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n° 18197Fiche technique54821 caractères54821
Temps de lecture estimé : 31 mn
16/12/17
Résumé:  Un homme mûr devient sugar dady mais tombe amoureux de sa sugar baby.
Critères:  fh ffh hplusag caférestau noculotte fmast hmast fellation pénétratio -amiamour
Auteur : P.R. De Montels            Envoi mini-message
Le contrat

Voilà plusieurs années que mon ami Philippe vit seul. Divorcé après vingt ans de mariage. Ses trois enfants dispersés en France mais loin. Ils se retrouvent une à deux fois par an chez Philippe, en général pour Noël et le 15 Août. Philippe mène une vie de célibataire retraité faite de sport, de vie sociale et d’aventures passagères. Il a un faible pour les massages car il éprouve un réel plaisir à se faire doucement triturer tous les muscles et notamment, souvent, ce qui n’est pas un muscle mais un corps spongieux, sa bite. Il se fait un malin plaisir à transformer une relation professionnelle avec ses masseuses en relation amicale. C’est son dada. Quand je lui fais remarquer qu’il n’arrivera pas à transformer la relation amicale en relation amoureuse, il me répond que ce n’est pas son but, car il sait cela. Soit les masseuses ont un compagnon consentant, soit elles tiennent à rester indépendantes, leur activité s’accommodant mal avec des sentiments amoureux.


Philippe vient juste de dépasser la soixantaine. Sans être un Apollon, son physique est sportif et sa fréquentation est assez agréable. De nature réservée, il peut devenir très disert sur certains sujets qui l’intéressent plus particulièrement. En dehors des sports qu’il préfère pratiquer plutôt que de les commenter, il aime les sujets de société et étudier le comportement des gens dans certaines situations. Il adore faire de nouvelles expériences afin de pouvoir en débattre plus tard entre amis.


Vivant seul chez lui, il lui arrive d’aller souvent au restaurant et il y invite autant que cela leur est possible ses amies masseuses. Il y a quelque temps, alors qu’il finissait de déjeuner avec Anémone, une masseuse qu’il aime bien, est arrivée une jeune femme que l’œil avisé de Philippe a jaugée immédiatement. De taille moyenne, un visage oblong aux traits réguliers et non maquillés, relativement mince. L’aspect flou dû à un jeans troué de partout, surmonté d’un grand pull qui lui descendait presque aux genoux, diluait les formes féminines. Un sourire charmant accompagnait un bonjour chaleureux et une poignée de main ferme que Philippe sut juger à sa juste valeur.



C’est ainsi que Philippe fit connaissance de Laetitia. Cette dernière lui exposa son problème qui était un problème de devenir de la profession et des filières à privilégier. Philippe n’eut pas de mal à lui répondre que la réponse n’était pas simple et qu’il valait mieux qu’ils se revoient pour en discuter en ayant du temps devant eux. Il lui proposa donc qu’ils dînent un prochain soir dans ce même restaurant. Bien sûr, elle était son invitée. Laetitia rougit un peu de confusion mais accepta la proposition et une date fut prise.


À 20 h du jour décidé, Philippe se trouva attablé. Après quelques minutes d’attente, il commanda un verre de son blanc préféré, du Côte du Roussillon, élaboré par un voisin vigneron. Après près de 20 minutes d’attente, Laetitia apparut. Il faillit ne pas la reconnaître. Habillée d’un fourreau rouge qui mettait ses seins en valeur et quel relief ! Arrêté au-dessus des genoux il laissait voir de magnifiques jambes aux attaches fines et au galbe accentué par des chaussures à talons également rouges. Le visage était légèrement maquillé, juste le nécessaire pour en relever l’éclat. Philippe n’en croyait pas ses yeux. Il lui semblait que ce n’était pas la même jeune fille qu’il avait connue quelques jours auparavant. Se levant, il ne put s’empêcher de faire un baisemain avec un sourire amusé à une Laetitia qui, de confusion, était devenue presque aussi rouge que sa robe.



