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n° 18173Fiche technique15345 caractères15345
Temps de lecture estimé : 11 mn
20/11/17
Résumé:  Les raisons de la démission d'une aide-soignante.
Critères:  fh hagé médical handicap bizarre neuneu campagne voir fmast hmast nopéné fdanus jouet confession -voyeuroca -attirautr
Auteur : 12apin            Envoi mini-message
Le popaul à Paul

Bonjour.

Je me présente : Vanille, 20 ans, 1,62 m pour 61 kg avec un tour de poitrine de 90F. Je travaille en tant qu’aide-soignante dans un centre pour handicapés depuis maintenant 6 mois.


Lors de mon bac pro en sanitaire et social, j’avais fait des stages dans une maison de retraite, mais à l’obtention de mon diplôme, ils m’ont dit qu’ils ne pouvaient pas me prendre à cause de leur budget restreint. J’ai mis 5 mois avant de trouver mon boulot au centre, même si l’on m’a dit qu’il n’avait pas une très bonne réputation, sans doute à cause des handicapés car on m’a aussi dit que c’est très dur de travailler avec des handicapés. Même si ce qu’on m’a dit s’est avéré vrai sur certains points, ce n’est rien à côté du plaisir de pouvoir aider des personnes qui n’ont rien demandé à part d’avoir voulu être comme tout le monde.


Le centre est divisé en trois bâtiments : l’administration, les handicapés moteurs et celui où je suis, les handicapés mentaux (mais je préfère dire personnes à niveau intellectuel insuffisant).

Les bâtiments sont juste reliés par des couloirs ; le mien est le plus petit. Il y a 15 chambres, mais il n’a généralement que 7 ou 8 pensionnaires. Ils ont souvent tendance à me surnommer « la petite rousse ». Oui, je fais 1,62 m, et non, je ne suis pas tout à fait rousse : mes cheveux sont blond vénitien.


Tout se passait bien depuis 6 mois, jusqu’à l’arrivée de Paul, un homme aigri de 62 ans ; il a toujours vécu dans une ferme avec sa mère décédée depuis peu. C’est à cause de ses incapacités intellectuelles qu’il est arrivé au centre. Peu aimable, pas un « bonjour » ni un « merci » quand je lui porte son repas (il refuse d’aller manger au réfectoire), sans oublier qu’il me fait des grimaces. Au bout d’un moment, j’en ai eu marre de ses grimaces et je lui répondais par des grimaces.


Un matin, j’arrive dans sa chambre ; il avait pissé au lit. Je lui demande de se lever pour changer ses draps. Il sort du lit et se retrouve cul nu devant moi. Je le regarde de la tête aux pieds, mais je m’arrête sur son intimité car il bande comme un taureau et en a une très grosse.

Je lui dis d’aller prendre une douche pendant que je change ses draps, et surtout parce qu’il sent mauvais.


Après 10 minutes, je l’entends sortir de la douche ; je ne lui adresse même pas un regard car je suis toujours occupée à mettre les draps propres. Il me donne une claque sur une fesse. Je le regarde avec un regard noir ; lui, il me répond avec un clin d’œil. Pourquoi un clin d’œil ? Parce que j’ai bien fait son lit ou parce que je lui plais ?

Un fois son lit terminé, je suis partie voir les autres pensionnaires.


Il faut savoir que dans le bâtiment où je travaille, nous ne sommes que deux à être entièrement dédiées à la section « mentaux ». Je travaille avec Gisèle, une femme de 55 ans, mariée depuis plus de 20 ans et qui a une fille de mon âge. Sinon il y a Martine, de la section « moteurs », qui nous remplace de temps en temps. À 32 ans, elle est considérée comme une « chaude lapine » ; elle me dit souvent d’en profiter tant que je suis jeune. Au fond, elle n’a pas tort : je suis toujours célibataire et mon dernier copain m’a quittée alors que j’étais encore à l’école.

