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n° 18169Fiche technique45658 caractères45658
Temps de lecture estimé : 26 mn
16/11/17
Résumé:  Suite au stress et aussi à la fatigue, hélas, je ne bande pratiquement plus. Ce qui arrange Sophie, ma femme, qui n'est pas très portée sur la chose.
Critères:  fhh fplusag extracon hotel caférestau cérébral voir noculotte fmast hmast facial fellation cunnilingu anulingus 69 préservati pénétratio fdanus fsodo -totalsexe -couple+h -cocucont -voyeuract -internet
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message
Rencontre du Net

Un nouveau texte un zeste biographique, issu d’un autre fantasme de Soda, fidèle lecteur de RVBB. Celui-ci a souhaité conserver les mêmes prénoms et personnages que dans la série Sophie sans sophisme, bien que ce texte ne puisse pas en faire logiquement partie.

Bonne lecture :)




Damien : recherches



Suite au stress et aussi à la fatigue, hélas, je ne bande pratiquement plus. Ce qui arrange Sophie, ma femme, qui n’est pas très portée sur la chose. Non seulement mon engin est rarement au garde-à-vous, mais en plus maintenant, quand j’y arrive, c’est mou de chez mou. La cata ! Puis, un beau jour, un samedi, je me rends vraiment compte que je suis mal parti, sauf si je change de boulot, mais je ne peux pas me le permettre. Il faut donc que j’en parle avec Sophie et que je lui trouve quelqu’un sur le Net. Je sais bien que ma démanche est un peu étrange et que ça doit aussi être assez gênant pour elle, mais je me dis qu’une fois qu’elle aura sous la main – ou dans la main – une vraie queue, ça devrait peut-être la dépanner, et moi aussi…



Elle s’exclame :



Je me gratte la tête, ne sachant pas trop comment annoncer la suite. Comme elle me connaît, Sophie se penche vers moi et insiste :



Elle me regarde avec de grands yeux. Elle finit par lâcher :



Et puis c’est tout. Je ne sais pas comment relancer la conversation. Puis je me décide :



Elle ne répond rien, mais je sais que ça turbine sévèrement dans son cerveau.


Le lendemain, un dimanche après-midi d’hiver, alors que nous ne savons pas trop quoi faire et que Sophie caresse mon sexe qui ne réagit pas trop, je me décide :



Elle soupire :



Je m’empare de la tablette et nous commençons à faire le tour des sites ; nous regardons les couples qui recherchent d’autres couples. Nous jouons aux curieux, nous regardons si nous ne tombons pas sur des connaissances. Parfois nous rigolons, nous regardons même les femmes qui cherchent d’autres femmes, les hommes qui cherchent d’autres hommes, et j’en passe…


Puis vient le tour des hommes qui recherchent des femmes ou des couples. Les choses sérieuses commencent.



Je vois bien que ma femme s’arrête de temps à autre sur certains mâles qu’elle ne trouve pas trop mal, c’est assez flagrant, mais elle ne le dit pas ouvertement.

Je tente d’en savoir plus, je la questionne en catimini.


Nous refaisons le tour du site, et nous nous focalisons sur trois profils de notre coin, c’est à dire Bordeaux. Je constate tout de suite que c’est le même type de garçon, plutôt jeune (environ dix-quinze ans en moins), assez beau gosse (enfin, ça dépend des goûts), et surtout un peu bronzé (sea, sex and sun). Un sacré cliché quand même !



Aidé par un moteur de recherche, je vérifie si les photos ne sont pas des emprunts. Justement, l’un des profils est bidon car je déniche très facilement des pubs qui utilisent le même bonhomme. Par contre, pour les deux autres, mis à part un autre site de rencontre et un profil sur un web social, pas de pubs à leur sujet.



Posant sa main sur sa cuisse, je me rends compte de quelque chose. Alors, impunément, je glisse ma main dans son entrejambe pour découvrir qu’elle est toute trempée !



Elle se tortille, tergiverse :



Elle prend la tablette en main pour mieux lire, puis me la redonne quelques instants plus tard, songeuse :



Elle ne répond pas tout de suite. Elle me reprend la tablette des mains, scrute les deux profils restants, puis finit par lâcher :



Ce que je fais. Puis nous attendons.


