Je terminais ma matinée de travail lorsque mon téléphone m’indiqua que j’avais reçu un message. Je ne travaillais pas l’après-midi et ma femme me demandait de ramener du pain. Juste après lui avoir répondu positivement, je reçus un second message. C’était une photo d’elle, nue en bas résille, avec des escarpins, un serre-tête rouge avec des cornes de diablesse sur la tête et un sourire coquin éclairait son visage.
Le message était : « Suis les instructions que tu trouveras en rentrant ! » suivi d’un smiley qui faisait un clin d’œil.
Mon sexe palpitait dans mon caleçon jusqu’à ce que j’arrive à la maison et j’en oubliai de prendre du pain. En entrant, je vis un papier sur lequel était écrit « Déshabille-toi, mets ce que j’ai préparé pour toi, puis mets-toi à genoux, reste silencieux et fais sonner la clochette. »
Je découvris, posés sur le plan de travail, ma cage de chasteté, un collier de cuir rouge, une laisse, un bandeau pour me cacher les yeux et une clochette. Une fois prêt, je suivis à la lettre le scénario que m’avait préparé ma belle, et j’attendis son arrivée. Le bruit de ses escarpins m’annonça son approche.
Elle marcha lentement autour de moi et je ressentis un contact contre ma nuque qui parcourut mon dos, ce qui me fit me cambrer davantage sur mes genoux.
- — C’est bien, tu as bien suivi mes instructions. Passe maintenant les mains dans ton dos s’il te plaît.
J’obtempérai et elle me passa notre paire de menottes.
- — Comme ça tu es parfait, mon cœur ! J’aime te voir nu, offert à ma merci avec ton sexe dans sa cage, et je sais que tu adores être mon petit soumis.
Elle tira sur la laisse pour allonger mon buste sur la table basse du salon, se plaça face à moi et me retira le bandeau. Je la découvris comme sur la photo, une paire de gants en dentelle noire aux mains et sa cravache en plus. Son serre-tête annonçait la couleur ! Elle était sublime et mon sexe commençait à se sentir très à l’étroit dans son carcan. Elle me contourna et malaxa mes testicules. Le contact de ses mains gainées de dentelle était tantôt agréable, tantôt douloureux lorsqu’elle serrait ses doigts autour de mes bourses.
- — Aujourd’hui tu vas faire tout ce que je te demanderai, OK ?
- — Oui ma chérie, tout ce que tu voudras !
- — Pour commencer, je vais profiter de ta position pour faire quelques marques sur ton petit cul, puisque tu as oublié le pain…
L’extrémité de sa cravache parcourut à nouveau mon dos, le sillon de mes fesses et s’arrêta sur mes testicules offerts. Elle commença à les tapoter, ce qui m’extirpa quelques gémissements, puis elle changea de cible pour viser mes fesses. La force des coups montait crescendo en même temps que la douleur et le plaisir, puis elle diminua la cadence et cessa son activité. Elle libéra mes poignets, me releva en tirant sur la laisse pour m’emmener devant le miroir afin de constater la couleur de mes fesses. Elle était ravie.
- — Ça m’a excitée de te faire mal, maintenant tu vas me faire jouir avec ta langue !
À ces mots, elle m’entraîna devant le canapé où elle s’assit et elle dirigea ma tête entre ses cuisses en tirant cette fois-ci sur mes cheveux. Sa petite chatte tout épilée était toute trempée de son désir et je me régalai de son clitoris pour lui offrir un orgasme qui ne se fit pas attendre longtemps. L’onde parcourut son échine et l’électrisa. Elle plaqua ma bouche contre son sexe trempé et j’en profitai pour introduire ma langue en elle. Nous sommes restés dans cette position le temps pour elle de reprendre ses esprits.
- — Humm, c’était très bien tout ça, mon petit soumis frustré ; fais-moi à manger maintenant, je meurs de faim ! C’est pas encore maintenant que tu seras autorisé à jouir, tu sais…
Elle avait revêtu son déshabillé noir, avait retiré son serre-tête diabolique, ses bas et était sortie fumer une cigarette, le temps pour moi de préparer le repas nu, le sexe enserré dans sa cage. À son retour, elle s’amusait à me titiller les tétons dès qu’elle en avait l’occasion pour le plaisir sadique de maintenir ma semi-érection, puis nous sommes passés à table.
