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n° 18196Fiche technique35045 caractères35045
Temps de lecture estimé : 21 mn
16/12/17
Résumé:  En cette année 1949, telle la France, il y a quelques années, je me libère à mon tour. Pas loin du village, une base américaine s'est implantée, et il y a quelques beaux spécimens à tester.
Critères:  fh fhhh jeunes uniforme nympho grossexe fellation pénétratio double sandwich fsodo -humour -totalsexe
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message
Tabouret 49

Ce texte est juste une petite fantaisie un peu saugrenue.

Lisez-le en tant que tel, sans vous mettre martel en tête.

Bonne lecture :)


Maman, Papa et moi


En cette année mille neuf cent quarante-neuf, telle la France, il y a quelques années, je me libère à mon tour. Pas loin du village, une base américaine s’est implantée, et il y a quelques beaux spécimens à tester. De plus, comme la nature a fait de moi la copie presque conforme de Maman qui a gagné plein de prix de beauté, je reconnais que j’ai un certain succès, mais je ne tiens pas à me caser trop vite sans avoir goûté à un peu de liberté.


Maman, qui n’a pas toujours été une sainte d’après ce que j’ai pu comprendre, m’a expliqué plein de choses que j’aimerais bien un jour mettre en application. Elle m’a laissé entrevoir un énorme lot de possibilités auxquelles je n’avais nullement songées. Je me suis dit que ma mère avait dû être une sacrée et que je savais de qui tenir ! Papa, qui est, je dois le reconnaître, plutôt cool (comme disent mes amis d’outre-Atlantique), m’a prise à part :



Je me tortille sur place. Mon père, qui comprend vite, me demande :



Ce n’est pas faux, je n’avais pas envisagé cet aspect des choses. Je relance :



Je vois que mon attirance pour les gens qui ne sont pas du coin semble venir de ma génitrice. J’embrasse mon père sur la joue :



Je souris. Je demande à mon père sa version des faits :



Je ris tandis que mon père sourit. Je sens que plus tard, je comprendrai bien des choses, mais que ce n’est pas encore le bon moment.


My Dick à moi


Je suis au lit avec Dick. C’est mon sergent préféré, il a peut-être quinze ans de plus que moi, mais je m’entends très bien avec. Il vaut mieux, sinon je ne coucherais pas avec lui ! Dick ne m’a pas caché qu’il avait une femme et deux enfants, là-bas de l’autre côté de l’océan, une fois qu’il a eu fini ses études à Paris, il y a dix-douze ans. Sa Cindy n’a jamais voulu le rejoindre alors qu’elle le pouvait. Tant pis pour elle et tant mieux pour moi !


Nous venons de faire l’amour et ce fut très bon, Dick n’a pas volé son diminutif ! C’est un de ses copains qui m’a expliqué la signification de « dick » en argot américain.



La plupart des soldats qui comprenaient un peu le français ont rougi. Et aussi les autres, quand les premiers ont traduit pour les seconds. Ma réputation a singulièrement viré au rouge, ce jour-là ! Ça a beaucoup amusé mon amant qui m’a néanmoins demandé de ne pas trop faire sa publicité, histoire d’éviter quelques jalousies mal placées !


Dick a vite compris que je ne me contenterai pas que d’un seul bonhomme. Il a donc sélectionné ses coéquipiers de bagatelle, et je dois reconnaître que je n’aurais pas mieux choisi ! Quatre autres hommes et avec lui, ça fait cinq, comme les doigts d’une main. D’ailleurs, par amusement, je les surnomme ainsi, sachant que Dick est mon « pouce » adoré ! Décidément, j’avais eu la main heureuse avec mon sergent. C’est alors que je me suis demandé si ça n’avait pas été le même cas de figure entre mon père et ma mère. Ça m’a un peu perturbée, mais je me suis vite reprise.


Fidèle à mon habitude, je suis allongée sur le ventre, mes petites fesses à l’air que Dick s’amuse à la fois à caresser et à bisouter. Un fana du cul, celui-là. Ce qui ne l’empêche pas d’honorer comme il se doit mes seins et ma chatte, Dick n’est pas monomaniaque.



