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n° 18130Fiche technique17241 caractères17241
Temps de lecture estimé : 11 mn
21/10/17
corrigé 06/06/21
Résumé:  Après une dure journée de travail, dès les beaux jours, mon mari et moi, nous aimons aller nous détendre, nous promener, n'importe où, du moment qu'on change d'air, surtout oublier le stress de la journée.
Critères:  fh couple forêt exhib fellation pénétratio -couple
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message
Le voyeur du parc

Cette histoire est initialement basée sur une anecdote vécue en couple, puis le lendemain, ma femme avait écrit un petit texte à sa sauce, très à sa sauce ! Plus tard, avec son accord et son aide, j’ai modifié et augmenté celui-ci.

Contrairement à ce qu’elle laisse entendre, il faut rarement me prier deux fois pour que je lutine mon adorable coquine de femme, au-dehors comme au-dedans, j’ai ma dignité de mâle : D

Bonne lecture :)




Après une dure journée de travail, dès les beaux jours, mon mari et moi, nous aimons aller nous détendre, nous promener, n’importe où, du moment qu’on change d’air, surtout oublier le stress de la journée. Souvent, nous ne rentrons pas à la maison, nous allons directement au bon endroit. De ce fait, il m’arrive même de choisir au matin (avant d’aller au boulot) ma tenue de fin d’après-midi en fonction du lieu à visiter. Quitte à devoir me changer dans les toilettes, juste avant de pointer en fin de journée et de monter dans la voiture !


Aujourd’hui, nous sommes allés dans un grand parc public doublé d’un petit bois et d’une série de lacs entremêlés. Il fait bon, autant en profiter ! Main dans la main comme si nous étions des jeunes mariés, nous parcourons les allées, croisant des joggeurs, des cyclistes, des promeneurs, bref, des personnes qui ont sûrement besoin de grand air comme nous.


Après un premier petit tour, nous préférons nous éloigner de tout ce petit monde pour chercher un endroit tranquille, un petit coin d’herbe, sans personne aux alentours, pour profiter du calme, mais surtout pour pouvoir nous câliner tranquillement.


Nous trouvons notre bonheur, sous un arbre, la température est douce. Nous nous allongeons, c’est le paradis, ma tête posée sur la poitrine de mon homme, je ferme les yeux, je ne pense plus à rien. Sa main caresse doucement mes cheveux… Nos regards qui se croisent, nos lèvres qui se rapprochent, un premier petit bisou, puis un autre plus appuyé, nos doigts qui se cherchent, un moment à nous, rien qu’à nous. Nos baisers deviennent nettement plus brûlants et voraces !


Partie dans mon élan, je déboutonne sa chemise, j’embrasse son torse, je mordille ses tétons. Puis, jetant un coup d’œil aux alentours, je descends plus bas, caressant son sexe à travers le tissu de son pantalon. Je le sens grossir sous mes doigts, ce qui me fait jubiler ! Ça me donne alors l’audace de le sortir, le prendre dans ma bouche, de le lécher, de le déguster…


Je sens que cela lui plaît à la façon dont il se tortille, mais peu après, mon homme se retire de ma bouche et il se reboutonne prestement :



Mon mari ne répond pas tout de suite, marquant un temps d’arrêt, puis il finit par lâcher :



Je lui prends la main, je la passe en dessous de ma jupe, pour poser sur ma chatte :



Il me regarde avec des gros yeux ronds :



Boudeuse, je m’exécute en tentant toutefois de poser une main sur sa braguette, main qu’il chasse aussitôt. Tandis que je me relève, il en profite pour me mettre une petite tape sur les fesses. Furtivement, je regarde autour de moi, puis je soulève ma jupe :



Surpris, mon homme met un certain temps avant de réagir :



Nous avançons tranquillement. Sentant une présence, je tourne la tête, et là, je découvre dans un bosquet un jeune homme qui nous regarde. Jeune, peut-être pas, mais il m’a semblé être jeune. Tout de suite, je me dis qu’il a dû voir le spectacle. Peut-être pas, car nous étions un peu loin, il a simplement vu que j’avais levé ma jupe et c’est tout. Et puis comme on dit, « un cul vu, n’est pas perdu »…


