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Temps de lecture estimé : 29 mn
13/10/17
Résumé:  Une piqûre de guêpe sur le sexe de Fabrice l'oblige à passer ses vacances sans slip et en proscrivant tout rapport sexuel... ou presque.
Critères:  fh fff fbi jeunes asie couple copains vacances piscine douche amour voir nudisme massage fellation pénétratio fdanus hdanus jouet
Auteur : Audrey            Envoi mini-message

Série : Douceurs asiatiques

Chapitre 01
La piqûre

On sonne à la porte de Fabrice. Comme il est nu dans son appartement, il prend un tissu qu’il ajuste autour de sa taille en guise de paréo. Il regarde par l’œilleton et voit qu’il s’agit de Marion, sa meilleure amie et sa confidente. Il lui ouvre.


Marion est une jeune femme de 23 ans, grande, élancée, ses longs cheveux châtain souvent libres de toute attache tombent en cascade dans son dos. Son joli visage ne se départit jamais d’un sourire enjôleur et ses yeux pétillent, tels qu’on croirait y voir des paillettes d’or. Cette fille est une aventureuse, elle prend la vie à pleines dents et ne peut pas se satisfaire d’une existence tranquille. Elle a donc choisi dès ses 18 ans de quitter sa famille, la petite ville de province où elle se sentait étriquée, pour monter à Paris. Elle a enchaîné les petits boulots jusqu’à trouver une activité plus rémunératrice : modèle pour un photographe. La pudeur n’étant pas un souci, elle a posé sans problème pour des clichées érotiques, puis plus pornographique. Elle a pu constituer ainsi un petit pactole, lui donnant plus de liberté pour découvrir le monde. Elle est partie sur la route pour faire un tour du monde, non pas en ligne droite, mais avec moult tours et détours. Elle a découvert des pays et leurs habitants. Elle s’y est fait des amis, des amants et des maîtresses. À son retour en France, elle ne veut pas se poser, elle veut vivre. Elle a pour amis beaucoup de jeunes artistes graphiques pour qui elle pose, aimant montrer les beautés de son corps. Elle est également apparue dans une pièce de théâtre entièrement nue ou dans un ballet où aucun danseur ne portait le moindre tissu. Des rôles qu’elle endossa sans pudeur et avec un naturel absolu.


Fabien n’ignore rien de l’anatomie de Marion, en effet il l’a découverte sur papier glacé, puis comme modèle pour peintres. Impressionné par sa beauté et la lumière qui se dégage d’elle lorsqu’elle entre dans une pièce, il essaie de la séduire. Il aimerait prendre par la main cette fille pour partager ensemble des aventures qu’ils ne seraient pas près d’oublier.

Mais Marion l’a tout de suite arrêté :



Effectivement, Marion, au lendemain de son long périple a fait le point sur sa sexualité : « Je suis bisexuelle, puisque je baise avec des hommes et des femmes. J’aime faire l’amour avec les femmes. Par contre, en ce qui concerne les hommes, si je fais l’amour avec eux, c’est pour faire comme toutes les autres nanas, ou presque toutes. Il vaut mieux que je me cantonne exclusivement aux filles, c’est avec mes semblables que j’aime faire l’amour et que je prends du plaisir. »

Marion apprécie l’attitude de Fabien qui ne la harcèle pas sur ses préférences sexuelles. C’est ainsi qu’ils deviennent intimes, dans le sens amical du terme, et complices, ne se cachant rien.


Elle entre dans l’appartement et s’étonne de voir son ami avec ce paréo à la taille.



Fabien finit par dénouer son paréo pour montrer une verge qui apparaît aussi grosse et aussi épaisse que lorsqu’il est en érection. Par contre on ne peut la qualifier de conquérante. Marion, sans fausse pudeur regarde avec attention le sexe, s’en rapprochant même, sans toucher pour autant.



Fabien est sur le point de réajuster le paréo. Marion l’arrête :



Fabien n’a pas le choix, il décide de suivre Marion.



Julien découvre cette belle brune le jour du départ.



Il y a également Eiko, née à Kyoto avant de venir vivre en France. Elle a le charme tout particulier des jeunes Asiatiques à la fois timides et terriblement sensuelles et expertes dans les plaisirs sexuels. Elle avait pensé un temps devenir une geisha et s’était renseignée pour suivre une longue formation pour ce métier traditionnel qu’on associe trop souvent, en Occident, à celui de prostituée.



