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n° 18139Fiche technique46256 caractères46256
Temps de lecture estimé : 26 mn
27/10/17
Résumé:  Ce vendredi soir, Fabienne, ma femme qui finissait de visiter un de ses gros clients, est venue me chercher en voiture sur le chantier. Après le rituel petit bisou, nous avons commencé à discuter, ma femme surtout.
Critères:  fh couple danser cérébral voir exhib fmast fellation pénétratio fdanus jeu -totalsexe -internet
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message
Pâques égyptiennes

Cette histoire est issue originellement d’une ancienne liste de suggestions que j’avais à l’époque soumise à ma femme pour le prochain long week-end de Pâques…

Bonne lecture :)




Planifications


Ce vendredi soir, Fabienne, ma femme qui finissait de visiter un de ses gros clients, est venue me chercher en voiture sur le chantier qui était proche de son lieu de rendez-vous. Après le rituel petit bisou, nous avons commencé à discuter, ma femme surtout.


Elle commence par me raconter toute sa journée, les clients qui veulent rogner sur tout, sa direction qui rogne sur tout, les machins administratifs qui s’empilent dans tous les sens, les collègues qui s’en foutent parfois. Puis d’un seul coup, elle saute du coq à l’âne en parlant de notre fille :



Il est vrai que l’une de mes passions est l’Égypte des Pharaons, et que mes enfants ont bien accroché à cette période, notre aînée surtout. Ma femme soupire :



Elle a un petit geste agacé.



Je préfère diplomatiquement changer de conversation :



Et je sors ma petite feuille de papier. Sans lâcher le volant, Fabienne jette un rapide coup d’œil avant de soupirer :



Elle se tait, préférant se consacrer à la conduite. Il est vrai que nous arrivons sur un sacré échangeur et qu’il y a des véhicules qui arrivent de partout. Même si ma femme est multitâche, c’est préférable ainsi. Quelques minutes plus tard, la situation est plus calme. C’est elle qui reprend la parole :



Je la vois qui rigole ; elle me répond, moqueuse :



Ayant à l’esprit diverses fresques murales, je lui confirme :



Franchement, je n’en sais rien, je n’en ai pas souvenir ; ça se pourrait, mais je n’en mettrais pas ma main à couper. Je préfère passer à la suite :



Bon, maintenant, il faut que j’attaque le plus gros morceau :



Un petit silence se fait entendre, avec en arrière-plan le ronronnement du moteur de la voiture. C’est au bout de quelques secondes que ma femme daigne répondre :



Elle joue les dames altières, mais je sais pertinemment que ça l’amuse d’exciter son petit monde. À condition qu’on ne puisse pas la reconnaître. Je lui explique ce que j’ai prévu :



Ce n’est pas faux, surtout avec le papier peint que j’ai mis sur les murs du bureau. On pourrait en effet se croire dans une tombe d’époque, mais en plus lumineux et joyeux. Ma femme demande :



Les précédentes fois, j’avais bien imaginé certaines choses, mais au final, ça ne s’est pas passé comme je l’avais pensé. En général, ça a toujours été un peu plus loin que prévu, ce qui n’est pas désagréable !



Nous prenons la sortie qui mène chez nous ; elle demande :



Je préfère oublier de dire à ma femme que la déesse Hathor était souvent représentée avec une tête de vache, symbole de la fertilité. Je sens qu’elle n’apprécierait pas. Parfois, l’allusion au bovidé se limitait à une simple paire de cornes dans les cheveux ou au-dessus, mais ce n’est pas non plus très folichon. De nos jours, les cornes évoquent plutôt le fait d’être cocu(e) que la fertilité. Et je passerai aussi sur les amours incestueuses de cette déesse…


Doublant un camion, ma femme questionne :



Vu comme ça, oui. Quoique Vénus était un tantinet volage et a fait quelques coups en douce. Comme tous les dieux, d’ailleurs. Il reste quelques kilomètres à parcourir. Fabienne demande :



Son ton est très ironique, je continue quand même :



Cette fois-ci, sa réponse est plus amusée. Je poursuis :



Elle me regarde d’un air assez étrange avant d’asséner :



Je suis assez étonné :



J’espère bien qu’elle changera d’avis d’ici demain soir. Au pire, je peux couper la poire en deux en incarnant Osiris, le dieu juge des morts, souvent représenté momifié mais avec une tête de pharaon… quoique ce dieu fut émasculé par son frère, une ablation que je ne me souhaite absolument pas, même si avec trois enfants je n’ai plus trop besoin de prouver mes talents reproducteurs !