Après le repas, je dus lui masser les pieds pendant qu’elle buvait son café et fumait une nouvelle cigarette, puis elle fila à la douche. Lorsqu’elle eut fini de se laver, elle m’appela.
- — Cet après-midi, j’ai rendez-vous mon chéri !
L’annonce me fit l’effet d’une bombe. Cela faisait des années que j’avais un fantasme candauliste, mais Mathilde n’avait jamais souhaité tenter l’expérience… enfin c’était avant ça ! Je la questionnai pour en savoir plus, mais elle m’interrompit sèchement. Elle m’a seulement expliqué qu’elle devait retrouver son rendez-vous dans un bar sur le front de mer. Je n’avais pas besoin d’en savoir plus, mais je devais l’aider à se préparer pour son rendez-vous !
Elle avait préparé une jupe et un top moulant que je l’aidai à mettre, et comme je lui faisais remarquer qu’elle n’avait pas préparé de sous-vêtements, elle m’expliqua qu’elle trouvait plus humiliant que ce soit moi qui choisisse le string ! Je portai mon choix sur un tanga rouge qui lui allait comme un gant, si j’ose dire. Alors que je remontais le tissu le long de ses jambes pour mettre le tanga en place, elle me saisit par les cheveux et empoigna de nouveau mes couilles.
- — J’espère que tu vas bander tout l’après-midi dans ta cage en pensant à moi et à ce que je fais… ou pas, d’ailleurs ! Tu iras chercher les enfants, et je ne veux pas un mot sur tout cela avant leur coucher, c’est compris ?
Ella lâcha mes couilles et pinça mes tétons avec un air supérieur.
- — Tu es dure avec moi, ma chérie…
- — Et tu aimes ça ! Alors pas de jérémiades. Bon, c’est l’heure, j’y vais !
Je dus lui attacher ses escarpins avant son départ, et en fermant la porte elle me dit :
- — À tout à l’heure ; je t’aime, mon petit soumis frustré !
Et elle me fit un clin d’œil.
L’après-midi fut interminable ; je pensais sans interruption à ce qui pouvait se passer, ce qui maintenait mon excitation et ma frustration. À 17 h, les enfants furent de retour, ce qui occupa mon cerveau ailleurs. Mathilde revint vers 18 h 30. Elle était belle, rayonnante, elle avait visiblement passé un bon après-midi, et cela m’excita de nouveau. Étais-je cocu ? Que s’était-il passé, comment, combien de fois… des questions se bousculaient dans ma tête, mais je devais patienter pour avoir les réponses.
Le repas fut à l’image de l’après-midi : interminable ! Je piaffais d’impatience et ma belle s’amusait à en rajouter, faisant de nombreuses allusions détournées. C’est moi qui me suis occupé de coucher les enfants puis je rejoignis Mathilde sur la terrasse. Elle avait remis son déshabillé, portait toujours son tanga rouge en dessous et elle fumait une clope, les jambes relevées sur le fauteuil d’en face. Je pouvais voir le fond de sa culotte, et il semblait trempé…
- — Enfin couchés ! J’en pouvais plus, ma chérie. Alors comment s’est passé ton après-midi ?
- — Pas si vite, Monsieur ! Baisse ton short et montre-moi ta cage ! Elle est toujours bien en place, c’est bien. Approche-toi que je puisse te toucher.
Tout en me malaxant les couilles d’une main, elle me regardait avec l’air satisfait de faire durer le suspens.
- — Écoute, je te laisse le choix. Soit je te retire la cage et nous faisons l’amour, mais tu ne sauras rien de mon après-midi. Soit tu restes frustré, mais je te raconte tout en détail… Choisis !
- — Tu parles d’un choix… !
Je fis mine de réfléchir, mais je voulais tout savoir, alors je choisis la seconde alternative, préférant satisfaire ma curiosité. Elle parut satisfaite de mon choix à en croire sa mine réjouie et elle lâcha mes couilles tout en écrasant sa clope.
- — Allez, viens, suis-moi !
Le short sur les cuisses, elle m’entraîna jusqu’à notre chambre en me tenant par la cage. Elle ôta son déshabillé, et s’allongeant elle me dit :
- — Déshabille-toi ; tu vas commencer par me masser le dos.
Je m’agenouillai sur ses fesses en prenant soin de ne pas la gêner avec la cage, j’étalai de l’huile sur mes mains et entrepris de lui masser le dos comme elle l’exigeait. Elle gémit lorsque mes mains se posèrent sur son corps.
