n° 18160 | Fiche technique | 20658 caractères | 20658Temps de lecture estimé : 13 mn | 08/11/17 |
Résumé: Sur place, nous avons découvert un très joli chalet de montagne avec tout le confort, un grand salon, de belles chambres... | ||||
Critères: f h fh hh hplusag fplusag jeunes vacances sport voir hmast intermast fellation hdanus champagne init | ||||
Auteur : Valerian (Bonjour je m'appelle Valerian) |
Je me présente : je m’appelle Valerian. À l’époque, je venais juste d’avoir 18 ans.
Ceci est mon histoire, et ma première histoire publiée sur Rêvebébé ; j’espère qu’elle vous plaira.
Je suis brun, je mesure 1,75 m pour 70 kg, avec les yeux verts. Grâce au sport que je pratiquais, mon corps était bien proportionné et musclé. Je faisais du judo mais aussi du tennis ; cela me prenait pas mal de mon temps hors de l’école, c’est peut-être pour cela qu’à l’époque je n’avais pas encore eu d’expérience sexuelle. Je pouvais me définir tout de même comme un garçon séduisant. Cela ne m’empêchait pas de regarder les filles de ma classe, mais aussi de pratiquer les plaisirs solitaires en compagnie d’une ou deux revues érotiques avec de jolies demoiselles ne portant presque ou pas de vêtements…
Lors de mes années au collège, j’avais sympathisé avec mon prof de SVT ou bio. Il était toujours très sympa avec moi et nous avions gardé le contact ; nous allions, avec mes parents, dîner de temps en temps chez mon prof et sa femme.
Mon prof – que l’on appellera Gaël – avait une femme très séduisante, Brigitte. Ils avaient tous les deux environ 35 ans. Ce soir-là, le dîner se passait très bien ; tout le monde était de très bonne humeur, et au détour de la discussion Gaël nous proposa pour les prochaines vacances d’été de nous inviter mes parents et moi dans leur chalet de montagne pendant les mois de juillet et août. Nous avons accepté avec plaisir.
L’été arriva très vite, et le temps des vacances aussi. Gaël proposa à mes parents que je puisse rester si je le voulais car, bien entendu, mes parents n’étant pas profs, ils ne pouvaient pas rester les deux mois entiers. Je préparai donc mes affaires en conséquence.
Sur place, nous avons découvert un très joli chalet de montagne avec tout le confort, un grand salon, de belles chambres. Ce chalet était sur deux étages ; mes parents allaient dormir dans la chambre du rez-de-chaussée, et moi je serais dans une chambre juste à côté de celle de Gaël et Brigitte. Il y a une porte entre les deux chambres, qui est fermée à clef. De plus, il y a deux salles de bain, une en bas et une en haut. Les deux sont équipées d’une douche, mais la deuxième – celle du haut – a en plus un jacuzzi qui peut recevoir quatre personnes. Je fus vraiment très impressionné par le confort et les équipements du chalet de nos amis.
Gaël est assez sportif : il fait du tennis, mais pratique aussi beaucoup la marche à pied en montagne ainsi que Brigitte ; c’est ainsi que nos journées commençaient. Gaël et moi allions chercher le pain le matin dans la ville d’à côté à pied. Et l’après-midi était dédié à une marche en montagne avec tout le monde, pendant plusieurs heures. Les journées et soirées étaient très agréables, puis vint le moment où mes parents durent rentrer et me laisser avec Gaël et Brigitte.
Le lendemain matin, Gaël et moi-même, comme à notre habitude, allions chercher le pain du jour en ville. Pendant notre marche, Gaël commença à me poser des questions sur ma vie et mes attentes :
En disant cela, je commençai à rougir.
Je rougis à nouveau.
Nous arrivâmes pour acheter le pain, et le retour se fit un peu plus en silence, moi dans mes pensées en train d’imaginer Gaël et Brigitte dans la chambre à côté de la mienne faisant l’amour…
Arrivés au chalet, je pris l’excuse de devoir prendre une douche pour pouvoir m’isoler ; la conversation que j’avais eue avec Gaël m’avait fortement excité. Je me retrouvai donc seul dans la salle de bain. Je commençai à faire couler la douche et je me déshabillai devant le miroir ; je me rendis compte que celui-ci était positionné de telle façon que lorsque je prenais ma douche en gardant la porte ouverte, je pouvais m’y voir.