Durant les jours suivants, nous répondons, nous dialoguons, et très vite Sophie penche vers l’un des deux : Olivier, un jeune pompier de 25 ans, très musclé et bronzé, sportif avec un bon niveau intellectuel, et qui connait déjà un peu le milieu du libertinage. Il est apparemment très attentionné et doux ; les commentaires abondent dans ce sens. Il a visiblement le fantasme du candaulisme et d’une cougar bien foutue.


Nous sommes pris dans l’engrenage…




Sophie : sur le grill



Puis le fameux jour arrive ; je suis assez stressée ! Il y a de quoi ! C’est la première fois que je vais tromper mon mari avec son accord ! Avouez que la situation est peu commune, tout au moins pour moi. Ai-je bien fait de dire oui ? Ça, je le saurai avant la fin de la journée !


Vers dix heures trente, nous partons, direction Bordeaux, un hôtel C&C (Chambre & Confort). Quelque temps plus tard, nous prenons possession de la chambre quatre places en forme de L, salle de bain avec douche. Fébrile, je me prépare dans la salle de bain. Je me regarde dans la glace ; j’y vois une femme âgée, ayant les seins qui tombent, qui est toute fripée. Je sais bien que je ne suis pas un top-modèle ; je sais aussi que je me dévalorise, comme beaucoup de femmes d’ailleurs, malgré les compliments qu’on me fait.


J’ai accepté depuis peu le fait que je ne suis pas moche, et que les hommes qui me complimentent ne mentent pas toujours. J’essaye d’entretenir au mieux ma forme afin de ralentir la décrépitude. Avec un peu de maquillage, je donne l’illusion que je rajeunis même un peu selon l’artifice choisi, il faut bien désigner les choses par leur nom.


Ayant obtenu la bonne température, je prends une bonne douche revigorante, me lavant au passage les cheveux. J’en profite pour faire place nette entre mes jambes, ce qui n’est pas très courant chez moi. Mais vu ce que j’ai prévu comme habillement, avoir le pubis lisse fera plus classe que de conserver une touffe, si minime soit-elle.


Après la douche, après m’être soigneusement séché les cheveux, je me maquille légèrement, soulignant mieux mes yeux et ravivant mes lèvres. Après des bas noirs, je revêts un joli bustier noir, faisant aussi office de porte-jarretelles. Enfin, j’enfile une robe légère à boutons sur le devant, avec un mignon décolleté en V.


En me voyant sortir ainsi de la salle de bain, mon mari s’exclame :



Puis nous nous rendons au grill situé juste à côté. Je suis toute tremblante !


Notre contact est déjà là. De loin, il est effectivement bel homme ; de près aussi. Après les présentations d’usage, Olivier se penche sur un siège puis me tend une superbe rose rouge. Décidément, il est encore mieux que sur les photos, et très gentleman. Indéniablement, il marque des points.



Je me contente de lui sourire, puis je m’assieds à côté de mon mari, face à Olivier. Il est vraiment pas mal, ce pompier ! En tout cas, il me met le feu ! Je me plais à penser à sa lance d’incendie pour m’éteindre ! Je secoue la tête, un peu effrayée par ce genre d’idée qui émerge dans mon esprit !


Durant le repas qui est très agréable, ce sont des échanges de regards appuyés, de paroles douces, de charme… Nous sommes installés dans une sorte de box, un peu à l’écart, ce qui nous ménage une petite intimité, ce qui est pratique pour nos jeux de séduction. Malgré mon âge vénérable, il est évident que je plais à Olivier. Ça me rassure, malgré les craintes que je pouvais avoir et que j’ai encore. Olivier me surprend en me demandant :



Jouant avec son verre, Olivier sourit :



Perplexe, je regarde mon mari ; il acquiesce en hochant de la tête. Emportée par mon élan, je décide de déboutonner deux boutons. Initiative qui plaît aux deux hommes.