Depuis, je vis seule dans un petit appartement.


Le temps passe ; ça fait maintenant deux mois que Paul est parmi nous.

Cette semaine, je suis de nuit ; je dois m’occuper du repas du soir et rester sur place la nuit en cas de problème. Comme il reste des chambres libres, on nous autorise à dormir dans une chambre plutôt que sur un lit de camp dans un local.


Vers 23 heures, avant d’aller me coucher, je fais une ronde pour voir si tout se passe bien ; souvent, je suis déjà en pyjama. Quand je vois qu’il a de la lumière dans une chambre, je passe voir ce qu’il se passe. Ce soir, c’est celle de Paul ; même si il a pris ses marques, il reste toujours peu aimable.


Je frappe à la porte ; pas de réponse. J’entre : personne dans la chambre. Il y a de la lumière dans la salle de bain et la porte est entrouverte. Je regarde dans l’ouverture et je vois Paul, nu, assis sur le bord de la baignoire, avec une main qui astique sa queue.


Je reste là comme hypnotisée ; je me rends compte que sa queue est vraiment grosse : elle doit faire 15 cm de long, mais elle est surtout très large (elle doit bien faire une bon 5 centimètres de diamètre). Je savais qu’elle était grosse, mais la voir en activité me donne l’impression qu’elle est encore plus grosse. Plus je la regarde, plus l’envie d’entrer est forte. Je serre mes cuisses pour me retenir, mais c’est dur de résister, surtout qu’il accélère le mouvement ; je me pince les tétons à travers mon haut et me mords les lèvres. Ça ne suffit pas. J’ai une main qui est descendue sous mon bas de pyjama pour aller caresser mon intimité.


Il se lève et accélère d’un cran l’intensité de ses mouvements ; ça se voit qu’il est sur le point de jouir. Encore trois petites secondes : ça y est, il jouit, une quantité de sperme sort de son sexe. Il ralentit le rythme mais continue toujours de se masturber jusqu’à ce que plus rien ne sorte. Les derniers jets sont d’une puissance telle qu’il arrose le miroir. De retour dans ma chambre, je pense à la queue de Paul et à ses jets de sperme qui me pénètrent. Tellement que je me masturbe une bonne partie de la nuit ; je jouis deux, trois fois.


Le lendemain matin, je suis tellement fatiguée d’avoir joui que je n’entends pas mon réveil ; c’est Martine qui me réveille. Elle m’a découverte allongée sur le ventre, nue, avec les draps par terre. Elle me donne une fessée accompagnée de ces quelques mots : « Il est l’heure de se lever, ma petite chienne en rut ! » Le beau temps est arrivé ; les mots de Martine m’ont fait réfléchir, et j’ai décidé de prendre mes distances avec Paul. Je ne veux pas devenir comme Martine, coucher avec des inconnus ou le faire avec des pensionnaires du centre, entre autres Paul.


Un jour, monsieur Claude, le directeur adjoint du centre, vient me voir pour parler de Paul.

Deux fois par semaine, les patients de notre secteur vont voir un spécialiste. Et ce spécialiste a dit à monsieur Claude que Paul parle souvent de la ferme de sa mère. Alors monsieur Claude me demande d’emmener Paul à la ferme. Il me dit d’aller prendre les clés chez la voisine car c’est elle qui l’entretient.


Le mardi suivant, j’amène Paul revoir sa ferme. Quand je lui annonce la nouvelle, il devient plus aimable avec tout le service. Je passe chez la voisine pour récupérer les clés ; elle me recommande de bien en profiter. Je ne fais guère attention à ce qu’elle me dit. Prenant cette sortie avec Paul comme une sorte de journée de repos, je me suis mise en tenue légère à cause de la météo clémente : une petite robe jaune qui fait ressortir mes seins, accompagnée d’une paire de baskets.


