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n° 18143Fiche technique22674 caractères22674
Temps de lecture estimé : 13 mn
29/10/17
Résumé:  La photographie, un art majeur qui parfois nécessite la complicité d'un ami compréhensif.
Critères:  ffh copains fdomine voir exhib fmast fellation
Auteur : Paraplume
Marie-Reine

Alors qu’elle me proposait d’aller dans sa chambre, je me dégonflai piteusement et indiquai à ma partenaire les raisons pour lesquelles je ne souhaitais pas poursuivre le rapprochement qui venait de s’opérer. Conscient de l’énormité de mon aveu, j’imaginais une vive réaction de sa part et craignais même une mise à la porte immédiate. Pour autant, je ne m’en voulais pas d’avoir fait preuve de franchise, contrairement aux autres fois où je m’étais laissé emporter par la facilité et l’avais regretté par la suite. À mon grand étonnement, Marie-Reine fit preuve d’une réelle retenue et ne discuta pas ma décision, même si mon refus de faire l’amour avec elle avait de quoi l’interpeller.


La situation était en effet troublante, mais s’expliquait pourtant simplement. Elle et moi nous étions connus sur Internet et avions décidé, après de brefs échanges écrits, de nous rencontrer. Si la découverte de son physique, par le biais de quelques photos, m’avait considérablement déçu, je n’en avais rien laissé paraître et cela constituait, sans doute, une erreur majeure.


Nous avions passé l’après-midi de ce beau dimanche d’automne d’abord dans une pinède qui surplombait la ville, puis à la terrasse d’un café-restaurant sur le port où nous avions soupé. Ensuite, Marie-Reine m’avait invité chez elle pour continuer la discussion et dans l’idée, sans doute, de faire évoluer la nature de cette relation naissante afin, dans un premier temps, de combler son désir sexuel. C’est ainsi que nous nous étions retrouvés côte à côte sur son canapé et bientôt face à face pour échanger des baisers trompeurs. Mais avant qu’elle ne sorte ma queue de son logement, j’avais brutalement mis fin à nos ébats, rattrapé par l’évidence que ce corps qui allait s’offrir ne m’attirait tout simplement pas.


La malheureuse se montra digne au-delà de mes espérances et parvint à minimiser son affectation jusqu’à la rendre inaudible tandis que j’essayais maladroitement de fournir des réponses aux questions qu’elle ne me posait pas. Heureusement, la sympathie que nous avions l’un pour l’autre nous permit de sortir de cette situation inconfortable et de rebondir sur un sujet récréatif que nous étions sur le point d’aborder au moment où les choses s’étaient précipitées.


Nous nous déplaçâmes devant son ordinateur sur l’écran duquel défilèrent bientôt des photographies que Marie-Reine avait prises. La quadragénaire vouait une véritable passion pour cet art qui occupait une bonne partie de son temps libre. Membre d’un club local, elle faisait de fréquentes sorties dans les environs pour saisir la beauté de la Nature méditerranéenne et de ses monuments. Son talent était indéniable, et je ne manquai pas de la féliciter pour ses réalisations que je commentais positivement, ce qui lui procura une légitime satisfaction.


Après une série consacrée à des petits bateaux dont les chatoyantes couleurs m’avaient émerveillé, une nouvelle – plus surprenante – me fut proposée. Elle avait pour cadre le décor d’un studio et mettait en scène un homme nu dans différentes poses. Devant mon étonnement, Marie-Reine, ravie de son effet, m’expliqua qu’il s’agissait d’une prise de vue collective réalisée dans les locaux de son club avec un modèle rompu à l’exercice. Comme je louais son aisance et son apparente décontraction, celle-ci crut bon d’ajouter que si cela me tentait, le groupe serait ravi de m’accueillir pour une séance similaire. Pensant qu’elle plaisantait, j’en acceptai l’augure avant de me rétracter devant la réaction enthousiaste de ma voisine. Elle insista et m’assura que les opportunités étaient rares – ce dont je ne doutai pas – avant d’ajouter avec aplomb qu’elle était prête à évaluer mes aptitudes à l’occasion d’un shooting privé.