Il se redresse, puis d’une voix forte :



Et à ma grande surprise, Majeur-Bobby entre dans la chambre. Comme c’est le plus grand de mes « doigts », je l’ai surnommé ainsi. Très surprise, je bafouille :



Sérieux comme un pape, Dick continue :



En effet, je n’ai pas dit non…


Aussitôt, Bobby s’assied juste à côté de moi, et commence à me caresser le dos, puis il descend très vite sur mes fesses rebondies. Lui aussi ne déteste pas mon petit cul. J’ai cru comprendre que chez eux, le mot « sodomy » est une grosse infraction punissable de prison. Et que ça veut même dire plus que « sodomie » en français. Même si ce n’était pas prévu au programme, je me laisse faire. Il y a des expériences et des découvertes que j’ai du mal à refuser, et ça, Dick le sait très bien. Je le soupçonne d’en abuser parfois !


Tandis que Bobby s’enhardit, Dick, oreillers dans le dos, joue les spectateurs, ou plutôt les voyeurs, installé confortablement aux premières loges. Je suis un peu surprise de la tournure des événements, mais pourquoi pas, d’autant que Dick est mon initiateur dans pas mal de domaines.


Bien qu’il parle mal le français, Bobby me fait vite comprendre qu’il souhaite que je change de position. Quelque chose me dit que mon amant est moins adepte des préliminaires longs et savoureux que mon Dick adoré. Néanmoins, je m’exécute, me mettant dans la position désirée, il m’en complimente :



Je suis à présent à quatre pattes, et je me doute bien de ce qui va m’arriver dans quelques secondes. Comme je m’y attendais, Bobby se positionne derrière moi, et sans trop de préambule, sa grosse queue se trace un passage entre mes lèvres intimes pour venir explorer mon vagin déjà tout détrempé.



Puis il commence ses va-et-vient en moi. Dick regarde le spectacle que nous formons avec un intérêt non dissimulé. D’ailleurs, son sexe redevient doucement dur, pointant petit à petit vers le plafond. Derrière moi, Bobby se déchaîne comme si il n’avait pas baisé depuis des années, alors qu’il a eu son content la semaine dernière. Et je ne suis pas certaine d’être son seul jouet défoulatoire !



Le vocabulaire de Bobby n’est pas très étendu, mais pour les secousses, il y va de bon cœur ! Son bas-ventre claque contre mes fesses, il est physiquement en train de me limer, son gros machin frottant à mort le long de ma délicate cavité secrète ! Encore heureux que je suis assez lubrifiée, sinon ça finirait par brûler ! Je ne serais même pas étonnée de voir sortir de là de la fumée, c’est dire !



Bobby continue sa longue mélopée, me pistonnant à fond et au fond, sans relâche, tandis que j’essaye de me tenir tant bien que mal sur mes bras, mon corps envahi de secousses mémorables, tel un marteau-piqueur ! On ne peut pas dire que j’y trouve mon compte d’être malmenée de la sorte, mais je sais que je compenserai tout à l’heure, je fais confiance à mon Dick pour cela.



Un dernier coup de reins pour s’enfoncer encore plus loin et Bobby éjacule dans de grands jets, il se vide en moi, tandis qu’il agrippe férocement mes hanches. Puis s’étant vidé, il se retire pour s’affaler sur le lit, la bite molle.


Dick s’approche de moi, me caressant la joue :



Je saisis une serviette pour essuyer tout le sperme que ce gros cochon m’a envoyé. Même s’il n’a pas utilisé de capote, je sais que je ne crains rien, mes règles sont prévues normalement pour après-demain. Quelle stupidité de devoir compter les jours afin bénéficier en moi du bon foutre chaud de mes hommes ! Vivement qu’on invente une méthode contraceptive pour nous, les femmes, genre un truc à boire, ou une pilule à avaler ! Mais ces fichus inventeurs préfèrent inventer des tas de machins qui tuent plutôt que simplifier la vie aux femmes !



Bobby est toujours hors service, mais mon Dick est reparti dans de bonnes dispositions. Il me le prouve en m’embrassant et en baladant ses mains partout. Très vite ses doigts dénichent mon petit bouton rose et le taquinent agréablement puis sensuellement. Il ne me faut pas bien longtemps pour me sentir toute chaude et toute moite !