Le repas débuta ainsi par des politesses un peu conventionnelles mais la suite fut plus conforme aux normes actuelles. Philippe s’efforça de répondre de son mieux aux questions de Laetitia. Il put lui faire l’historique des évolutions des études pharmaceutiques des 40 dernières années. De l’évolution de cette profession à la fois libérale et commerciale. Des études unitaires d’autrefois à la spécialisation précoce actuelle.


Tout en discutant avec passion, Philippe ne pouvait empêcher son regard de se poser sur les deux globes que le buste du fourreau mettait en valeur et qui semblaient le défier. Ses pensées étaient souvent traversées d’images lubriques telles qu’imaginer que ses globes ne soient plus emprisonnés et deviner leur forme en pomme ou en poire, une fois libres. Cette vue et ses pensées le maintenaient en semi-érection. Laetitia, de son côté, semblait boire ses paroles. La façon qu’avait Philippe de s’exprimer, sa voix chaleureuse, amicale, lui plaisaient. Ne fréquentant quasiment que des jeunes étudiants, elle éprouvait un plaisir nouveau et curieux à se retrouver en face d’un homme mûr qui semblait avoir de l’intérêt pour elle, jeune étudiante.

Le repas était fini depuis déjà longtemps ainsi que les cafés, quand Philippe se rendit compte de l’heure tardive et s’en inquiéta.



Philippe raccompagna Laetitia au bas de l’immeuble où elle résidait.



Et sans attendre la réponse Philippe vint poser ses lèvres sur sa joue mais la légère confusion dans laquelle il se trouvait et le trouble que lui inspirait un dernier regard sur la gorge de Laetitia firent que ses lèvres atterrirent à la commissure des lèvres et s’y attardèrent un peu plus que nécessaire.



Et Laetitia déposa un baiser très léger à la commissure des lèvres de Philippe. Un trouble perceptible flottait dans la fraîcheur de la nuit.



Laetitia regagna son studio au second étage de l’immeuble. Elle était un peu troublée d’esprit et de corps. Elle rentrait de cette soirée en ressentant des ondes positives. Et c’est parfaitement satisfaite d’elle qu’elle se coucha. Pour parfaire sa félicité, une fois allongée dans son lit elle se caressa le minou en imaginant que Philippe l’observait caché dans un coin de la pièce. Pour donner plus de réalité à son fantasme, elle tira les draps en arrière, découvrant son corps nu. Ces doigts lissaient lentement sa toison triangulaire aux poils bruns et soyeux. Descendant lentement vers l’entaille déjà humide ils venaient effleurer les lèvres qui se congestionnaient. Un doigt de son autre main venait titiller son bouton qui commençait à sortir de sa capuche et lui donnait des frissons. Imprégnant son doigt de la mouille suintante de sa cavité elle commença un frottement de plus en plus rapide. Elle sentait le plaisir monter entre ses cuisses, envahir son intérieur et éclater entre ses doigts inondant sa main et la serviette qu’elle avait déposée sous ses fesses, sachant que bien souvent sa jouissance la faisait gicler telle une fontaine. Apaisée et pleinement repue, l’image de son voyeur disparue, elle fit glisser la serviette au bas du lit et se recroquevillant, une main dans son entrejambe, un doigt planté dans les profondeurs humides de ses muqueuses vaginales, elle entra dans un profond sommeil dont le réveil matinal la tirera.


Quant à Philippe, rentré chez lui, il ne put se coucher de suite, son esprit étant troublé par l’ambiance de la soirée passée. Pour se donner un peu de temps avant le coucher, il se versa un doigt de cognac qu’il dégusta assis dans le fauteuil. Laetitia l’avait bel et bien troublé. Il y avait longtemps qu’il n’avait pas été aussi proche et aussi longtemps d’une jeune et belle femme. Il en avait oublié le bien-être et le mal-être que pouvaient amener de telles rencontres. Il la revoyait dans sa tenue négligée, il la comparait à sa tenue magnifique et sensuelle de ce soir, il l’imaginait nue. Il s’interrogeait sur la forme réelle de ses seins, sur la couleur de sa toison, mais en avait-elle encore, la mode étant à l’épilation totale ou peut-être avait-elle conservé une touffe bien soignée ? Il s’amusait à imaginer toutes les possibilités et cela lui donnait une trique pas possible. Le pantalon et le slip le serraient. Négligemment, sans vraiment y réfléchir, pour se mettre à l’aise, il descendit sa braguette et fit passer sa queue raide au-dessus de l’élastique de son sous-vêtement. Ses doigts tripotaient son gland, ses bourses, pinçaient ses boules, caressaient sa hampe.