**********



Le voyage en voiture avec Marion et Flora comme conductrices en alternance est un calvaire pour Fabien, les contacts des vêtements avec son sexe étant très douloureux. Mais il ne peut voyager à poil. Aussi l’arrivée au centre naturiste est-elle vécue comme une délivrance. Il enlève ses vêtements mais noue autour de la taille un paréo. Pour la première soirée, il préfère en rester là.


Lorsqu’il se réveille aux premiers rayons du soleil, Fabien se dit que c’est le moment ou jamais de sortir du bungalow nu, alors que le centre paraît encore désert. Il n’en mène pas large. Il prend son courage à deux mains et veut aller jusqu’au bloc sanitaire tout proche. Et là, il se trouve face à un couple d’une cinquantaine d’années.



Au retour il croise deux femmes puis un autre couple, et il est étonné du détachement apparent de ces gens. Il regagne le bungalow tout heureux de son expérience. Ses colocataires préparent le petit-déjeuner. Il sent que tous les regards se posent sur son sexe.



Lucas et Eiko s’esquivent rapidement pour aller prendre leur douche. Ce n’est que quelques minutes plus tard que les deux lesbiennes et Fabien se rendent aux douches. Il s’agit d’une grande pièce sans séparation entre les femmes et les hommes. Tantôt un muret à hauteur de taille, tantôt une paroi, mais la plupart du temps les douches se succèdent le long du mur, avec de l’autre côté d’autres douches et les affaires (les serviettes plus que les vêtements) étant déposées sur des bancs, au centre d’une large allée centrale.


Fabien ne s’attend pas à une telle promiscuité. Marion et Flora qui sont venues avec gel et shampoing dans une main et serviette dans l’autre trouvent rapidement un endroit libre. Fabien hésite, Marion l’interpelle :



Mais finalement, le bienfait de l’eau, l’ambiance détendue et l’absence d’attirance sexuelle pour les deux filles (elles sont lesbiennes et donc inaccessibles) fait que Fabien n’a aucune érection. Les circonstances font que son sexe est un peu gonflé, mais la piqûre l’ayant fait grossir, c’est très peu visible. Lorsqu’il sort de la douche, il est ravi. Il a réussi à prendre une douche avec des filles nues sans bander. Il est très fier de lui, sachant que la vie naturiste résidera dans ce contrôle qui est nouveau pour lui.

De retour au bungalow, Lucas lui dit :



Les voilà tous les quatre déambulant dans le centre. Ils voient quelques personnes habillées, ce qui étonne Fabrice :



Finalement, c’est Lucas qui est le plus gêné de devoir déambuler nu au sein du centre. Il ne détourne jamais le regard lorsqu’une femme gironde ou une gracile nymphette se trouve à proximité, aussi a-t-il toutes les peines du monde à ne pas bander, et son sexe est sans cesse gonflé.



Fabrice, qui n’a pourtant aucune expérience, ne ressent pas la pression qu’il redoutait. On ne peut pas dire qu’il est comme un poisson dans l’eau, mais s’adapte à ce nouvel univers. Aussi l’après-midi, lorsqu’ils décident d’aller tous dans l’une des piscines, cela devient plus facile car c’est l’endroit le plus naturel pour être nu. Fabrice s’installe de telle manière à être à l’ombre ; un coup de soleil sur sa verge, déjà mal en point avec la piqûre, deviendrait problématique. Autour de lui, près de l’eau, tout le monde est nu. Lucas, toujours mal à l’aise, se cache négligemment avec une serviette ou un paréo et finit par s’allonger sur le ventre, dissimulant ainsi son vit toujours tendu.


C’est une fois dans l’eau que Fabrice prend le temps d’étudier les vacanciers. Si le spectacle provoque chez lui une érection, l’eau permettra de la dissimuler. Il constate que les gens autour ne lui prêtent aucune attention à la nudité, ni la leur, ni celle des autres. La nudité est naturelle ici. Et cela lui plaît beaucoup, lui qui associait des corps nus à une copulation obligatoire. Aucune remarque non plus n’est faite sur sa verge à l’apparence étrange. Il repense alors aux paroles d’Eiko : « Ici, ça nous aide à être à l’aise avec notre corps. On est moins regardées que sur une plage textile où les mecs matent les nanas aux bikinis minimalistes et bandent à la vue d’un téton nu. Tandis qu’ici on est tous nus, et contrairement à ce qu’on pourrait penser, personne n’ouvre les quinquets sur toi. D’ailleurs, si quelqu’un regarde avec trop d’insistance une autre personne, ça risque de provoquer de la gêne autant pour celui qui se fait reluquer que pour celui qui lorgne. Si on se montre, on ne le fait pas dans le but de choquer ; ce n’est pas de l’exhibitionnisme : si on regarde le corps des autres, on ne cherche pas à voir ou à assister sans être vu à une scène érotique. Ce n’est pas du voyeurisme ; il n’y a donc aucun problème. »