La soirée se termina sur cette étrange invitation que je mis sur le compte de la frustration et laissai, bien sûr, en suspens. Marie-Reine m’accompagna jusqu’à mon véhicule et y séjourna plusieurs minutes, le temps de prendre congé. Je ne pus m’empêcher de m’excuser une nouvelle fois d’avoir repoussé ses avances, au risque de remuer le couteau dans la plaie, mais elle se montra de nouveau très compréhensive et ne laissa paraître aucune amertume à mon égard, ce qui força mon admiration et atténua le sentiment de culpabilité qui m’étreignait en lui parlant. Nous convînmes de nous retrouver le lendemain sur le tchat et nous souhaitâmes bonne nuit dans la pénombre de l’impasse après avoir partagé un morceau de chocolat.


Les quelques kilomètres de route qui me séparaient de mon domicile furent l’occasion de faire un point définitif sur cette entrevue. Je me persuadai d’avoir pris la bonne décision et espérai que la déconvenue que j’avais suscitée ne mettrait pas un terme prématuré à la relation que je souhaitais conserver avec Marie-Reine. La balle était à présent dans son camp. Quelle que soit sa décision, je m’y plierais, car des deux j’étais celui qui avait fait défaut au moment où on l’attendait. J’étais celui qui avait feint, par lâcheté ou par mégarde, et je devais en assumer toutes les conséquences.


Ce ne fut donc pas sans une certaine appréhension que je débutai le lendemain soir un nouveau dialogue écrit avec celle que j’avais éconduite. Son humour me rassura d’emblée et me permit de me sentir plus à l’aise. Nous parlâmes de tout et de rien avant de revenir, à son initiative, sur ce qui avait achoppé la veille. Marie-Reine affirma avoir accepté mon choix et déclara vouloir dépasser ce malentendu afin de conserver mon amitié. Je me réjouis de sa décision et louai son attitude qui me parut d’une sagesse exemplaire. Comme elle en avait l’habitude, Marie-Reine glissa à plusieurs reprises dans notre conversation un lien vers une photographie qu’elle souhaitait me faire découvrir.


Ce fut d’abord le jeune chat d’une de ses nièces, surpris alors qu’il visitait le fond d’un arrosoir, puis un magnifique coucher de soleil à l’arrière-plan d’une crique isolée. Un troisième clic ouvrit une image plus inattendue que les précédentes sur laquelle je reconnus le modèle entrevu sur son ordinateur qui, cette fois, exhibait généreusement ses parties intimes. Ma réaction fut immédiate et volontairement exagérée, ce qui provoqua une succession de savoureuses répliques qui s’enchaînèrent du tac-au-tac et contribuèrent à détendre définitivement l’atmosphère.


Elle me confirma avoir pris beaucoup de plaisir ce jour-là, à l’image de ses consœurs amatrices, et être impatiente de voir l’opération renouvelée. Comme je m’y attendais, elle réitéra sa proposition de devenir à mon tour son modèle, ce qui ne manqua pas de m’agacer, même si je lui reconnus le courage d’exposer si franchement sa requête. Sans doute pensait-elle que l’idée ferait son chemin dans mon esprit, et que le moment venu elle récolterait les fruits de son obstination pour le moins singulière.


Après avoir refermé la page de notre conversation, je fis le constat qui s’imposait. Une réelle complicité s’était progressivement installée entre nous qui ne demandait qu’à prospérer et s’enrichir. Cela m’amena à considérer douloureusement l’écueil que représentait, à mes yeux, ce physique pour lequel je n’avais aucun appétit. J’aurais aimé me convaincre qu’une évolution de notre relation était possible, qui passait par l’acceptation de ses rondeurs, mais ce louable objectif me parut inatteignable. À plusieurs reprises, j’avais tenté de m’exciter en regardant les photos de Marie-Reine ou simplement en pensant à elle, sans ne jamais y parvenir. Il ne servait donc à rien d’essayer de provoquer un déclic qui ne se produirait pas, par le simple fait que ce qui m’attirait chez cette femme n’était pas d’ordre sexuel. Je le savais depuis le commencement, même si je m’étais persuadé à croire le contraire. Je me retrouvais donc dans la situation embarrassante d’être désiré par quelqu’un pour lequel je n’avais aucun désir et de devoir composer avec cette triste réalité. Il ne me restait plus qu’à savourer les instants passés auprès d’elle et à profiter de la finesse de son intelligence qui avait su étouffer sa rancœur au lieu de l’exacerber et me réservait d’autres surprises.


