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n° 18133Fiche technique23702 caractères23702
Temps de lecture estimé : 14 mn
23/10/17
Résumé:  Ça va faire à présent huit ans que je suis en couple avec Sébastien, mon mari. Hélas, je me suis mariée un peu trop jeune, je voulais échapper à ma famille, et en plus, j'avais un peu le feu au cul et la jambe légère...
Critères:  fh cocus voisins vengeance jalousie fellation 69 fsodo coprolalie
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message
Infidélités

Petit récit au scénario simpliste, issu de diverses confidences lues sur le web…

Bonne lecture.



État des lieux


Ça va faire à présent huit ans que je suis en couple avec Sébastien, mon mari. Hélas, je me suis mariée un peu trop jeune, j’avais à peine dix-huit ans, je voulais échapper à ma famille, et en plus, je reconnais que j’avais un peu le feu au cul et la jambe légère. Mais je reconnais que je suis bien tombé, concernant mon conjoint. Légèrement obsédé sexuel, Sébastien me comblait allègrement au lit, il me comble toujours, je n’ai rien à redire sur ses prouesses, oh que non ! Mais voilà, j’ai parfois besoin d’aller voir ailleurs, j’ai toujours et encore cette énorme envie de baiser sans relâche.


Quand mon homme s’est aperçu de mes infidélités, on ne peut pas dire qu’il ait apprécié. Surtout quand il a découvert qui était mon dernier amant :



Il a croisé les bras, l’air satisfait.



C’est le ton de son « je vois » qui aurait dû me mettre la puce à l’oreille. Je m’attendais plutôt à ce qu’il hurle, voire même qu’il me tape. Mais non, sa réaction a été très pondérée : Sébastien m’a rendu la pareille avec Irina, la voisine !


Que voulez-vous que je dise : je l’avais trompé (et pas qu’une seule fois, il n’a pas tout su, encore heureux), et en retour, il m’a trompé avec cette salope, une femme mature qui a au moins dix-quinze ans de plus que moi, toute en courbes, et qui ressemble un peu aux pulpeuses actrices italiennes des années cinquante. Oui, une belle pute sensuelle, cette femme, et j’ai vite compris que j’avais une sacrée concurrence avec cette voisine !


Mais j’aime les défis et j’aime mon mari.


Petit à petit, les choses sont revenues à la normale. Disons que je faisais nettement plus attention de ne pas me faire pincer. Et j’ai fait mon possible pour me faire pardonner (ce fut assez facile, le sexe, ça aide beaucoup) et le reconquérir. Quant à mon mari, il s’est moins affiché avec la voisine… Comme souvent, comme toujours, nous nous sommes totalement réconciliés sur l’oreiller, et je dois reconnaître que mon homme est toujours aussi performant au lit, voire plus ; il a visiblement appris auprès de la voisine certaines petites choses pas piquées des vers, et j’en profite bien !

Mais ne comptez pas sur moi pour la remercier, cette putain !



Punition


Mon mari était censé être au boulot, et paf, il débarque sans crier gare tandis que je suis en train de me taper une jeune bite, Arthur, un beau gosse de dix-neuf ans ! Ce n’est pas la première fois que nous baisons ensemble. Avec Arthur, j’éprouve un sacré plaisir, un plaisir différent. À chaque fois avec ce jeunot, je jouis comme une petite folle, des orgasmes légendaires ! Je commence à comprendre les cougars et pourtant, on ne peut pas dire que je sois vieille avec mes vingt-six ans…


Mais voilà, mon mari vient de rentrer inopinément du boulot, et mon amant du jour n’a eu que le temps de s’enfuir par la fenêtre, comme dans un film de seconde zone. Sébastien ne l’a pas surpris, mais comme il est loin d’être un imbécile, il a tout de suite compris ce qui venait de se passer, ici, dans la chambre conjugale.

Et puis, comme je suis en nuisette, à quatre heures de l’après-midi…


Je sais, je suis impardonnable, je n’aurais pas dû baiser à la maison, et en plus dans le lit conjugal. Mais voilà, j’avais une sacrée opportunité de m’envoyer en l’air avec mon Arthur adoré, je n’ai pas trop réfléchi, et voilà le travail, hélas…


Mains sur les hanches, mon mari soupire bruyamment :



À ma grande stupéfaction, mon mari ne se fâche pas, il ne hurle pas. Non, il retire calmement son pantalon, sa chemise, puis son slip. Il est à présent tout nu ; de ses bras puissants, il me pousse dans le lit, je m’affale dessus, puis me surplombant, il m’annonce :



Sans préambule et sans attendre ma réponse, il plaque sa bite sur mes lèvres. J’ouvre la bouche et je commence une énorme sucette, car j’ai quand même beaucoup de choses à me faire pardonner. De plus, je dois avouer que cette situation m’excite !



