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Temps de lecture estimé : 14 mn
12/10/17
Résumé:  Julien, jeune étudiant en droit, se rend à une soirée déguisé en fille sexy.
Critères:  hh hplusag jeunes grossexe fête hdomine strip hféminisé travesti fellation anulingus hsodo init
Auteur : Juliedelure      Envoi mini-message

Série : De Julien à Julie

Chapitre 01
Ma première fois

Je m’appelle Julien, j’ai 20 ans et je suis étudiant en droit.

J’ai toujours eu un look pas hyper-viril, et avec les femmes, ça n’a jamais été facile.

Innocemment, mes rêveries érotiques déviaient vers l’homosexualité, d’abord des femmes, et ensuite, progressivement, des hommes.


J’aimais beaucoup les belles fesses, et il se trouve qu’on me complimentait souvent sur les miennes : rondes, blanches et imberbes. Il est vrai que pour les avoir déjà observées dans la glace, je trouvais aussi qu’elles ressemblaient à des fesses de femmes, et rapidement l’idée de les offrir à un homme frôlait mon esprit. Pour autant, loin de moi l’idée de passer à l’acte.


Je n’avais couché qu’une fois avec une fille, et j’espérais bien renouveler l’expérience. Je convoitais Mathilde, qui était très jolie, probablement trop pour moi ; mais nous nous entendions bien, et je me laissais berner par cette amitié pour m’imaginer avoir mes chances avec elle.


Nous passions une soirée après les cours à boire des verres dans un bar avec son amie Caro, quand Caro reçoit un texto : elle est invitée à une soirée déguisée qui a lieu le lendemain soir. Le thème est libre, mais le déguisement obligatoire. Mathilde veut absolument y aller et me demande si je veux venir. Je réponds qu’en appartement étudiant, je n’ai pas la place d’avoir un déguisement avec moi, et que je n’ai pas vraiment les moyens d’aller en louer un, et puis de toute façon, je n’aime pas trop les soirées déguisées…

Cependant Mathilde insiste. Quand elle a une idée dans la tête, je la connais, elle n’en démord plus, et me dit qu’elle a un déguisement tout trouvé pour moi : je m’habille avec ses fringues, en femme !


Ne m’étant jamais déguisé en femme, je mets tout de suite le holà, mais, pendant qu’elle insiste, je me dis intérieurement que cela peut être émoustillant, et puis céder à Mathilde, et me faire habiller par elle me rapprochera peut-être d’elle. Je résiste donc encore un peu avant de céder. Il est convenu que demain après-midi, je passerai chez elle me changer avant d’aller à la soirée.



———————



Lorsque j’arrive chez Mathilde, je m’imagine pouvoir mettre un déguisement « ridicule », pas très poussé. C’était sans compter la détermination de Mathilde qui semblait s’être mis en tête au contraire de pousser le goût du détail jusqu’au maquillage et aux sous-vêtements ! Comme d’habitude je mets le holà, comme d’habitude elle insiste, et au bout d’un quart d’heure, me voilà dans sa salle de bain en train d’enfiler string dentelle noir, bas noirs, porte-jarretelles, soutien-gorge, petit bustier.

La sensation avec les tissus est tout de suite troublante, et mon image dans la glace me trouble immédiatement : je prends conscience de mon look androgyne, imberbe, peau blanche, traits fins, cheveux mi-courts raides, l’illusion prend forme.


Mathilde toque à la porte pour savoir si elle peut entrer, je viens d’enfiler la petite robe noire et bleue qu’elle m’a donnée. Tout de suite, sa première réaction est de pousser un sifflement, elle semble également bluffée par mon look.


J’étais d’accord pour le maquillage, mais pousser jusqu’au vernis à ongle me semble un peu excessif. Mathilde insiste, je passe au vernis. Lorsque le déguisement est fini, je n’ai pas tant l’air déguisé puisque je ressemble à une jolie fille, un peu plate, certes, brune aux cheveux courts.

