n° 18161 | Fiche technique | 17263 caractères | 17263Temps de lecture estimé : 11 mn | 08/11/17 |
Résumé: Une mère de famille se fait surprendre au sauna par une connaissance professionnelle. | ||||
Critères: fh fplusag extracon inconnu grossexe sauna fellation cunnilingu anulingus init confession | ||||
Auteur : Kaisoun Envoi mini-message |
Elle a attendu toute la semaine ce moment. Une semaine longue et difficile dont elle ne voyait pas le bout. Entre les soucis du boulot, l’école des enfants, un mari souvent absent, elle s’était promis de se faire un sauna, hammam et spa le week-end et de faire ce qu’elle fait rarement : se consacrer un peu de temps à elle-même. Heureusement que ses quatre séances de sport par semaine sont là pour la faire décompresser un peu et surtout entretenir son corps de quadragénaire qui en fait dix de moins. Cette jolie brune a toujours attiré le regard des hommes autour d’elle : sa poitrine moyenne mais ferme, ses fesses sculptées par des séances de squat quotidiennes, ses abdos parfaitement dessinés sont du plus bel effet lorsqu’en tailleur de femme active elle mène les réunions commerciales dans son entreprise.
Sa vie conjugale – et surtout sexuelle – n’est pas très reluisante à cause des enfants qu’il faut gérer et des déplacements professionnels de son mari. Cette frustration sexuelle est d’autant plus exacerbée par toutes les avances qu’elle reçoit aussi bien sur son lieu de travail par des collaborateurs insistants que dans la salle de sport, lieu propice à la drague, ou encore lors des rares soirées qu’elle se permet avec ses copines et où de jeunes hommes beaux, attirants et bien foutus n’hésitent pas à l’accoster et à lui faire rapidement des avances. Elle a réussi à refuser toutes ces propositions indécentes, mais ce n’est certainement pas l’envie qui lui manque. Elle hésite à sauter le pas, voulant protéger son couple, mais la tension sexuelle est de plus en plus présente autour d’elle. Tension sexuelle qu’elle arrive quand même à gérer grâce aux sextoys dont elle est friande et qu’elle utilise régulièrement.
Arrivée à l’hôtel, elle se dirige vers le vestiaire où elle se change distraitement en se regardant dans la glace. Heureuse de constater que les heures passées à la salle de sport ont produit leur effet, elle se déshabille entièrement et cette vision de son image dans le miroir plain-pied du vestiaire l’émoustille. Épilée de près, son teint naturellement hâlé et ses muscles qui commencent à bien se dessiner sont du plus bel effet.
Paradoxalement, elle n’a jamais été aussi belle et attirante qu’à cette période de sa vie. Adolescente en surcharge pondérale et complexée, elle a très peu goûté à sa vie de jeune adulte célibataire, s’étant mariée très jeune à son amour de jeunesse. C’est après ses grossesses et une fois les enfants un peu plus âgés qu’elle a recommencé à prendre soin d’elle-même et à exprimer tout le potentiel de sex-appeal qu’elle recélait.
En se matant dans la glace elle se surprend à penser « Waw, t’es vraiment bonne ! » puis, se reprenant, se dit « Faut vraiment que tu baises, toi, ça ne va plus du tout. » Prise dans ses pensées, un sourire se dessine sur ses lèvres et c’est souriante et le cœur léger qu’elle se dirige vers la salle de massage où elle a commandé un massage de tout le corps aux huiles essentielles.
La masseuse qui la prend en charge lui demande de se déshabiller et de se coucher sur le ventre. Elle lui recouvre les fesses avec une serviette blanche immaculée et débute le massage d’une heure. Elles parlent de tout et de rien et la jeune masseuse lui fait des compliments sur son joli corps sculpté. Ces paroles lui vont droit au cœur. Sous l’effet du massage et des huiles essentielles, elle s’assoupit, s’abandonnant complètement pour une fois et repoussant toutes les ondes négatives et soucis du quotidien.
Une fois le massage terminé, elle se dirige vers le sauna pour se détendre et évacuer toutes les toxines accumulées depuis des semaines. Surprise en arrivant au sauna : il s’agit d’un lieu mixte où hommes et femmes clients de l’hôtel ont accès. Elle n’avait pas prévu cela et décide de retourner aux vestiaires pour enfiler ses sous-vêtements, histoire de cacher sa nudité aux éventuels regards masculins qu’elle trouverait sur place. Arrivée aux vestiaires elle se souvient qu’en sortant de chez elle le matin elle n’avait pas mis de soutien-gorge et qu’elle ne portait pour toute culotte qu’un string ficelle qui ne cachait pas grand-chose de son intimité.