Que répondre à ça ? Le repas continue dans la bonne humeur. Je m’offre même le luxe de déboutonner, un peu plus tard, un autre bouton sans qu’on me le demande. Les yeux brillants de mon vis-à-vis sont une confirmation évidente que ma nouvelle initiative plaît.


Olivier se tourne alors vers mon mari et lui chuchote quelque chose que je ne comprends pas. Damien semble réfléchir deux-trois secondes avant de susurrer lui aussi sa réponse. Je ne suis pas une grande partisane des messes basses, surtout quand je sens que je suis concernée.


Je suis mise partiellement au parfum quand notre invité s’adresse à moi :



Et sans attendre ma réponse, il lance son bras par-dessus la table, puis sa main se pose sur ma robe, juste à côté de mon décolleté. Son geste ne m’offusque pas : il est presque naturel pour moi. Sans me dégager, je souris à Olivier :



Abrité par le box et notre relatif isolement, Olivier caresse lentement ma poitrine, soupesant fermement mes masses, aventurant parfois ses doigts dans l’ouverture de ma robe, s’introduisant délicatement dans la fente entre mes seins. Et ça lui plaît beaucoup. À moi aussi, je l’avoue…

Après quelques effleurements poussés et autres cajoleries très agréables, notre invité retire sa main puis suggère :



Je ne réponds rien, mais je tends la main par-dessus la table. Elle se pose sur sa chemise, et je discerne très bien ses contours et formes. Plus bas, je sens par-dessus le tissu ses pectoraux, c’est d’ailleurs assez surprenant. Ça me donne l’envie d’aller voir de plus près, mais ce ne sera pas pour tout de suite…



Il se contente de rire. Après quelques frôlements supplémentaires, je retire ma main. J’ai bien fait car environ une minute plus tard la serveuse arrive avec notre commande.


Après le plat principal et avant le dessert, les deux hommes échangent leur place. Ça me fait frissonner de l’avoir juste à côté de moi, et ça, Olivier l’a bien remarqué, et de ce fait, il en profite éhontément !


Très vite, sa main se pose sur ma cuisse, près du genou, tandis qu’il continue de me parler de tout et de rien. Sa main remonte lentement, je ne proteste pas. De ce fait, il s’enhardit, me caressant voluptueusement, s’aventurant toujours un peu plus loin à l’intérieur de mes cuisses. Il trace du doigt l’orée de mes bas, longe les jarretelles qui les fixent. Puis il redescend lentement à l’intérieur de mes cuisses frémissantes, jusqu’au moment fatidique où ses doigts cognent contre mon pubis. Je respire un peu bruyamment, continuant la conversation comme si de rien n’était.


À son visage, je vois bien que mon partenaire est surpris, agréablement surpris, car sous ma robe légère, mis à part des bas, je n’ai que mon bustier, rien d’autre, et l’accès à ma chatounette est libre. Le message est assez clair, il me semble…

Néanmoins, la main d’Olivier ne bouge plus. Peut-être attend-il mon accord ?



C’est mon mari qui répond par une célèbre formule :



Mon mari sourit tandis que je pique un fard. La situation est un peu… spéciale, je ne trouve pas le mot exact. Je suis à la fois gênée et terriblement excitée. Amusé par la réponse et le contexte, Olivier s’adresse à nouveau à moi, de façon plus concise :



J’ai répondu sans réfléchir, même si dans ce contexte précis ça sous-entend quelque chose de bien particulier. Par contre, Olivier ne perd pas de temps pour venir toquer à ma porte. Il marque un petit temps de flottement car il vient d’avoir définitivement confirmation que je ne porte pas de petite culotte. Il se reprend bien vite et commence à câliner l’orée de ma fente qui, à ma grande honte, mouille déjà. Mais en parfait gentleman il n’en dit mot, mais en profite ignoblement en venant me taquiner sensuellement.

Ma respiration s’accélère sous ces multiples frôlements vicieux. Je ne vais quand même pas jouir sur place, ici, dans ce restaurant !