Me voilà enfin nu. Je me regarde dans la glace ; je me trouve pas trop mal : des fesses musclées, des abdos apparents mais pas trop, une pilosité légère autour de mon sexe, que je commence d’ailleurs à caresser en imaginant Gaël et Brigitte ensemble. Brigitte est une femme séduisante. Elle mesure environ 1,60 m ; elle est très fine, environ 50 kg, mais elle a une poitrine généreuse, un très beau 90 C.
Je suis maintenant sous la douche. L’eau coule sur mon corps, et en me savonnant je continue à me masturber. Je me regarde dans la glace : je suis couvert de mousse, l’eau ruisselle sur moi, et mon sexe est en très forte érection dans ma main… Je commence à accélérer le rythme de mon va-et-vient de la main droite ; ma main gauche se pose sur la paroi de la douche. Je sens que le plaisir monte en moi, tous mes muscles se contractent, je me tiens au mur, et la jouissance arrive, avec plusieurs jets de sperme et des spasmes. Je ferme les yeux, je suis bien. Mon sexe est très sensible, ma jouissance a été très forte.
Mes yeux sont encore fermés et ma main tient encore mon sexe lorsque la porte de la salle de bain s’ouvre. J’entends le bruit ; j’ouvre les yeux, et je vois Gaël qui me regarde avec un grand sourire.
Gaël finit par me tendre une serviette que je prends avec soulagement et que je mets autour de ma taille, mais mon érection est toujours vive et toujours visible à cause de la déformation de la serviette. Gaël fait demi-tour en me faisant un clin d’œil et ferme la porte ; je suis vraiment embarrassé par la situation, mais je finis par me rhabiller.
Le dîner arrivé, nous passons à table. Gaël ne fait pas histoire de sa découverte un peu plus tôt dans la journée, et Brigitte est tout sourire comme à son habitude. Il fait très chaud en ce mois d’août ; les fenêtres du chalet sont toutes ouvertes mais ça ne suffit pas à faire descendre la température. C’est alors que Brigitte nous propose de finir la soirée en musique, avec du champagne, et dans le jacuzzi. Gaël, tout sourire, se retourne vers moi :
Je me lève donc de table ; Brigitte me glisse entre les mains un verre de champagne que j’emmène avec moi dans ma chambre. Je me déshabille et enfile un maillot de bain ; j’en profite pour boire mon verre. À l’époque, je ne buvais quasiment pas, et à la fin de ma coupe je sentais déjà un peu les effets de l’alcool sur moi.
Je sors de ma chambre et me dirige vers la salle de bain. Gaël est déjà dans le jacuzzi, qui est rempli de bulles ; je remarque qu’il est encore bien entretenu pour un homme de 35 ans. Il porte un shorty noir. Je m’avance et regarde autour de moi ; Brigitte n’est toujours pas arrivée.
Je ne dis aucun mot et entre dans le jacuzzi qui est à une température idéale, juste assez bonne pour rafraîchir, mais ne pas avoir froid non plus. Enfin Brigitte arrive avec la musique et une bouteille de champagne, mais ce n’est pas ce que je remarque en premier : Brigitte est vraiment une superbe femme, blonde au carré dans un deux-pièces noir qui lui va parfaitement, soulignant les courbes de ses seins. Son ventre plat et légèrement musclé est parfait, et ses fesses sont magnifiques. Gaël semble avoir remarqué que je ne pose plus le même regard sur sa femme quand elle est en maillot que plus tôt dans la soirée, et il me passe la main dans les cheveux en m’ébouriffant.
Brigitte s’approche de moi et nous sert une nouvelle coupe, puis elle s’installe en face de nous dans le jacuzzi ; elle s’enfonce dans l’eau, et les bulles recouvrent partiellement ses seins et son maillot.