Nous nous retrouvâmes en ville, le samedi suivant, et improvisâmes une séance de cinéma en raison de la pluie qui s’était mise à tomber. Profitant d’un moment de répit dans la projection, Marie-Reine m’annonça dans le creux de l’oreille qu’elle attendait la visite de sa copine Samira dans la soirée, mais que cela ne remettait nullement en cause l’invitation à souper qu’elle m’avait faite la veille et que j’avais acceptée. L’idée de partager ma nouvelle amie avec l’une des siennes ne me ravit guère, mais je préférai ne rien laisser paraître de mon embêtement, par respect pour mon hôtesse.


Après une heure et demie d’un agréable divertissement, nous rejoignîmes nos véhicules respectifs et prîmes la direction du domicile de Marie-Reine qui démarra la première et m’indiqua, à chaque croisement, la direction qu’il fallait prendre en actionnant son clignotant longtemps à l’avance. Comme je la taquinai sur ce point en descendant de voiture, celle-ci fit mine de rouspéter et me donna aussitôt un travail à faire en gage de mon ingratitude. Depuis plusieurs jours, son ordinateur ouvrait des fenêtres aussi énigmatiques qu’indésirables qu’il me fallut fermer définitivement avant d’être autorisé à la rejoindre sur le canapé pour déguster un apéritif.


Plus tard, elle m’obligea à me relever pour que je visionne sa dernière série de photographies prises par la fenêtre de sa chambre qui donnait sur le jardin de ses plus proches voisins. Comme je me plaignis de ne voir apparaître rien d’autre qu’un splendide décor automnal, la photographe m’envoya un bon coup de coude dans les côtes qui me donna l’occasion de faire, à mon tour, un peu de cinéma. Sans succès, hélas, puisqu’elle m’abandonna dans la foulée de son geste devant un sumac de Virginie aux feuilles écarlates et partit dans la cuisine préparer le repas.


Samira annonça sa venue par texto et nous rejoignit alors que nous sortions de table. Quand elle apparut sur le pas de la porte, la description que m’en avait faite Marie-Reine se confirma immédiatement et je constatai à mon tour que cette grande brune élancée ne manquait pas d’allure et de charme. Les présentations faites, nous nous installâmes dans le coin salon, et le hasard me plaça face à la nouvelle arrivante et à ses longues jambes enveloppées dans un voile noir transparent. Je laissais les filles papoter et me faisais discret dans mes interventions de façon à cerner le caractère de Samira qui, au bout d’un moment, déjoua la manœuvre et se tourna résolument vers moi pour m’abreuver de questions. Marie-Reine s’amusa de la dérive de sa camarade mais ne put s’empêcher de lui faire remarquer qu’elle n’obtiendrait rien en s’y prenant de cette façon. La pétulante beurette se fit plus mesurée mais conserva une attitude offensive qui lui correspondait foncièrement, ce qui me permit d’échanger plusieurs regards complices avec sa voisine sans qu’elle s’en aperçoive.


Bien qu’opposé au sien en surface, mon caractère – qu’elle découvrait par petites touches – ne semblait pas lui déplaire, tout comme mon physique qu’elle loua de manière appuyée lorsque je lui confiai que je l’entretenais en pratiquant la boxe française ainsi que la natation. Elle faisait du stretching et de la gymnastique plusieurs soirs par semaine en plus des footings du week-end. Tout en lui témoignant un geste d’affection, elle avoua ne pas avoir réussi à entraîner Marie-Reine dans ce cercle vertueux et le regretter amèrement.


En compensation, l’exubérante aux yeux noirs amena la conversation sur la photographie et me vanta le talent de notre hôtesse qui était, selon elle, bien supérieur au sien. Avant de confirmer la première partie de ses dires, je déduisis qu’elle devait être aussi membre du club, ce que m’avait caché jusque-là Marie-Reine. S’ensuivit le partage de considérations générales sur le sujet jusqu’à ce que Samira se tourne vers sa collègue et l’oblige à répéter devant moi la confidence qu’elle lui avait faite et qui me concernait au premier chef. Celle-ci tarda à prendre la parole, mais ne se déroba pas au moment d’affirmer que j’étais d’accord pour être son modèle.