Mathilde s’est déguisée en homme : elle porte un costume rétro et de fausses moustaches. Je la taquine en la dragouillant, mais je n’ai pas vraiment l’impression que j’ai mes chances pour autant.


Nous descendons par l’ascenseur, et tout de suite, une appréhension me vient à l’esprit à laquelle je n’avais pas pensé : et dehors ? Et les autres, que vont-ils dire et faire ? Et penser ? Je commence à blêmir, et en plus le fait de marcher avec des talons, même s’ils ne sont pas très hauts, me déstabilise un peu plus. Pour autant Mathilde me guide, et rapidement je prends aussi bien confiance en ma démarche, d’autant plus que finalement, personne ne semble s’offusquer de mon apparence.


Nous montons dans sa voiture, passons chercher Caro, et direction la soirée ! Caro, habillée en diablesse, écarquille les yeux lorsqu’elle me reconnaît puis éclate de rire ; elle est bluffée au point de m’avoir d’abord pris pour une vraie fille. Nous rigolons, Mathilde me vanne en disant que je vais me faire pécho, et je pense effectivement qu’il va peut-être falloir que je sois plus vigilant que prévu. C’était sans compter la suite.



———————



Il est 21 heures lorsque nous arrivons, la soirée est déjà bien remplie, et la majorité a joué le jeu du déguisement : super-héros, légumes, prêtres, nonnes, diablesses, marins et autres cow-boys se mélangent sur la future piste de danse. L’apéro bat son plein, et nous nous fondons dans la masse. Le punch est sympa, nous discutons, je vois quelques amis de la fac, mais ils semblent ne pas m’avoir reconnu.

Cela m’amuse, et en plus, je me dis que ce n’est pas plus mal de ne pas croiser trop de gens qui me reconnaissent dans cette tenue.


La soirée passe, j’enchaîne les punchs, me détends au point d’user la piste de danse en me déhanchant de moins en moins timidement. Je taquine Mathilde, mais rapidement, elle est rejointe par Cédric, un mec qui lui tourne beaucoup autour ces derniers temps, et qui ne semble pas lui déplaire. Je continue de danser, mais Caro discute elle aussi avec un ami, et je me retrouve peu à peu à danser tout seul. Je commençais à m’ennuyer et à me trouver ridicule, alors je vais aux toilettes : bah des mecs, évidemment. Je ne comprends pas tout de suite pourquoi les deux mecs aux pissotières me dévisagent lorsque j’entre, mais ils éclatent de rire lorsque je me place devant l’urinoir, comprenant mon déguisement. On rigole, et ils me félicitent sur mon déguisement, je les remercie, puis je retourne au bar reprendre de ce punch sympathique.


Je bois mon verre… Mathilde est en grande conversation avec son chéri, Caro avec le sien… Je m’ennuie… J’en viens à demander comment rentrer si je m’ennuie : je suis dépendant de Mathilde ! Mes affaires masculines sont chez elle, j’ai les clefs de mon appart, mais je n’ai pas de voiture !


Je pensais à tout ça lorsqu’un homme âgé, la cinquantaine, cheveux poivre et sel, grand, costaud, m’adresse la parole :



On discute un peu, il s’appelle Patrick, et est déguisé en marin. Il est vraiment costaud et bel homme. Une femme qui doit être la sienne nous rejoint, on discute de choses et d’autres. Un morceau dansant commence, et nous dansons gentiment sur la piste de danse. Patrick danse avec moi, alors que son amie a trouvé un autre partenaire. Nous dansons l’un en face de l’autre, comme le feraient une fille et un mec, bien que ce mec me dépasse largement d’une tête. Le morceau fini, je retourne au bar. Je reprendrais bien un verre, mais je commence à être un peu bourré. Patrick me propose d’aller fumer une cigarette dehors, j’accepte.