Il se sentait bien ainsi, perdu dans ses visions d’une Laetitia qu’il imaginait de plus en plus nue et dans des positions lascives comme pour le narguer, lui ce vieux qui n’avait plus droit à toucher de jeunes corps. Mais il fit disparaître rapidement cette pensée négative. Une idée germait dans son inconscient. La satisfaction de la possible réalisation de ce qu’il venait d’‘entrevoir lui fit accélérer les caresses qu’il se prodiguait et un puissant spasme le fit gicler. Détendu et content comme un enfant qui vient de faire un bon coup, il alla se coucher et s’endormit comme un bienheureux, renvoyant au lendemain matin le nettoyage du carrelage. Sophie, sa femme de ménage n’aurait pas manqué de lui demander quelle pouvait être l’origine de ces taches blanchâtres sur les carreaux rouge-brun.


Philippe trouva la semaine relativement longue. Impatient, qu’il était, de revoir Laetitia. Il lui aurait bien donné un coup de fil mais il se félicitait par ailleurs d’avoir oublié de lui demander son numéro de portable. Mais de ce fait, il avait une petite inquiétude concernant leur rendez-vous dînatoire. Tant pis, pensait-il, remettons notre sort aux lois du hasard et de la chance.


Laetitia de son côté eut une semaine assez chargée en cours et à distribuer plusieurs fois dans la semaine des publicités dans les boîtes aux lettres qui ne les interdisaient pas. Levée de bonne heure, pour cela elle devait étudier le soir et s’endormait rapidement.


Philippe retint la veille la table au restaurant afin d’être sûr d’avoir la table qu’il affectionnait, au fond de la salle, dans le recoin, un peu éloignée des autres tables. Sans vraiment y réfléchir il mit une tenue qui se voulait plus jeune que ses tenues habituelles. Il assortit une chemisette bleue cintrée à son jeans bleu à la coupe serrée. C’est en passant devant le miroir de l’entrée qu’il se vit et réalisa qu’il avait essayé de paraître plus jeune. Le résultat n’était pas trop mauvais, eut-il plaisir à constater. Arrivé avec un peu d’avance selon son habitude il n’eut pas longtemps à attendre. Laetitia apparut dans l’encadrement de la porte et son regard parcourut la salle. Elle n’eut aucun mal à repérer Philippe, la plupart des tables étant encore inoccupées. Vêtue d’un jeans, cette fois sans trous, et d’un léger sweat-shirt rouge qui lui moulait le torse, cachant ses seins mais en relevant le volume et surtout les pointes qui apparaissaient en relief, elle traversa la salle et vint embrasser Philippe qui s’était levé dès son entrée.



En son for intérieur Philippe se surprenait. Il était rare qu’il fasse de tels compliments.



Après cette entrée en politesse, un peu solennelle et conventionnelle, la discussion prit un tour plus simple. Philippe demanda à Laetitia de lui conter un peu sa vie étudiante.



Philippe était tout ouïe. Il était imprégné de sentiments contradictoires. Ce côté « bonne sœur » que venait d’évoquer Laetitia lui faisait mal car se reconnaissant par l’âge dans la catégorie des « assistés » il avait du mal à admettre qu’il pourrait faire partie de ceux-là. D’un autre point de vue, il était heureux d’apprendre que Laetitia pouvait avoir un faible pour les congénères de son âge. Selon la façon dont il considérait la situation, il pouvait choisir entre le verre à moitié vide ou à moitié plein. Il décida d’être positif et de choisir le verre à moitié plein.