Préparatifs


Les enfants sont depuis une bonne heure chez leurs grands-parents, et moi, de retour chez nous, je m’active dans mon bureau pour la webcam du soir. Je viens de finir le diaporama que j’incrusterai grâce au fond vert. Celui-ci est déjà mis en place contre un mur. J’aurais pu utiliser comme fond mon papier peint égyptien, mais je crains qu’il soit reconnu par certaines personnes, surtout certains célibataires de mon boulot qui traînent souvent sur les sites de cam. L’une de nos premières fois, ma femme s’était déguisée en sorcière très sexy. Eh bien, des collègues m’ont parlé d’elle, sans savoir toutefois que c’était ma femme. Ça avait beaucoup amusé mon exhibitionniste de Fabienne de savoir que ces hommes l’avaient trouvée fort à leur goût. Encore heureux qu’elle avait ce jour-là une longue perruque noire et blanche, ainsi qu’un loup sur le visage, sans parler du rouge à lèvres qui lui donnait une bouche deux fois plus grande.


Depuis, je fais encore plus attention, car par la suite j’ai eu droit à des échos de nos webcams au boulot. D’ailleurs, Fabienne me demande toujours ce que mes collègues ont pensé de la dernière cam. Je suis flatté que ma femme soit le fantasme de certains, mais si on découvre à mon boulot que Fabienne fait parfois des cams osées, je risque d’en entendre parler durant longtemps, et ça risque même de poser des problèmes dans le déroulement de ma carrière quoique mon directeur est un sacré queutard, mais ça m’embêterait qu’il ait des idées sur ma femme !


Exhiber, oui. Forniquer, non !


Il faut que je finisse cette installation. Je dispose quelques statues classiques dans le champ de vison de ma webcam. Je fais quelques réglages, c’est OK. Je teste l’incrustation, ainsi que la circularité du diaporama ; c’est aussi OK. Satisfait de moi, je sors du bureau. Vêtue d’une belle robe asymétrique que je ne lui connais pas, Fabienne vient vers moi.



Elle recule un peu, m’examine, puis se ravise :



Aussitôt, je la capture dans mes bras, la plaque contre moi pour lui faire sentir mon érection et je l’embrasse. Elle se laisse faire. Quand je la libère, elle ricane :



Je fronce des sourcils :



Je fais glisser mes mains de son dos vers ses fesses. C’est alors que j’ai une autre surprise :



Elle exagère un tantinet, mais il y a un fond de vérité. Je rétorque :



Pour couper court, je l’embrasse à nouveau. Quelques instants plus tard, nous montons dans la voiture ; je prends le volant. Je constate qu’elle s’assied lentement sur le siège. Intrigué, je lui demande :



Les deux mains agrippées sur le volant, j’ouvre de grands yeux quand elle m’annonce placidement :



Et c’est sur ces bonnes paroles que nous sommes partis au restau. Inutile de dire que je n’avais qu’une seule hâte : revenir pour profiter de ma femme, webcam ou pas webcam !



Avant la webcam


Je ne vais pas vous raconter en détail ce que nous avons fait au restaurant. Mais j’ai quand même réussi à caresser les fesses de ma femme puis à débusquer sous mes doigts, mais hélas par-dessus le tissu, le disque extérieur de son rosebud. Je dois reconnaitre que ce fut la fête dans mon pantalon !


J’aurais préféré glisser ma main sous sa robe, mais c’était difficile d’y parvenir. Ma femme s’est moquée gentiment de moi. Elle adore jouer de temps à autre les garces, et moi je réagis au quart de tour. Malgré les enfants qui ne nous facilitent pas toujours la tâche au quotidien, nous sommes restés assez « jeunes mariés ».


