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Temps de lecture estimé : 9 mn
01/10/17
Résumé:  Une soirée chez les parents du futur marié qui nous perturbe, Sally - ma femme - et moi, Henry, son mari.
Critères:  fh vengeance jalousie voir lingerie fmast hmast -couple
Auteur : Broutchoux      Envoi mini-message

Série : Mustang Sally marie sa fille

Chapitre 01 / 02
Une soirée surprenante

« All you want to do is ride around Sally, ride Sally ride. »

Je ne pensais pas que je fredonnerais un jour cette chanson à double sens de Wilson Pickett en ressentant à la fois du plaisir et de l’inquiétude. « Ride Sally ride »…


Tout a commencé à l’occasion du mariage de notre fille. Ce jour de grande fête familiale, les deux familles qui se connaissaient à peine sont réunies pour une soirée que nous organisions depuis plus d’une année, avec ma fille, son futur mari et ses parents.

Guenièvre, la mère du mari, avait sympathisé rapidement avec Sally, mon épouse. Quant à moi, le courant passait bien avec Vladislaw, son époux, notamment pour les blagues à double sens, le bricolage et les différents alcools qui peuplent notre belle Europe, dont la Pologne, son pays d’origine…


Lors d’une de nos agréables soirées chez les Wosniczlakz où nous préparions les noces, Guenièvre avait installé mon épouse dans le canapé trois places aux côtés de son mari et s’était assise à côté de moi, dans le canapé deux places. Elle était tout contre moi. Je sentais la chaleur de sa cuisse contre la mienne, et chaque fois qu’elle se tournait vers moi pour me parler elle se frottait ostensiblement contre ma cuisse et touchait mon bras délicatement. Je sentais son doux parfum envahir mon espace ; elle m’hypnotisait. Je ne savais comment réagir, et Sally me lançait des regards incendiaires. Vladis montrait de l’agacement. Sa jalousie était perceptible ; pourtant il ne réagissait pas et laissait sa femme me provoquer. Je n’écoutais plus la conversion ; j’étais centré sur mon dilemme intérieur : laisser faire et profiter du réel plaisir que Guenièvre me procurait ou stopper avec tact cette situation gênante, pour ne pas compromettre les noces et les bonnes relations que nous avions avec ce couple ?



Ah oui, Henry c’est moi.


Cela m’arrive souvent d’être pris par mes émotions et de ne plus percevoir ce qui se passe autour de moi. Si on ajoute à cela un début de surdité, héritage de ma jeunesse rockeuse, le tableau qui énerve tellement ma Sally est complet.


Je repense au début de notre histoire à Sally et moi. Nous nous sommes rencontrés un soir de 1989 dans un concert d’AC/DC. Elle a marché sur mes pieds, m’écrasant les orteils. Pour ne pas tomber je me suis rattrapé à ses épaules, me retrouvant le nez plongé dans son décolleté déjà très généreux. Elle a ri à gorge déployée, s’est excusée : « Salut ! Moi c’est Sally. Je suis désolée, c’est l’ambiance… » ; je lui ai répondu en criant avec un rictus de douleur : « Pas grave, beauté, moi c’est Henry. » Elle s’est esclaffée, m’a embrassé rapidement sur la bouche – juste un smack – m’a pris par la main et m’a tiré vers les premiers rangs. Là, elle m’a enlacé : « Excuse-moi, mais Henry rencontre Sally, c’est pas banal ; nous sommes faits pour vivre ensemble. Je ne te lâche plus, beau brun ! » Et elle m’a roulé une pelle mémorable. Voilà, c’est son style direct : franc, même si cela ne fait pas toujours plaisir. J’en suis tombé raide amoureux, dans tous les sens du terme.



Est-ce que c’est la voix de Sally ou la main de Guenièvre sur ma cuisse qui me tire de mes pensées ?



Le ton de Vladis est à la fois ferme et courtois ; il me rappelle clairement à l’ordre quant à « sa femme » et « mon épouse ».



La soirée continue autour d’un bon repas. Cette fois c’est Vladis qui place tout le monde. Les maris sont face à face et à côté de leur épouse légitime. Le message est clair : pas de frotti-frotta sous la table, tout doit rentrer dans l’ordre. Pourtant, comme c’est Guenièvre qui fait le service durant toute la soirée et que son mari reste le cul sur sa chaise, j’ai toutes les occasions de profiter du décolleté de madame lorsqu’elle se penche pour remplir mon assiette ou mon verre. Elle a de jolis petits seins avec des tétons clairs, mais pointus, magnifiés par un soutien-gorge champagne quasiment transparent. J’admire aussi son fort joli postérieur qu’elle tortille allègrement dans sa robe droite moulante en s’éloignant vers la cuisine, dans le dos de son homme, mais face à Sally verte de rage qui garde sa contenance. Elle me pince discrètement et violemment la cuisse à chaque fois que mon regard s’égare.