Le repas était terminé depuis un moment. Philippe n’avait pas envie de quitter la table et de prendre congé de son invitée. Cette dernière ne semblait donner aucun signe de lassitude. La salle du restaurant s’était vidée depuis un moment et il était évident que le serveur souhaitait leur départ pour ranger rapidement et rentrer chez lui ou ailleurs. Philippe finit par se décider.



Chacun étant heureux de cette décision, ils quittèrent le restaurant et quelques minutes plus tard, ils s’installaient dans les fauteuils du salon de Philippe. Ce dernier proposa un verre de Marie Brizard glaçon que Laetitia accepta.



Philippe qui est un grand adepte des massages était terriblement intéressé au point que Laetitia en a pris conscience et a continué de parler sur ce sujet.



Notre client avait les yeux fermés et n’a rien vu de nos mimiques. Mais je n’étais pas au bout de mes étonnements. Anémone se saisit du flacon d’huile et en répandit une bonne quantité sur le sexe et les bourses de notre client. Et elle se mit à lui prodiguer de douces caresses. Ses doigts lui caressaient le périnée, le scrotum. De son autre main, elle décalottait et recalottait avec précaution le gland qui semblait dormir mais que ces attouchements réveillaient de sa torpeur. Je pouvais voir la hampe amollie qui lentement s’étirait. De la pulpe d’un doigt imprégné d’huile, elle faisait maintenant le tour du gland qui gonflait. J’avais du mal à me concentrer sur ma propre tâche. Je trouvais magnifique cette verge qui se développait, grossissait sous les caresses des doigts magiques d’Anémone. Alors que le membre de notre client semblait avoir atteint la plénitude, sa main vint saisir la fesse d’Anémone et l’attira vers lui. Mon amie se rapprocha en biais et je pus observer la main qui s’introduisit entre ses cuisses ouvertes et vint caresser l’abricot dont je perçus l’humidité. Les doigts d’Anémone entourèrent alors toute la hampe et la branlèrent vivement. Deux doigts du client montaient et descendaient au même rythme dans la chatte maintenant bien ouverte de mon amie. Un jet de sperme blanc, accompagné d’un fort gémissement, jaillit du méat cramoisi et vint atterrir en partie sur mes mains qui massaient l’entrecuisse. Je vous avoue que ce baptême du feu sexuel – si je puis dire – m’avais un peu secouée. Je ne m’attendais pas à cela et je dus admettre que d’une certaine façon j’y avais pris un certain plaisir. Excusez-moi de l’avouer, mais je mouillais !



Devant la crudité de leurs révélations Philippe et Laetitia marquèrent une pause. Une certaine tension était perceptible dans la pièce. Chacun supputant ce que l’autre pouvait penser et aucun n’osant en dire plus. Philippe n’avait pas été surpris par ce qu’avait raconté Laetitia car c’était ce qu’il vivait souvent lui-même lors des massages qu’Anémone lui prodiguait. Ce qui l’avait le plus émoustillé c’est qu’il s’imaginait à la place du client en présence de Laetitia. Pour faire retomber la tension Philippe demanda à Laetitia si elles avaient renouvelé l’expérience. En fait, il était très curieux de savoir si dans une autre expérience Anémone lui avait cédé la place pour la finition. Il savait que c’était prendre le risque que les descriptions ne l’amènent à un état d’excitation dont il ignorait ou redoutait l’issue.

Mais Laetitia le ramena à certaines réalités.



Philippe raccompagna Laetitia chez elle. La bise qu’ils échangèrent pour se dire au revoir et se souhaiter bonne nuit leur laissa une curieuse impression d’inachevé. Chacun souhaitait un geste plus expressif, plus explicite de l’état de son esprit et de son corps mais aucun n’osa le premier pas. Toutefois, ils n’omirent pas de reprendre rendez-vous mais cette fois, directement chez lui.


Cette nuit encore ils étaient trop tendus pour trouver tout de suite le sommeil. L’un comme l’autre dut s’astreindre, mais était-ce réellement une astreinte ? à effectuer ces gestes libérateurs des tensions de leur bas-ventre, pour le plaisir et l’apaisement. Quel peut être un meilleur programme si ce n’est celui de le partager quand c’est possible.