Tout le long du chemin, j’asticote mon bigot de mari, je le pelote, je lui pince les fesses, je passe même carrément ma main dans son pantalon. Mais dès que je vois quelqu’un au loin, j’arrête, histoire de lui faire voir que je sais quand même de me tenir, puis l’alerte passée, je recommence de plus belle, une fois qu’il n’y a plus personne. Je vois bien qu’il essaye de se contenir, qu’il fait des gros efforts, mais la bosse dans son pantalon m’indique clairement qu’il aime ça ! Amusée par cette situation, je souris, lui demandant effrontément :



Il me regarde en souriant :



Et je chantonne aussitôt :


Get into the groove

Boy, you’ve got to prove

Your love to me, yeaaah

Get up on your feet, yeah

Step to the beat

Boy what will it be !


Celui qui me sert (hélas) de mari soupire bruyamment :



Mon homme hausse le ton :



Mais je ne prête plus l’oreille aux récriminations de mon homme, car à nouveau, je sens une présence. En effet, sur ma droite, je découvre la même tête que tout à l’heure. C’est furtif, car il s’est aussitôt caché, mais c’est bien le même homme. Donc, nous avons droit à un voyeur qui nous suit. Qu’a-t-il vu ? Que je pelote mon mari ? Que je lui pince les fesses ? Que je mets même carrément ma main dans son pantalon ?


Doucement, une idée germe dans ma tête :



Il soupire bruyamment, se gratte la tête. Je m’impatiente :



Qu’est-ce qu’il ne faut pas faire pour glaner un peu de plaisir ! Nous nous enfonçons dans la partie boisée du parc. De temps à autre, je jette un petit coup d’œil en arrière ; oui, notre voyeur nous suit. Après quelques recherches, nous trouvons notre bonheur, un coin de verdure bien encadré de buissons et éloigné des chemins. Alors que je m’assieds sur l’herbe, je découvre sous un buisson un préservatif, puis deux, et puis encore un autre, un peu plus loin. J’arrête de compter, sinon le romantisme de l’endroit va décliner. Quelque chose me dit que le coin est fréquenté.


Toujours est-il que mon prude de mari devient un peu plus entreprenant, il était temps ! Quand il est à l’abri des regards, il se transforme en petit pervers, mais sous le regard des autres, c’est Sainte Nitouche ! C’est trop triste ! Néanmoins, je ne vais pas bouder mon plaisir sous ses baisers enfiévrés et ses mains baladeuses…


Nos lèvres se séparent, j’ai dans l’idée de continuer, là, où j’en étais tout à l’heure. Je le repousse afin qu’il s’allonge dans l’herbe. Je descends plus bas, caressant son sexe à travers le tissu de son pantalon. Je le sens grossir sous mes doigts, ce qui me fait jubiler ! J’adore savourer ce pouvoir que j’ai sur le cinquième membre des mâles ! Ça me donne alors l’audace de le sortir, le prendre dans ma bouche, de le lécher, de le déguster…


Je sens que cela lui plaît à la façon dont il se tortille ! Et moi, j’adore sa sucette de chair bien raide et frémissante ! Oui, j’aime être une grosse dévergondée à mes heures… et autres épithètes comme gourgandine, perverse ou même salope…


Soudain, j’entends comme un petit bruit devant moi. Sans lâcher la queue que j’ai en bouche, je lève un peu le nez pour découvrir furtivement un visage qui commence à m’être familier. Mon jeunot veut jouer les voyeurs ? Pas de problème, je vais te lui en donner, moi, du spectacle !


Déployant tout mon art en la matière, je confectionne une longue et suave sucette à mon homme. Je sais qu’il adore ça, et moi aussi. De plus, mon voyeur semble apprécier ce que je suis en train de faire subir à cette belle queue bien dressée ! Je parie qu’il voudrait que je lui fasse la même chose ! Eh bien, non, c’est mon mari qui en profite !