À peine sommes-nous dehors que je ne peux m’empêcher de caresser impudiquement le cul de ma femme, et surtout ce qu’elle a entre les fesses. Elle s’en offusque faussement :



Puis nous revenons à la maison. N’y tenant plus, une fois arrivé dans le couloir, je soulève sa robe pour mettre à nu son mignon petit cul. J’ai alors le plaisir d’admirer l’œil rouge d’un rosebud bien calé dans les profondeurs intimes de ma femme ! Puis je plaque deux énormes bisous sur les douces fesses de cette aguicheuse.



Elle s’échappe en riant tandis que je me dirige vers le bureau afin de relancer mon mini-studio de diffusion. Je fais à nouveau un test général : tout est OK. Il ne me reste plus qu’à attendre mon actrice. Je lui ai fait voir quelques images de danseuses égyptiennes ; elle m’a répondu qu’elle choisirait le moment voulu.


C’est alors que je réalise que c’est la première fois qu’elle va s’exhiber sur le thème de l’Égypte alors que c’est mon sujet préféré. Sans doute la crainte d’être démasqué par mes collègues. Mais comme nous avons déjà utilisé plusieurs thématiques, ma passion sera noyée dans le tas. Tout au plus, mes collègues me diront mardi matin que j’aurais dû regarder samedi soir une certaine cam avec un sacrée bonasse (leurs propos) habillée à l’égyptienne. Je parie même que Dominique va se faire un plaisir d’enregistrer toute la séance. Il m’a déjà proposé diverses fois des vidéos, dont celles de ma femme. S’il savait !


Bon, maintenant il faut que je me travestisse en momie. J’ai déniché un ancien pyjama blanc que je viens de revêtir. Puis armé de bandes Velpeau et d’un rouleau de scotch, je me momifie petit à petit, prenant néanmoins soin de laisser au dehors mon sexe. Pour la tête, je mettrais un masque, j’en ai quelques-uns.


J’entends un bruit derrière moi ; je me retourne : ma femme est vêtue du strict minimum, voire du minimum du minimum, et ça lui va très bien ! Elle n’a pas mis de voile sur son visage. En effet, avec sa perruque et son maquillage, il est quasiment impossible de la reconnaître. Même moi qui la connais si bien, si je la croisais dans la rue, j’aurais du mal. Quoique, comme j’ai appris par cœur les moindres recoins de son mignon corps, je pense que je la reconnaîtrais quand même grâce à sa plastique.


Mis à part un léger voile sur son corps nu, elle est uniquement habillée d’une ceinture assez lâche qui ne laisse rien ignorer d’un petit bosquet niché en haut de ses jambes. De plus, elle a joué le jeu en maquillant en rouge ses tétons, idem ses lèvres et aussi ses ongles. Sans parler du khôl dont elle a cerné ses yeux.



Ce n’est pas en ces termes-là que j’aurais exprimé la chose… mais l’idée générale est présente. Ma femme me regarde de haut en bas.



Du bout des ongles, elle taquine mon sexe qui réagit aussitôt. Puis elle demande :



Elle hoche la tête, examine la disposition des lieux puis me regarde à nouveau :



Tandis qu’elle quitte le bureau, j’avertis la room que nous allons diffuser dans cinq minutes. Déjà quelques réactions fusent, impatientes.



Webcam en action


Fabienne s’est installée à la bonne place, le fond vert derrière elle. De mon côté, je fais quelques derniers petits réglages ; j’ajuste le cadrage de la webcam, puis me tournant vers le fond de la pièce, je m’adresse à ma femme :



Je souris, tout est OK de mon côté. Alors je tends ma main vers elle et je compte avec les doigts jusqu’à cinq. À peine est-elle à l’écran depuis quelques secondes que nous recevons aussitôt une flopée de commentaires divers, allant du plus soft au plus cru :



Ce qui amuse beaucoup ma femme qui commence à onduler sur la musique. Je vérifie le retour d’images issues du web : c’est bon, pas de saccades, c’est fluide. Il faut dire que nous ne diffusons pas en haute résolution, ça limite les problèmes.



Durant ce temps, les textes défilent, plutôt salaces, parfois en anglais. Ah tiens, je viens de voir passer un message en italien. Parfois je réponds, surtout pour préciser certains points de détail ou faire de la modération. Mais il est rare que j’aie dû exclure quelqu’un. Comme je le disais, les mots sont parfois crus mais ça reste globalement bon enfant ; oui, des grands gosses qui se défoulent.