Cependant, le jeune homme s’interroge sur les rapprochements qui peuvent exister entre les garçons et les filles dans ce contexte de nudité. Comment se passe un flirt entre deux personnes du sexe opposé alors qu’ils sont face à face sans aucun voile ? Car si dans le centre il y a une sorte de pureté, les rapports sexuels existent et ne sont pas tabous dans l’intimité. Eiko, qui est la seule à pouvoir évoquer les relations entretenues par les hétérosexuels, lui dit :



Fabrice constate que l’érection est un faux problème, comme le lui précise un homme d’une trentaine d’années dont le mobile-home est tout proche du leur :



Encore qu’un matin où il a une forte érection, Marion et Flora disent en rigolant :



**********



Lorsqu’il est bien avec un groupe d’amis, Fabrice ne perçoit pas les tensions qui peuvent exister entre certaines personnes. Or, très rapidement Marion et Flora se défient de Lucas. Elles évitent de se trouver dans le bungalow avec lui en l’absence d’Eiko et de Fabrice. Aussi, c’est un soulagement pour elles lorsqu’il dit :



Eiko ne cède pas et Lucas part du centre naturiste sous le regard médusé de Fabrice qui ne comprend rien et n’a rien vu venir. Lucas lui explique en quelques mots :



Les filles confirment à Fabrice que les intentions de Lucas n’étaient pas pures :



C’est donc à quatre qu’ils poursuivent leur vie dans le centre naturiste. Fabrice se sent parfaitement bien en compagnie des trois filles sans qu’il n’y ait rien de sexuel entre elles et lui. Par contre, les trois lesbiennes prennent du bon temps, car depuis la rupture avec Lucas, Eiko passe ses nuits avec ses copines, formant un trio saphique. Le garçon perçoit les bruissements, les murmures et les cris étouffés. Cela le fait bander, cette position étant la plus confortable pour lui, car ainsi sa verge ne repose sur rien, suspendue dans les airs. Il aimerait pouvoir se branler en imaginant un ballet de corps se donnant du plaisir, mais c’est hors de question. Il imagine les trois corps nus des filles s’imbriquant les uns dans les autres ; il passe dans sa tête les images des photos ou vidéos qu’il a pu voir sur Internet.


« Eiko est allongée sur le lit, elle écarte les cuisses et remonte ses genoux pour que Marion, qui est à quatre pattes entre ses jambes, puisse accéder à sa chatte. Flora embrasse la jeune Asiatique tout en lui caressant les seins. Le sexe ruisselant est ouvert, léché, caressé. Le corps d’Eiko est secoué de spasmes d’excitation et de jouissance. Les positions changent et Marion offre une vision torride de sa croupe à Flora. Eiko, placée sous elles, lèche tantôt un sein, tantôt une vulve, tantôt l’œillet d’un anus. Les vagues de plaisir déferlent sur le trio, allant de l’une à l’autre des belles tribades telle une ola de supporters dans un stade… » Mais ce n’est que l’imagination de Fabrice qui produit ces images, car il a la délicatesse de ne pas chercher à percer l’intimité de ses compagnes de séjour.


Afin de cicatriser sa verge encore tuméfiée par la piqûre, le jeune homme l’enduit d’une lotion. Un jour où il débute ce soin, Eiko apparaît à la porte de sa chambre qu’il a omis de refermer. Il faut dire que le matin, pour rafraîchir le bungalow, on ouvre portes et fenêtres. La jeune femme asiatique est vraiment ravissante avec ses cheveux noirs comme l’ébène tombant sur ses épaules, son joli visage avec son petit nez légèrement épaté, ses lèvres bien dessinées et ses yeux bridés. Son corps est déjà bien bronzé, sans la moindre marque de maillot, avec deux beaux seins bien proportionnés. Son ventre est plat, mais sans maigreur, avec des petites fesses bien fermes et des jambes fines. Lorsqu’on regarde Eiko, on est frappé par son pubis garni d’une toison brune aux poils aussi soyeux que sa chevelure qui semble scintiller au soleil. Contrairement à ses copines, elle n’a pas sacrifié sa toison pubienne sur l’autel d’une prétendue beauté absolue.



