pendant un instant reste béant, puis je replonge dès qu’il commence à se refermer.


Sur le mur en face de nous se trouve un miroir où je peux voir Cosette, les yeux fermés, totalement abandonnée à ce sexe qui lui fouaille le fondement. Ses tresses s’agitent dans le même rythme. J’aime ce rythme fou de ses tresses. Elle gémit doucement, porte la main à son clitoris et se masturbe d’abord lentement puis de plus en plus frénétiquement.


Je sens que le plaisir monte en moi, mais, gentleman, je désire que la bonne jouisse en même temps que moi. Je sens pourtant mon sexe se tendre : je ne vais pas pouvoir tenir plus longtemps, je dois éjaculer !

Je déverse alors de longs jets crémeux dans les entrailles de Cosette. Cette éjaculation provoque l’orgasme immédiat de Cosette qui s’effondre sur la planche à repasser, anéantie par cette jouissance. J’achève de me vider et mon sexe ramollit petit à petit, serré de plus en plus fort par les muscles internes de Cosette. Je retire enfin mon sexe, content de son sort, mais lessivé, la mine piteuse.




____________________




La même histoire ; les lettres à permuter sont en caractères gras.



Content de son sort




J’étais surpris : la comtesse de la Mite de Mésabis ne m’avait pas appelé depuis bien longtemps.



De fait, la comtesse est très jeune d’esprit ; jeune veuve, elle adore les nuls !



Je lui répondis :



Elle poursuivit :



Étrangement, la comtesse adore déménager. Que de gîtes cette femme habita !

Je lui répondis :



Cosette, c’est sa bonne.


Je me préparai et je partis très tôt. En fait, j’aime bien ce boulevard ; on y trouve des vendeuses pétillantes qui proposent de superbes fripes ; moi qui suis un épicurien à la recherche des sources du bonheur, qu’est-ce que j’ai pu déceler comme jolies demoiselles dans ces boutiques !

Enfin j’arrivai devant son immeuble. Je passai la loge du concierge qui me héla durement :



On reconnaît les concierges à leur avidité, aussi lui demandai-je l’étage de la comtesse en lui glissant quelques euros dans la main. Après qu’il m’ait indiqué l’étage, je montai et sonnai à la porte du duplex de la comtesse. Cosette, la bonne, vint m’ouvrir et m’amena dans le salon.



Vous ai-je dit que je suis professeur ? Quel beau métier, professeur ! Enfin, je digresse.



La comtesse me répondit :



De fait, Cosette nous apporte un énorme saladier de moules marinières qui sent vraiment bon.

Bonne de la comtesse, Cosette est une superbe jeune femme d’une trentaine d’années, avec des rondeurs placées où il faut et que j’ai toujours regardée avec gourmandise, m’imaginant allongé contre son corps voluptueux. De manière amusante, elle porte des tresses comme une petite fille de bonne famille.

Elle annonce le plat :



D’où vient cette lueur égrillarde que j’ai cru lire dans ses yeux ?

Nous dégustons donc les moules avec la bonne qui s’est jointe à nous, puis arrivent les tomates farcies.



C’est vrai que la farce est excellente, et, le petit vin aidant, je me laisse à imaginer la charmante bonne se levant et entamant un strip-tease rien que pour mes yeux. Dans quelle extase je serais…

La comtesse me ramène à la réalité :



Je rétorque :



Après ce dessert, Cosette nous offre son jus, un café en provenance d’Afrique noire, au goût très corsé.



Par contre, les Africaines, si ! Mon sexe se dresse dans mon pantalon rien qu’à ce souvenir.

Cosette, qui n’a pas ses yeux dans sa poche, a remarqué la bosse qui déforme mon pantalon et me fait un clin d’œil des plus vicieux. J’en reste comme deux ronds de flan. Aurais-je une ouverture avec la charmante enfant ?


S’approchant de moi pour me resservir du café, elle en renverse malencontreusement sur mon pantalon.



Je regarde la comtesse pour quêter son approbation, mais je m’aperçois qu’avec la torpeur ambiante elle s’est assoupie dans son fauteuil. Je pense en moi-même « À quoi bon me pousser pour que je vous trompe, Comtesse ? » Je suis donc Cosette.


Elle monte à l’étage supérieur et, ouvrant une porte, elle rentre dans la lingerie où j’entre également. Elle referme la porte derrière moi et y met un tour de clé. Ceci fait, elle se retourne et, se collant à moi, elle m’embrasse à pleine bouche, promenant ses doigts sur ma verge qui continue à tendre la toile de mon pantalon.



Je me retrouve ainsi en caleçon et chemise devant la bonne qui s’empresse de laisser tomber à ses pieds sa robe de soubrette. Quelle surprise ! Sous cette robe qui montait jusqu’au cou, elle ne porte pas de soutien-gorge. Ses seins sont magnifiques, en forme de poire, avec une large aréole plus foncée. Abaissant mon visage, j’aspire entre mes lèvres la pointe des seins tout en les caressant de mes deux mains.