En accord avec la musique, ma femme danse, ondule. Durant ce temps, le fond en incrustation fluctue, se modifie, plongeant la danseuse dans des siècles d’images, de photos, de fresques, de hiéroglyphes. Moi qui peux voir les deux versions, ma femme sur fond vert et son résultat en diffusion, je dois reconnaître que, même sans le fond, ma femme est fascinante.


Elle se laisse aller, se coule dans la musique. Son corps de liane se noue sur les notes, ses seins se balançant, masses pulpeuses et désirables. Son ventre oscille, une plaine sur laquelle on aimerait tant se reposer. Plus bas, un petit triangle noir captivant attire irrémédiablement le regard tandis que de longues jambes tanguent. Un vrai appel au crime et à la convoitise…

Si nous étions dehors en pleine Sibérie hivernale, ce lascif spectacle me donnerait l’impression d’avoir été tourné en plein midi au cœur brûlant du Sahara !



Soudain elle se retourne, ondulant, mettant bien en relief son popotin mais surtout le rosebud rouge qui danse voluptueusement à présent sous l’œil de la webcam. Les commentaires se déchaînent aussitôt en rafales :



Et j’en passe. Fabienne peut lire ces messages grâce à un gros écran plat placé latéralement. Elle aime bien savoir ce qu’on pense d’elle dans pareil cas. Et là, elle est gâtée, même si la distinction et l’orthographe ne sont pas toujours au rendez-vous !



La proposition « Tu prêtes ta femme ? » est un classique, idem pour le « Combien elle prend/demande ? » mais nous ne mangeons pas de ce pain-là, même si d’autres personnes sur le site le font. À chacun son truc. Moi, j’aime exhiber ma femme, je la partage des yeux, mais je suis férocement jaloux autrement. Ma femme est pareille, à la seule différence que c’est elle qui s’exhibe et non moi qu’elle exhibe.


D’autres visiteurs, d’autres commentaires, dont certains sont à côté de la plaque :



Petit à petit, le compteur des visiteurs augmente, ce qui nous fait plaisir. Il faut dire qu’avec la tenue de ma femme, l’incrustation et la musique, sans parler du fait qu’elle danse lascivement, ça fait tout de suite la différence par rapport à d’autres webcams sur lesquelles rien ne bouge ou presque. C’est ce que je constate sur la page d’accueil qui montre en miniature ceux et celles qui diffusent.


Portée par la musique, Fabienne s’amuse visiblement ; les nombreux commentaires qui défilent à l’écran confirment ma femme dans la satisfaction qu’elle excite allègrement tous ces hommes, au lointain derrière les écrans.



Ma femme me propose d’intervenir devant la cam. Ce que je fais quelques secondes plus tard, bite bien dressée, car tout ce spectacle m’excite depuis le début et mon machin en devient aussi raide que du bronze. Mon arrivée déclenche une salve de commentaires :



Jouant le jeu, je marche mécaniquement, bras tendus, à petits pas ; la sensuelle danseuse tourne autour de moi, jouant de son voile, effleurant parfois ma queue du bout de ses ongles laqués de rouge, s’amusant parfois à danser des fesses devant mon gland, voire même se frotter furtivement dessus. Sur l’écran, nos visiteurs apprécient !


Puis soudain, une phrase surgit :



Ce message est aussitôt relayé, deux fois, trois fois, dix fois, vingt fois, c’est dingue !



Sans aucune hésitation, devant la cam, ma femme s’agenouille. Les commentaires continuent de plus belle, puis Fabienne commence à me procurer une sucette ultra-suave comme elle sait si bien les faire. Les lignes défilent à l’écran, parfois si vite que j’ai quelques difficultés à les lire malgré le grand écran plat :



Inutile d’expliquer à ma femme comment faire une fellation, elle s’y connaît. Avant elle, j’ai eu diverses aventures, je ne m’en cache pas, mais rares sont les femmes qui aiment sucer. Souvent, elles le font pour faire plaisir, du bout des lèvres. Parfois, c’est carrément niet, le refus total et définitif. Mais heureusement pour moi, Fabienne aime cette pratique, surtout pour le pouvoir qu’elle possède quand elle a la bite d’un homme en bouche.



