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n° 18149Fiche technique40637 caractères40637
Temps de lecture estimé : 23 mn
02/11/17
corrigé 06/06/21
Résumé:  Une fois de plus, ce mercredi midi, je déjeune avec mon patron. Quand il m'avait dit que nous avions la semaine rien qu'à nous, il ne mentait pas !
Critères:  fh extracon cocus grossexe fsoumise photofilm pénétratio fouetfesse -extraconj -cocucont
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message

Série : Myrsilisme

Chapitre 05 / 05
Naturibus et autres fantaisies

Résumé des épisodes précédents :


« Un certain dimanche »

« Un certain mercredi »

« Un certain jeudi »

« Un certain vendredi et autres jours suivants »


Sylvie a accepté de devenir la maîtresse d’André, son patron, avec la bénédiction de Pascal, son mari, qui fantasme sur le candaulisme. Ce qui n’est pas évident, car le patron est un obsédé bien décidé à profiter de sa bonne fortune et donc de cette pauvre Sylvie…

Petit rappel, cette histoire se situe au milieu des années 80.




Sylvie — Repas à deux



Une fois de plus, ce mercredi midi, je déjeune avec mon patron. Quand il m’avait dit que nous avions la semaine rien qu’à nous, il ne mentait pas ! Il est vrai que sa femme est loin, au Portugal. Et que lundi, ça a été ma fête ! Mon petit cul en a su quelque chose ! Même si, au final, malgré une appréhension certaine, j’ai beaucoup aimé…


Comme j’ai beaucoup aimé la mini-séance de ce matin. Mon gros cochon de patron m’a démontré une fois de plus qu’il était assez impatient envers ma petite personne. Il s’est littéralement rué sur moi quand je suis arrivée ce matin. Nous avons fait l’amour deux fois de suite. Il aurait bien aimé une troisième fois, mais des importuns traînaient dans les bureaux. Et comme hier, il est reparti avec ma petite culotte en poche ! Bref, quelque chose me dit que la journée n’est pas finie et que mon amant n’en a pas fini avec moi !


Comparativement à lundi, la journée d’hier a été plutôt calme, ce qui m’a procuré un peu de repos. Mon patron a dû partir en clientèle toute la journée ou presque, ce qui ne l’a pas empêché de me posséder carrément sur son bureau, au petit matin, juste avant de partir, avec en poche ma petite culotte. Ce fut très bon, très excitant, ce mélange entre petit coup rapide et crainte d’être surpris. Puis il a dû partir et je ne l’ai plus revu. Néanmoins, j’ai eu droit à divers petits coups de fil de sa part, des petits coups de fil salaces dans lesquels il se languissait de moi et me décrivait ce qu’il fantasmait sur ma frêle petite personne innocente. Oui, c’est un plaisir d’être la maîtresse d’un tel homme ! Du coup, mon mari me semble bien fade.


Fade, ce n’est pas le mot que j’emploierai pour le plat que je suis en train de manger ! Par pure formalité, André me demande :



Je me mets à rire :



Même si je suis son jouet sexuel, je me sens bien avec André. Je me demande où tout ceci nous mènera ! Pour l’instant, ma préoccupation première, c’est ce fabuleux welsch que je suis en train de déguster !




André — Nature



Le repas fini, nous remontons dans ma voiture. J’ai évité de trop manger, car j’ai une petite idée derrière la tête. D’ailleurs, au bout de quelques minutes de route, Sylvie me fait remarquer :



Mes deux mains sur le volant, je réponds tranquillement :



Néanmoins, elle m’obéit et me permet d’admirer ses cuisses ainsi que son entrejambe. Malgré ses protestations verbales, il semble bien que la situation l’amuse et lui plaise. Peu après, la voiture s’enfonce dans un petit chemin, puis après moins d’un kilomètre, elle s’arrête sur un petit parking. Une autre voiture y est déjà stationnée.