- — Hummm… c’est agréable, mon chéri. Bon, je commence ?
- — S’il te plaît, oui ! Comment as-tu rencontré ce type ? Je le connais ?
- — Non, tu ne le connais pas… Je suis allée à la plage avec Léa et Sabine y’a 3 jours… Elles sont allées se baigner, mais j’avais un peu frais et je suis restée étendue au soleil. Là, une ombre me cache le soleil, j’ouvre les yeux… C’était un mec, souriant, pas mal du tout. Bref, il a profité que je sois seule pour venir me dire qu’il me trouvait sublime, qu’il n’avait pas pu résister de venir me complimenter lorsqu’il avait vu mes copines s’éloigner. Il s’est présenté ; il s’appelle Damien, il a 38 ans et il est dans la région pour quelques jours, le temps de quelques concerts pour lesquels il gère le son. Là, je l’ai questionné, je lui ai bien dit que j’étais en couple, mais il a tenu à me laisser un papier sur lequel il avait déjà noté son numéro de téléphone. J’avais pas du tout l’intention de l’appeler à ce moment, mais je l’avais trouvé charmant et sympa. En fait, je crois que j’ai fait un rêve érotique cette nuit, et ce matin je lui ai envoyé un texto…
- — T’as écrit quoi ?
- — En gros, que je l’avais trouvé sympa et je lui ai demandé s’il était dispo pour boire un verre ensemble avant son départ. Masse-moi les fesses, maintenant !
- — Et ?
- — À ton avis ? J’ai dit « OK, vers 14 heures ? » et là, je me suis dit « Comment je vais faire avec toi ? » D’où l’idée de te dominer et de te frustrer pour faire passer l’enveloppe plus facilement. Je suis sympa, après tout ; depuis le temps que tu me dis fantasmer sur le fait que j’aie une aventure avec un autre mec !
Je comprenais mieux son excitation de ce midi… Je malaxais les fesses de Mathilde au travers de son tanga et j’en fixais le fond suintant tout en écoutant ses révélations. Je me rendis alors compte qu’un fil pendait de ma bite à travers la cage, traduisant l’excitation provoquée par le début de ses aveux.
- — Il a dû apprécier ta tenue, mon cœur…
- — Oui, je dirais ça ! Il était déjà installé en terrasse lorsque je suis arrivée, tu sais, sur les banquettes en front de mer. Il m’a d’ailleurs complimentée, me trouvant plus belle encore que sur la plage, le flatteur ! C’est bon, mon petit frustré, tu peux arrêter de me masser les fesses ; retire ma culotte !
Se tournant sur le dos, elle observa ma cage et vit le filet qui en pendait. Elle me fixa alors, un large sourire aux lèvres ; elle savourait le moment.
- — Viens me faire une minette, que je te raconte la suite. Ouiii, c’est ça, doucement… Donc on a discuté de tout et de rien en sirotant un mojito. J’ai voulu me rendre aux toilettes, mais entre le soleil, mes talons et le mojito, je sais pas pourquoi j’ai perdu l’équilibre et je suis tombée sur lui, une jambe en l’air. Il a pu apercevoir ma culotte au passage et il a enchaîné en disant qu’il devait me faire un effet renversant. On a ri et je suis allée aux toilettes. En revenant, il m’a questionnée sur toi. Je lui ai expliqué que tu étais un mari permissif ; t’aurais dû voir sa tête ! Il était beaucoup plus détendu et la conversation devint plus émoustillante. Nous avions terminé nos verres depuis un bon quart d’heure lorsqu’il me proposa de me montrer sa chambre d’hôtel à deux pas de là.
- — Vu le goût de latex de ton minou, je devine la suite, ma cochonne !
- — Ta gueule, le cocu ! Contente-toi de lécher et d’écouter la suite !
- — À tes ordres, ma reine.
« Cocu » : le mot avait été lâché et mon sexe commençait à me faire mal ; en plus, cela me tirait sur les couilles, mais un filet continuait à s’écouler de mon méat.
