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n° 18105Fiche technique18118 caractères18118
Temps de lecture estimé : 12 mn
01/10/17
Résumé:  La journée pleine de révélations d'un couple aimant les jeux de domination et le candaulisme.
Critères:  fh couple couplus extracon cocus hsoumis fdomine humilié(e) sm attache yeuxbandés fouetfesse
Auteur : Math et Phil
Quelle journée !

Je terminais ma matinée de travail lorsque mon téléphone m’indiqua que j’avais reçu un message. Je ne travaillais pas l’après-midi et ma femme me demandait de ramener du pain. Juste après lui avoir répondu positivement, je reçus un second message. C’était une photo d’elle, nue en bas résille, avec des escarpins, un serre-tête rouge avec des cornes de diablesse sur la tête et un sourire coquin éclairait son visage.

Le message était : « Suis les instructions que tu trouveras en rentrant ! » suivi d’un smiley qui faisait un clin d’œil.


Mon sexe palpitait dans mon caleçon jusqu’à ce que j’arrive à la maison et j’en oubliai de prendre du pain. En entrant, je vis un papier sur lequel était écrit « Déshabille-toi, mets ce que j’ai préparé pour toi, puis mets-toi à genoux, reste silencieux et fais sonner la clochette. »

Je découvris, posés sur le plan de travail, ma cage de chasteté, un collier de cuir rouge, une laisse, un bandeau pour me cacher les yeux et une clochette. Une fois prêt, je suivis à la lettre le scénario que m’avait préparé ma belle, et j’attendis son arrivée. Le bruit de ses escarpins m’annonça son approche.

Elle marcha lentement autour de moi et je ressentis un contact contre ma nuque qui parcourut mon dos, ce qui me fit me cambrer davantage sur mes genoux.



J’obtempérai et elle me passa notre paire de menottes.



Elle tira sur la laisse pour allonger mon buste sur la table basse du salon, se plaça face à moi et me retira le bandeau. Je la découvris comme sur la photo, une paire de gants en dentelle noire aux mains et sa cravache en plus. Son serre-tête annonçait la couleur ! Elle était sublime et mon sexe commençait à se sentir très à l’étroit dans son carcan. Elle me contourna et malaxa mes testicules. Le contact de ses mains gainées de dentelle était tantôt agréable, tantôt douloureux lorsqu’elle serrait ses doigts autour de mes bourses.



L’extrémité de sa cravache parcourut à nouveau mon dos, le sillon de mes fesses et s’arrêta sur mes testicules offerts. Elle commença à les tapoter, ce qui m’extirpa quelques gémissements, puis elle changea de cible pour viser mes fesses. La force des coups montait crescendo en même temps que la douleur et le plaisir, puis elle diminua la cadence et cessa son activité. Elle libéra mes poignets, me releva en tirant sur la laisse pour m’emmener devant le miroir afin de constater la couleur de mes fesses. Elle était ravie.



À ces mots, elle m’entraîna devant le canapé où elle s’assit et elle dirigea ma tête entre ses cuisses en tirant cette fois-ci sur mes cheveux. Sa petite chatte tout épilée était toute trempée de son désir et je me régalai de son clitoris pour lui offrir un orgasme qui ne se fit pas attendre longtemps. L’onde parcourut son échine et l’électrisa. Elle plaqua ma bouche contre son sexe trempé et j’en profitai pour introduire ma langue en elle. Nous sommes restés dans cette position le temps pour elle de reprendre ses esprits.



Elle avait revêtu son déshabillé noir, avait retiré son serre-tête diabolique, ses bas et était sortie fumer une cigarette, le temps pour moi de préparer le repas nu, le sexe enserré dans sa cage. À son retour, elle s’amusait à me titiller les tétons dès qu’elle en avait l’occasion pour le plaisir sadique de maintenir ma semi-érection, puis nous sommes passés à table.


Après le repas, je dus lui masser les pieds pendant qu’elle buvait son café et fumait une nouvelle cigarette, puis elle fila à la douche. Lorsqu’elle eut fini de se laver, elle m’appela.



