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n° 18168Fiche technique8615 caractères8615
Temps de lecture estimé : 6 mn
15/11/17
Résumé:  Une jeune fille vierge devient une femme.
Critères:  fh jeunes cadeau boitenuit fsoumise fmast fellation init
Auteur : Almudena      
Première fois

Lucien, un ami de mon frère, avait une voiture d’occasion, en mauvais état, mais une voiture tout de même. J’étais excitée. À dix-huit ans, c’était la première fois que je sortais avec un type qui avait une voiture, et même la toute première fois que je sortais avec un type, et pas avec mes copines.


Le trajet fut long ; Lucien ne cessait pas de parler, me racontait des histoires, des histoires invraisemblables, en exagérant, comme s’il me prenait pour une débile. Je le surpris plusieurs fois en train de regarder mes jambes, mes cuisses, mais je me sentis incapable d’en déduire la moindre conclusion.


Le concert de rock fut bruyant, très bruyant. Quand nous allâmes nous réfugier et nous abreuver au bar, je me retrouvai, dans une odeur de sueur et de tabac froid, coincée, poussée par la meute des soiffards, contre le ventre de Lucien. Quand je me rendis compte de son érection, d’abord timide, puis plus hardie, plus effrontée, contre mes fesses, je fis semblant de l’ignorer, mais je me sentis rougir, heureusement protégée par le faible éclairage.


À la fin du concert, quand nous entrâmes dans sa bagnole, il se pencha vers moi pour me donner deux baisers, le premier tout doux, au milieu de la joue droite, le second au bord de la mâchoire, presque sur l’oreille, tout en profitant pour me poser une main sur la cuisse.



Il me regarda un instant puis, en un mouvement parfaitement synchronisé, il me mit sa main gauche entre les cuisses et sa langue dans la bouche. J’écartai les jambes et fis de mon mieux pour répondre à son baiser.



Sa langue était chaude, et j’essayais de m’abandonner, de fermer les yeux, mais il me demanda de les rouvrir. Il se tourna vers moi et inséra sa jambe gauche entre les miennes. J’avais chaud, je sentais que mon sexe gonflait, gonflait de plus en plus. Il déboutonna ma chemise mais ne me retira pas le soutien-gorge, se contentant de le remonter sur mes seins, qu’il caressa de ses mains, qui me parurent très grandes. Puis il me mordit un téton, jusqu’à me faire mal, et ses mains m’abandonnèrent. J’entendis le bruit d’ouverture d’une tirette. Il saisit ma main droite, la mit autour de son sexe et la secoua deux ou trois fois. Son sexe me parut également énorme, magnifique, surhumain. Je continuai toute seule, sûre de moi, car branler un mec était l’une des rares choses que je savais faire. J’essayais de m’appliquer, mais il me rabroua :



Sa main saisit mon poignet et lui imprima un nouveau rythme, plus lent. J’en profitai pour lui caresser les boules. Je regardais ma main, j’étais fascinée. Il me regardait en souriant, sans me toucher.



Je baissai la tête, fermai les yeux, ouvris la bouche et me jetai dans le vide :



Je baissai la tête, pris sa queue dans ma main et commençai à en lécher la base. Puis je commençai à remonter, lentement. Quand j’arrivai au sillon, je revins à la base, pour remonter. Cette fois, j’allai jusqu’à la pointe ; elle avait bon goût, était dure et chaude. Objectivement, je ne tirais aucun plaisir de cette pratique, mais en même temps, j’étais de plus en plus excitée… Assis sur son siège, habillé et tendu, il se laissait faire… Puis il mit sa main sur ma nuque, enfonça son sexe au fond de ma bouche, et se mit à bouger, lentement, entrant et sortant son sexe de ma bouche. J’avais la bouche pleine, je sentais chaque veine de sa verge, dont la pointe cognait contre mon palais. Étouffée, je libérai ma bouche en toussant.



Je me sentis humiliée, me retournai pour le regarder ; il avait remonté la tirette de son pantalon. Je me jetai sur lui, réussis à rouvrir sa braguette et, pleurant de rage, je la lui sortis – elle était toute recroquevillée – et je la repris dans ma bouche, pour la sucer avec rage, pour qu’elle retrouve sa splendeur. Sans que je retire ma bouche de son ventre, il avait démarré, et nous roulions… Quand la voiture s’arrêta, je me rendis compte que nous étions arrivés devant chez lui. Il me releva la tête, souleva mon menton, me serra contre lui et m’embrassa. Nous sortîmes, il marchait devant moi, ouvrit la porte et me fit entrer.



Je refusai, il se leva et se servit un verre et s’assit.



Il passa ses mains dans mon dos et dégrafa mon soutien-gorge, puis le retira. Son doigt balaya lentement la fissure de mon sexe pendant que, de son autre main, il me poussait vers le divan.



Il m’embrassa longuement, me retroussa la jupe jusqu’à la taille, découvrant mon ventre, nu.



Il me regarda en souriant. J’étais chaude, cochonne même… Lucien avait fait de moi une cochonne. Il s’agenouilla en face de moi, retira ma culotte, posa mon cul sur le bord du fauteuil et m’ouvrit les jambes, les posant sur les bras du fauteuil. Il saisit un flacon sur une table basse, plongea les doigts dedans et les ressortit tout blancs d’une crème dont il traça deux traits sur mes grandes lèvres.



Je voulus résister, mais la tentation, l’envie, étaient trop fortes. Je fis glisser mes doigts sur la chair enflée, une fois, puis une deuxième fois…



Il me saisit par la taille, m’attira vers lui, brusquement, me faisant tomber du fauteuil. Il me fit me retourner, les genoux au sol, la joue contre le siège, les mains sur la moquette.



Je suivis ses instructions, jusqu’à ce que mon corps se casse en deux, et me décidai à lui dire :



Alors, il me pénétra, lentement, fermement, sans s’arrêter. Il me brisait, je brûlais, je transpirais, beaucoup et, en même temps, j’avais froid. Je lui demandai de la ressortir, qu’il me laisse un moment de répit, parce que je ne la supportais plus. Il ne me répondit pas. Quand il atteignit le fond de moi, il resta immobile, bien enfoncé dans mon ventre.



Je n’avais plus rien à espérer, sinon souffrir, mais je n’aime pas souffrir. Me tenant fermement par les hanches, il m’imprimait un rythme lent, sortait et rentrait en moi en cadence, m’attirant et me repoussant sur cette espèce de barre incandescente qui n’avait plus rien du jouet qui m’avait rempli la bouche quelque temps plus tôt. La douleur ne faiblissait pas. Elle était insupportable quand il entrait ; mais dedans, c’était différent, la douleur se diluait en impressions plus subtiles, plus intenses. La douleur dura jusqu’à la fin, jusqu’à ce que le plaisir prenne le pas sur elle et, finalement, triomphe.


Quand je sentis ses derniers spasmes, mes jambes cessèrent de trembler et Lucien s’abattit sur mon dos, prit mes seins dans ses mains et les caressa doucement en reprenant son souffle.

J’étais soulagée, pleine de lui, et heureuse. J’étais devenue une femme !