Je dandine de plaisir, il n’y a pas à dire, mon Dick adoré sait très bien me faire grimper aux rideaux ! Le jour où il devra repartir vers son lointain pays, je me demande comment je vais faire pour le remplacer ! En attendant, je me laisse faire et je me laisse aller. Un fois de plus, mon plaisir monte lentement mais irrésistiblement, et je suis à deux doigts de céder à ma jouissance.


Soudain, mon amant arrête sa délicieuse torture. Je suis partagée entre le plaisir de pourvoir récupérer un peu et le désagrément d’avoir été privée de jouissance. Dick murmure quelque chose à Bobby qui affiche aussitôt un large sourire, ce qui laisse augurer de choses pas tristes !



Intriguée, je vois Bobby s’allonger, son cinquième membre déjà en train de pointer vers le plafond. Je constate qu’il a déjà récupéré. Dick me désigne le lit :



En bonne fille obéissante, je m’exécute. Tandis que je m’installe, Bobby dirige sans complexe sa grosse verge vers ma petite chatte. Bien sûr, je comprends illico le message, pas besoin de paroles et encore moins d’interprètes pour assimiler ce genre de message. C’est avec un soupir d’aise que j’accueille en moi ce gros morceau de chair, tandis que mon amant « Doigt-Majeur » m’enlace aussitôt de ses puissants bras pour me plaquer contre lui.



Bobby étant sous moi, je suis à présent allongée sur sa vaste poitrine, mes menus seins écrasés, mes genoux de part et d’autre son torse, mon nez dans son cou. Derrière moi, je sens que Dick se met en place. Je suis un peu stressée, c’est la première fois que ça m’arrive. Fermement, il écarte mes fesses pour mieux dégager mon entrée interdite, puis son gland vient pousser contre ma cuvette. Ce n’est pas la première fois qu’il m’encule, il adore ça, mais je me demande s’il y aura assez de place car la grosse bite de Bobby envahit déjà toute ma chatte !



Dick se contente de rire faiblement. Son gland bien lubrifié entre en moi. Je respire lentement, profondément pour mieux accepter cette grosse queue en moi. Je me sens doublement comblée, remplie à fond, même si Dick n’a pas encore tout mis en moi. Je pourrais même croire que les deux bites sont dans la même cavité, bien que je sache que ce n’est pas le cas. C’est indéniablement puissant ! J’essaye de me décontracter au maximum pour que mon amant m’encule à fond comme il adore le faire.


Je le sens coulisser en moi, lentement, profondément. Je crois à chaque centimètre qu’il entre en moi que je ne pourrais plus en accepter plus. Mais à chaque fois, je m’aperçois que je suis plus permissive que je ne l’aurais cru.



Sous moi, Bobby commence à bouger, à faire coulisser son long tuyau en moi ! Les sensations sont fortes, c’est le moins que je puisse dire ! Mais ce n’est rien à côté de ce que j’éprouve maintenant tandis que Dick se met à me pistonner à son tour.


J’ai l’impression d’être déchirée, éclatée, mais pourtant ces deux satanées bites sont toujours en moi, me procurant un étrange mélange de plaisir et de tourment.



Ces deux délicieux salauds se font un plaisir de me démontrer qui possède le manche ! Je dois reconnaître que c’est puissant, incongru mais terriblement jouissif de se faire entreprendre en même temps par deux hommes dans mes deux trous ! Je ne suis pas une sainte, je le sais, mais à présent, avec une telle pratique, je suis en train de devenir une sacrée salope ! Mais c’est si bon d’être une sacrée salope, une pute qui suscite le désir et l’envie des mâles !



C’est si délicieux que je jouis immédiatement, toujours limée à fond par ces deux mâles qui m’assaillent. Aussitôt, j’entends un râle de plaisir puis un second : mes deux hommes se vident en moi, me remplissent, tandis que je sombre dans une délicieuse torpeur apaisante.


Une étrange proposition


Une fois de plus, je suis au lit avec mon sergent préféré. Non, je ne passe pas tout mon temps dans son lit, mais c’est vrai que j’y suis assez souvent. Nous venons de faire l’amour et ce fut très bon, comme toujours avec lui. Je ne m’en lasse pas ! Me reposant après cette épique bataille de nos corps en sueur, je suis allongée sur les draps froissés, toute nue, les fesses à l’air. Comme toujours, Dick s’amuse à me les caresser.