Les mets se succèdent fort agréablement, arrosés de champagne, car Guenièvre « ne supporte que les bulles ». De temps en temps ma Sally – la seule qui ne boit pas d’alcool – se trémousse sur sa chaise, se redresse, puis se détend. Le repas se termine arrosé par une vodka polonaise de renom et un petit café.


Comme j’ai un peu trop bu et que je roule toute la semaine, c’est Sally qui prend le volant. Sur la route du retour, elle est silencieuse, mais pas inactive ; elle reprend possession de son homme. Sa main gauche sur le volant et la droite qui me caresse la cuisse et remonte dangereusement de plus en plus haut. En réponse, ma main se glisse sur le haut de sa cuisse, à la limite de sa jupe droite, remontée légèrement pour faciliter la conduite. Je la caresse doucement et remonte à la lisière de son bas rouge opaque autofixant. Il y a une tension érotique retenue entre nous.


Une fois devant chez nous, avec la télécommande nous ouvrons le garage et entrons la voiture. Une fois le moteur stoppé, ma belle décroche sa ceinture, se tourne vers moi avec un sourire carnassier, et toujours sans un mot plaque sa main sur mon entrejambe et m’embrasse avec passion. Un baiser profond, presque violent. Nos langues s’enroulent, nos dents se choquent. Dans un élan de passion, je glisse ma main gauche sous sa jupe et lui empoigne une fesse, glissant mon majeur sous sa culotte en dentelle, vers son œil sombre.



Elle sort de la voiture sans baisser sa jupe, ce qui me laisse une belle vue sur une fesse décorée par la dentelle rouge de sa culotte. Elle entre dans la maison après avoir monté les trois marches au fond du garage.


Aah, ces jambes décorées de bas rouges opaques et cette fesse mise en valeur par la jupe partiellement retroussée, juste masquée par la dentelle rouge, qui se dandine plus que de raison à chaque pas, à chaque marche, quel érotisme ! Je vais avoir du mal à marcher normalement ; quelque chose prend trop de place dans mon pantalon.


Je la suis. Elle se dirige directement vers notre chambre. À mon grand regret, elle se désape rapidement et se glisse sous la douche à l’italienne attenante. Je la regarde, admiratif de son corps. Elle se savonne, nue. Elle est belle. Un corps de femme en début de cinquantaine qui a enfanté plusieurs fois. Un corps aux formes généreuses, des hanches marquées, des fesses rebondies, mais fermes, et des seins à damner un saint, magnifiques, en poire, bien hauts, avec des tétons bruns larges et très érectiles.



Je ne dis rien, me déshabille à mon tour et la rejoins sous la douche. Je me glisse derrière elle, passe mes bras sous les siens, l’attire contre moi, lui couvre le cou de petits bisous et lui empoigne ses seins.



Elle se colle à moi et plaque son arrière-train contre mon braquemart déjà bien raide entre ses fesses.



Elle recule, me colle contre la paroi de la douche. Je suis coincé entre le verre froid et son corps bouillant.



J’ai un choc. Cette phrase me perturbe, elle m’inquiète. Qu’aurais-je dû percevoir ? Du coup, je commence à débander.



Disant cela, elle me masse le sexe avec son fessier, glisse la douchette entre ses jambes pour arroser en même temps son minou et mes roubignoles. C’est efficace : sous cette douce torture, je me redresse immédiatement.



Elle me parle avec une voix sensuelle, pas vraiment douce, avec des accents d’appel au sexe, plutôt vicieuse. Dans le même temps, le massage de ma queue entre ses fesses continue. Comment ne pas bander ?



Elle arrête de parler, dirige le jet de la douche directement vers son sexe, descend son autre main vers son clitoris. Elle soupire, m’écrase encore plus contre la vitre de la douche. Mon sexe est comprimé entre ses fesses qu’elle monte et descend avec de moins en moins de contrôle.



J’ai un choc !


Elle jouit contre moi, tremble tellement que ses fesses me font presque jouir. Je dois la retenir pour qu’elle ne tombe pas, ses jambes ne la tiennent plus. Un long feulement sort du plus profond de son être. Après quelques secondes d’une tension énorme, bouche ouverte, mais silencieuse à présent, elle s’effondre presque. Je la tiens contre moi ; sa tête part en arrière et se pose sur mon épaule. Elle est toute flasque et reprend petit à petit sa respiration. Après de longues secondes, elle se redresse, se retourne et m’embrasse tendrement.



Je n’ai pas joui et je bande à en avoir mal.



La garce, elle me raconte s’être fait branler par ce pervers qui l’a excitée toute la soirée, et elle est jalouse des regards que j’ai portés sur cette provocatrice de Guenièvre, alors que je ne l’ai même pas touchée. Quel culot !


En désespoir de cause, je me couche à ses côtés, contre ses fesses, et me branle pour me vider rapidement et abondamment sur ses fesses.