Trop fatiguée et détendue pour retourner prendre un bikini chez elle, elle décide que rien ni personne ne gâcherait ce moment de détente et enfile son string avant de remettre son peignoir et retourner au sauna. En chemin, l’idée d’apparaître nue devant des inconnus commence à l’exciter, même si très vite son statut de femme mariée, mère de famille, la rattrape et lui fait sentir une frayeur de tomber nez à nez avec une de ses connaissances sur place.
Arrivée devant la porte du sauna, elle se surprend à espérer qu’il n’y aura que des femmes à l’intérieur. Elle rentre. La buée et la chaleur ne lui laissent pas trop distinguer ce qu’il y a à l’intérieur. Elle retire son peignoir et va s’asseoir sur un des bancs en bois de pin. Elle s’allonge en croisant timidement ses jambes pour cacher son intimité aux éventuels regards indiscrets. Elle distingue trois silhouettes et, rassurée mais aussi déçue, elle se rend compte qu’il s’agit de femmes.
La chaleur et l’humidité du lieu la pénètrent et l’aident à se détendre. Son corps parfumé aux huiles essentielles, la tranquillité du lieu, la musique douce qui sort des haut-parleurs, la lumière tamisée, tout ça fait qu’elle s’abandonne enfin et fait le vide dans sa tête. Et comme souvent lorsqu’elle se retrouve seule et songeuse, elle se remet à penser à son sujet favori : le sexe. Comme beaucoup de femmes de son âge, sa libido est au top ; elle assume enfin ses fantasmes les plus fous et se surprend à avoir des envies de cochonne qu’elle n’aurait jamais eues plus jeune. La culture pornographique et érotique de nos sociétés modernes a démocratisé les pratiques les plus extrêmes, et elle se surprend régulièrement à avoir des envies de sexe à plusieurs, bisexualité, SM, ou sodomie.
La porte qui s’ouvre la sort de sa torpeur. Un homme entre. Habillé d’un maillot moulant, il a un physique d’athlète. Muscles saillants, mais fin, ventre plat, épaules larges, cuisses de marathonien, l’homme est bien fait de sa personne, et son maillot moule un paquet extrêmement bien fourni. Prise de panique à l’idée qu’il puisse la voir ainsi dénudée, elle se rassoit et croise les jambes. Sa poitrine dressée et ferme, par contre, ne peut être cachée aux yeux de l’intrus. Un visage de star de cinéma, symétrique et bien dessiné, des cheveux fournis, une barbe rasée de près complètent son physique extrêmement attrayant.
Il s’assoit en face d’elle. Leurs regards se croisent. Et là, son sang se glace : elle reconnaît ce visage qu’elle avait croisé deux semaines auparavant lors d’une réunion professionnelle avec l’un de leurs fournisseurs. Le jeune homme, trentenaire, est en effet le commercial venu faire une présentation de leurs nouveaux produits. Beau et sûr de lui dans son costard bien taillé, il n’avait pas manqué de faire beaucoup d’effet à ses jeunes collaboratrices qui n’avaient pas hésité à lui faire du rentre-dedans à la pause-café.
Elle, de par son statut de boss, avait feint l’indifférence même si le jeune homme lui avait fait beaucoup d’effet. Séducteur dans l’âme, il avait essayé de lui plaire par des pointes d’humour et des regards entendus, mais elle n’aurait pas su dire si c’était de l’attirance ou juste une technique commerciale pour fourguer sa marchandise. Elle avait en tout cas surpris son regard sur sa cambrure lorsqu’elle s’était levée pour répondre à un appel urgent.