Cette annonce provoqua une réaction enthousiaste de Samira que j’eus bien du mal à tempérer en insistant sur le fait que si la chose était envisageable, elle restait à être envisagée. Bondissant sur l’occasion, Marie-Reine me proposa de franchir le pas sans plus attendre et reçut l’appui inconditionnel de Samira qui avait croisé les jambes et se balançait d’avant en arrière sur le canapé. Les deux femmes guettaient ma réaction en prenant l’air suspendu de deux enfants qui attendent de savoir si leur papa va se décider à les emmener au fast-food. Il m’apparut clairement que cette invitation était le fruit d’une manigance orchestrée par les deux complices visant à infléchir ma réponse dans le sens souhaité. Lorsque bravement j’acceptai de relever le défi, Marie-Reine fut si surprise qu’elle attendit une confirmation, tandis que Samira courut en direction de l’entrée pour chercher l’appareil photo qu’elle dissimulait dans son sac à main.


La séance eut lieu dans la chambre de Marie-Reine qui disposait d’un fond blanc et du matériel d’éclairage adéquat. La mise en place fut collégiale et rapide. Une fois les questions techniques réglées, la propriétaire des lieux me suggéra d’aller prendre une douche et régla le radio-réveil qui se trouvait sur sa table de chevet sur une station qui diffusait du contenu musical.


Dans la solitude qui précéda mon entrée en scène, j’imaginais l’excitation des deux amies mais, bizarrement, je ne partageais pas ce sentiment et craignais plutôt de ne pas être à la hauteur de leurs attentes. Finalement, je passai autour de la taille la serviette qu’on m’avait donnée et rejoignis celles qui m’attendaient, sagement assises sur le lit. Bien sûr, j’eus droit à leurs encouragements et à l’assurance que je ne serais ni blâmé, ni jugé si je peinais à me décontracter. Je leur confirmai que ce serait sans doute le cas ; mais pour autant, je retirai la serviette avant même qu’elles ne me le demandent, ce qui les surprit et les amusa beaucoup.


Aux premiers déclenchements de leurs appareils, je considérai naïvement que le plus dur était passé et que mon anatomie toute entière leur était d’ores et déjà livrée. La suite m’apprit que ce jugement hâtif ne prenait pas en compte l’avidité des photographes et leur obsession à tirer le maximum de leur modèle. Je m’étais posé la question, légitime, de l’éventualité d’une érection aussi visible qu’incontrôlable, mais je ne me la posai plus car les mouvements et attitudes des deux femmes qui se pressaient devant moi ressemblaient plus à ceux de deux abeilles qui vous ont pris en grippe qu’à la scrutation lascive d’invétérées voyeuses. J’oubliai que si chacune d’elles gardait un œil fermé, l’autre, à l’abri derrière le viseur, était bien ouvert et se délectait du spectacle. J’alternais les positions en suivant leurs recommandations, contractais mes muscles, changeais mes mains de place et m’efforçais de sourire lorsqu’elles me le demandaient.


Après cette mise en bouche, les dames voulurent travailler le haut du corps et se rapprochèrent alternativement de moi à la distance minimale de mise au point qui leur était imposée. On me fit d’abord bomber le torse et ressortir les épaules avant de m’inciter à prendre une pose plus naturelle et à croiser les bras. Les quelques mots que délivraient ça et là les photographes montraient clairement leur satisfaction, ce qui m’encouragea à rester concentré et à donner le meilleur de moi-même.


Alors que Samira s’éternisait sur ma poitrine, cette coquine de Marie-Reine s’accroupit devant elle de façon à cadrer mes parties intimes en gros plan. Comme je manifestais mon étonnement, celle-ci m’adressa un sourire et me rappela le cliché qu’elle m’avait envoyé au cours d’une de nos conversations sur lequel s’affichait le service trois-pièces de son premier modèle. Une façon aussi de me dire qu’il ne servait à rien d’objecter ses choix ni ceux de sa complice. Je les laissai donc se repaître de mes attributs virils en veillant toutefois à ne pas les regarder, car la proximité de leurs visages était suffisamment équivoque pour provoquer le durcissement intempestif de l’organe qui concentrait leur attention. D’ailleurs celui-ci s’était largement décalotté dans l’intervalle sans que cela ne freine les ardeurs des photographes qui m’obligèrent à me mettre de profil pour en faire ressortir les contours.


Au lieu de prendre un peu de champ et de me laisser souffler, les abeilles déroulèrent leur plan et m’invitèrent à m’allonger par terre, d’abord sur le dos, puis sur le ventre. Dans les deux cas, elles s’accroupirent sur moi, n’hésitant pas à poser un pied entre mes cuisses pour obtenir le meilleur angle. Il me fallait sourire ou garder un air neutre suivant la directive de celle qui officiait, et surtout ne rien trouver à redire à leurs exigences. Plus le temps passait, plus elles s’enhardissaient, conscientes d’avoir pris l’ascendant sur leur modèle.


