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n° 18186Fiche technique9670 caractères9670
Temps de lecture estimé : 6 mn
01/12/17
Résumé:  Un incident provoque la rencontre de John et Lise.
Critères:  fh hplusag vacances fdomine voir pénétratio
Auteur : Klixx  (Amateur d'érotisme, auteur débutant)      Envoi mini-message
La rencontre

Je me souviens très bien de la première fois que je l’ai vue. Je rentrais chez moi.

Je la vis à la terrasse d’un bar, assise nonchalamment devant un thé. L’air distrait, jambes croisées, elle balançait son pied, avant, arrière, avant, arrière…

Je trouvais ce balancement hypnotique, très sensuel, un peu enfantin, un peu Lolita. Se rendait-elle compte de la charge érotique de son attitude, du regard des hommes alentour ? Elle semblait absente, perdue dans ses pensées.


Je fus séduit immédiatement ; qui ne l’aurait pas été ?


Ses beaux yeux en amande que je pensais verts (plus tard je sus que leur nuance changeait selon son humeur) étaient traversés par des lueurs, tantôt de tristesse, tantôt de furie. J’eus envie de la prendre dans mes bras, je ne sais pas pourquoi, un étrange sentiment. Il fallait que je l’aborde subtilement, à tout prix. Pas question d’user d’une réplique de dragueur, très peu pour moi ! Comment faire ? C’est alors que le destin courut à mon secours…


Un jeune homme se précipita vers elle, lui arracha son sac et s’enfuit. Sans réfléchir, par réflexe, je le poursuivis dans la ruelle adjacente. En coupant sa trajectoire, je n’eus aucune difficulté à le rattraper et le coincer contre un mur. Une clé au bras, il lâcha le sac. Je le récupérai intact ; le jeune partit en courant sans demander son reste.

Je retournai au bar ; la jeune femme n’avait pas bougé, comme pétrifiée par la surprise.


Soulagée de revoir son sac, elle sourit, me remercia ; ses yeux à ce moment brillaient d’éclats jaunes. Elle était encore plus craquante. Elle me dit :



C’est vrai qu’en ce mois de juillet, la canicule et la course avaient eu raison de ma chemisette.


Elle logeait à deux pas ; nous y fûmes en quelques minutes, un appartement modeste mais entretenu. Elle m’indiqua la salle de bain.



J’acceptai volontiers ; et puis qui sait ? La journée pourrait se terminer de façon agréable… Je ne suis pas un Don Juan, mais j’étais sous le charme sa beauté discrète.

Je me douchai rapidement, sortis de la salle de bain. Elle m’avait apporté un peignoir, délicate attention.



Mon fruit préféré, sucré et acidulé : je n’allais pas bouder mon plaisir !



À cet instant, tout bascula. J’ignore ce qui – de ma nudité à peine voilée par le peignoir en soie, sa voix charmeuse, la chaleur de cet après-midi d’été – m’a enflammé : j’eus envie d’elle immédiatement, sauvagement. Je lui sautai littéralement dessus. Un instant surprise, elle ne tarda pas à se presser contre moi : de toute évidence elle le désirait autant que moi.


Je commençai à la caresser ; elle dénoua le peignoir qui tomba au sol dans un bruit satiné. Elle me surprit en tombant à genoux, le visage face à ma virilité déjà dressée.



Ces mots simples finirent de m’exciter. Elle se releva, passant sa main sur mon torse ; ses doigts légers me donnaient des frissons. Elle m’entraîna vers le canapé tout proche ; j’en profitai pour lui ôter sa jolie robe qui la moulait un peu. Dans le miroir en face j’admirai ses fesses, fort jolies. Quel charme ! Elle était musclée, probablement sportive. Mais je n’eus guère le temps de réfléchir : d’une poussée elle me fit basculer et s’installa agilement sur moi, en amazone. J’avais une vue imprenable sur ses seins. L’image de pains au lait traversa mon esprit, allez savoir pourquoi. Je me promis de les dévorer…