Il est minuit et demi. On discute encore un peu, et je fais part à Patrick de mon problème pour rentrer. Il me répond qu’il ne va pas tarder et peut me déposer chez moi. Je saisis l’occasion au vol, il peut me déposer. Une fois la cigarette fumée, il propose « une dernière danse », je vais me servir un dernier verre et le rejoins.


Le morceau est plus sensuel, et Patrick un petit peu plus entreprenant que tout à l’heure : il me prend les mains et me fait tourner, frôle mes hanches, bref, un peu plus proche, et je suis un peu surpris du truc, mais finalement, me laisse faire, et joue le jeu. La musique est forte, pour s’entendre parler, il faut se hurler à l’oreille. Lorsque Patrick me fait tourner autour de son bras, il vient se caler derrière moi, et là, je sens une bosse relativement conséquente au niveau de son entrejambe ! Je m’écarte un peu, mais Patrick, par une légère pression du bras, me rapproche de nouveau de son corps, et la bosse que je sens de nouveau sur mes fesses ne me semble vraiment pas être son portefeuille ! Puis il me retourne de nouveau, je suis face à lui, et il me dévisage, grand sourire aux lèvres. Naturellement, je rougis et baisse les yeux : il est en train de me draguer, clairement ! Je n’ose plus trop le regarder dans les yeux tellement à chaque fois j’y vois une invite, mais continue de danser avec lui. Une nouvelle fois, il me retourne et frotte son bas-ventre sur mes fesses… et je me laisse faire. Je sens son souffle dans mon cou, et il me souffle à l’oreille « Ma chérie, avec moi c’est quand tu veux. » puis me retourne de nouveau et me fixe de nouveau !


Wow, carrément ! Je baisse les yeux, confus et gêné, mas il ne me lâche pas et continue de danser avec moi. Le morceau change, je danse encore avec lui, tout se bouscule dans ma tête : cet homme sait que je suis un homme déguisé, me drague ouvertement, et doit me ramener chez moi ? Je n’arrive pas à me décider entre fuir ou accepter en espérant qu’il se contente de me ramener, lorsqu’il m’interrompt dans mes pensées : « Je vais pas tarder, je te ramène, alors ? » Et moi, sans même réfléchir, je m’entends accepter.


Je ne sais pas où sont Mathilde et Caro. Je rentre dans la voiture de Patrick, une berline coûteuse. Sa « femme » n’est pas sa femme : c’était juste une amie. Nous rentrerons donc tous les deux.


Le début du voyage est silencieux. J’ai encore les mots que Patrick m’a clairement susurrés à l’oreille : « Ma chérie, avec moi c’est quand tu veux. » Mon cerveau est en ébullition. Et si je l’invitais à boire un dernier verre chez moi, comme une femme ferait pour clairement signifier à son homme qu’elle est disposée à avoir des rapports sexuels ? Alors je ne pourrais probablement plus faire machine arrière ! Et en plus, si je m’étais trompé, s’il blaguait ? Et puis quoi, avoir des rapports sexuels avec un mec ? « Mais vu ton déguisement, tu vas surtout te faire démonter le cul, c’est hors de question ! »


Encore une fois, c’est la voix grave de Patrick qui me sort de mes pensées. J’appréhende qu’il continue sur le thème de la drague, mais il me parle de tout et de rien. Finalement, il va peut-être me déposer devant chez moi, repartir, et je me serai fait une frayeur pour rien. Je me dis qu’il est vraiment bel homme, puis que, si jamais je devais essayer avec un mec, ça serait probablement avec un mec comme lui. Puis me viennent des images de moi, à quatre pattes, nu, en train de me faire culbuter par cet homme fort et viril… Puis me vient une demi-molle. Faut que je fasse gaffe, ça pourrait se voir sous la robe. Non, mais c’est évident, je ne vais pas lui proposer quoi que ce soit, il va me déposer, je vais rentrer chez moi, et tout va continuer comme avant.