À mon tour, me donnant une contenance, je pose ma main sur le genou de mon voisin. Je sens bien, quand je remonte un peu, que sa cuisse, ce n’est pas du flan gélatineux, mais un muscle bien dur, ce qui laisse présager bien des choses dans la manœuvrabilité du bassin…



Je ne réponds pas, mais ma main s’exécute. C’est toujours aussi ferme et bien musclé. Olivier est plus baraqué que mon mari, c’est certain. Mais le constater en palpant, c’est mieux. Quelque chose me dit qu’à l’hôtel, ça va être une bonne nouveauté pour moi. Durant tout ce temps, mon tourmenteur s’est enhardi, venant délibérément taquiner mon clitoris ultra-réceptif, et croyez-moi, c’est difficile pour moi de rester sereine en façade !



Je suis un peu circonspecte. Je voudrais bien, mais j’ai un peu peur de ce qu’on pourrait penser de moi. Soudain je réalise que je suis en train de déjeuner avec mon futur amant, celui qui va se faire un plaisir de me faire l’amour dans quelque temps. De me baiser, pour parler crûment. Ce qu’il peut penser de moi ? Je ne sais pas bien. Suis-je une salope à ses yeux ? Une débutante dans le domaine ? Une femme comme tant d’autres ? Je sais qu’il n’en est pas à sa première rencontre. Moi, si ! Et c’est bien la nuance.


Je constate, un peu effarée, que dans tout ça je ne me soucie guère de l’avis de mon mari ! Je resserre les cuisses afin de bloquer la progression de ses doigts en moi.



Alors je remonte un peu plus haut. Puis la trajectoire de ma main s’incurve un peu vers l’intérieur de ses cuisses. J’aurais très bien pu continuer en ligne droite. Bien sûr, peu de temps après, mes doigts rencontrent comme une sorte de gros tuyau, cylindre que je câline quelques secondes, à la plus grande satisfaction de son propriétaire. Ni trop, ni trop peu. Je sens que l’après-repas sera très intéressant et excitant !


C’est ainsi que lui et moi dégusterons notre dessert : sa main qui me titille toujours entre mes cuisses, et moi qui le caresse sous la table…




Sophie : préludes



Échauffés, nous traversons le parking pour nous rendre à l’hôtel. Olivier me tient par la main. Nous sommes excités tous les trois, pour diverses raisons. Néanmoins, nous évitons de le faire voir aux autres personnes présentes.


À peine la porte refermée, je me retrouve dans les bras d’Olivier. C’est une sensation qui me plaît beaucoup. De plus, je sens bien contre mon ventre une barre bien dure qui ne laisse aucun doute sur l’effet que je fais à mon amant en devenir ! Et c’est flatteur !



Belle réplique ! Décidément, ce petit jeune me plaît beaucoup !


Damien se met dans l’angle de la chambre pour ne pas nous déranger. De là, il peut nous mater à souhait sans être gênant, car faire l’amour à quelqu’un sous l’œil d’une autre personne, je ne l’ai jamais fait, et je trouve ça embarrassant.


Je ne sais pas comment commencer. Par contre, Olivier ne semble pas avoir ce genre de problème, ce qui me soulage d’un poids. Posément, ses lèvres se posent d’abord sur ma joue, glissent vers mon oreille tandis que ses mains parcourent lentement mon corps frémissant. Nous sommes convenus de ne pas nous embrasser sur la bouche ; Damien est d’accord pour que je baise tel qu’on l’entend vulgairement, mais pas que je baise dans le sens noble du terme.


Je ne peux réprimer un long frisson quand ses lèvres glissent le long de mon cou. C’est peut-être un jeunot, mais il sait y faire. S’il éteint les incendies de la même façon qu’il m’attise, c’est un très bon pompier !


Peu après, ma robe légère chute au sol ; me voici en bustier noir et bas noirs. Je vois dans ses yeux luisants que ça l’excite beaucoup. J’en ai confirmation oralement tout de suite :



Je ne sais pas trop quoi répondre à ce compliment vibrant de sincérité. Sa bouche descend sur ma poitrine, lentement, brûlante. Son nez plonge dans mon décolleté pigeonnant. Je respire par saccades. C’est bon de se sentir désirée de la sorte ! Ses mains caressent mes fesses nues ; j’en ai la chair de poule, tellement ça me fait de l’effet !