Je suce comme une folle, je joue de la langue autour de sa tige bien gonflée. J’applique toute ma science de la chose sur ce bout de chair bien raide et qui me procure bien du plaisir depuis tant d’années. D’après les quelques soupirs que j’entends plus haut, mon homme apprécie beaucoup ma dextérité et mon savoir-faire !



Sans ôter sa bite de ma bouche, je saisis ses deux boules pendantes, je les caresse doucement dans un premier temps, puis je les malaxe posément, sensuellement. Visiblement, Sébastien aime ma bouche autour de sa verge, et mes mains qui enrobent ses testicules.



Docile, je m’exécute, je happe une de ses boules que je mets au chaud dans ma bouche. Du bout de ma langue, je câline la peau douce et fine de ses testicules. Puis c’est au tour de son autre boule de prendre la place de la première. Et bien sûr, je m’applique du mieux que je peux.



Au moins, mon homme reconnaît mes talents en la matière ! Cette fois-ci, il y va de bon cœur, il me baise carrément la bouche, je suis le rythme tant que je peux. Sa queue s’enfonce profondément entre mes lèvres, la bave coule le long de mon menton, et je comprends vite que mon homme veut aller jusque dans ma gorge, souhaitant enfourner toute sa tige jusqu’à ce que ses boules s’écrasent contre mon menton ou mes joues !


Me renversant en arrière, je lui facilite la tâche. Sa bite s’enfonce dans ma bouche, toquant à l’entrée de ma gorge. J’ai un petit haut-le-cœur. Mais ce n’est pas la première fois que je pratique une gorge profonde ; en général, mes amants aiment beaucoup. C’est alors que je constate que ça fait un bon bout de temps que mon homme et moi n’avons plus pratiqué ce genre de chose. Lentement, sa queue s’introduit posément dans ma gorge, la déformant un peu. Je maîtrise mon réflexe de régurgitation, et peu après, deux couilles moites viennent s’écraser contre mon menton.



Que voulez-vous que je réponde, avec ma bouche et ma gorge remplies de la sorte ? Surtout quand on vous ramone la gorge ? Heureusement pour moi, Sébastien se retire bien vite. Une fois libérée, je respire un grand coup. Mais ce n’est pas fini, mon homme me le notifie bien vite :



Alors je recommence à m’occuper de son service trois-pièces, mais cette fois-ci, je glisse mes doigts vers le bas de mon ventre afin de me masturber. Mes grosses envies de sexe reviennent aussitôt, il faut dire que mon mari a cassé ma séance avec mon jeune amant, et que je n’ai pas été assouvie. Et comme mon homme veut manifestement me faire l’amour pour effacer la présence de l’autre (celui qui s’est enfui par la fenêtre), autant en profiter un max !


Alors, dans ce contexte, ces envies incontrôlables de baiser remontent en moi, et je me laisse aller. Tout en suçant, en léchant mon mari, je gémis sous la douce chaleur qui monte en moi. Je tète ses couilles, je mordille son gland, je suce sa tige, puis je branle sa queue entre mes seins, je sais qu’il aime ça, ce gros cochon ! Sans nous concerter, nous nous offrons un beau soixante-neuf, lui entre mes cuisses en train de me dévorer la chatte, et moi, sa belle sucette en bouche. Il ne me faut pas bien longtemps pour gémir, puis pour jouir sans aucune honte sous ses coups de langue. Dieu que c’est bon de jouir de la sorte, une bite en bouche !


Sa queue trempée de salive, impudiquement posée sur ma joue, je récupère petit à petit. Soudain, je l’entends me dire impérieusement :



Obéissante, je m’agenouille sur le lit, puis me mettant à quatre pattes, j’attends la suite, mon cul bien en évidence. Sans préliminaire, Sébastien me prend en levrette, enfonçant sa bite en une seule fois, bien au fond ! Encore heureux que je mouille comme une fontaine ! Puis agrippant mes hanches, il commence un pistonnage d’enfer, sa queue coulissant en moi de façon dantesque, dans des bruits incongrus de succion !