Paul me fait visiter sa maison. Il commence par la cuisine, puis suivent le salon, la salle de bain et les sanitaires avant de monter à l’étage pour me montrer sa chambre, et on finit par celle de sa mère. Il me fait voir ce que portait sa mère : des chemises, des vieilles robes, des blouses et des bleus de travail. Il me demande d’en mettre un pour la suite de la visite. J’hésite, mais je vois dans son regard que ça lui ferait plaisir. Il me donne un bleu de travail, et pendant que je me change, il part me chercher une paire de bottes. Le problème avec le bleu de travail, c’est que je ne peux pas garder ma robe en dessous au risque de l’abîmer avec les fermetures. Et comme mon soutien-gorge est en dentelle, je décide de l’enlever également ; je me retrouve en culotte sous mon bleu.


Il revient avec une paire de bottes ; il a également enfilé son bleu. On part faire le tour du propriétaire. Pendant la balade, je sens le bout de mes seins irrités par le frottement du tissu du bleu ; de plus, je remarque que le bleu a une odeur bizarre. Il me montre le champ des vaches, le poulailler, la porcherie, et on finit par l’étable.

Il nous fait entrer dans l’étable et me montre les machines pour traire les vaches.


Il me dit en me pointant du doigt : « Si tu veux, je te montre avec cela. » Je vois qu’il regarde mes seins. Je jette un coup d’œil à ma poitrine : je m’aperçois que mes seins pointent, et qu’avec les rayons du soleil qui passent par les fenêtres, mon bleu laisse deviner facilement mes formes.


Il me regarde avec un grand sourire et déclare : « Je rigole comme avec voisine. » Je ne comprends pas sur le coup ; je me dis que c’est sans doute une blague. Du coup, il branche la machine à traire et part chercher une vache.


Je prends une ventouse et passe ma main au-dessus de l’ouverture ; je sens qu’elle est aspirée.

Lorsque que Paul m’a raconté sa blague, une image m’a traversé la tête : et si je plaçais une ventouse sur un de mes seins ? Je regarde si Paul arrive : personne en vue. J’ouvre mon bleu, je sors mon sein gauche et place la ventouse sur mon aréole. Vu le plaisir que ça me procure, je place une deuxième ventouse sur mon autre sein. Cette d’aspiration de mes tétons irrités me fait du bien, c’est comme un massage.


J’entends un bruit ; je me tourne et vois la vache à la porte ; je me retourne, et en vitesse j’enlève les ventouses et remonte la fermeture de mon bleu. Quand je regarde à nouveau la vache, elle est dans l’étable avec Paul à ses côtés. Il me montre comment placer les ventouses sur les pis et me sort : « Toi, avoir seins comme voisine. » Je regarde mes seins : mes tétons sont enflés. Je dis à Paul de finir sa traite et je pars me rhabiller car je dois le ramener.


Dans la maison, j’enlève mon bleu et constate que mes tétons ont triplé de volume. Je commence à les caresser, mais ils sont extrêmement sensibles et douloureux. Tout en me promenant en petite culotte, je cherche la salle de bain. Une fois rendue dans celle de l’étage, je me passe de l’eau sur les seins ; ils diminuent de volume mais restent toujours sensibles et douloureux.


Lors de la visite, j’ai remarqué une trousse à pharmacie dans la chambre de la mère de Paul. Je l’ouvre ; il y a pas mal de produits périmés. Au fond se trouve une longue boîte. Je l’ouvre, et suis stupéfié d’y trouver un godemiché en bois d’un certain volume. Je referme la boîte et vais dans la chambre de Paul pour me rhabiller, mais impossible de remettre la main sur mon soutien-gorge. Tant pis ; de toute façon, il m’aurait gênée à cause de mes seins sensibles.