Puis il s’agenouille pour venir poser ses lèvres sur mon pubis, puis légèrement plus bas. Inutile de dire que ça me fait beaucoup d’effet, et même plus. Puis après quelques délicieuses agaceries, il se relève et entreprend de se déshabiller sous mon regard très intéressé…


Ce jeunot a un corps parfait, des muscles là où il faut, mais sans excès, des abdos assez marqués, et aussi (soyons franche) une belle queue assez épaisse, et curieusement courbée en biais vers le haut. En tout cas, il est indéniable qu’elle est très dure : du bronze !

Tandis qu’il me saisit par la taille, Olivier m’avoue :



Je reconnais frôler les quarante-cinq ans, mais j’entretiens ma forme ; du moins, j’essaye. Je suis contente et flattée de faire encore envie. Se collant à moi, ses bras m’enlaçant afin que je ne puisse plus m’enfuir. Olivier confie à mon oreille :



Et pour me le prouver, il m’entraîne sur le lit puis commence de longs et très doux préliminaires fort réussis. J’adore me laisser faire dans pareilles circonstances ! Puis Olivier se penche sur ma chatte toute trempée pour y plonger sa langue. Il fourrage délicieusement ma petite fente ainsi. Mais je commence à ne plus savoir tenir ; je capture sa tête pour la plaquer sur mon sexe détrempé. Il s’exécute avec délice. Alors que je sens que je vais décoller, je le repousse. Il s’étonne, mais comprend bien vite quand j’écarte largement les jambes.


Prestement, il enfile une capote, teste quand même sa bonne pose, puis il s’installe posément entre mes jambes, son dard bien pointé vers mon accueillante entrée. Je pousse un énorme soupir de soulagement quand je le sens s’introduire en moi ! Oh, oui, c’est délicieusement bon d’être remplie de la sorte quand on est si chaude, si attisée ! J’avais une envie folle de sa lance à incendie en moi !


Et c’est parti pour une vraie séance, une cavalcade sportive ! Visiblement, Olivier aime donner du plaisir avant d’en prendre à son tour. Il me lime comme jamais je ne l’ai été, une grande découverte ! Excitée comme pas possible, je me tords dans tous les sens, et à ma grande surprise, je jouis aussitôt ! J’ai déjà oublié la présence de mon mari resté dans un coin ; je n’ai aucune honte à le faire devant lui.


Je serre mon amant contre moi pour mieux le ressentir en moi. À ma grande stupéfaction, une seconde vague de plaisir survient aussitôt, me faisant jouir à nouveau sans répit. Je suis un peu pantelante ; c’est bon, mais épuisant. Me surplombant toujours, Olivier a ralenti sa besogne. Soudain, il sort de mon vagin pour venir se frotter impudiquement sur mon clitoris. Ma réaction est immédiate : je pousse un long gémissement de plaisir. C’est complètement dingue, cette sensation ! Puis sans m’avertir, il replonge en moi, se calant bien au fond et recommençant son pistonnage si exquis. J’en deviens presque folle ; je pars aussitôt vers le septième ciel !


C’est donc ça, un orgasme multiple ?


Les minutes suivantes, il me retourne dans tous les sens ; je me sens telle une poupée d’amour, son objet sexuel, mais j’aime cette furie de désir, cette sensation d’être possédée à fond. Puis à son tour il finit par jouir, remplissant le préservatif de son foutre. Dans une semi-hébétude, je me dis que j’aurais bien aimé être remplie, être salie et barbouillée par tout ce foutre, mais ce n’était pas très prudent.




Sophie : feu et eau



Tandis que mon jeunot se repose, je rejoins Damien resté sur l’autre lit, dans le coin de la chambre, afin de le remercier. De son côté, mon homme a bien joui, et pas qu’un peu ! C’est évident et ça m’étonne, car il ne pouvait plus depuis quelques mois. Lui-même me confie :



En réalité, je n’ai rien vu du tout : je ne savais même plus qu’il existait, qu’il était dans la chambre en train de se masturber, mais je préfère ne rien dire, c’est plus diplomatique ! Il pose sa main sur mon sein pour m’intimer :



Et je l’embrasse. Ce qui ne m’empêche pas de retourner aussitôt auprès de mon jeune amant qui se fait un plaisir de me couvrir à nouveau de caresses. Durant celles-ci, c’est à son tour de me confier :



C’est flatteur ! Un large sourire aux lèvres, je lui caresse la joue.