Parfois, dans l’action, il me met des tapes sur le popotin, faisant vibrer mes fesses. Je ne déteste pas, de temps en temps, la baise virile et macho. Mon homme le sait, et là, il se déchaîne, se vengeant en même temps. Même s’il est un peu brutal dans ses élans, moi, je suis très contente de la tournure des événements :



Sans répondre, Sébastien retire sa bonne grosse bite de ma chatte. Je suis étonnée qu’il s’en aille, mais l’instant d’après je comprends pourquoi : son gland appuie en force sur la cuvette de mon petit trou. Je serre les dents tandis qu’une sacrée tige entre en moi par mon anus. Encore heureux que c’est une pratique que je ne déteste pas, et je suis très excitée ! Peu après, je sens ce gros membre remplir tout mon cul, bien au fond. En transe, je me masturbe doucement, voluptueusement, gémissant sous cette intrusion et sous la caresse de mes doigts.



Il exploite, il explore mon cul à fond, me donnant des féroces coups de bite ! Tandis qu’il me défonce, mes doigts s’agitent frénétiquement sur mon clitoris ruisselant. Puis soudain, je jouis brusquement, telle une explosion inattendue. Je tombe dans un état second, enchaînant divers orgasmes. Mon cul toujours envahi, forcé, je flotte, je suis ailleurs, un truc de ouf qui dépasse tout ce que je connaissais jusqu’alors ! Et pourtant, je ne suis pas une oie blanche, croyez-moi !


Bien que très occupé à m’enculer, mon homme capture mes seins à pleines mains, s’en emparant sans vergogne comme s’ils étaient en plastique ou en caoutchouc. Il pince mes tétons, tire dessus quelques instants avant que ses doigts crochus s’enfoncent à nouveau dans la chair tendre de mes nichons. Ça vire un tantinet au sado-maso, mais curieusement, ça me fait du bien, une sorte de jouissance complémentaire à celle qui m’enveloppe actuellement.


Sa pine déchaînée limant férocement mon pauvre trou du cul, tel un lion en rut, il rugit :



Ce traitement décuple encore plus ma jouissance, et je pars aussitôt dans d’autres mini-orgasmes consécutifs ! Ses coups de boutoir sont de plus en plus amples, vastes, profonds. Soudain, il se cabre, puis jure :



À travers le brouillard dans lequel je suis plongé, je comprends que mon homme est en train de craquer et qu’il va éjaculer dans mon cul. Vicieuse, je remue sensuellement du popotin afin qu’il craque définitivement. Je l’entends alors grogner :



Quel vocabulaire, mon cher ! Ce qui ne m’empêche absolument pas de continuer mon petit jeu ! On verra lequel de nous deux est réellement puni ! Puis dans un long râle, il se crispe, se vidant en moi, remplissant mon cul de longues salves chaudes, tandis que je sombre à nouveau dans une double jouissance, celle de mille papillons qui me dévorent le ventre, et celle d’avoir fait craquer mon homme !


Puis, de longues minutes plus tard, mon mari se retire lentement, faisant lentement coulisser sa queue molle le long de mon conduit anal. Une fois sorti, il s’approche de moi et d’une voix impérieuse, il me commande :



Docile, j’écarte mes lèvres, il plonge alors sa verge visqueuse dans ma bouche, il joue de sa bite avec ma langue, puis il ordonne :



À nouveau, comme tout à l’heure, je m’occupe au mieux de sa bite qui durcit très vite sous ma langue agile. Peu après, il éjacule à gros flots, un sperme bien épais, visqueux. Obéissante, en bonne chienne que je suis, je bois, j’avale tout jusqu’à la dernière goutte. Puis je nettoie comme il se doit sa belle bite qui m’a donnée tant de plaisir !



Retour sur terre


Nous nous affalons sur le lit, vidés et repus, lui sur le ventre, la queue à l’air, et moi sur le ventre, les fesses bien en évidence, son sperme luisant au bord de mon petit trou du cul. Le calme après la tempête. Si c’est ma punition à chaque fois que je le trompe, je veux bien le tromper beaucoup plus souvent ! Enfin, pas tous les jours, car c’est épuisant !


Soudain, Sébastien se relève, me donnant une bonne claque sur les fesses :



Et à ma grande stupéfaction, ramassant ses habits, il quitte paisiblement la chambre. Puis quelques instants plus tard, la porte d’entrée claque. Il ne va quand même pas faire ce qu’il vient de dire ? Pourtant, je l’ai vidé, je lui ai asséché les coucougnettes, il ne doit plus y avoir dedans une seule goutte de sperme !