Nous commençons à boire nos coupes et à chanter sur la musique ; l’ambiance est très détendue. Les heures passent et je vois Brigitte commencer à se rapprocher de Gaël et échanger des baisers ; je sens que la tension érotique entre Gaël et Brigitte passe au niveau supérieur, et moi je sens le début d’une érection, qui passe inaperçue sous les bulles de notre jacuzzi. C’est à ce moment que Brigitte m’annonce :
Brigitte se lève alors et s’approche de moi en me caressant de la main la joue et dépose délicatement un baiser sur mon front, ce qui me donne l’occasion d’avoir une vue imprenable sur ses seins parfaits et généreux. Gaël suit Brigitte, et ils sortent de la salle de bain. Me voilà seul, avec mon début d’érection. Je décide donc de sortir moi aussi et de regagner ma chambre, en espérant ne pas trop entendre leurs ébats, quoique…
Me voilà donc arrivé dans ma chambre ; la lumière est éteinte, et je m’aperçois que la porte séparant la chambre de Gaël et Brigitte n’est plus fermée, mais légèrement entrouverte. Le plus doucement possible, je ferme ma porte de chambre et m’approche de la lumière de la chambre de Gaël et Brigitte ; la porte est très légèrement entrouverte, mais cela est suffisant pour que je puisse voir de l’autre côté sans être vu.
Je vois Brigitte de dos ; Gaël lui fait face. Ils échangent des baisers. Soudain, je vois le regard de Gaël : il me sourit et commence à enlever le haut du maillot de Brigitte. Il lui embrasse les seins, les malaxe. Je sens que mon érection revient, mon maillot de bain devient vite trop étroit.
Brigitte finit par se mettre à genoux et fait descendre le maillot de Gaël, puis elle commence à le sucer. Gaël lui tient la tête entre ses deux mains, la regarde de haut puis lève la tête et me regarde en souriant. J’ai commencé à me toucher sous mon maillot, je suis très excité par cette situation…
Gaël relève Brigitte, lui enlève le reste de son maillot de bain, la prend par la main et l’allonge le dos sur le lit. Il approche sa bouche du sexe de Brigitte et commence à la lécher tout en lui massant les seins ; Brigitte lance des petits bruits étouffés de plaisir. Mon maillot, de mon côté, n’est plus là et je commence un va-et-vient sur mon sexe, pas trop rapide, de peur de jouir trop vite.
Gaël passe à la prochaine étape : je le vois se relever avec son sexe tendu et commencer à pénétrer Brigitte doucement, puis de plus en plus rapidement. Les deux corps se mélangent, j’entends leurs souffles s’accélérer. Brigitte s’accroche aux fesses de Gaël qui finit par jouir et reste dans Brigitte. Je pense qu’elle a joui elle aussi ; moi, je suis au comble de l’excitation. Mon va-et-vient est maintenant très rapide et je finis par jouir : plusieurs jets sortent de mon sexe, les spasmes sont là eux aussi. Je n’en reviens pas d’avoir pu les observer aussi longtemps et de près.
Brigitte se relève, embrasse Gaël et sort de la chambre, indiquant qu’elle doit se rendre à la salle de bain. Brigitte sortie, Gaël se lève à son tour, nu avec le sexe en semi-érection, et vient vers la porte entrouverte.
Gaël finit par se reculer et fermer la porte ; je me retrouve dans le noir. J’attends que les deux amoureux se recouchent pour aller reprendre une douche. Ce soir-là, j’ai eu beaucoup de mal à m’endormir… La nuit a été chaude, dans tous les sens du terme.
Le lendemain matin au petit déjeuner, Gaël m’annonce que Brigitte est partie en ville pour faire des courses : nous avons la matinée pour nous. Il me propose d’aller faire un tennis (il y a un terrain extérieur un peu plus loin). Je trouve que c’est une très bonne idée. Gaël me demande de prendre des affaires de rechange et aussi pour prendre une douche, il y en a une sur place.
Je me prépare donc pour cette séance de sport matinale. Nous arrivons sur le terrain. Gaël a un bon niveau de tennis et nous jouons pendant plus de deux heures. Je finis par perdre le match que nous avions commencé un peu plus tôt.
Je suis en sueur et complètement épuisé. C’est alors que Gaël sonne l’heure de la douche.
Je récupère mes affaires de tennis et mon sac et nous nous dirigeons vers la salle de douche. Celle-ci comporte deux douches ouvertes et séparées par un mur dans une salle de taille moyenne avec des bancs le long des murs. Nous sommes donc dans un vestiaire avec peu d’intimité pour nous déshabiller.