Même si je serre les poings, je me retiens depuis trop longtemps, déjà bien avant la webcam. Cette allumeuse m’excite depuis avant le restau, et le fait de savoir qu’elle a mis un rosebud n’a pas arrangé les choses.


Sa langue vicieuse me lèche sur toute ma longueur, laissant derrière elle un fin filet de salive. Ma libertine enfonce impudiquement ma queue turgescente toute entière dans sa bouche avide et dépravée, elle l’aspire suavement. Elle me déguste lentement, faisant tourner sa langue autour de ma tige palpitante. Elle la rentre, la sort, la pince, la mâchouille avec ses lèvres, telle une bonne sucette dont on veut garder la jouissance le plus longtemps possible…


Alors je craque, je cède, et dans un long râle un premier jet de foutre envahit la bouche de ma belle suceuse. Sans complexe, elle avale tout ce bon sperme bien chaud et gluant que je viens de juter entre ses lèvres et dont les visiteurs sont pleinement conscients :



Quelques derniers coups de langue pour mieux me nettoyer, et elle achève sa fellation. Ensuite, elle fait face à la webcam, exhibant ses lèvres luisantes de sperme. Les commentaires fusent de plus belle. Puis, ostensiblement, elle ouvre la bouche pour bien faire voir un peu de sperme qu’elle a gardé sur sa langue, ses dents, son palais. Ouvertement, elle avale ces derniers résidus.



Fabienne s’empare d’une feuille de papier qu’elle plie en deux, puis elle écrit quelque chose que je ne distingue pas. Elle attrape un tabouret de bar et pose le cavalier improvisé dessus. Sur l’écran s’affiche à présent le texte suivant : « Petite pause. On revient dans 5 mn. » Et elle quitte mon bureau, se dirigeant vers la cuisine.



Webcam finale


Tandis qu’elle quitte la pièce, je l’accompagne. Nous buvons tous les deux, elle un Coca et moi un jus de fruit. Nous ne parlons pas, nous profitons du silence. Puis quelques instants plus tard, elle repose la canette.



J’ouvre grands les yeux : c’est direct, c’est le moins que je puisse dire ! Elle continue, moqueuse :



Quelques minutes plus tard, à la grande satisfaction des visiteurs, mon Égyptienne reprend sa place face à la caméra. Assise sur le tabouret de bar dont elle a ôté le cavalier, elle discute un petit peu, se montrant aguichante. Pour faire plaisir à certains voyeurs, elle se tripatouille les seins et écarte les cuisses. Puis elle recommence à danser d’une façon encore plus lascive qu’avant la pause.

Lascive, licencieuse, libertine, libidineuse même… Ce qui plaît visiblement, si j’en crois les textes qui défilent à l’écran :



Bien sûr, elle n’oublie pas de présenter le côté pile de temps à autre, surtout d’onduler afin de bien mettre en évidence et en relief l’œil rouge du rosebud qu’elle possède bien au chaud dans ses profondeurs intimes !


Devant pareil spectacle émoustillant, il va de soi que ma virilité a repris du poil de la bête en très peu de temps ! Et que mes réservoirs vides sont à nouveau débordants, prêts à jaillir pour la bonne cause : celle de tringler voluptueusement ma femme pour son plus grand plaisir et pour ma plus grande satisfaction !


Alors que j’étais en train de me demander si ce ne serait pas une bonne idée d’intervenir, un visiteur réclame la momie. Il est aussitôt suivi par d’autres. Je ne me fais pas prier et je rentre dans le champ de la webcam, bite bien droite, prête à servir. Mon arrivée est saluée comme il se doit :



Immédiatement très coquine, ma femme s’empresse de se frotter sur ma virilité, devant, derrière, comme si elle voulait que la bite devienne encore plus raide ! Désolé pour elle, mais encore plus raide et plus dure que ma queue, ce n’est pas possible ! Je suis dans un tel état que je pourrais transpercer des murs, voire des murailles avec mon pieu !