Elle reste là, sans bouger, laissant Fabrice apprécier la vision qu’elle lui offre de son corps parfait. Il l’a vu, ce corps ; il a pu déjà en apprécier la beauté, mais pourtant il lui semble le découvrir à nouveau, du moins d’une façon différente, sous un nouvel angle. En même temps, elle ne quitte pas des yeux la verge qu’il enduit de pommade. Il en éprouve un peu de gêne, non de la pudeur – il n’en a plus guère – mais un certain malaise de se sentir ainsi observé dans un soin intime. Cependant, la proposition ne le laisse pas de glace, et lorsqu’elle monte sur le lit et colle son corps contre le sien, c’est l’attirance qui l’emporte sur la confusion. Il sent sa peau douce et l’odeur exquise de sa chair. Son regard se pose sur ses mamelons qui se dressent fièrement et sur cette chatte comme une fourrure magnifiquement entretenue.


Avec beaucoup d’autorité, elle prend la pommade, et avec une infinie douceur l’étale sur le vit pour la faire pénétrer. Fabrice en éprouve immédiatement un bien-être absolu et commence à bander avec ces soins qui ressemblent à des caresses.



Alors elle approche le visage de la verge qui, déjà gonflée, se détache de la cuisse sur laquelle elle était posée. Elle décalotte totalement le gland qui l’est à demi, et sans se servir des mains suce le bout rosé comme une tétine. Elle ne dépasse pas le frein, non qu’elle ne puisse pas enfoncer le dard plus avant dans sa bouche, mais pour ne pas abîmer la peau en convalescence. Lorsqu’elle retire la bouche, elle ne lâche pas le gland qu’elle parcourt avec le bout de sa langue, n’omettant aucune parcelle. Fabrice, qui n’a pratiquement pas éjaculé depuis la piqûre, est submergé par une vague de plaisir. Il tente de prévenir Eiko qu’il va éjaculer, mais elle garde le gland au bord des lèvres, et lorsque le foutre se répand dans sa bouche, elle ne se retire pas. Au contraire, elle avale les trois abondantes giclées de sperme.


Elle relève les yeux sur le garçon. Une coulée de liquide s’échappe de sa bouche, et c’est l’image de l’actrice de L’Empire des sens qui revient à la mémoire de Julien lorsqu’elle quitte le sexe de son amant après avoir avalé le fruit d’une fellation. Sauf que l’Eiko qui vient de le faire jouir est bien plus ravissante que l’actrice japonaise et terriblement plus perverse. En prenant garde à ne pas heurter la verge qui vient de décharger, elle plaque sa bouche contre celle de Fabrice qui reçoit dans un sensuel baiser une partie de son propre sperme. Il y a déjà goûté, naturellement, mais jamais aucune fille n’est venue boire son jus pour venir le partager ensuite dans un savoureux et sensuel baiser.

Puis Eiko embrasse son cou, parcourt son torse de ses douces mains, vient poser ses lèvres sur ses mamelons qui réagissent immédiatement à la stimulation en durcissant. Elle continue son exploration jusqu’à la naissance des poils pubiens, puis se relève pour demander :



Alors, piqué au vif (quoique cette piqûre soit moins douloureuse de celle de la guêpe sur son vit), il se soulève et l’embrasse tout en prenant ses seins en main. Il part à la découverte des délicieux seins de la belle Japonaise. Il suce, titille, pince, mord ses mamelons durs comme des bouts de bois. Ce sont des gémissements de plaisir qui s’échappent de la bouche d’Eiko.


Bientôt les doigts du jeune homme se posent sur le pubis de poils noirs, et très vite atteignent la vulve bien dessinée dans la toison. Sa bouche vient se délecter à cette fontaine du nectar crémeux qui s’en écoule. Le clitoris réclame des caresses qu’il reçoit, les petites lèvres s’ouvrent comme la corolle d’une fleur. Fabrice ne pourra pas venir planter son sexe dans ce jardin, alors il poursuit son exploration en plongeant deux doigts dans le vagin. Il fait des va-et-vient pour exciter la jeune fille qui soudain expulse une quantité impressionnante de jus et se cambre. Un orgasme soudain vient de lui couper le souffle.


Remis de leurs émotions, ils se précipitent dans les sanitaires pour nettoyer les traces de sperme et de cyprine qui zèbrent leurs corps. Ils sont l’un à côté de l’autre sous l’eau qui tombe en cascade sur leurs épaules. À ce moment, le regard qu’ils échangent n’est pas celui de deux partenaires sexuels satisfaits de leurs étreintes, mais celui de deux êtres amoureux. Fabrice en est certain : il est tombé amoureux de la jeune Japonaise. Pour Eiko, le sentiment est identique : elle aime Fabrice et constate alors qu’elle n’a jamais été réellement amoureuse, et tout particulièrement que son attirance pour Lucas n’était pas de cet ordre. Ils échangent un langoureux baiser, leurs corps comme soudés l’un à l’autre ; le garçon sentant la poitrine de la femme sur son torse prend conscience que sa verge se tend à nouveau. Personne dans les douches ne s’en offusque. C’est une image chaste de deux êtres nus, ayant la beauté d’une sculpture où rien n’est honteux. Ils n’ont pas besoin de parler : ils s’aiment.