Assis devant elle, le temps que ses yeux s’habituent à la buée, il scrute cette forme féminine en face de lui. Puis d’un coup son expression se modifie et un sourire narquois mais admiratif se dessine sur son visage. « Bonjour, Madame. » lui lance-t-il avec un sourire ravageur qui laisse deviner sa denture parfaite digne d’une publicité pour dentifrice. Elle, glacée par l’idée que ce quasi-inconnu lui mate les seins, murmure un timide bonjour en essayant de garder sa contenance. Pas facile avec les seins dressés en l’air et un mini-string ficelle pour tout attirail ! « Je dois me lever et quitter cet endroit le plus rapidement possible. » se dit-elle en son for intérieur. Mais, trop tard : le jeune éphèbe a déjà entamé la conversation, pas du tout gêné par la nudité de madame, très à l’aise dans son corps et dans sa tête.
La sympathie et l’humour du jeune homme ont vite fait de la remettre à l’aise et elle se surprend à éclater de rire lorsque le garçon commence à se moquer des trois femmes au physique ingrat et en légère surcharge pondérale qui les accompagnent dans le sauna. Afin de se faire plus discret, il se lève et s’assoit à ses côtés ; elle ne peut s’empêcher de fixer son entrejambe en se disant que le gars est monté comme un âne ou a un maillot rembourré. Il voit son regard fixé sur ses attributs et éprouve un malin plaisir à remonter son maillot pour encore plus mouler ses parties génitales.
Côte à côte, ils se parlent en se dévorant des yeux. Les femmes présentes dans le sauna les quittent et les laissent seuls. Un mélange de frayeur et d’excitation extrême s’empare d’elle. Le mélange chaleur, humidité, odeurs, musique, les bêtises que lui raconte son compagnon du jour finissent de lui ôter toute sensation de réalité. Elle a l’impression d’être dans un nuage à mille pieds du sol, loin de tout et de tout le monde. D’un coup interrompant la conversation, il lui sort sans trembler « Je veux vous embrasser. ».
Pétrifiée par la surprise, elle ne trouve pas le temps de répondre qu’il la saisit par les épaules et lui roule une pelle d’anthologie. Enchaînant sur son cou par des petites succions et léchages super agréables, il entreprend de lui saisir les seins. La surprise laisse place au désir et elle l’enlace et commence à lui griffer le dos d’excitation. Il se saisit de ses tétons et commence à les pincer de plus en plus fort, puis sa bouche descendant vers sa poitrine, il les suce, les lèche et les mord.
Dardés, les bouts de ses seins trahissent l’excitation extrême dans laquelle il l’a mise. Elle n’arrive plus à se retenir et lui saisit le sexe à travers le fin tissu de son maillot de bain. La confirmation que le monsieur est en effet méchamment membré arrive entre ses doigts, et l’excitation mêlée à de la peur augmente. Il la soulève et la fait asseoir à califourchon sur lui, lui attrapant les fesses et plongeant sa tête entre ses seins. Désarçonnée, elle s’accroche à lui, ce qu’il prend comme un feu vert pour aller plus loin.
Ses doigts commencent à explorer son cul et se glissent dans la fente de ses fesses, à la recherche de son anus et de sa vulve. Trempée par l’excitation, elle ne peut qu’écarter un peu plus les cuisses pour lui faciliter le passage. Le pouce sur son anus et l’index et le majeur au niveau de son vagin, il entreprend de la doigter. Elle halète à en perdre son souffle, puis d’un coup il la renverse sur le dos et lui retire le string qui ne cachait plus grand-chose. Il lui relève les cuisses, offrant ainsi son abricot à sa vue.
Complètement retournée, elle saisit ses cuisses pour s’écarter encore plus et lui offrir sans aucune pudeur ses deux orifices. Il y plonge le visage et lui gobe le clitoris qu’il se met à sucer comme s’il s’agissait d’un petit pénis. Ses doigts commencent à pénétrer son vagin mouillé et dilaté par le plaisir et l’envie. Sa langue prend le relais et il commence des mouvements de va-et-vient en elle qui la font défaillir. Son pouce lui caresse l’anus et devient de plus en plus insistant puis, sans prévenir, il le lèche et le lui enfonce dans son petit trou du cul, vierge de tout assaut jusque là.