Ça, j’avais compris… Je dis OK : je suis partante pour ce genre d’expérience. Pour indiquer que ma réponse est positive, je me lève. Olivier a un grand sourire radieux de gosse à qui on vient de donner une bonne pâtisserie. Et c’est main dans la main que nous nous dirigeons vers la salle de bain. Je laisse la porte ouverte pour que mon mari ne perde rien du spectacle. Au final, ce n’est pas mal d’avoir un spectateur, ça m’émoustille ! Je n’aurais pas cru qu’il en soit ainsi quand nous sommes entrés tous les trois dans cette chambre…


Avant d’entrer sous le jet d’eau, j’avoue à Olivier :



Je m’aperçois que je viens de le tutoyer. C’est vrai aussi que nous sommes devenus plus qu’intimes. Puis nous entrons tous les deux dans la douche. Mon mari vient d’entrer à son tour dans la salle de bain. Après quelques caresses et câlins, il s’accroupit pour me prodiguer un bon cunni. L’eau chaude qui ruisselle sur ma peau, cette langue qui me fait tant de bien, je flotte sur mon petit nuage.


Puis c’est à mon tour de lui donner du plaisir : je m’accroupis, capture sa belle verge et je le suce suavement, dégustant cette bonne et nouvelle sucette. Je masse ses testicules, je me laisse aller à lui procurer le plus de plaisir possible.

Soudain, il me repousse :



Olivier m’oblige à me redresser. Il se plaque contre moi comme un fou. Sa bouche, ses lèvres me dévorent, ses mains me caressent, me capturent. Puis, n’y tenant plus, il essaye de me prendre debout sous la douche. Même si j’aimerais bien, je suis obligée de le repousser.



Aussitôt, mon mari intervient, tendant un rond de plastique :



Olivier obéit ; il sait qu’il vaut mieux, sinon il risque de perdre ses prérogatives. Avec une célérité qui m’étonne, il enfile le préservatif, puis aussitôt il me prend, s’enfonçant en moi avec facilité tellement je mouille et le désire ! Je soupire d’aise en sentant son engin s’introduire voracement dans mon intimité.



Il me prend au mot et commence à me pistonner sans relâche. J’en tombe à genoux pour mieux lui faciliter la tâche, mais aussi pour mieux le ressentir en moi. Cet inconnu qui me baise furieusement, cette eau chaude qui ruisselle sur moi, mon homme qui nous regarde baiser, tout ceci me fait décoller en un temps record. Défoncée sous la douche par une jeune bonne bite, à quatre pattes telle une chienne, le corps ruisselant, je crie mon plaisir. Face à moi, Damien n’en rate pas une miette : il éjacule sans gêne sur mon visage, sur mon cou ; son sperme ruisselle sur mes joues, mon menton, le long de mes seins tandis qu’Olivier me pistonne toujours aussi furieusement avant d’éclater à son tour !


Deux hommes qui éjaculent pour moi, leur pute, c’est divin !


Ayant repris nos esprits, nous nous séchons. Damien est déjà reparti dans la chambre, nous laissant seuls, Olivier et moi. Celui-ci ne peut s’empêcher de me peloter les seins tout en se frottant contre moi, sa verge déjà bien raide, même si elle vient de se vider il y a peu de temps. Mon jeune pompier me murmure :



Puis d’un ton plus bas il me confie :



Le contraste entre le mot utilisé et le vouvoiement m’amuse. Puis nous retournons, nus, sur le lit. Sous l’œil intéressé de mon mari, je m’allonge sur les draps froissés pour recevoir ce super cunnilingus que mon jeune amant m’a promis. Se mettant à côté de moi, mais tête-bêche, Olivier pose sa joue sur mon pubis puis glisse plus bas. Sa langue déniche vite mon petit clitoris qui n’attend que ça. C’est paradisiaque, c’est extra, c’est plein de choses comme ça !