- — Après avoir fait le tour du hall, de la piscine et des parties communes de son hôtel, il me proposa un thé dans sa chambre. Dans l’ascenseur qui nous y conduisait, sa main effleura la mienne, puis il tourna la tête et me sourit en s’approchant de moi. Lorsque ses lèvres touchèrent les miennes, ma bouche s’ouvrit et nous nous sommes embrassés en silence. Arrivés dans sa chambre main dans la main, il me fit visiter rapidement et m’entraîna sur la petite terrasse qui donnait sur la mer. Je me suis penchée pour observer la piscine de l’hôtel et il est venu se coller derrière moi. Je sentais sa queue dressée entre mes fesses. Je me suis retournée et nous nous sommes embrassés, nous sommes rentrés dans la chambre et nous nous sommes déshabillés l’un l’autre fougueusement. J’ai empoigné sa queue dressée et je l’ai masturbé pendant qu’il me caressait la poitrine et les fesses. Sa queue est plus grosse que la tienne, mon chéri ; j’adorais la sentir dans ma main et la branler ! Il m’a allongée sur le lit et est venu sucer mon clitoris. J’étais trempée et cela ne semblait pas le déranger ; il s’y prenait bien, très bien même ! Au bout de quelques minutes de ce traitement, j’ai atteint un premier orgasme et j’ai eu envie de le sucer à mon tour.
- — Eh ben, il a de la chance, le gars…
- — Tais-toi et concentre-toi sur ce que tu fais, sinon on arrête tout ! Oui, je l’ai sucé et j’ai aimé ça ; il a une bonne queue… Puis il s’est tourné et a sorti un préservatif, je me suis arrêtée, il l’a enfilé et je me suis placée sur lui. J’ai placé son gland à l’entrée de ma petite chatte trempée et je me suis lentement empalée dessus. C’était trop bon de sentir une nouvelle queue en moi, une bonne bite !!! J’ai commencé à coulisser sur lui et j’ai rapidement joui pour la deuxième fois. C’était puissant, je me suis immobilisée et mon corps a été parcouru de frissons intenses… Hummm, rien que d’y penser… Continue avec le bout de ta langue ! Je me suis allongée sur le dos et il est venu sur moi. Il m’a baisée comme ça pendant un moment puis il m’a mise à genoux et il m’a prise par-derrière, alternant la douceur et la brutalité. Je me suis mise à penser à ce que j’étais en train de vivre, toi à la maison, moi ici avec lui. Comme j’étais trempée d’excitation, ça faisait « flic-flac » à chaque coup de bite. Je me sentais salope et c’était bon. Dans l’action, je finis allongée sur le ventre. C’est dans cette position que j’ai joui à nouveau. Je crois que j’ai hurlé, t’aurais aimé voir ça ! Les contractions de mon vagin ont provoqué sa jouissance et il s’est écroulé sur moi en sueur… C’était bon de se sentir baisée… Oh ouiiiiii, continue… plus vite… OUIIIIIII ! Humm, c’était très bon, mon petit cocu. Aujourd’hui j’aurai joui cinq fois ! Montre-moi ta queue… Oh, mais tu coules de la bite ! Hi-hi-hi ! Ça t’a bien excité tout ça, j’ai l’impression !
- — Oui ma chérie, je suis très excité, j’en peux plus… Et après ?
- — Oui, bah n’oublie pas que tu vas rester frustré ! Sinon, après on a bu un thé en papotant sur sa terrasse et je suis rentrée !
- — Il repart quand ?
- — Dans trois jours. Et vu comme tu prends la chose, je crois bien que je vais le revoir avant ! Tu devrais faire gaffe à ce que j’y prenne pas trop goût ! Ça pourrait se retourner contre toi, il était très endurant, lui… Bon, maintenant allonge-toi à ta place et bonne nuit. Fais de beaux rêves, mon chéri. T’as qu’à penser à moi… ou au moment où je te retirerai ta cage et que tu auras le droit de jouir. Bisous, je t’aime, et merci pour cette journée.
- — Bonne nuit, mais la mienne risque d’être agitée…
- — Ouais, bah me dérange pas sinon tu risques de la porter encore longtemps, ta cage, mon petit cocu frustré !
Toute la nuit, des images de ma femme et de ce gars en train de baiser dans toutes les positions parcouraient mon esprit alors que ma queue, tendue au maximum qu’elle le pouvait dans sa cage, tirait sur mes couilles, provoquant une intense douleur. Il aurait fallu que je me calme, mais c’était impossible. Je pensais à cette future rencontre qu’elle venait d’évoquer ; avait-elle voulu me provoquer pour m’exciter davantage ? Peu probable, elle devait être sérieuse… « Putain ! Heureusement qu’il se casse bientôt celui-là ! »
Dans ces conditions, d’ailleurs pourquoi ne pas la laisser en profiter une dernière fois ?
Qu’en pensez-vous ?