Je n’en peux plus, il faut que j’aille en elle, que je m’enfonce en elle au plus profond. Je la capture, je me plaque contre son dos tandis que je saisis avidement ses beaux seins entre mes mains rapaces. Mon sexe ultra-dur se plante parfaitement dans la raie de ses douces fesses. Mon Égyptienne pousse un petit rire qui s’approche du gloussement de satisfaction.



Tel un caniche en rut, je me frotte impudiquement sur son corps, sur ses fesses surtout, tandis que je l’embrasse dans le cou, mes mains soupesant les deux trésors de sa poitrine. De ma voix rauque, je grogne :



Comprenant très vite la suite, ma femme s’exécute néanmoins ; elle ne déteste pas ces moments d’urgence. Alors qu’elle a à présent le dos à l’horizontale, j’écarte un peu plus ses belles jambes, puis sans préambule je la pénètre furieusement, propulsant de mon bassin ma queue vorace dans sa douce chatte humide ! Dans l’impératif, à la hussarde !


Sur l’écran, des encouragements défilent :



C’est un véritable délice de la défoncer ainsi, de l’empaler fort et vite ! Je n’en peux plus, je suis au bord de la jouissance ! Je coulisse en elle en de longs et amples mouvements ! Ma queue s’enfonce de plus en plus vite, de plus en plus profondément. Je ne peux plus tenir à ce rythme et ma jouissance arrive, explosive ! Je pousse un petit cri quand une première salve jaillit de mon sexe en feu. Mon sperme chaud inonde cette belle garce, je me vide en elle ! C’est totalement divin !


Après plusieurs éjaculations, vidé, repu, je me retire. Elle se redresse, se mettant face à la caméra, gardant tout ce bon foutre en elle, même s’il dégouline à présent le long de ses cuisses accueillantes ! S’adressant à la webcam et à tous nos visiteurs en même temps, d’une voix lascive elle demande :



Elle s’approche de l’œil qui la fixe pour mieux faire admirer les traces luisantes. Les réactions fusent, sans que nous ayons le temps de les lire. Allumeuse, ma femme continue son soliloque :



Sur l’écran, les commentaires se déchaînent, de plus en plus vite, illisibles !


Alors, ma femme plonge ses doigts dans sa chatte gluante, les jambes bien écartées, puis elle commence à se masturber devant tout le monde, devant tous ces voyeurs qui la désirent, qui la veulent. Ses doigts agiles et souillés s’agitent irrépressiblement autour de son clitoris en feu, éclaboussé de cyprine et de sperme mélangés. Ils dansent dans sa fente détrempée et ruisselante, entre ses lèvres poisseuses, au bas de son pubis maculé.


Elle gémit, elle se tord. Cherchant un appui, elle s’assied sur le rebord du tabouret, écartant largement les jambes pour que tous puissent voir son sexe luisant et dégoulinant, ses doigts qui masturbent sans relâche son clitoris brûlant. Moi-même, je suis fasciné par le spectacle, par cette femme – ma femme – qui s’offre impudiquement, totalement.


Elle gémit de plus en plus, son corps tremble, ses longues jambes s’agitent. Un petit cri bref, puis un gémissement sonore sort de ses lèvres, long, très long, puissant. Renversée sur le tabouret, elle jouit, elle explose sous des centaines de regards en même temps.


Que c’est beau, une femme qui jouit !

Très beau ! Je ne m’en lasse pas ! Je ne m’en lasserai jamais !


Le calme revenu, elle esquisse quelques pas de danse, dialogue un peu avec nos visiteurs qui la félicitent pour tout ce qu’elle leur a offert ce soir. Elle apprécie énormément ces compliments, mais je vois bien qu’elle est fatiguée et qu’elle souhaite en finir.


Quelques derniers petits mots, puis nous coupons la liaison. Je suis affalé sur le canapé, ma femme tout aussi avachie et épuisée que moi. Tandis qu’elle taquine distraitement mon sexe qui est momentanément hors service, hochant de la tête, elle lance :



Comme fortement exténuée, en tremblant, elle se relève à moitié, hésitant entre se lever ou rester avachie dans le canapé :



Je souris : quand ma femme est lancée, elle ressemble à une boule de neige qu’on lance du haut de la montagne et qui devient avalanche plus bas. Amoureusement, je caresse ses mignons seins.



Et ce sera une autre histoire…