Le jour du dîner chez lui, Philippe se donna du mal pour composer un repas qu’il voulait simple mais où tout de même Laetitia pourrait y déceler une intention de bien faire. Philippe n’était pas un cuisinier aussi il s’est rabattu sur des plats cuisinés par son traiteur, Picard assurant les petits fours de l’apéritif.


Laetitia sonna à la porte de Philippe à 19 h 30 comme il avait été convenu. Vêtue d’une jupe courte à carreaux et d’un chemisier blanc à grand décolleté, chaussée de ballerines, et ses cheveux châtains retenus en deux couettes, elle avait tout l’air d’une collégienne. Philippe fut si choqué par l’allure si jeune de son invitée que son visage ne put réprimer son étonnement ce qui fit rire Laetitia.



Ils s’embrassèrent avec naturel et passèrent au salon. Le temps de l’apéritif fut consacré à discourir sur les dernières nouvelles du monde. Le temps du repas ils parlèrent études et ambiance politique à la fac. Laetitia semblait bien tenir l’alcool car elle but autant que Philippe. Tout juste ce dernier put-il déceler un peu plus de volubilité et d’excitation dans ses paroles. Ce n’est qu’au café que Philippe se décida à poser la question qui tournait depuis un moment dans sa tête.



Je finis par me décider à prendre le flacon d’huile et à répandre le liquide gras sur et autour du sexe du client. Ce dernier avait les yeux fermés et semblait très calme, ce qui me rassura d’une certaine façon. Je m’efforçai de me souvenir des gestes effectués la dernière fois par Anémone. J’ai donc réparti l’huile dans l’entrecuisse, sur les boules, le sexe lui-même tranquillement allongé sur le côté. Mes mains tremblaient à son contact. De peur de mal faire ou d’excitation ? Des deux peut-être. J’ai commencé par caresser la zone de l’entrecuisse massant le périnée de l’anus au scrotum. Je ne sais pourquoi je laissais un doigt tourner autour de l’anus. Je sentais que le sphincter se mouvait. Cela devait m’amuser. Lentement je remontais mes doigts pour caresser le scrotum tandis que de l’autre main je saisissais le sexe proprement dit. J’avais fini par me concentrer sur mes gestes qui devenaient plus affermis. J’ai obtenu rapidement une bonne érection ce qui m’a rassuré quant à la qualité de mes gestes.


Mais j’ai eu un moment de panique quand j’ai senti une main qui caressait doucement le haut de ma cuisse et tenait à s’insérer dans mon entrejambe. Concentrée sur mes caresses sur le sexe, je n’avais pas vu venir la manœuvre. Reprenant mon self-control et décidant qu’il me fallait poursuivre l’expérience jusqu’au bout, je pris la position que j’avais observée de la part d’Anémone. C’est alors que j’ai pris conscience que mon propre sexe était humide et accueillait les doigts intrus avec satisfaction. J’étais dans un état second, mélange d’une certaine honte à me laisser tripoter mais aussi satisfaction d’éprouver un plaisir nouveau. Les doigts dans ma chatte m’excitaient mais excitaient pareillement leur propriétaire car la queue que tenait ma main devint d’un coup raide et le bassin se soulevait pour accompagner mes mouvements. Le rythme s’est rapidement accéléré aussi bien dans ma chatte qui maintenant suintait abondamment, que sur la hampe que branlait ma main. J’ai ressenti un spasme puissant sous mes doigts et le foutre a giclé en un fort jet tandis que les doigts dans ma cavité se crispaient. Un léger feulement s’est échappé des lèvres de notre client.


La suite est banale. Le client est allé se doucher, a réglé la prestation et nous a quittées. Il n’y eut pas plus de commentaires que la fois précédente.


Philippe avait bien apprécié cette nouvelle description du massage et d’autant mieux que la principale actrice en était Laetitia. En dehors de la description des gestes il avait surtout goûté celle des sentiments éprouvés.