Je pars ouvrir mon coffre pour en retirer un trépied photographique ainsi qu’un appareil photo vissé dessus. Puis je prends ma secrétaire et maîtresse par la main, puis d’un pas résolu, je m’enfonce dans la nature, sachant qu’ensuite je m’enfoncerai avec délectation dans Sylvie. Ah tiens, j’y songe : le prénom Sylvie signifie forêt en latin, si je ne dis pas de bêtise. M’enfoncer dans une forêt, m’enfoncer dans Sylvie, belle analogie, si je puis le dire ainsi !


Nous marchons dans l’herbe, nous contournons quelques arbres et bosquets, puis j’avise sur ma droite une trouée. Nous nous y rendons, c’est une sorte de petite clairière dont un côté donne sur un très vaste champ. Au lointain, on peut voir des voitures passer.



Une étrange expression sur le visage, elle hoche la tête, tout en me regardant :



D’un air faussement blasé, elle se contente de sourire, attendant visiblement la suite. Regardant attentivement l’endroit où nous sommes, je finis par installer le trépied sur lequel l’appareil photo est déjà vissé. Puis ceci fait, je prends à nouveau en main la suite des opérations :



Sous mon regard attentif, elle se déshabille lentement, elle commence à savoir jouer avec moi. Puis elle me tend ses habits que j’accroche sur une branche nue sans aspérité ni mousse. Tandis qu’elle reste debout, nue et immobile, j’en profite pour en faire le tour, lentement, histoire de ne louper aucun détail de sa délicieuse anatomie.


Soudain, elle me pose une question :



Elle se contente de sourire. Ma main caresse au passage son ventre, sa hanche, le creux de son dos pour revenir sur son ventre avant de remonter plus haut pour capturer un sein tout doux.



Et elle se tait, serrant ostensiblement les lèvres pour qu’aucun son n’en sorte…



Elle rougit, mais n’ouvre toujours pas la bouche. Je tourne deux fois autour d’elle, sans oublier, bien sûr, de la caresser comme il se doit. Il faut toujours profiter des courbes offertes par les femmes et tout de suite, car la procrastination, ça vous joue en général des sales tours. Carpe diem, disaient les Anciens et ils avaient raison !



Je la prends par les épaules pour la guider vers un arbre proche du champ. Je pose ses mains sur le tronc d’arbre, j’écarte un peu ses jambes pour faciliter l’accès, et j’appuie sur son dos afin qu’elle se penche un peu. Puis, résolument, tout en ouvrant ma braguette, je me poste juste derrière elle. Inutile de dire que mon engin est déjà au garde-à-vous !


Je caresse voluptueusement son dos, le creux de ses reins puis ses fesses. Puis je viens me frotter sur son mignon cul tandis que ma main s’en va dénicher un petit bouton rose caché dans son nid. Il ne me faut pas bien longtemps pour titiller celui-ci et aussi trouver l’entrée lovée entre ses lèvres intimes. Même si le passage est étroit, j’entre avec une certaine facilité, aidée par l’abondante cyprine que ma docile secrétaire sécrète !


Elle soupire d’aise, à la fois sous ma caresse insidieuse, et par le fait d’être comblée par mon gros engin qui la pistonne déjà. D’ailleurs, elle tend ostensiblement les fesses afin que je puisse mieux la pénétrer ! C’est alors que j’en profite pour lui capturer un sein. Avant de me laisser aller complètement, je pense à ces voitures qui passent là-bas, en bout de champ. Est-ce qu’elles nous voient ? Peu importe ! Du moment que je peux profiter de ce corps offert à ma concupiscence, c’est le principal !


Ma préoccupation, c’est cette délicieuse chatte étroite dans laquelle je suis fourré. Elle est accueillante, chaude, humide, un régal ! Il ne me faut pas longtemps pour éjaculer dans cet antre si avenant tandis que je l’entends jouir en même temps que moi. Je me plais à lui déverser des litres de foutre, à l’inonder, pour la remplir encore et encore, afin qu’elle déborde de partout !




Sylvie — Flashback



Tout à l’heure, dans le bois, ça a été épique ! J’ai déjà bien joui avec André, mais cette fois-là, j’ai vu des étoiles partout ! J’avais presque envie de hurler, d’ameuter tout le monde, de faire venir les voitures jusqu’à moi pour leur faire constater à quel point j’étais bien baisée par mon patron ! Je sens que je deviens de plus en plus dévergondée !