Je vois qu’il est pensif, que quelque chose lui trotte dans la tête. Je lui demande :



Prenant un air faussement surpris, Dick s’étonne :



Ne sachant pas quoi répondre, je rougis. Il est vrai que la dernière fois, nous avons fait un trio qui s’est conclu par un sandwich, une découverte pour moi, une bonne découverte ! De plus, je couche parfois avec d’autres soldats de la base, et ça s’est su très vite. C’est même mon amant qui a fait le tri pour moi, c’est dire !


Reprenant le fil de sa pensée, Dick continue :



Il rigole franchement :



Soudain, il s’arrête, songeur :



Il s’assied en tailleur sur le lit, sans cesser de caresser mes fesses :



Et il m’embrasse, puis il m’explique son idée, son fantasme plutôt. Au fur et à mesure qu’il parle, j’écarquille grands les yeux, c’est vrai que ce n’est pas… enfin… c’est spécial ! C’est émoustillant, c’est grisant, c’est insensé, c’est cinglé, c’est plein de choses à la fois !


Vous aurez compris que j’ai dit oui à cette folle idée, même si j’en tremble à la fois d’excitation et d’appréhension !


Préparatifs


Aujourd’hui, c’est le grand jour ! Je me prépare comme il faut, il ne faut pas prendre certaines choses à la légère. Consciencieusement, je me fais un premier lavement. C’est étrange d’avoir plein d’eau à cet endroit. Je l’expulse du mieux que je peux pour constater qu’il fallait que j’en fasse au moins un. Je décide d’en faire un autre que je garde un peu plus longtemps en moi. Ce n’est pas trop désagréable, d’ailleurs, la queue des hommes passe souvent par cet étroit conduit, et ça évite les mauvaises surprises neuf mois plus tard !


Même si j’ai lu quelque part que ce n’était pas bon d’en faire trop, je décide d’en faire un troisième, on ne sait jamais et de plus, c’est peut-être la dernière fois que je pratiquerai un tel truc ! On dirait que je m’habitue. On s’habitue à pas mal de choses, à ce qu’il paraît, même les plus biscornues.


Puis je m’envoie plein de lubrifiant dans le fondement, car je ne tiens pas à avoir mal. Je veux bien faire des tas d’expériences cochonnes, passer pour une sacrée salope, mais avoir mal, non !


Comme ça plaît aux hommes de tous les continents, je mets des bas noirs et un porte-jarretelles de la même teinte. C’est vrai que ça met bien en valeur. Pour le haut, je choisis un serre-taille tout aussi sombre, ça gommera un peu mon ventre, et ça mettra en relief mes petits seins. J’aurais préféré avoir la poitrine de maman, mais ce n’est pas le cas. Néanmoins, elle m’a avoué un jour que ses seins avaient grossi quand elle m’attendait et qu’ils n’avaient plus changé de volume ensuite. Mais je ne vais quand même pas me faire faire un marmot, juste pour avoir un peu plus de lolos !



La porte s’ouvre, Dick s’immobilité et siffle dans ses dents :



Il me saisit à bras le corps et m’embrasse furieusement, sa façon à lui de dire que, décidément, ma tenue lui plaît beaucoup ! Puis une bonne minute plus tard, nos lèvres se séparent. Avec une pointe de regret, il me demande :



Je suis mon amant dans un long couloir, puis, Dick ouvre une porte et me fait rentrer, tout en retirant mon manteau qui n’a finalement pas été utile. Au milieu de la chambre trône un haut tabouret pivotant, et autour de celui-ci, quatre beaux militaires qui me regardent avidement !


Tournez manèges


C’est la première fois que je vois un tabouret pivotant pour de vrai. Ceux que je connais ne pivotent pas, ils restent sagement immobiles. M’avançant dans la pièce, je lance un « Hello boys » plutôt décontracté. Mes garçons me répondent sur le même ton enjoué. Il y a de quoi, ils savent ce qui va arriver dans peu de temps ! J’arrive auprès de la chose en question. Amusée, je m’assieds dessus et avec mes jambes, je pivote plusieurs fois sur moi-même. C’est très fun, comme diraient les hommes autour de moi.