Laetitia s’était arrêtée de parler mais son esprit était encore dans le massage qu’elle venait de décrire et elle en ressentait tous les effets dans son bas-ventre. Elle était consciente que ses lèvres vaginales étaient gonflées et trempées. Elle s’apercevait que ce n’était pas Philippe qui l’avait poussée à donner tant de détails mais que c’était elle qui avait ressenti un besoin de revenir dans l’ambiance de ce massage et du plaisir charnel qu’elle y avait découvert.


Le silence finit par leur peser. Il fallait que l’un d’eux le rompe. Philippe se décida à poser une question qu’il savait délicate mais qui pouvait contribuer à rester dans cette curieuse ambiance. Tout en se levant pour resservir une Marie Brizard glaçon :



Laetitia tout en parlant s’est rapprochée de Philippe et a posé sa main sur la sienne.



Et prenant la main de Philippe qu’elle tenait depuis un moment dans la sienne, écartant ses jambes, elle vint la poser sur sa chatte exempte de toute protection tissulaire. Cette dernière était trempée et Philippe ne put que constater que l’entaille était bien ouverte sous la toison dégoulinante.


Passé quelques secondes de stupeur devant l’audace et le culot de Laetitia il se ressaisit et réalisa que ses doigts pénétraient dans son intimité. Son regard était accroché au sien et semblait lancer une supplique. Son propre sexe avait encore grossi et le démangeait. Laetitia porta une main à sa braguette et fit glisser la fermeture éclair. D’un geste adroit, en cuiller, elle l’extirpa des tissus et se penchant vint en lécher le gland cramoisi. Un frisson parcourut les jambes et tout le corps de Philippe. Tout en recevant les caresses de la langue et des lèvres de sa maintenant partenaire, ses doigts montaient et descendaient entre les muqueuses vaginales, cherchaient le bouton d’amour et le titillaient, provoquant des accès de feu et de plaisir dans les entrailles de Laetitia.


N’en pouvant plus, l’un comme l’autre, ils se relevèrent pour s’allonger immédiatement sur le canapé voisin en imbriquant leurs sexes l’un dans l’autre. L’envie était trop forte pour essayer de se retenir et prolonger. Leurs bassins se cognaient, les boules tapaient le fond de l’entrejambe et le clito hyper tendu venait s’écraser contre le pubis. Les poussées devenaient de plus en plus sauvages et ils éclatèrent en même temps. Laetitia était secouée de multiples petits orgasmes provoqués par les petits spasmes qui succédaient à l’orgasme primaire de son cavalier. Ils finirent par s’écrouler l’un sur l’autre ou plutôt Philippe pesait de tout son poids sur sa partenaire qui n’en avait cure tant sa jouissance l’avait transportée momentanément ailleurs.


Le lendemain matin les surprit se réveillant dans le lit de Philippe car jugeant que leur premier rapport avait été trop rapide du fait de leur excitation maximale, Philippe avait dirigé Laetitia vers la chambre. Lentement, ils s’étaient déshabillés mutuellement, s’étaient allongés sur le lit et s’étaient caressés longuement, de leurs doigts et de leur langue, ne laissant aucune partie de leur corps vierge de léchouilles. Les muqueuses en feu, ils avaient fusionné à nouveau. Sans se presser, ils avaient fait venir lentement le point de non-retour. Comblés et repus ils sombrèrent dans un profond sommeil, enlacés l’un à l’autre.


L’heure du premier cours à la fac pour Laetitia était passée. Elle renonça à s’y rendre et préféra prendre dans sa bouche la queue molle d’un Philippe peu réveillé. Le goût de sueur et de sperme froid mélangé à ses propres sécrétions séchées, au lieu de la rebuter, la stimulait, les souvenirs des jouissances de la soirée se révélant puissant aphrodisiaque. Le traitement que ses lèvres et sa langue infligeait à la queue de Philippe ne tarda pas à réveiller cette dernière et son propriétaire par la même occasion. Elle lui imposa de se laisser faire et ne s’arrêta qu’après avoir obtenu une complète éjaculation au fond de sa gorge. Tout en se repaissant du râle qui sortait de la gorge de Philippe, elle avala le précieux nectar, son regard défiant le supplicié.


