n° 18159 | Fiche technique | 8206 caractères | 8206Temps de lecture estimé : 6 mn | 08/11/17 |
Résumé: Oh, cette envie de faire l'amour, là, tout de suite... Tes larges mains sur moi me donnent de doux frissons dans tout le corps... | ||||
Critères: fh nympho amour fellation cunnilingu pénétratio fdanus -couple | ||||
Auteur : Patrik (Carpe diem diemque) Envoi mini-message |
Petit texte écrit initialement par ma chère femme parfois si joyeusement dévergondée, puis augmenté par mes soins.
Bonne lecture :)
Oh, cette envie de faire l’amour, là, tout de suite…
Tes larges mains sur moi me donnent de doux frissons dans tout le corps…
Nous sommes tous les deux allongés sur le lit ; tu m’embrasses, tu me caresses, tu me cajoles, tu sais faire monter la fièvre en moi, lentement, délicatement, comme j’aime. Tes lèvres sur les miennes, ta langue qui cherche la mienne, tes doigts agiles qui s’amusent avec mon clito si sensible… je suis déjà toute trempée !
Oh, j’ai envie que tu les rentres en moi, je veux sentir tes doigts m’explorer, me câliner. Je me cambre à cette seule idée. Bien que je n’aie rien dit, tu sembles me comprendre, me deviner. Tu diriges ta main dans ma fente, tu t’insinues tout au bord, puis lentement tu m’explores !
Que c’est bon ! L’extase !
Tu m’explores ainsi pendant de longs instants délicieux. Je flotte, béate, puis soudain tu te retires ; c’est comme une perte pour moi, un vide. Pourquoi as-tu fait ça ? Vicieusement, tu me donnes tes doigts à lécher, un par un. Ravie de cette initiative, je les suce doucement, longuement, sensuellement ; le goût et l’odeur de ma cyprine m’excitent davantage !
Puis quand j’ai fini de nettoyer tes doigts, pivotant sur moi-même, je capture avidement ton sexe, dur et raide. Moi aussi, j’ai envie de te faire plaisir !
Je le suce sur toute sa longueur, je bisoute ton gland qui perle déjà, j’aspire ta belle queue bien nervurée. Je sens que tu aimes, je le sais : je te connais, mon gros cochon à moi ! D’ailleurs tu te retires de ma bouche précipitamment pour éviter de céder tout de suite.
Je suis fière de moi, et de mon emprise sur toi !
Tes doigts nichés dans ma chatte largement ouverte, tu embrasses les seins, tu mordilles mes tétons, puis ta bouche vient se lover au creux de ma poitrine. Ta tête descend lentement le long de mon ventre ; tu t’attardes sur mon nombril avant de descendre vers mon pubis. Puis, plus bas encore, ta langue remplace tes doigts, alternativement, plusieurs fois de suite. Oui, c’est si bon, ce délicieux cunni que tu m’offres !
Déjà mon corps ne m’appartient plus, il m’échappe !
Laissant tes doigts continuer à m’offrir tant de plaisir entre mes cuisses frissonnantes, délicatement, juste à l’orée de mon oreille, tu me susurres d’abord des mots doux et tendres. Puis, petit à petit, d’autres termes plus vulgaires sont murmurés, de plus en plus crus, ils résonnent dans ma tête !
Oh oui, j’ai follement envie d’être ta salope, ta pute !
Passant des paroles aux actes, dominateur, tu me retournes. Obéissante, je me mets à quatre pattes telle une chienne en chaleur. Ta main continue toujours son petit jeu sur ma chatte offerte, dans ma fente humide, autour de mon clitoris exacerbé.
Impatiente, j’écarte bien les jambes, je cambre bien les reins ! Tes doigts qui continuent leur danse pernicieuse entre mes cuisses, c’est tellement bon ! Tremblante, moite, je suis carrément en transe, je suis au bord de l’explosion !
Je te veux à moi, je te veux en moi, je veux que tu me prennes totalement, intégralement !
Soudain, un de tes doigts glissants s’aventure entre la raie de mes fesses. Avec ma cyprine, tu humidifies mon anus frissonnant, tu titilles mon trou tremblotant. Excitée, je frémis d’aise, attendant la suite. Tu rentres un doigt ; j’adore cette intrusion vicieuse qui m’explore ! Puis un autre doigt s’invite en moi ; je me cabre un peu sous cette double et douce inquisition. Tu m’humectes de ta salive, tu me farfouilles, tu me fourrages jusqu’à ce que l’entrée de mon petit tunnel soit bien ouverte.