Cosette n’est plus vêtue que d’un mignon tanga en satin blanc. Je le saisis des deux côtés et, au lieu de le faire descendre, je tire dessus légèrement. De cette manière, l’étoffe du slip s’insinue entre les grandes lèvres du sexe de Cosette.



Elle se tourne et dévoile ses fesses largement exposées, le tissu de la culotte partageant nettement les deux globes bien fermes en s’enfonçant dans le sillon.



Je la débarrasse alors de son tanga, le rejetant après en avoir humé le parfum. Elle fait de même avec mon caleçon. De la main droite je remonte le long de la jambe de Cosette, puis frôlant l’intérieur des cuisses, je ralentis mon parcours et continue de monter jusqu’à toucher les poils de son sexe. Là, je glisse la main derrière les reins de la bonne pour redescendre jusqu’à la raie des fesses.

Lentement, très lentement, je passe mes doigts sur son anus.

Elle se déplace légèrement pour me faciliter l’accès et j’en profite pour écarter les grandes lèvres de son vagin, découvrant un clitoris déjà érigé. J’introduis alors un doigt et pénètre une grotte douce, chaude, humide, où mon index glisse facilement.


Maintenant le doigt à l’intérieur de sa chatte, je fais glisser le pouce jusqu’à son anus où je m’arrête quelques instants. Cosette n’ayant aucune réaction négative, j’accentue la pression de mon pouce qui doucement pénètre dans le cul ainsi offert. En gémissant, Cosette pousse ses fesses vers moi, secrète invite à la pénétrer plus en profondeur. J’alterne ainsi doucement la pression de mes deux doigts, les amenant à se toucher à travers les muqueuses qui les séparent.


Se courbant en deux, Cosette prend alors ma queue et la glisse dans sa bouche. Elle entame alors une superbe fellation puis, se relevant, elle s’accoude sur la planche à repasser :



J’obtempère et j’enfonce la totalité de ma queue dans le vagin de Cosette qui se met à gémir doucement. Petit à petit j’accélère, la possédant à grands coups de reins. Je la pénètre profondément, la consomme sans modération, son vagin ruisselant représentant l’Éden rêvé depuis si longtemps. Cosette m’aide en coulissant le long de mon sexe qui la laboure, appréciant visiblement ce déchaînement, cette possession sans merci de son intimité.


Je porte alors un doigt à ma bouche pour l’enduire de salive et je le positionne sur le petit œillet plissé de son anus. À ce contact, la seule réaction de Cosette est de gémir un peu plus fort. Encouragé, j’enfonce lentement le doigt dans son anus et j’assouplis petit à petit le passage, le préparant pour assouvir un ultime fantasme entre ses fesses charnues.



La phrase de Cosette n’est pas tombée dans l’oreille d’un sourd ! Je saisis les globes de ses fesses à pleines mains, les écarte et admire le petit trou qui palpite dans l’attente de ce qui va suivre. Je présente alors mon sexe à l’entrée de l’étroit passage. Le gland entre aisément, et je n’ai plus qu’à pousser avec beaucoup de douceur. Cosette m’aide en écartant ses fesses avec les mains ; elle pousse même dans l’autre sens pour faciliter la pénétration. Petit à petit l’anneau anal coulisse le long de ma verge et enfin, emmanchée jusqu’au bout, mes testicules viennent buter contre ses fesses.



Mais dites donc, Cosette se lâche : voilà qui n’est pas pour me déplaire.


Doucement, je ressors ma queue, sans problème. Je pousse à nouveau et m’enfonce aussi facilement. Je commence alors un lent va-et-vient, appréciant la pression de l’anneau sur ma hampe. Je ressors intégralement et regarde cet anus qui pendant un instant reste béant, puis je replonge dès qu’il commence à se refermer.


Sur le mur en face de nous se trouve un miroir où je peux voir Cosette, les yeux fermés, totalement abandonnée à ce sexe qui lui fouaille le fondement. Ses tresses s’agitent dans le même rythme. J’aime ce rythme fou de ses tresses. Elle gémit doucement, porte la main à son clitoris et se masturbe d’abord lentement, puis de plus en plus frénétiquement.


Je sens que le plaisir monte en moi, mais, gentleman, je désire que la bonne jouisse en même temps que moi. Je sens pourtant mon sexe se tendre : je ne vais pas pouvoir pas tenir plus longtemps, je dois éjaculer !

Je déverse alors de longs jets crémeux dans les entrailles de Cosette. Cette éjaculation provoque l’orgasme immédiat de Cosette qui s’effondre sur la planche à repasser, anéantie par cette jouissance. J’achève de me vider et mon sexe ramollit petit à petit, serré de plus en plus fort par les muscles internes de Cosette. Je retire enfin mon sexe, content de son sort, mais lessivé, la mine piteuse.