Les hommes autour de moi rigolent tous. Ces hommes, je les connais, ils ont été choisis par mon sergent adoré pour le suppléer, car je suis assez insatiable. Eh oui, ça me fait cinq hommes, comme les cinq doigts de la main, avec Dick le pouce, le principal, et les quatre autres en vis-à-vis. Un peu comme ces quatre doigts, il y a un majeur grand et puissant (Bobby, que vous connaissez déjà), un index agile et preneur d’initiatives, un annulaire sérieux et efficace et un auriculaire fun et lutineur.


Bref, je suis en terrain de connaissance !


Je m’agenouille sur le tabouret tandis qu’un boy l’empêche de tourner. Il est vrai que je risquerai de me casser la figure autrement ! Je me positionne au mieux sur le petit coussin, j’agrippe bien le mini dossier, je dandine un peu pour tester la stabilité. Ça m’a l’air correct. Je respire un grand coup avant de lancer à la cantonade :



Ce qui fait rigoler les autres participants. Je continue :



Obéissant, il fait tourner le siège jusqu’à ce que je revienne au point de départ. À prime vue, tout est parfait. Il ne reste plus qu’à passer à l’étape suivante, et j’ai quand même quelques appréhensions, car ce qui va survenir maintenant n’est pas courant ! C’est alors que je découvre que Dick prend des photos. J’espère simplement qu’il ne va pas les distribuer à toute la base, mais ça m’étonnerait de lui.


Dick prend la parole, d’abord en français :



Puis il traduit en anglais. Ceci fait, avec une certaine délicatesse, il me fait tourner ; les queues défilent alors sous mon nez, je me demande bien quelle va être la première qui va me perforer ? Le tabouret ralentit lentement, doucement puis finalement s’arrête.



Et je sens une main agripper ma hanche tandis qu’aussitôt quelque chose de dur taquine mon petit trou. Je comprends très vite que c’est Auriculaire-Andrew qui a le privilège de commencer. Ce qui n’est pas plus mal car il ne l’a pas trop grosse. Quelques secousses, deux-trois positionnements et ce boy très excité m’encule posément ! Comme sa queue est assez fine, il entre en moi assez facilement. Il faut dire que j’ai mis le paquet avec le lubrifiant et que Dick a demandé à ses collègues de bite d’être bien lubrifié, eux aussi.


Les autres s’impatientent déjà, et Andrew doit se retirer. J’éprouve une sorte de soulagement et aussi un manque. Le tabouret pivote un peu pour venir s’immobiliser, et c’est à présent une autre queue nettement plus grosse qui investit mon petit trou. L’intrus entre joyeusement en moi, il me pistonne ludiquement trois fois, puis se retire avec aisance. La machine à enculer est lancée, ma délicate entrée des artistes va être très visitée ces prochaines minutes !


Puis le tabouret continue de tourner, je mets bien mon cul en buse afin de faciliter les choses. Des tas de queues me perforent, m’assaillent, plongent en moi, certaines grosses, d’autres fines, certaines longues, d’autres courtes. Je suis ramonée à fond, puissamment, copieusement, allant d’une bite à une autre, tel un jouet que des gamins se refilent.



En plus, je suce avidement ces queues gluantes qui viennent de visiter mes profondeurs. Parfois, j’ai juste le temps de faire quelques lichettes qu’une autre bite veut prendre la place de celle à laquelle je fais une gâterie. De temps à autre, je me dis que je suis une sorte de rôti, ficelée dans de la belle lingerie, embrochée devant et derrière. Oui, une femme objet, une femme consommée et consumée !



La sensation générale que j’éprouve est étrange : c’est à la fois excitant et humiliant. Je ne suis qu’un trou, un trou normalement interdit que ces bites remplissent, comblent. Parfois, une queue crache son sperme en moi, je déborde petit à petit, je sens le foutre dégouliner hors de mon anus, le long de mes lèvres, le long de mes cuisses. Je ruisselle de foutre, mon cul n’arrive plus à le contenir tant ces salauds m’en mettent dedans !