Quoique… je me demande : si mon jeunot osait sortir de sa cachette, bite à l’air, qu’est-ce que je ferais ? Je pousserais des hauts cris ? Je le sucerais quand même ? Bonne question ! À bien y réfléchir, c’est une histoire de contexte et de feeling… En général, je dirai non, il n’y a qu’un seul homme avec qui je fais des grosses cochonneries. Mais je reconnais que parfois, une petite digression, ça fait du bien…


En attendant qu’il se passe peut-être quelque chose, je lèche, je suce, je tète, je suçote ce bâton de chair qui est à mon entière disposition, tandis que mon mari me caresse les cheveux, jouant avec quelques mèches. Je l’entends qui soupire d’aise, sa tige frémissante dans ma bouche m’indique clairement qu’elle se contient comme elle peut, histoire de faire durer le plaisir.


Durant tout ce temps, mon voyeur n’en perd pas une, et vu certains frémissements, je parierai qu’il est en train de se branler. Tu peux, mon coco, tu peux ! Et la suite va te faire cracher tout ton jus !


J’ôte de ma bouche la queue de mon mari pour lui annoncer :



Je me relève, je remonte ma jupe, présentant mon cul nu au bosquet où est caché mon voyeur, et sans trop de préambules, je m’assieds sur la bite bien raide de mon homme. Son engin entre en moi avec facilité, largement aidé par une chatte détrempée, parce que moi, dans le sexe, je ne fais pas semblant, contrairement à certaines !


C’est alors que commence une folle cavalcade, moi fichée, empalée sur cette belle queue qui me fait tant de bien ! Avide, mon mari capture mes seins, les faisant rapidement jaillir à l’air libre, les caressant, les pétrissant, les malaxant, tandis que je m’agite comme une vulgaire fille de joie autour de son joystick, autour de son pieu bien ancré en moi, bon gros pieu autour duquel je pivote, je virevolte, je m’agite, je tressaille. Dieu que c’est bon ! Trop bon !


Tu nous as suivis, petit voyeur ? Tu vas en avoir plein les mirettes !


C’est carrément un rodéo que je m’offre, bien embrochée sur mon homme. Je m’agite à lui déraciner la bite, à l’arracher de sa base pour l’avoir rien qu’à moi, rien qu’en moi, au fond de moi, afin qu’elle m’envahisse totalement ! Je vois bien, entre mes yeux mi-clos, que mon mari a du mal à se contenir, que sa queue est malmenée, mais je veux du plaisir, je veux mon plaisir, je veux qu’il éclate en mille morceaux, qu’il me transperce, qu’il m’irradie, qu’il explose, me dispersant partout !


Oh oui, un bon plaisir bien bestial qui m’expédie au septième ciel, au huitième, au neuvième !



C’est alors qu’une vaste vague me submerge, des petits cris rauques sortent de ma bouche avide d’air, je me sens remplie par plein de sperme chaud et gluant. Mon homme et moi, nous décollons, nous dérivons, les sens hagards, nos corps tressaillant !


Puis un voile noir s’abat sur moi ; vaincue, repue, je m’affale sur le torse de mon donneur de plaisir.


Le calme, le repos, la quiétude…


Avachie sur le côté, mon cul toujours bien en évidence et dirigé vers un certain bosquet, je suçote la bite flasque et gluante qui vient de me donner tant de plaisir. Tandis que je m’active mollement, je sens distinctement le sperme qui s’échappe de ma chatte, maculant ainsi ma cuisse de ses longues traînées luisantes.


En parlant de traînée, c’est un peu à ce que je viens de jouer devant un spectateur unique… mais peu importe, j’en ai bien profité ! Et mon voyeur aussi, je suppose. Je pense qu’il s’est éclipsé quand j’ai eu fini de nettoyer la queue poisseuse de mon mari. Non, il n’a pas osé de dire ou nous faire un petit coucou. Dommage, ça m’aurait amusée !


Un peu plus tard, main dans la main, mon homme et moi regagnons lentement la voiture, toujours baignés par le soleil et une douce brise. Alors que nous sortons du parc, mon mari se penche sur moi pour me murmurer :



J’ouvre de grands yeux étonnés, mais vu son air, je sais que je n’arriverai pas à en savoir plus, tout au moins maintenant. Néanmoins, je m’offre le luxe de lui demander :



Décidément, mon homme sait souffler le chaud et le froid, mais cette idée n’est pas tombée dans l’oreille d’une sourde !