J’ai pu donner les photos du bois à mon mari. André connaissait une machine à développement rapide. En effet, moins d’une heure plus tard, j’ai pu contempler sur ces photos à quel point j’étais devenue le jouet sexuel de mon patron, c’est effrayant.


Mon mari a été fasciné, à tel point qu’il en a éjaculé dans son slip au bout de quelques photos. C’est alors que je me suis surprise à le regarder avec un peu de pitié. Nous avons néanmoins fait l’amour ensuite ; ce fut agréable, oui, mais pas autant qu’avec mon amant. Un peu la même différence entre un bon welsch et un bout de fromage sur une tartine beurrée.


En pleine nuit, j’ai constaté que mon mari n’était plus à côté de moi. Intriguée, je me suis levée, puis j’ai vu de la lumière dans le bureau. Me cachant, j’ai jeté un petit coup d’œil pour voir ce qu’il faisait. C’est alors que j’ai découvert qu’il était purement et simplement en train de se branler en regardant les photos faites dans le bois.


J’ai préféré aller me recoucher sans bruit, mais mon estime pour Pascal était, une nouvelle fois, descendue d’un cran. Étrange situation que la mienne, et que la vie est mal fichue. Même si je suis sa maîtresse, son jouet sexuel, je me sens nettement mieux avec André. Ça doit être dans ma nature que d’apprécier et de me soumettre à un mâle alpha. Je me suis documentée sur ce concept, et je reconnais que ce n’est pas faux, en ce qui me concerne. Il m’a fallu tout ce temps pour réaliser que j’avais l’âme d’une soumise, mais pas à n’importe qui.




André — Jeudi matin



Sylvie est déjà arrivée au boulot, ça tombe bien, je vais aller lui rendre une petite visite, voire même m’envoyer en l’air avec elle, comme les autres jours. Je toque à sa porte par pure formalité puis j’entre. Elle me gronde faussement :



Elle se contente rire, puis me tend ses lèvres. Comme il ne faut jamais faire attendre une femme, je m’exécute, et je l’embrasse longuement. Puis une fois nos lèvres décollées, je lui demande :



Et elle me raconte qu’il en a éjaculé dans son slip en les voyant et que tard dans la nuit, elle l’a surpris en train de se masturber devant ces mêmes photos.



Ravi de cette affirmation, je m’exclame :



Puis me penchant sur elle, je l’embrasse à nouveau. Et bien sûr, elle se laisse faire, répondant à mon baiser. Je sens que la journée commence bien !


Je la garde dans mes bras pour lui dire :



Elle pose son doigt sur mes lèvres :



Je jette un coup d’œil vers la porte. En effet, je vois poindre vers nous des silhouettes à travers le verre dépoli. Je la lâche avec regret, puis je m’empare d’un dossier pour faire bonne contenance. Quelques secondes plus tard, divers employés viennent nous saluer, et me demander diverses petites choses. Durant ce temps, ma chère secrétaire plonge le nez dans diverses chemises. Avant que je ne parte, Sylvie me rattrape à la porte pour me tendre un dossier :



J’attends d’être dans ma voiture pour ouvrir ce fameux dossier, notre code à nous deux. Avec un grand plaisir, je découvre dedans un string arachnéen assurément porté il y a peu de temps, ainsi qu’une petite phrase évocatrice : et si ce midi, nous nous dévorions mutuellement ?


Je souris, j’apprécie beaucoup qu’elle prenne des initiatives : pas de souci pour vous dévorer, mignonne petite Sylvie ! Et plutôt deux fois, trois fois qu’une !


Jamais matinée ne m’aura parue plus longue !




Sylvie – Dévorée un jeudi midi



Jamais je n’aurais cru qu’André allait me prendre au pied de la lettre ! Épuisée, mais largement repue de sexe, je gis sur son lit défait, nous venons de faire plusieurs fois l’amour, le tout sous l’objectif de son appareil photo radiocommandé. C’est alors que j’ai appris que ce gadget possède un système de minuterie qui permet de prendre des photos à intervalles réguliers. On n’arrête pas le progrès, surtout quand il s’agit de sexe !