Ses doigts taquinent puis explorent ma fente détrempée. Parfois ils entrent en moi, ce qui me fait beaucoup de bien. Oui, je me laisse aller : j’ai trop envie, je veux du plaisir, encore du plaisir, plein de plaisir !


Soudain, je sens un doigt taquiner l’entrée de mon petit trou. Je laisse faire, subjuguée par cette chaleur, ce plaisir qui monte en moi. Ce doigt inquisiteur s’enfonce délicatement en moi ; j’aime bien, même si c’est un peu étrange. L’intrus s’enfonce en moi, loin, plus loin. Ça ne me fait aucun mal, juste une gêne un peu étrange mais agréable…


Oh oui, j’en veux plus !


C’est alors que sous cette double intrusion, celle d’une langue agile et celui d’un doigt inquisiteur, je sens monter en moi une vague immense, une onde de chaleur comme j’en ai rarement vécue. En un rien de temps, je suis balayée par un tsunami des sens, de désir, de plaisir !



Tout l’après-midi nous baisons comme des fous ; c’est dément ! Quand je pense que j’étais réticente ! Je sens que je vais devoir rattraper tout ce temps perdu ces prochains jours, ces prochaines semaines. Enfin, si mon homme le veut. Mais vu son comportement, je pense qu’il sera d’accord. En attendant, je me laisse emportée par le tourbillon…




Sophie : plus loin encore



Dehors, le soir tombe.


Je ne sais plus combien de fois nous avons fait l’amour, combien de fois j’ai joui, combien de fois nous avons fait des cochonneries ; je ne sais pas, je ne sais plus. Je suis à la fois épuisée, repue, mais j’en veux encore : je veux découvrir d’autres choses, malgré la fatigue qui me guette. C’est alors que mon amant me susurre :



Moi qui n’ai jamais voulu céder mon cul à mon mari, je me sens prête à l’offrir à mon nouvel amant, tellement il m’a fait jouir, tellement j’ai envie d’aller loin avec lui. Doucement, il caresse longuement mes fesses, les couvre de baisers, aventurant sa langue dans ma fente puis à l’orée de mon petit trou. Tout ceci me fait frémir, j’en tremble d’excitation !


Installé sur une chaise, mon homme regarde le spectacle que nous lui offrons. Franchement, ça m’excite de le cocufier ! Quelle dévergondée je fais ! Comme quoi on ne se connaît jamais assez…


Olivier dépose une noisette de gel sur son index. Attentive, je sens ensuite un doigt qui s’enfonce délicatement en moi, comme tout à l’heure. J’aime cette intrusion incongrue. Un autre doigt s’invite à côté du premier. La sensation est plus forte, mais pas désagréable. C’est alors que je me plais à penser pouvoir sentir une bonne queue en moi, à cet endroit. Olivier est en train de me réparer petit à petit à la sodomie, et moi, j’en accepte le défi.



Je ne vais quand même pas avouer que je suis vierge de cet endroit-là. Curieusement, mon mari n’a jamais eu trop l’idée de passer par mon entrée des artistes. Sans doute son éducation, et aussi sa phobie des microbes et son obsession de la propreté ! Et comme, pour ma part, ça ne me disait trop rien, tout était pour le mieux.



Je l’espère bien, car je crains que cet orifice ne soit pas tout à fait prévu pour ce genre d’entrée. Je crois savoir que c’est initialement prévu pour les sorties. Mais, à ma grande confusion, j’ai hâte de goûter à ce genre de plaisir interdit, juste pour voir et savoir.



Je me trouve toute bête à répondre ce genre de truc. Pourtant, c’est une grande première pour moi, mais je ne sais pas comment réagir. Quand je pense que je vais me faire enculer pour la première fois et, en plus, devant mon mari, c’est quand même dingue ! On me l’aurait prédit que je n’y aurais pas cru une seule seconde !