Comme hébétée, je reste figée, les minutes passent. Rien. Il ne revient pas. Sortant de ma torpeur, je me rhabille en vitesse, passant simplement une robe puis je me précipite dehors. Non, il n’est pas là en train de m’attendre. Sa voiture est garée sur le trottoir, donc il n’est pas parti avec. Sans trop chercher à comprendre, je vais voir cette fichue salope de voisine.


Sa porte est entrouverte, je suis perplexe, j’hésite, puis je me décide. Je passe d’abord la tête : personne, aucun bruit. M’enhardissant, j’entre lentement dans le couloir, je ne sais pas si je dois dire quelque chose, pour m’annoncer…


Soudain, une voix féminine retentit :



Je me retourne pour tomber nez à nez avec la voisine. Je bafouille :



Elle se fiche de moi ! Néanmoins, c’est la première fois que je remarque que cette salope a un petit accent. Il faut dire que depuis que mon homme m’a trompée avec elle, je ne lui adresse plus la parole. Et avant, comme elle avait emménagé à côté depuis une semaine, mes relations avec elle ont été très limitées. Elle serait peut-être bien italienne, à l’image de ces anciennes actrices, ou un truc comme ça. Je ne sais pas quoi faire : je rentre chez moi ? Je cherche mon mari chez elle ? Je lui arrache les yeux ?


Une voix masculine que je connais bien se fait alors entendre :



Flegmatiquement, mon mari surgit du salon. Je l’apostrophe :



Et en plus, il confirme ! Et cette pute de voisine qui sourit ! Je continue :



Sur le côté, la voisine semble visiblement s’amuser de plus en plus. Oui, je lui arracherai les yeux plus tard, mais pour l’instant, c’est mon homme qui me préoccupe. Me raccrochant aux branches comme je peux, je lui propose :



Je dois reconnaître que mon mari n’a pas tout à fait tort. J’essaye d’argumenter, je n’ai pas envie de le perdre, je n’ai pas envie qu’il se jette dans les bras de cette pute plus âgée que lui :



Un sourire navré aux lèvres, il s’approche de moi, tendant le bras. Je recule instinctivement. Sa main caresse délicatement ma joue :



Je commence à paniquer un peu :



Tordant mes doigts entre eux, je secoue la tête :



Je ne sais pas comment je vais faire pour m’en sortir. Je reconnais que j’ai la fesse légère, que mon mari me comble mais que j’aime aller voir ailleurs. De plus, cette pute de voisine est là, prête à l’accueillir dans ses bras. Je suis mal placée pour reprocher à mon légitime ce que je fais pour moi-même depuis un bon bout de temps. Bref, je suis mal barrée !


Je finis par lâcher un timide :



Mais assurément, ça n’a pas convaincu mon mari. De plus, ondulante, la voisine s’approche dangereusement de mon homme. Si elle l’approche encore un peu plus, je lui saute dessus ! Sébastien prend la parole :



Je déglutis faiblement, je n’aime pas trop ce chantage, surtout vis à vis de ma famille ! Toujours aussi calme, il se tourne vers la voisine, s’inclinant légèrement, lui demandant :



Je bous sur place, ces deux-là se font des salamalecs sous mon nez. Je soupçonne que tout ceci n’est qu’une comédie, mais je préfère ne pas prendre de risques. Je suis une spécialiste des incartades, et malgré ça, mon mari n’a toujours pas divorcé, ni même ne m’a mené la vie dure. J’aurais pu tomber nettement plus mal.

Je déteste cette situation dans laquelle je suis, sachant que j’ai peu d’arguments en main. Mon homme s’avance légèrement vers moi, me disant :



Je souris intérieurement, c’était un coup monté ! Un pas plus tard, mon mari se tourne vers la voisine :



Oui, c’était bien un coup monté, petit salopard, va ! C’est alors que je sursaute : mon homme se penche sur Irina et dépose un petit baiser sur ses lèvres. Puis ceci fait, innocemment, il me dépasse, tandis que je reste figée sur place. Il s’offre même le luxe de me dire :



Avant de refermer la porte derrière moi, j’entends distinctement la voix narquoise de la voisine dire à l’adresse de mon homme :



Et mon abruti de mari de répondre :



J’ai une envie folle de faire une scène de ménage, de tout casser, de le traiter de tous les noms d’oiseau et même pire, mais vu comment mon homme me regarde, je comprends vite que ça tournerait très mal pour moi.


C’est alors que je réalise que c’est maintenant que ma vraie punition commence…