Gaël ferme la porte du vestiaire à clef ; il m’explique que cela évitera que nous soyons dérangés. Cela me soulage : déjà que je vais devoir me mettre nu devant Gaël, si en plus des inconnus peuvent entrer, cela serait de trop pour moi.
Gaël est le premier à enlever tee-shirt et slip. Nu devant moi, il prend son gel douche. Je le regarde entrer dans la douche et commencer à se savonner. Je décide de me déshabiller assez vite et je me dirige à mon tour vers ma douche, assez mal à l’aise d’avoir partagé cette promiscuité avec Gaël trop longtemps dans ce vestiaire…
Je commence à faire couler l’eau et me savonner ; cela me fait un bien fou après une telle séance de sport. Je me savonne le torse, le cou, passe sur mes fesses et arrive sur mon sexe qui est en train de se raidir ; peut-être est-ce dû à la situation d’être en train de prendre ma douche nu en même temps que Gaël, mais cela me gêne. Je décide de faire traîner un peu ma douche, le temps que mon érection redescende, mais rien n’y fait. Je me décide donc à sortir pour saisir ma serviette et me rhabiller avant que Gaël ne sorte de sa douche. Trop tard : je le vois nu, assis sur le banc, une serviette posée son sexe. Il me regarde en souriant.
Je m’exécute et m’approche de Gaël. De sa main droite il commence à me toucher chaque bourse, puis doucement il pousse ma queue jusqu’à la voir toucher mon bas-ventre et il commence à l’inspecter de près. Cette situation est une première pour moi, une autre personne que moi me touchant le sexe.
Il me regarde et me rassure en me disant que tout a l’air normal, mais Gaël ne s’arrête pas là : il commence à me caresser doucement le sexe. Sa main l’enserre, il fait un léger va-et-vient, et son pouce commence à toucher mon gland et le rendre de plus en plus sensible…
Je commence à fermer les yeux. Je suis surpris par la situation, mais la manière dont Gaël me masturbe me procure le plus grand bien. Mes muscles se raidissent ; je n’attends qu’une chose : que Gaël continue et accélère. C’est à ce moment que sa main gauche se pose sur mes fesses. Il m’approche de lui, prend mon sexe à pleine bouche et commence à me sucer, sa main gauche me retenant les fesses.
Je passe un moment d’extase. Je pose une main sur le mur et le regarde me sucer. Sa main droite s’approche de mes fesses ; je comprends qu’il désire me doigter. Ivre de ces nouvelles sensations de plaisir, je lui facilite l’accès de mon anus. Je sens un doigt me pénétrer profondément pendant qu’il continue de me sucer… Le plaisir monte rapidement en moi ; mes muscles se tendent, je sens mon anus commencer à serrer son doigt. Je viens dans un râle bruyant et mon sperme envahit sa bouche en plusieurs spasmes ; je n’ai jamais joui aussi fort. Gaël continue doucement de me lécher le gland qui est devenu ultra-sensible ; j’en frissonne de plaisir tout en continuant à me tenir au mur
Gaël finit par se relever ; je vois qu’il a une énorme érection lui aussi. Il s’adresse à moi :
Je suis sous le choc. Moi qui croyais être hétéro, je viens d’avoir ma première expérience avec un homme ! Et cela m’a plu. Je m’exécute. Je m’assois à mon tour sur le banc et je commence à mettre son sexe dur dans ma bouche. Il me prend la tête à deux mains. Je ne peux même pas la bouger ; c’est Gaël qui commence un va-et-vient très rapide dans ma bouche avec son sexe. Je l’entends gémir, et rapidement il jouit. Son sperme est dans ma bouche ; je ne peux faire autrement que de l’avaler. Le goût est salé, pas franchement bon, et je vois Gaël très souriant me regarder, son sexe encore dans ma bouche ; puis il finit par se retirer.
Suite à notre deuxième douche, nous sommes rentrés au chalet. Brigitte était là.
Nous étions la veille du dernier jour des vacances ; Gaël et Brigitte m’ont ramené chez mes parents le jour suivant.
Avec Gaël, nous avons décidé de jouer au tennis le mercredi de chaque semaine pendant l’année scolaire, mais ceci est une autre histoire…
À bientôt.