Surprise, je sursaute. Quelque chose est tombé sur ma cheville, je comprends vite que c’est du sperme qui a atterrit là. Du liquide blanc sur mes bas noirs, ça doit se voir ! Et ça continue de dégouliner ! Mes boys s’en aperçoivent :



Le tabouret tourne sans relâche, des queues continuent sans répit à m’enculer, des bites cherchent ma bouche, mes lèvres, je suce, je lèche, ils déchargent, devant, derrière. Je nettoie un par un ces braquemarts qui jutent, qui vident ces bourses bien pleines. Cinq hommes, je jurerais qu’ils sont nettement plus ! Dix, quinze, vingt, qui sait ? Je suis leur chose, cet avilissement m’excite d’une étrange façon !


Soudain je sens une main venir se plaquer sur ma chatte et commencer à me masturber. Je tourne un peu la tête, je découvre alors que c’est Dick qui s’est emparé de mes lèvres intimes. Le tabouret ne pivote plus. Tandis que ses doigts me masturbent avec délice, je sens comme un flottement autour de moi. Dick dit quelque chose mais je ne comprends pas, tellement que je suis plongée dans un brouillard opaque.


La queue qui était en train de m’enculer se retire légèrement. Soudain je sens un autre gland venir se plaquer contre mon entrée dévastée. Je devine aussitôt que ces salauds veulent tenter une double ! Dans un mélange de plaisir et d’appréhension, les deux queues entrent moi. Finalement, ce n’est pas pire que la grosse queue de certains de mes amants, Bobby en particulier. Mais je suis passée dans une autre catégorie, une catégorie restreinte, celle des putes qui acceptent les doubles.


Ces deux salopards commencent à me pistonner, mais hélas, ils ne sont pas synchrones, ce qui fait que mon sphincter est mis à rude épreuve !


Je sens que ça s’agite plus encore derrière moi. Je m’en fiche, mon plaisir monte, mon clitoris est en feu, ma chatte dégouline et mon cul est plein à craquer ! Soudais, je m’exclame :



Je pousse un autre petit cri, sans doute aidé par mon petit trou béant et ruisselant de lubrifiant et de sperme, un troisième larron s’est introduit en moi. Mais comment diable ce type a-t-il pu réussir son coup et à entrer quand même en moi ? Je ne cherche pas à comprendre, trop absorbée par le divin plaisir que me procurent les doigts agiles de Dick.


C’est alors que ma jouissance éclate comme éclate mon cul forcé par trois bites. Un tsunami déferle sur moi, me retournant, me jetant, ballotant mon corps comme un vulgaire fétu de paille, mon corps comme le vulgaire objet que j’étais entre les bites de ces queutards déchaînés !


Même si je ressens toujours et encore ces trois mandrins qui me labourent, qui me remplissent, je sombre petit à petit dans cette petite mort, dans cet état suspendu si reposant, si apaisant, ailleurs, autrement, lointaine, étrangère à toutes ces délicieuses turpitudes que j’ai subies aujourd’hui.


Promesse annuelle


Quelle expérience ! Je ne sais pas si un jour, on marchera sur la lune, mais ma lune à moi a été bien explorée dans tous les sens et dans les moindres recoins ! Après ça, j’ai eu quelques difficultés à m’asseoir durant un certain temps, mais ça en valait largement la peine.


Dick m’a donné un double des photos qu’il a prises ce fameux jour. Je me demande comment il a réussi à les faire développer car elles sont très pornographiques, voire pire ! J’ai du mal à imaginer que c’est bien moi sur celles-ci ! Je découvre avec stupéfaction le trou béant que faisait ma délicate rondelle en fin de séance, c’est hallucinant !


Mais je ne regrette rien…

Même s’il existe à présent d’étranges rumeurs qui circulent à mon sujet.


C’est en regardant du haut de ma fenêtre tous ces virils et mâles soldats qui s’activaient dans tous les coins, en imaginant leurs baïonnettes, celle qui est planquée et plantée dans leur pantalon et dont j’adore faire l’expérience, que je me suis fait la promesse de recommencer ce truc de fou au moins une fois par an…


Je me demande bien jusqu’en quelle année, j’oserai, je pourrai encore le faire…