Nous arrivons devant chez moi, et il me dit « Voilà ! », comme s’il n’attendait après rien d’autre. Je prends mes affaires, sors de la voiture, le remercie, et juste avant que je claque la portière, il me dit :



Je le regarde en souriant, ayant bien à l’esprit sa remarque de tout à l’heure… Je joue la vierge effarouchée :



Il me répond :



Je pensais qu’il blaguait, mais il insiste gentiment, et me voilà à accepter qu’il monte ! Les idées se bousculent de nouveau dans ma tête, me demandant ce que je fais s’il commence à me toucher.


Chez moi il n’y a pas d’ascenseur, seulement des escaliers en colimaçon. Je suis passé devant lui, il a donc sa tête au niveau de mes fesses. Nous arrivons au deuxième étage, devant chez moi, j’ouvre la porte de mon appartement. Je lui sers un whisky que j’ai, et je m’en sers un, il s’est assis sur la chaise de mon bureau, et moi je reste debout, appuyé sur l’armoire…



Son regard s’attarde sur mes jambes.



Je rigole et lui réponds que la question n’est pas innocente, et qu’il ne verra rien, et lui d’insister :



Clairement, je sens que si je commence à faire devant lui un strip-tease, la soirée va déraper. Et là, je me dis que je suis sapé en gonzesse, de la tête aux pieds, avec un mec qui a la cinquantaine, baraqué, viril, qui me demande de lui faire un strip-tease. Et que l’occasion est trop belle. Et que oui, j’ai envie d’essayer avec un mec. Et je finis par dire :



Je lance un morceau sensuel, me déplace devant lui, et commence à danser le plus sensuellement possible, en caressant mes hanches, remontant ma robe… Clairement, j’ai joué à « la fille » dans la soirée, lorsque je dansais, essayant d’avoir des gestes féminins. Mais pas autant que là, où je commence à me lâcher totalement, sachant que la machine est lancée, et qu’a priori cet homme a bien une idée derrière la tête.


Le spectacle semble beaucoup plaire à Patrick, qui me contemple, assis sur son siège, les jambes légèrement écartées. Je me rapproche de lui, et rapproche mon postérieur de son entrejambe, et le fais rouler devant… Je remonte ma robe et lui dévoile mon string, et j’entends un petit « Ah, putain… » lorsque mes fesses se présentent à ses yeux… Je me retourne, lui souris, et me mets à genoux devant son pantalon, ouvre la bouche et frôle son sexe à travers son pantalon…


Puis je retourne dans la pièce et commence à soulever la robe. Je dévoile ainsi porte-jarretelles et bustier, et Patrick laisse échapper encore quelques onomatopées. Il commence à se frotter l’entrejambe, où se dessine une barre dont la proportion semble plus généreuse que ce à quoi je m’attendais.


Je défais le bustier et reviens me dandiner devant son entrejambe, et il me dit :



La phrase provoque en moi un électrochoc ; d’une le fait de me parler au féminin, mais en plus de me traiter de salope, je sens des frissons partout.



Je souris et il continue :



Et il descend sa braguette et sort sa queue bandée, et surtout énorme !

Je bloque un instant. Elle avait l’air effectivement grosse à travers le pantalon, mais l’objet maintenant devant mes yeux, me semble un peu gros pour une première fois.



Effectivement, elle a l’air très sympa, mais n’ayant encore jamais touché la bite d’un autre, j’hésite encore un peu.



Et Patrick de se lever, et de presser mes épaules pour me faire mettre à genoux.

Je tombe nez à nez avec sa queue qui doit faire au moins vingt centimètres. Fébrilement, je pose ma main sur sa hampe, et commence à branler maladroitement. Je pose une deuxième main dessus, et lui lance un regard.



Je continue de le branler en fixant son gros gland qui se décalotte devant moi.