Et il embrasse mes fesses de façon appuyée. Mutine, je lui demande :



Puis il se jette sur moi, bien décidé à me faire subir bien des avanies ! Ce type est monté sur ressort ou sur pile ? Il est increvable quand il s’agit de faire l’amour ! Il va finir par m’épuiser totalement !




André — Jeudi après-midi



Hélas, après notre délicieux midi, j’ai dû repartir en clientèle. Je me demande si ma femme ne l’a pas fait exprès de me dénicher plein de contrats pour m’empêcher de folâtrer à mon aise. Néanmoins, elle ignore sans doute que j’ai déjà une maîtresse à la boutique, ce qui n’est pas négligeable, point de vue facilités.


J’en profite pour faire un petit détour pour déposer les pellicules. Je reviendrai tout à l’heure récupérer les photos. En attendant, je me dirige vers le lieu du prochain rendez-vous, la tête pleine d’images de notre séance sexuelle du midi. Sylvie est une bonne maîtresse, elle aime visiblement qu’on lui fasse l’amour, même en forçant un peu.


À bien y réfléchir, elle doit avoir un petit fond de soumission. Ce n’est pas la première fois que j’y songe, il faudra que j’approfondisse avec doigté le sujet. Je vois bien qu’elle aime se laisser faire, elle proteste parfois, mais c’est par jeu, je le vois bien. Elle semble aimer être une pauvre petite chose ballottée par les événements, même si elle les provoque parfois comme pour ce midi.


Avant de partir au Portugal, ma femme m’avait parlé de Mâle Alpha ; je crois que Sylvie est une femelle oméga, mais contente de son sort. Je ne sais pas si je puis vraiment raisonner de la sorte. Un couple Maître-Soumise alors ? Peut-être… mais en version soft.


L’entrevue avec mon client se passe bien. Je me dirige vers le deuxième lieu de rendez-vous. Je croise une cabine téléphonique, je m’arrête afin de donner un petit coup de fil à ma secrétaire préférée :



Elle rit de bon cœur :



Carrément, elle me gronde, moi son supérieur hiérarchique !



Je reprends le volant, assez intrigué. C’est quoi cette surprise ? Je sens que cette question va me turlupiner tout l’après-midi !




Sylvie — Petite surprise



Je crois que j’ai réussi mon coup, si j’en crois les autres coups de fil de mon patron et amant que j’ai pu avoir par la suite. Il ne faut pas rien lui promettre de mystérieux, il veut tout savoir tout de suite ! Ça m’amuse de le mener par le bout du nez ! Non, je crois que c’est plutôt par le bout de la queue… qu’il a fort grosse, il est vrai.


Bon, ce n’est pas tout ça, mais j’ai une surprise à mettre en place. Ça va faire depuis dimanche que j’y pense, mais j’avais écarté cette idée. Puis hier soir, je me suis décidée, l’attitude de mon mari m’a aidé. Néanmoins, je me demande si je fais bien ou pas. Tel que je crois le connaître, je suppose qu’André va aimer, mais n’est-ce pas aller un peu loin ? De plus, c’est moi qui prends à nouveau l’initiative comme pour ce midi.


J’aurai la réponse à ces questions d’ici quelques heures…




André — Petite surprise



J’arrive dans le bureau de ma secrétaire : personne. Néanmoins son manteau est encore là donc elle n’est pas repartie chez elle. C’est alors que j’avise le fameux dossier Neponty bien en évidence. Je m’en empare pour découvrir dedans une petite feuille pliée en deux. Dedans, j’y lis :



Il n’y a que quatre personnes qui aient la clé : ma femme qui est au Portugal, mon comptable qui est déjà reparti chez lui, et nous deux, c’est-à-dire, Sylvie et moi. Bonne idée que d’avoir songé aux archives, bien que cette pièce, qui est en sous-sol, ne doive pas être des plus accueillantes.