Il s’installe tout contre mes fesses. De sa large main, il m’en soulève une afin de bien dégager l’accès. Je sens son engin frotter contre moi, venir glisser contre mes lèvres intimes, comme pour se charger en plus de cyprine. Pour l’aider, c’est moi qui maintiens ma fesse ; il me remercie. J’attends avec fébrilité la suite des événements.


Posément, il dirige son sexe vers ma petite entrée déjà évasée. Je frémis un peu quand je sens son gland épouser la cuvette de ma rondelle. C’est excitant de savoir qu’il va me perforer dans quelque temps.


Soudain, un gros machin m’écartèle, forçant mon entrée. Je me sens comme remplie, envahie, obstruée. La sensation n’est pas douloureuse ; elle est surtout incongrue, mais désagréable. C’est alors que je réalise qu’Olivier vient d’entrer la totalité de son gland en moi. Il me demande :



Il remue derrière moi comme si il cherchait le bon angle d’attaque. Il se rétracte un peu pour mieux m’envahir ensuite en s’enfonçant un peu plus loin. Bien qu’un peu piquante, la sensation n’est pas déplaisante, elle est reste incongrue ; je n’arrive pas à trouver un autre mot pour la définir. Oui, incongrue…


Ma main caresse mon clitoris en feu ; je pressens que je vais avoir besoin de m’offrir du plaisir tandis que mon amant malmène mon cul…


Et c’est encore plus incongru quand Olivier commence à me ramoner. Le cœur battant, je souffle un peu sous cette contrainte étrange. Son pieu chaud coulisse en moi, déclenchant diverses sensations, cette étrange façon d’être possédée, d’être remplie, envahie. Cette petite douleur un peu lancinante qui monte, qui oscille entre plaisir et gêne.


Je sens ce fier mandrin s’enfouir de plus en plus loin en moi, accentuant de plus en plus ces étranges impressions. Petite douleur, plaisir diffus, bien-être singulier, sensation d’être totalement possédée…

Tête penchée, les yeux fermés, j’ahane doucement :



Ce double plaisir issu de ma chatte en folie et de mon cul en fusion fait monter en moi quelque chose d’inconnu, une jouissance étrange. Pour en avoir le cœur net, j’arrête de me masturber. La vague est toujours là ; elle rayonne, elle augmente irrésistiblement. Assez interdite, je me laisse porter par cette jouissance montante qui diffuse singulièrement de mes entrailles, mais pas du même endroit. Tant en poussant des « han ! » énergiques, Olivier me pistonne toujours, vigoureusement, profondément, puissamment.


Soudain quelque chose déferle en moi, comme une digue qui rompt. Sans avoir eu le temps de réaliser, je suis irrémédiablement emportée par un tsunami qui me ballotte dans tous les sens. Je crie mon plaisir, mon corps vibre de contentement.

À ma grande surprise, pour la première fois de ma vie, je viens de jouir du cul !




Damien : épilogue



Après que nous nous soyons séparés sur le parking de l’hôtel en nous disant tous les trois « à bientôt », ma femme et moi sommes en train de revenir chez nous. Je roule lentement. Je suis à la fois content et troublé. Sophie est comme plongée dans une rêverie éveillée. Rompant le ronron du moteur, j’entame la conversation :



Sophie semble sortir de son sommeil :



Agrippant sa ceinture de sécurité, elle bafouille :



Mes mains toujours sur le volant, je me contente de sourire. Ah, ces femmes ! La mienne ne sait même pas reconnaître qu’elle a pris son pied. Il est vrai que ça n’a pas été avec moi, et en effet, ça peut être embarrassant. Un bon kilomètre défile, puis je reprends la conversation :



Elle se tait quelques instants, puis finit par avouer du bout des lèvres :



Nous sommes à mi-chemin. Une bonne minute de silence s’écoule, puis Sophie intervient de façon agitée :



Elle ne répond rien, songeuse. Puis elle se penche un peu sur moi :



Je soupire bruyamment :



Aussitôt, elle se récrie :



Elle pose sa main sur ma cuisse. Je sens comme un tressaillement dans mon pantalon. Non, tout n’est pas perdu, en effet. Il faudra simplement qu’elle et moi poursuivions cette étrange et excitante thérapie…