Ils déjeunèrent de bon appétit après une bonne douche. Philippe n’avait pu résister à pénétrer dans la cabine de douche tandis que Laetitia se savonnait. Il avait tenu à la savonner lui-même et sa main et ses doigts s’étaient tant attardés dans l’entrejambe qu’il obtint un orgasme. Il jugea avec satisfaction qu’ils étaient quittes. Il accompagna Laetitia à la fac mais avant qu’elle quitte la voiture il lui dit :



Et sur ces paroles il déposa discrètement un léger baiser sur les lèvres de la jeune étudiante. Le soir venu ils se rendirent dans une brasserie du quartier où Philippe savait pouvoir obtenir une table un peu éloignée des autres afin de pouvoir parler librement. Après une conversation ayant pour sujet les matières des cours que Laetitia avaient suivis dans la journée il se décida à attaquer le sujet pour lequel il avait demandé à la jeune femme de venir.



Laetitia était devenue très attentive et son regard, qu’observait Philippe, trahissait un sentiment de surprise et de perplexité. On sentait que son esprit s’efforçait d’enregistrer tout ce qu’elle entendait tout en analysant le contenu et ses conséquences. Il se passa quelques longues secondes avant qu’elle réponde. Elle tenait sa fourchette dans sa main et la faisait tourner nerveusement, ce qui trahissait ses hésitations. Elle finit par répondre, en parlant lentement comme si elle cherchait ses mots.



Ce soir-là, ils se quittèrent de bonne heure après un long baiser échangé dans la voiture garée devant la porte de l’immeuble du studio de Laetitia.

Philippe trouva la journée longue. Il était inquiet de la réponse que la jeune femme pouvait lui apporter. Il concevait bien le côté insolite de l’accord proposé mais il trouvait que la situation n’était pas si détestable que cela. Il éprouvait une réelle attirance pour Laetitia et elle semblait aussi l’apprécier alors qu’il n’était plus très jeune.


Mais par ailleurs s’il y a sentiments, pensait-il, il n’y a pas besoin d’accord, les choses découlent d’elles-mêmes. Mais quelle valeur réelle peut-on accorder à des sentiments amoureux entre une jeune femme de 21 ans et un homme à la soixantaine ? À force de retourner le problème dans sa tête il finit par ne plus savoir où il en était. À 18 h il sortit acheter les pizzas qu’il plaça dans le four à 70° pour les maintenir chaudes.


Laetitia arriva avec pas mal de retard, ce qui mit les nerfs de Philippe à vif. De ne pas la voir arriver lui semblait être de mauvaise augure. Quand elle arriva, il en était tellement heureux qu’il ne lui reprocha pas son retard comme il en avait l’intention. Il écrasa les excuses de la jeune femme par un fort baiser sur les lèvres qui essayaient d’exprimer les raisons du retard. Enfin libérée de cette étreinte, Laetitia put dire :



Philippe était suspendu à ses lèvres. Il était sur des charbons ardents. Il n’arrivait pas à comprendre pourquoi il se mettait dans un tel état, à son âge. Ou plutôt si, peut-être justement à cause de son âge. Il venait de vivre ces derniers jours des moments extraordinaires comme il y avait bien longtemps qu’il n’en avait vécus et le oui ou le non qui allait être prononcé allait le plonger dans une existence délicieuse ou le renvoyer dans une vie terne où il ne connaît plus que les amours tarifés.



D’un commun élan, ils s’enlacèrent et échangèrent un long baiser dont l’intensité était proportionnelle à l’inquiétude qu’ils avaient tous deux éprouvées. Philippe alla chercher la bouteille de champagne qu’il avait mise au réfrigérateur dans la perspective de fêter cette décision. La soirée fut bien arrosée et joyeuse, les pizzas vite avalées, le café vite bu. Ils ne s’attardèrent pas en bavardage inutile. La séance de déshabillage fut sensuelle et les ébats amoureux de grande intensité. C’est fatigués, mais repus de sexe et de leurs sécrétions, qu’ils tombèrent dans les bras de Morphée, enlacés l’un à l’autre, la queue de Philippe enfoncée dans la chatte toute chaude de Laetitia.