J’ose supposer que Sylvie n’a pas trop attendu au sous-sol. Je parie même qu’elle y est descendue quand elle m’a vu arriver sur le parking. Dix-sept heures trente, il n’y a quasiment plus personne dans les bureaux. Lentement, pour faire durer le plaisir, je me dirige vers les archives. La porte est close, j’utilise la clé pour ouvrir, puis je verrouille derrière moi, on ne sait jamais.



J’obéis, puis au détour d’un rayonnage encombré de dossiers, je la découvre. Oui, pour une surprise, c’est une surprise !



Il ne faut pas m’expliquer par A plus B ce que ma secrétaire a dans l’esprit, je l’ai deviné en une fraction de seconde quand je l’ai aperçue, plantée au milieu des rayonnages, quasiment nue, offerte, agenouillée sur un carton, me tendant une cravache posée sur ces paumes !


Je m’empare de la cravache, elle garde la tête baissée, et dit :



D’une voix dure, je rentre dans son jeu :



Elle se retourne, se mettant à quatre pattes. Je peux alors mieux admirer les bas sombres et le porte-jarretelles de même couleur qui encadrent son mignon cul. Je fais cingler dans l’air la cravache, elle frémit. Je ne suis pas un spécialiste de cet engin de torture, mais je sais au moins comment il ne faut pas l’utiliser, car on peut vite blesser quelqu’un si on s’y prend mal. De plus, je ne pense pas qu’il faille entrer de plain-pied dans le BDSM. Rougir un peu ses fesses suffira amplement. De plus, je ne me sens pas l’âme d’un sadique, et je ne pense pas que Sylvie soit vraiment maso.


Modérant mon effort, je cingle ses fesses une première fois, elle pousse un petit cri. Puis je recommence, elle tortille du popotin. Ses fesses rougissent déjà. Faisant attention, je donne quelques coups supplémentaires, son cul se zèbre de striures écarlates. Puis je décrète :



Son repentir ne m’empêche pas de lui cravacher deux fois les fesses. Malgré cela, elle articule quand même :



On dirait que ma secrétaire ne déteste pas les fessées, si elles sont appliquées sans trop de sévérité. Me penchant un peu pour vérifier quelque chose, je constate même que ça la fait mouiller, c’est indubitable ! Alors une petite idée germe en moi.


Afin que ça claque, mais sans trop de douleur, je continue à fesser ses rondeurs rouges. Je vois bien que ça lui plaît. À un moment, avec ma cravache, je tapote sur l’intérieur de ses cuisses afin qu’elle écarte mieux les jambes, elle obéit aussitôt. Puis, je fais rougir à nouveau ses fesses offertes.


Juste après un dernier coup, je lâche la cravache, j’extirpe ma queue ultra raide, puis sans préambule, m’agenouillant à la va-vite, je plonge mon gros pieu dans la chatte détrempée. Elle sursaute, elle gémit.


L’instant d’après, déchaîné, je la pistonne férocement, enfonçant tout mon énorme sexe en elle, bestialement, tandis que je bats ses fesses écarlates de mon bas-ventre. Elle crie, elle hulule, son corps est secoué de spasmes. Puis elle jouit bruyamment, d’une façon que je ne lui connaissais pas. N’y tenant plus, je me laisse aller à mon tour !


Quelques instants plus tard, elle s’affaisse sur le carton, je suis le mouvement, restant plaqué contre elle. Je me mets en appui sur mes coudes pour éviter de l’écraser sous mon poids.



Je l’embrasse dans le cou ; peu importe si un vrai Maître aurait fait la même chose. Je me retire d’elle, me mettant debout, puis je la relève. Quand elle est face à moi, je la serre fortement dans mes bras :



Avec un large sourire, je la serre un peu plus contre moi :



Puis sans lui laisser le temps de répondre, je l’embrasse voluptueusement, tandis que mes mains la caressent, partout, y compris ses fesses délicatement brûlantes. Quand nos lèvres se séparent, intrigué, je lui demande :



Elle rougit :



Ravi de cette confidence, je me penche à nouveau sur elle pour capturer ses lèvres, elle n’oppose aucun refus, bien au contraire ! Décidément, j’ai touché le gros lot avec cette femme. J’ai une légère pensée pour son mari que je remercie pour le prêt, mais un mari qui semble être passé à côté de plein de choses. La vie est mal faite pour les uns et mieux faite pour les autres.