Après s’être concertées, elles me firent mettre à quatre pattes et insistèrent pour que j’écarte les jambes de façon à dégager l’intérieur de mes fesses. Subjugué par leur audace, je m’exécutai et leur présentai mon fondement de la manière souhaitée, sans toutefois parvenir à les contenter puisqu’elles me firent encore cambrer le dos et plier les genoux pour que ma raie culière s’ouvre dans l’écartement le plus ample qui soit.


Samira passa la première à l’action et ne prit même pas la peine de s’excuser en marchant sur mes orteils avec ses talons. Tandis qu’elle reprenait sa respiration, je sentis son souffle chaud envelopper mes couilles et glisser sur mon trou du cul avant de s’évanouir sur mon dos. Les déclenchements de la belle beurette s’accompagnaient de discrets gémissements que je percevais malgré la musique et qui m’indiquaient que la crudité du tableau qui lui était proposé renforçait considérablement son excitation. Avant que Marie-Reine ait eu sa part, je dus me mettre à nouveau sur le dos et m’appliquer à maintenir mes jambes le plus relevé possible. Cette nouvelle pose assurait, comme la précédente, une offrande totale de mon intimité, mais elle me permit par ricochet d’observer le visage de Samira et de constater, à sa déformation, qu’elle n’était plus maîtresse d’elle-même. Redoutant un acte incontrôlé de sa part, j’envisageai de mettre un terme à mon exhibition lorsque mon regard se porta sur Marie-Reine qui se tenait légèrement en retrait.


Celle-ci avait relevé un pan de sa robe et glissé une main dans sa culotte. À travers la dentelle blanche, je perçus le harcèlement que ses doigts faisaient subir à son bouton et compris, à l’érubescence de son visage, qu’elle était sur le point de jouir. Je gardai donc la même posture quelques instants de plus pour ne pas lui gâcher son plaisir, qui vint dans la foulée. Les petits halètements de notre hôtesse attirèrent l’attention de Samira qui ne manifesta aucune surprise et considéra la jouissance de son amie comme le signal attendu pour agir à son tour.


Après s’être débarrassée de son appareil, elle attrapa simultanément ma queue et mes couilles alors que j’étais en train de me relever. Immédiatement, la garce se mit à me branler pour assurer mon immobilisation. À nouveau, je me tournai vers Marie-Reine et compris, à son air calme et détendu, que l’initiative de sa complice devait avoir son accord. Je pris le sourire qu’elle m’adressa pour la confirmation de celui-ci et m’abandonnai aux caresses de la belle beurette qui ne tarda pas à engloutir la totalité de ma bite. En me décalant sur le côté pour plaquer mon dos contre le mur, je l’entraînai avec moi en lui imposant de garder l’engin dans sa bouche.


À présent confortable, je passai mes mains derrière sa tête et l’incitai à poursuivre avec la même ardeur tandis que ma queue prenait rapidement du volume. Lorsqu’elle dut renoncer au risque de s’étouffer, je lui fis promener sa langue sur mes couilles et tout le long de ma hampe avant de lui redonner mon gland à sucer. Son application était telle que l’envie de jouir monta en moi et devint vite irrésistible. Je saisis ma queue pour me finir et lui demandai de garder la bouche ouverte. Au lieu de l’effrayer, cette injonction lui parut normale et elle fit selon mon désir. Au point de non retour, j’attrapai ses cheveux pour qu’elle penche la tête sur le côté et commençai ma décharge en émettant un long soupir. Le premier jet, maladroit, rata sa cible, mais le reste de la distribution se fit entre ses lèvres et fut si abondante qu’elle dut déglutir deux fois pour tout avaler. J’enfonçai une dernière fois ma queue dans sa bouche et me redressai en prenant le temps de caresser la joue de Samira qui voulut happer mes doigts, mais n’en eut pas le loisir.


Je laissai la photographe digérer mon jus et m’arrêtai devant Marie-Reine qui n’avait pas changé de place. J’éprouvai le besoin de saisir sa main et d’embrasser ses doigts potelés avant de regagner la salle de bain en me disant que, pour une première, je ne m’étais finalement pas si mal débrouillé.