Deux jours plus tard, Laetitia se rendit chez Anémone. Après s’être embrassées, Anémone avec un air d’impatience et de curiosité interrogea son amie :



Les journées, les mois s’écoulèrent. Philippe et Laetitia se retrouvaient deux ou trois soirs par semaine pour dîner et s’ébattre. Ils passaient quelques week-ends ensemble. Leur accord était respecté. Philippe aurait bien aimé avoir Laetitia tous les jours mais il savait que malgré les meilleurs sentiments qu’elle éprouvait pour lui il ne devait pas l’étouffer, elle était jeune, il fallait qu’elle ait une vie personnelle en dehors de leur vie commune. C’était un équilibre difficile à tenir. Il s’y efforçait du mieux qu’il pouvait. L’ombre la plus sombre dans le tableau était quand il se mettait à penser que Laetitia pouvait n’agir que par intérêt. Il n’en avait pas réellement l’impression mais il avait toujours un petit doute que les paroles et l’attitude aimante de la jeune femme n’arrivaient pas à éliminer.


Laetitia arrivait au bout de ses études. Cette dernière année fut très pénible pour Philippe qui voyait arriver la fin de leur contrat. Son entente avec sa protégée était parfaite. Ils avaient su se préserver une vie personnelle. Il savait que l’échéance arrivait et la redoutait.


Laetitia, prise par ses études, avait longtemps reculé inconsciemment le moment de réfléchir à l’avenir de sa relation avec Philippe. À quelques mois de l’échéance, elle commença à prendre conscience du problème. La joie de la fin des études en était un peu gâchée. Elle aimait bien Philippe mais savait que son avenir ne pouvait passer désormais par lui. Rester avec lui ne pouvait être une décision raisonnable, leur différence d’âge qui se ferait de plus en plus sentir deviendrait un problème majeur. Pour faciliter la rupture, elle chercha et trouva un poste d’assistante pharmacien loin de Philippe. Ils s’appelèrent souvent au téléphone au début, mais au fil des mois les appels se firent plus rares. Ils cessèrent quasiment quand Laetitia fit la connaissance d’un confrère dont elle devint amoureuse. Elle se maria et entama une nouvelle tranche de sa vie.


Quant à Philippe, il eut beaucoup de mal à se consoler du départ de sa protégée mais en homme pragmatique il l’accepta. Au début, pour oublier, il augmenta la fréquence de ses séances de massage avec Anémone. Cette dernière le surprit quand, après quelques séances « normales », c’est-à-dire semblables à celles auxquelles il était habitué de la part d’Anémone elle prit l’initiative alors que souvent, dans le cadre de la finition, elle se contentait de le chevaucher frottant sa chatte contre son membre dur, elle se saisit de ce dernier et l’introduisit dans ses profondeurs intimes, son bassin effectuant des montées et descentes jusqu’à l’obtention de l’éjaculation et sa pleine jouissance. Surpris de ce changement d’attitude et une fois remis de son voyage au septième ciel, il ne put qu’interroger Anémone :



Un profond silence envahit le salon. Anémone était en attente inquiète de la réaction de Philippe tandis que ce dernier avait du mal à digérer ce qu’il venait d’entendre. Le complot avoué lui laissait une impression désagréable de s’être fait manipuler, de s’être fait avoir. Mais finalement le résultat avait été heureux, ce qui effaçait son ressenti de « piégé ».


L’aveu d’Anémone de ses sentiments pour lui le prenait au dépourvu mais ne le choquait pas outre mesure car depuis longtemps il se doutait que son attitude professionnelle était au-delà de son quotidien. Et lui-même aurait bien voulu qu’elle soit abandonnée.


Pour toute réponse il s’approcha d’Anémone, l’enlaça et plaqua ses lèvres contre la bouche charnue qui n’en attendait pas moins. Retournant Anémone sur le dos sur la table de massage et sans que ses lèvres quittent la bouche avide de sa partenaire, il la pénétra d’une queue triomphante et heureuse.


Novembre 2017