La surprise laisse place à l’émerveillement. Elle avait lu dans des magazines féminins qu’il s’agissait d’une zone érogène mais ne s’imaginait pas qu’elle pouvait lui procurer autant de plaisir. La langue dans le vagin, le pouce dans l’anus, elle finit par venir dans des spasmes orgasmiques violents qui lui secouent tout son corps et ne peut s’empêcher de crier sa jouissance : « Oooooh ouiiiiii, continue ! » La sentant venir, il continue de plus belle jusqu’à ce qu’elle s’immobilise, haletante, étourdie, et ne croyant pas ce qui vient juste de se passer. Se relevant sur les coudes elle lui dit « Tu es fou ; on pourrait nous surprendre. Arrête ! »
Trop tard. Le jeune homme est déjà debout ; il retire son maillot et libère sa virilité devant elle. Son énorme membre veineux, gorgé de sang, son gland violet gonflé de désir dressé fièrement devant elle lui font comprendre qu’il n’en n’a pas fini avec elle. Il se dirige vers la porte et la verrouille de l’intérieur. « Tu es fou… » lui murmure-t-elle dans une dernière tentative pas convaincue de mettre fin à cette folle situation. Souriant, il lui répond : « Oui, je suis fou… de ton corps. » Il monte sur le banc face à elle, lui saisit la tête et lui enfonce son énorme chibre dans la bouche. Il lui dilate l’orifice buccal, et malgré ses efforts elle n’arrive à en avaler que la moitié. Il se met à faire des mouvements de va-et-vient dans sa bouche en la tenant par les cheveux. Elle arrive à peine à respirer par le nez. Le monsieur pousse de plus en plus fort et s’enfonce dans sa gorge.
Elle se sent comme un objet, l’esclave de ses désirs, une bouche faite pour satisfaire son appétit de mâle dominant. Et bizarrement cette situation l’excite au plus haut point. Elle lui saisit les couilles qu’elle entreprend de malaxer, ce qui le fait gémir « Oui, continue, salope ; occupe-toi de mon cul aussi ! » On ne lui avait jamais parlé comme ça mais cela l’excite au plus haut point. Il retire sa queue de sa bouche et commence à lui frapper le visage et la bouche avec puis lui met des petites claques sur le visage, de plus en plus fortes. Émerveillée par cette violence et cette passion, elle lui saisit les fesses et reprend sa bite dans sa bouche en lui caressant et griffant les fesses. Il interrompt la fellation et se couche sur le dos. « Viens t’empaler sur ma queue, petite pute… » Elle ne se le fait pas dire deux fois et s’assoit sur son membre violemment. Il lui tape dans le fond du vagin et la dilate comme jamais elle n’aurait cru.
Elle commence à monter et descendre sur son membre en lui pinçant les tétons. Il fait de même tout en lui assénant des claques sur les seins et les fesses. Ce mâle en rut la rend dingue, et elle commence à faire des mouvements circulaires sur lui pour qu’il la défonce encore plus. Il se lève, la saisissant par le cul ; elle est en quasi équilibre sur sa queue. Il la prend par les cuisses et commence à la faire monter et descendre sur son énorme poireau, lui arrachant des cris de bonheur. Il l’embrasse à pleine bouche, lui salive partout sur le corps.
Elle n’est pas en reste, le saisissant par le dos, le griffant, le léchant, l’embrassant partout. Elle sent sa jouissance monter, sauvage, animale, comme un ouragan qui détruirait tout sur son passage. Les mouvements du jeune homme la rendent dingue ; son clito tape contre son pubis, sa chatte remplie par la virilité du monsieur vibre de tout son être. La jouissance arrive, monte, elle se sent défaillir, s’agrippe à lui comme si sa vie en dépendait. Les spasmes orgasmiques commencent à l’envahir en vagues de plus en plus rapprochées et jaillissent comme un geyser. Elle tremble de tout son corps alors qu’il continue à la labourer, décuplant son plaisir et prolongeant cette jouissance animale.
Comme un pantin désarticulé, elle lâche prise. Il la repose sur le banc et se termine en se masturbant en la regardant, plein de désir. Il finit par gicler sur elle en grands jets spasmiques et en gueulant comme un animal. Les premiers jets lui arrivent sur le visage, la bouche, puis les seins, le ventre. Ses couilles n’en finissent pas de se vider sur cette femelle affalée devant lui. Elle goûte à son sperme au goût âcre et ressent un immense plaisir à le voir se vider sur elle. Puis, pour encore plus l’exciter, elle saisit ses seins et entreprend de lécher ses tétons pour les nettoyer du sperme que son don Juan a déversé sur elle. Collés l’un à l’autre, haletants, ils se prennent par la main pour se diriger vers les douches et nettoyer cette odeur de sexe qui les recouvre.