Sylvie — Jeudi soir



Quand je rentre, mon mari est déjà là. Après le petit bisou rituel, j’extirpe de mon sac à main une enveloppe, celle des photos. Pascal s’étonne :



Je ne peux m’empêcher de sourire :



Mon homme n’a pas tout à fait tort. André est très assidu depuis une bonne semaine, mais qu’en sera-t-il dans un mois ? Serais-je redevenue une simple secrétaire ? Je ne sais pas. En attendant, je prends ce qu’on me donne.



Mon mari m’arrache à mes pensées. Restée debout à cause de mes fesses qui cuisent, je me penche sur lui pour regarder les photos. En effet, sur certaines, ce n’est pas triste. À tel point que je me demande si c’est bien moi qui suis dessus ! De plus, il ignore ce que nous venons de faire, mon amant et moi, aux archives ! S’il savait, je crois qu’il en tomberait carrément sur le cul !


Le nez toujours plongé dans la pile de photos, d’un ton mi-figue, mi-raisin, Pascal me dit :



C’est vrai que le sexe de mon amant est assez impressionnant, de quoi faire peur, mais au final, on s’y fait très vite. Néanmoins, par égard pour mon légitime, je ne vais pas le lui avouer. Cependant, celui-ci rétorque, d’un ton un zeste aigri :



Puis ceci dit, je poursuis en montant le ton :



Mon homme se tortille sur place, puis finit par lâcher :



Croisant les bras, je fais la moue, le surplombant :



Il ouvre grands les yeux devant ma répartie un peu acerbe. Il est vrai que je ne l’ai pas habitué à un vocabulaire leste. Et puis zut, pour rester poli ! J’ai la chance d’avoir un amant avec la bénédiction de mon mari, le premier dans ma vie, avec qui tout va bien, je ne vais pas faire la fine bouche. Je pointe mon doigt sur sa poitrine, tout en continuant :



Dieu que mon homme est facile à contrer ! Est-ce que lui aussi aurait une tendance à être un soumis ? À bien y réfléchir, ce ne serait pas étonnant. Ce qui est étonnant, c’est que je m’en rende compte seulement maintenant, après des années de mariage. Plus calmement, je poursuis :



Sous l’œil étonné de mon mari, je me fige sur place, une idée un peu particulière vient de me traverser l’esprit. Je l’exprime tout de suite :



Bon, je dois reconnaître que je suis loin de détester l’énorme engin de mon amant, et j’adore quand il me force, quand il rentre entièrement en moi. Mais finalement, si j’étais tombée sur une femme dominatrice, je n’aurais peut-être pas dit non. Mais avec des si et des peut-être, on refait le monde. Actuellement, je suis en charnière entre deux hommes : mon mari et mon amant, et je ne tiens pas à ce que ça dégénère.


Pour éviter une grosse digression, je reprends la parole :



C’est alors que je réalise quelque chose. Je me penche vers mon homme, qui n’a toujours pas lâché ses photos, comme si c’était son trésor, son précieux :



À sa tête, je vois bien qu’il n’avait pas songé à cette solution. Je coupe court à une éventuelle réponse en lui ordonnant :



Il s’exécute aussitôt et part chercher la pizza. C’est alors que je réalise que mon mari a lui aussi un fonds soumis, surtout après la conversation que nous avons eue. Je suis en quelque sorte la soumise de mon patron, et mon mari peut devenir mon soumis. Bref un soumis de soumise. Une sacrée dégringolade dans la hiérarchie macho.


J’entends notre voiture s’en aller. Je me dirige alors vers la salle de bain. Tandis que je suis en train de mettre un gant de toilette mouillé sur mes fesses piquantes, une scène incongrue me vient subitement à l’esprit : mon amant en train de me dominer, moi sa chose dévouée, tandis qu’à mon tour, j’asservis férocement mon mari…


Le pire est que, finalement, je pense que ce ne serait pas une expérience désagréable à mener…