Je retourne chercher Paul à l’étable. En y entrant, je le vois nu en train de se masturber avec une ventouse au bout de sa queue. En me voyant, il dit qu’il n’arrive pas à l’enlever. Je cours à sa rescousse et tire sur la ventouse pour la dégager, mais elle est bloquée. Je me mets à genoux, crache sur la bite de Paul pour la lubrifier et commence à le branler pour faire pénétrer ma salive dans la ventouse. Ma tête n’est qu’à cinq centimètres : je pourrais la lécher pour me faciliter la tâche, mais je refuse de céder à la tentation. Pour résister, je me mords les lèvres. Je demande à Paul de se coucher sur dos, puis je l’enjambe, me mets à genoux au-dessus de lui et commence à tirer de toute mes forces. Même s’il a une jolie vue sur mon dos, ça n’aide toujours pas à le libérer de la ventouse.


C’est alors qu’il pose ses mains sur mes cuisses et se met à les caresser. Il étale ma salive sur mes cuisses. Ses mains quittent mes cuisses pour rejoindre mes fesses qu’il malaxe délicatement. Ses doigts se glissent sous ma culotte tandis qu’il m’encourage avec des mots doux comme s’il parlait à ses bêtes. Je m’assois sur son torse pour qu’il n’aille pas plus loin avec ses doigts, mais dès que je me relève, il revient à la charge. On joue deux ou trois fois à ce petit jeu, mais il trouve une solution : il force le passage à travers le tissu et titille l’entrée de mon anus. J’avance mon bassin ; ça me laisse quelques secondes de répit, mais il revient. Je continue d’avancer jusqu’à ce que mon entrejambe entre en contact avec sa bite.


J’essaie toujours de retirer la ventouse mais je suis prise d’assaut par les doigts de Paul. Alors je fais basculer mon bassin d’avant en arrière afin de repousser les attaques, mais ça a pour effet de me mettre en chaleur à cause du frottement de ma vulve contre son manche. Je ne sais pas pourquoi je soulève mon bassin pendant quelques secondes, mais ça suffit à Paul pour décaler ma culotte, et quand je me rassieds, je me retrouve avec un doigt dans le cul.


J’accélère mes mouvements de bassin ; Paul se met à grogner, et je tire un grand coup sur la ventouse. Elle se détache. À cause de l’élan, je perds mon équilibre ; je sens que Paul essaie de me rattraper par ma culotte, mais elle glisse le long de mes cuisses et ma tête se retrouve aux pieds de Paul.


Affalée par terre, je sens Paul donner des coups de reins ; au moment où son gland entre en contact avec ma vulve, il éjacule. Les jets sont si violents que du sperme entre dans mon intimité. Je me mets à genoux mais sa bite est toujours sous ma robe, entre mes cuisses. Il éjacule sur mon ventre, je sens que ça monte jusqu’à ma poitrine. Je mets mes mains pour essayer d’arrêter l’éjaculation comme si c’était une simple fuite d’eau, mais cela donne l’effet inverse : le contact de mes mains sur son gland lui fait cracher ses derniers gros jets, et j’en reçois sur mon visage, plus exactement au coin de mon nez.


Après plusieurs minutes et toujours dans la même position au-dessus de Paul, le sperme qui était sur mon visage coule sur mes lèvres. D’un coup de langue, je lèche tout ce qui coule ; je me dis que c’est bon, que j’en veux plus. Je regarde Paul, couché par terre, qui tombe de sommeil. Je me lève et m’arrange du mieux que je peux, mais je reste gluante, puis je rhabille Paul de son bleu et je l’emmène à la voiture. Avant de partir, je retourne chercher ses affaires. À mon retour à la voiture, il dort comme un bébé. Je dépose les clés chez la voisine ; j’ai honte de me présenter tout gluante avec une forte odeur de sperme. Elle me fait un grand sourire et m’offre une boîte ressemblant à celle que j’ai trouvée dans la trousse à pharmacie.


Après avoir déposé Paul, je rentre chez moi. La nuit qui s’ensuit est partagée entre la réflexion et le plaisir que me procure le cadeau de la voisine.

Le lendemain, je donne ma démission : revoir Paul et sa bite ferait de moi une débauchée.