L’annonce me fit l’effet d’une bombe. Cela faisait des années que j’avais un fantasme candauliste, mais Mathilde n’avait jamais souhaité tenter l’expérience… enfin c’était avant ça ! Je la questionnai pour en savoir plus, mais elle m’interrompit sèchement. Elle m’a seulement expliqué qu’elle devait retrouver son rendez-vous dans un bar sur le front de mer. Je n’avais pas besoin d’en savoir plus, mais je devais l’aider à se préparer pour son rendez-vous !


Elle avait préparé une jupe et un top moulant que je l’aidai à mettre, et comme je lui faisais remarquer qu’elle n’avait pas préparé de sous-vêtements, elle m’expliqua qu’elle trouvait plus humiliant que ce soit moi qui choisisse le string ! Je portai mon choix sur un tanga rouge qui lui allait comme un gant, si j’ose dire. Alors que je remontais le tissu le long de ses jambes pour mettre le tanga en place, elle me saisit par les cheveux et empoigna de nouveau mes couilles.



Ella lâcha mes couilles et pinça mes tétons avec un air supérieur.



Je dus lui attacher ses escarpins avant son départ, et en fermant la porte elle me dit :



Et elle me fit un clin d’œil.


L’après-midi fut interminable ; je pensais sans interruption à ce qui pouvait se passer, ce qui maintenait mon excitation et ma frustration. À 17 h, les enfants furent de retour, ce qui occupa mon cerveau ailleurs. Mathilde revint vers 18 h 30. Elle était belle, rayonnante, elle avait visiblement passé un bon après-midi, et cela m’excita de nouveau. Étais-je cocu ? Que s’était-il passé, comment, combien de fois… des questions se bousculaient dans ma tête, mais je devais patienter pour avoir les réponses.


Le repas fut à l’image de l’après-midi : interminable ! Je piaffais d’impatience et ma belle s’amusait à en rajouter, faisant de nombreuses allusions détournées. C’est moi qui me suis occupé de coucher les enfants puis je rejoignis Mathilde sur la terrasse. Elle avait remis son déshabillé, portait toujours son tanga rouge en dessous et elle fumait une clope, les jambes relevées sur le fauteuil d’en face. Je pouvais voir le fond de sa culotte, et il semblait trempé…



Tout en me malaxant les couilles d’une main, elle me regardait avec l’air satisfait de faire durer le suspens.



Je fis mine de réfléchir, mais je voulais tout savoir, alors je choisis la seconde alternative, préférant satisfaire ma curiosité. Elle parut satisfaite de mon choix à en croire sa mine réjouie et elle lâcha mes couilles tout en écrasant sa clope.



Le short sur les cuisses, elle m’entraîna jusqu’à notre chambre en me tenant par la cage. Elle ôta son déshabillé, et s’allongeant elle me dit :



Je m’agenouillai sur ses fesses en prenant soin de ne pas la gêner avec la cage, j’étalai de l’huile sur mes mains et entrepris de lui masser le dos comme elle l’exigeait. Elle gémit lorsque mes mains se posèrent sur son corps.



Je comprenais mieux son excitation de ce midi… Je malaxais les fesses de Mathilde au travers de son tanga et j’en fixais le fond suintant tout en écoutant ses révélations. Je me rendis alors compte qu’un fil pendait de ma bite à travers la cage, traduisant l’excitation provoquée par le début de ses aveux.



Se tournant sur le dos, elle observa ma cage et vit le filet qui en pendait. Elle me fixa alors, un large sourire aux lèvres ; elle savourait le moment.



« Cocu » : le mot avait été lâché et mon sexe commençait à me faire mal ; en plus, cela me tirait sur les couilles, mais un filet continuait à s’écouler de mon méat.



Toute la nuit, des images de ma femme et de ce gars en train de baiser dans toutes les positions parcouraient mon esprit alors que ma queue, tendue au maximum qu’elle le pouvait dans sa cage, tirait sur mes couilles, provoquant une intense douleur. Il aurait fallu que je me calme, mais c’était impossible. Je pensais à cette future rencontre qu’elle venait d’évoquer ; avait-elle voulu me provoquer pour m’exciter davantage ? Peu probable, elle devait être sérieuse… « Putain ! Heureusement qu’il se casse bientôt celui-là ! »

Dans ces conditions, d’ailleurs pourquoi ne pas la laisser en profiter une dernière fois ?

Qu’en pensez-vous ?