De retour au bungalow, Marion et Flora regardent les deux amants. Elles ne disent rien et semblent attendre. Eiko se lance alors :



Les trois filles sont surprises et enthousiasmées par le petit discours de Fabrice. Il ne l’avait pas préparé, mais depuis longtemps il s’était dit que si un jour il tombait amoureux d’une fille bisexuelle, il ne ferait rien pour refréner ses escapades saphiques, qu’il ne voit pas comme des turpitudes.



Après un silence, Eiko demande à Marion :



Fabrice, qui n’est pas au bout de ses surprises, ne pense même pas à dissimuler à ses amies son sexe qui bande au point de lui faire mal. Mais cette douleur lui procure en même temps une jouissance au niveau de ses organes génitaux.


**********



Ils jouissent intensément tous les deux, Eiko ayant l’art de faire savourer des moments d’extase aux hommes en ne faisant qu’effleurer leur épiderme. Fabrice fait merveille avec Bob pour venir labourer les chairs délicates d’un vagin accueillant ou en détectant du bout des doigts un point G très réactif. Il découvre le plaisir d’explorer cette vulve palpitante sans éprouver le besoin d’y enfoncer sa queue qui pourtant bande magistralement.


Il apprécie les visites des doigts délicats de la jeune fille dans son anus partant à la découverte de sa prostate. Ces habiles stimulations provoquent chez lui des jouissances comparables à des orgasmes classiques, sans expulser la moindre goutte de sperme. Il n’imaginait pas qu’il puisse éprouver une telle jouissance ainsi.


Il constate que l’anus de la belle est lui aussi un conduit accessible, puisque Bob junior n’a besoin comme lubrifiant que de la cyprine coulante de la moule toute proche.


Enfin, le dernier jour des vacances, ils se décident à faire réellement l’amour. Eiko revêt la verge de Fabrice d’un préservatif et l’invite à la chevaucher et à venir en elle. C’est pour l’un et l’autre comme une nouvelle rencontre, une union qui se prolonge longtemps, très longtemps. À un moment, Eiko prend la verge de son amant et la dirige vers son anus.



Fabrice passe ses doigts dans le vagin humide et enduit l’anus de ses sécrétions, comme il le faisait avec le godemiché. La verge, déjà grosse, est à présent énorme, présentant une érection impressionnante. Il approche son sexe de l’anus de sa maîtresse, dirige son engin sur l’entrée du conduit et commence à la pénétrer lentement. L’ouverture se dilate, et malgré l’étroitesse du fourreau, il parvient à s’enfoncer progressivement, sans à-coups, tout en douceur. Pour autant Eiko gémit et pousse parfois des petits cris. Le pubis tout contre les fesses rebondies, Fabrice fait une pause. Puis, prenant la belle par les hanches, il commence des va-et-vient. Elle halète et gémit sourdement lorsqu’il accélère le rythme de ses mouvements.


Eiko monte vers les sommets du plaisir, son corps est couvert de sueur. En effet, quelques instants plus tard elle est saisie d’un orgasme dévastateur et sonore. Fabrice l’accompagne dans cette jouissance. Ce coït les laisse KO. Ils s’endorment ainsi dans les bras l’un de l’autre.


**********



Il est temps de quitter ce lieu où la vie de Fabrice a changé. Car c’est bien plus que sa sexualité qui a évolué durant ces vacances. Il sait qu’avec Eiko le lien ne va pas se rompre : elle habite à moins de dix minutes de chez lui, de l’autre côté du parc près duquel il réside. Fidèle à ses promesses, il accepte qu’elle continue ses relations lesbiennes. Cela ne lui pose pas de problème, étant si amoureux qu’il pourrait tout accepter venant d’elle, même – lui semble-t-il – si elle prenait un amant. Mais Eiko est bien trop amoureuse de ce garçon pour aller chercher un phallus autre part. D’ailleurs, avec ses amies, lors de leurs rapports, elle rejette l’utilisation des godemichés qu’on voudrait introduire dans ses chairs en disant :




À suivre…