Alors tu te redresses, tu attrapes fermement mes hanches, puis d’un coup sec tu enfonces ta bonne queue bien raide dans mes profondeurs interdites ! Malgré une petite douleur, j’en soupire d’aise, tant que c’est bon d’être prise ainsi !
J’adore ta façon d’être doux, puis soudainement d’être plus brutal, impératif, dominant. De me faire sentir parfois que je suis ta chose, que je t’appartiens et que tu disposes entièrement de moi !
Attisée, je masturbe ma chatte dégoulinante tandis que tu me laboures férocement le cul de tes longs et fermes coups de piston. Oh oui, j’adore quand tu me prends comme ça ! Je ne sais pas comment expliquer ce que je ressens, ce trouble, cette soumission, ce désir. Oui, j’aime me sentir remplie de cette façon, prise telle une vulgaire chienne, totalement, absolument !
Soudain, à ma grande surprise, tu arrêtes ton cruel mais délicieux va-et-vient dans mes profondeurs et tu te retires. Intriguée, un peu déçue, je m’interroge : que veux-tu ? Brusquement, ton sexe bien raide apparait sous mon nez, bien en évidence, royal, victorieux. Tu n’es qu’un petit salaud : je sais bien ce que tu veux de moi ! Sans dire un seul mot, sans protester, docile, j’enfourne ta tige dans ma bouche vorace, puis je me mets à la sucer goulûment.
Je sais très bien d’où ton sexe vient de sortir, mais j’ai envie de jouer la salope car tu aimes les salopes, n’est-ce pas ? Je lèche ta bite, je la suce, tout en me masturbant frénétiquement, m’enfonçant dans des turpitudes immorales et corrompues, mais ô combien excitantes !
Je sens que tu te retiens. Non, je ne veux pas que tu jouisses dans ma bouche ! Aujourd’hui, je veux que tu me reprennes par derrière, oui, que tu m’encules pour le dire crûment. Oui, je veux être ta petite enculée ! Alors je sors ta queue de ma bouche, puis pivotant sur moi-même, ostensiblement, je te présente mon cul affamé. Inutile de t’expliquer par un long discours mon envie : tu comprends illico. Mais cette fois-ci tu me surplombes, encadrant mes cuisses de tes jambes. Puis quand tu estimes avoir le bon angle, ton sexe bien dur plonge en moi, rentrant tout seul dans mon fin tunnel cannelé…
À nouveau, je soupire d’aise, comblée, remplie !
Tu me ramones, doucement puis plus vite, de plus en plus vite. Tu me chevauches, t’asseyant presque parfois sur moi, je sens parfois ton ventre sur mes reins ! C’est bestial, c’est primitif, mais c’est tellement bon !
Je veux faire durer les choses. C’est moi qui me dégage doucement. Puis impérieuse et avide, couchée sous ton corps viril et en sueur, je reprends ton beau sexe luisant en bouche tandis que tu t’agenouilles par-dessus ma poitrine pour mieux m’offrir ton dessert.
Le petit goût âcre de ta queue ne me fait pas reculer, bien au contraire : je me sens si chienne, j’ai envie d’être la plus salope pour toi ! Rien que pour toi !
Quelques instants plus tard, tu te replonges en moi. Incandescente, je remue ma croupe au rythme de tes coups de boutoir tandis que ma tête se niche dans l’oreiller, cul en buse, totalement offerte telle la dernière des putes ! Ta queue dans mon cul, mes doigts dans ma chatte, ma posture soumise, mes sens en ébullition, je ne peux plus attendre, et dans un grand cri je laisse ma jouissance exploser, éclater, déflagrer !
Toi aussi, tu te laisses aller dans un long gémissement, expulsant en moi de longs jets chauds. Ballotée par la vaste vague de mon plaisir, je me sens si remplie, si pleine, si débordante de toi, au plus profond de moi, dans mes entrailles si frémissantes et intimes !
Voulant toujours être ton ultime salope, je me retire prestement, juste à temps pour pouvoir lécher les dernières gouttes de ta jouissance tandis que ton sperme s’échappe déjà de mon petit trou bien limé…
Ai-je été assez salope pour toi, ta grosse putain, ta belle enculée ?
Ça, tu me le diras tout à l’heure…