Et il appuie ma tête vers sa bite. Machinalement ma bouche s’ouvre, et je mets pour la première fois de ma vie une bite dans ma bouche, habillé en dessous féminins, vernis à ongles aux doigts.

Apparemment, je me débrouille pas mal. Patrick semble être aux anges.



Au bout d’un moment, il s’allonge sur le dos, sur mon lit, je le rejoins pour continuer ma fellation. Je le suce un moment, sa bite est vraiment énorme, je peux à peine mettre le tiers dans ma bouche, il me demande de lui sucer les boules, et sa main s’attarde sur mes fesses. Il me demande de me rapprocher de lui, et me caresse les fesses et la raie pendant que je continue de le sucer. Petits mots doux ponctuent mes bruits de succion, et il mouille un doigt de sa salive avant de l’introduire dans mon anus. J’ai un petit mouvement de recul de surprise, et il dit :



Il faut avouer que j’appréhende la sodomie, surtout avec un membre de cette taille-là.

Il continue de me préparer le cul avec ses doigts, allant jusqu’à m’enfoncer deux doigts dans l’anus. Il l’a mouillé de sa salive, et ses doigts glissent maintenant facilement dedans. Puis il se lève, me demande de me mettre à quatre pattes sur le lit, se positionne derrière moi et commence à me bouffer littéralement le cul.

La sensation est magique. Je sens ses poils de barbe piquer mes fesses, et sa langue sur ma rondelle provoque en moi des décharges de plaisir. Cela s’intensifie au fur et à mesure que Patrick pousse loin sa langue dans mon sillon. Il attrape, malaxe et claque mes fesses tout en me dévorant la rondelle, je gémis comme une petite femelle tant il me fait du bien.



Il enfile une capote, gel, m’enfonce du gel dans l’anus, puis me fait me mettre bien à quatre pattes, positionne son gland devant mon trou, et me demande de pousser comme pour aller aux toilettes, ce que fais. Je sens alors son gland glisser dans mon anus, et une douleur violente. Je lui demande de stopper, ce qu’il fait, il reste immobile, et si la douleur est vive, elle s’estompe rapidement, avant qu’il reprenne sa progression dans mon fondement.


Cela prend cinq bonnes minutes avant que sa queue énorme soit entièrement dans mon anus et, en attendant il rentre et sort doucement avec des mouvements de faible amplitude. Mais maintenant il semblerait que mon cul se soit assoupli, puisqu’il commence à aller et venir de plus en plus prestement dans mon cul, provoquant en moi des vagues de plaisir qui me poussent à gémir.



Patrick est assez expressif, dans l’action et je dois avouer que ça m’excite pas mal.



Il me baise en levrette un bon moment, faisant bien claquer mes fesses contre son bas-ventre, ponctuant bien d’insultes et de claques sur mes fesses. Puis il me retourne et me baise par-devant. Sa tête est devant moi, et il m’encule vigoureusement en me traitant de tous les noms. Sa queue me fait vraiment un bien dingue, et je l’embrasse tellement je me sens bien, sapé en femme sexy, en train de ma faire ramoner par un homme viril et puissant.


Ensuite il s’allonge sur le ventre, et je m’empale sur sa queue. Il en profite encore pour claquer mes fesses et me traiter de salope, avant de me reprendre en levrette. Le rythme commence à être soutenu, j’ai l’impression qu’il ne va pas tarder à jouir. Quant à moi, il suffit que je me masturbe deux minutes pour jouir tant je suis dans un état d’excitation avancée. C’est ainsi que nous jouissons ensemble, lui, la queue fichée dans mon fondement, et moi en me masturbant.


Nous soufflons un moment, et Patrick me demande si j’ai aimé en jouant avec des doigts sur mes fesses. Je lui réponds que j’ai adoré. Il répond que si j’ai aimé, on pourrait recommencer, qu’il adore les travestis. Je lui réponds très volontiers. Je sens qu’on va bien s’amuser tous les deux.