Mais pour l’heure elle avait emprisonné mes mains ; pas de danger que je m’échappe, pourtant. Sa langue léchait, embrassait mon torse tout en se rapprochant de mon sexe. Je soupirai, aux anges. Elle le saisit, me fit sursauter, commença des va-et-vient très agréables. Elle me regarda droit dans les yeux, un sourire coquin illuminant son visage. Ouch, quel choc érotique ! Elle titilla mon gland de sa langue pointue, soupira d’aise, sûre d’elle, dominatrice. J’aimais cette inversion des rôles…


Je gémis, je perdais le contrôle : c’était bon de s’abandonner à sa bouche. Sa langue s’enroulait autour de mon érection, ses lèvres me caressant de haut en bas, de bas en haut. Je pensai à son pied se balançant, à la terrasse du bar : je suis certain maintenant qu’elle se donnait du plaisir discrètement, en public. Certaines femmes connaissent si bien leur corps qu’elles se font plaisir sans les mains : c’était sûrement son cas (la suite me dira que ce n’était pas son seul talent).


Elle me jetait de temps en temps un regard furtif, maîtrisant son art de la fellation. Elle souriait, consciente du plaisir donné ; elle-même semblait en extase. Je me sentais admiré, en plénitude, mais prêt à exploser. Elle le sentit, revint vers mon visage, mordilla ma lèvre inférieure. Le goût de mon sexe sur ses lèvres m’excita encore plus.


Elle se redressa, à califourchon sur moi, se souleva un peu pour guider mon sexe chauffé à blanc vers son antre, très humide. Elle se pénétra elle-même, toujours dans la domination, mais son regard se voila, preuve de son plaisir. J’étais un peu à l’étroit dans son sexe, ce qui ne calma pas mon état…


Elle laissa son corps s’habituer puis commença ses va-et-vient, un peu lents à mon goût. Je voulus accélérer mais elle enserra mon bassin : de toute évidence elle décidait du rythme, me regardant dans les yeux.



Elle sourit, ferma les yeux puis se mit à augmenter le rythme. Elle rejeta sa tête en arrière, soupirant, sentant monter son plaisir, attisant le mien. Elle se pencha en avant, ses seins frôlant mon torse ; j’avais la sensation d’éclairs courant sur ma peau à chaque mouvement. Elle se baisait elle-même sur mon sexe : j’étais surpris, pas habitué ! Quelle maîtresse ! Elle m’embrassa et, se redressant, accéléra. J’accompagnai sa furie par des mouvements de bassin ; nous étions en pleine fusion corporelle, mentale. Un parfum de sexe emplissait la pièce, nos sueurs mélangées rendaient l’atmosphère encore plus érotique.


L’orgasme nous faucha simultanément, tel un coup de foudre ! Littéralement électrocutés, nous perdîmes pied, à la limite de l’évanouissement. Le temps s’arrêta, net.

Jamais je n’avais ressenti cela. Que se passait-il ? Je m’endormis, comblé.


Quelques minutes ou heures plus tard – je ne saurais dire – je me réveillai. Le soleil avait commencé à se voiler, la chaleur à s’estomper. M’étirant, je cherchai du regard mon amante : j’étais seul. Le sourire aux lèvres, je repensai avec délice à notre étreinte. Quelle aventure ! Quelle amante ! Un caractère de feu, un art du sexe consommé ! Je m’octroyai une douche, vis mes vêtements en train de sécher.


En sortant de la douche, je fus surpris de voir sur l’étagère une collection de sextoys de formes et couleurs variées, y compris des plugs. Lise devait avoir une activité sexuelle soutenue. Mais je n’eus guère le temps de rêvasser : des rires joyeux me parvenaient de l’entrée.


Sortant de la salle de bain, je tombai nez à nez avec une jolie fille de type asiatique. Elle me bouscula presque, s’excusant :



Sans cérémonie, elle baissa sa culotte et s’assit sur les toilettes. Décontenancé par tant d’audace et de naturel, je détournai les yeux et passai au salon. Lise était attablée.



Sirotant mon jus de fruit avec gourmandise, j’entrevoyais les meilleurs moments à venir.

Malika sortit de la salle de bain, courant comme une petite fille. Sa jeunesse irradiait la pièce.



Lise répondit que sans voiture… Je l’interromps aussitôt :



Devant l’air ravi de Malika, Lise accepta.