n° 18204 | Fiche technique | 34329 caractères | 34329Temps de lecture estimé : 20 mn | 25/12/17 |
Résumé: Ce matin d'hiver, je suis confortablement installée dans mon lit bien douillet, bien au chaud, dans mon studio mal chauffé pour cause de panne de chaudière. | ||||
Critères: fh alliance douche massage intermast nopéné -regrets -extraconj | ||||
Auteur : Patrik (Carpe diem diemque) Envoi mini-message |
Un petit texte sur un sujet ultra-rabattu et archi-convenu de la prose érotique.
Bonne lecture :)
Ce matin d’hiver, je suis confortablement installée dans mon lit bien douillet, bien au chaud dans mon studio mal chauffé pour cause de panne de chaudière. La couette sous le menton, je suis en train de lire un bouquin, quand soudain Baptiste, mon beau-frère, m’appelle sur mon smartphone :
Allons bon ! Quoi donc qu’il se passe encore ? J’avais bien remarqué que, ces derniers temps, entre ma sœur et lui, il y avait comme un léger refroidissement, surtout du côté de ma chère frangine. Comme je suis curieuse de nature, et que je sais que ma grande sœur ne me dira rien, pas même sous la torture, je réponds :
En attendant qu’il arrive, je me lève et j’en profite pour déverrouiller la porte et mettre un T-shirt afin d’être un minimum présentable. Même si je connais Baptiste depuis longtemps, et qu’il me connaît depuis une flopée d’années, à la louche une décennie, ce n’est pas une raison pour parader nue sous le nez de son beau-frère ! Même si le beau-frère en question n’est pas mal de sa personne et que si j’avais été plus âgée, je l’aurais bien piqué à Béatrice, ma sœurette. Mais bon, quand on n’a que douze ans, bientôt treize, on ne fait pas le poids vis-à-vis d’une femme qui en a presque vingt. Et depuis, neuf ans, bientôt dix, se sont écoulés.
On tape à la porte. Quatre coups, je crie :
Après les quatre bises de circonstance, je le fait assoir sur le pouf qui est à côté de mon lit. Il s’étonne :
Un petit silence s’installe. Quelque chose me dit que si je ne prends les choses en main, je n’apprendrais rien de rien. Donc il faut que je fasse le premier pas :
Et d’un seul coup, il prend un air très abattu et commence à débiter un flot de paroles dans lequel je comprends que ça ne va plus du tout avec ma sœur et que, depuis que ma nièce est née, sa femme (ma frangine) le repousse la plupart du temps et qu’elle assure le strict minimum syndical, voire moins. Et dès qu’il essaye un petit geste de tendresse, genre bisous ou caresses, hop, il est éconduit illico presto. Assez embêtée, j’essaye de le rassurer :
Ah oui, en effet. Et si on ajoute la grossesse, je parie que mon beau-frère doit être dans la mouise depuis presque deux ans. Mais je préfère ne pas lui dire. De toute façon, il reprend son flot de parole, m’expliquant qu’il aime profondément ma sœur, mais qu’il a la sale impression que son couple part à l’eau. Il vient d’avoir trente ans, le mois dernier, et je peux comprendre que, pour un homme dans la force de l’âge, il doit l’avoir mauvaise de faire ceinture !
En parlant de son anniversaire du mois dernier, je me rappelle alors que dans le temps, il était très tactile, il caressait le cou, les épaules, les bras de ma frangine pour un oui ou pour un non (et je suis prête à mettre ma main au feu qu’il lui caressait allègrement les seins et les fesses dans l’intimité), mais lors du repas, ma sœur l’a repoussé quand il a tenté ce genre de choses. Et pas qu’une fois…
Il soupire bruyamment :
Moi, je suis figée dans mon lit à l’écouter, sans savoir quoi lui répondre. Heureusement qu’il ne cherche qu’une oreille compatissante. Plus il parle, plus il se voûte. Je me dis que c’est quand même con pour eux deux, alors qu’ils formaient un beau couple dont j’étais envieuse, il y a quelques années. La tournure du quasi-monologue devient un peu plus chaude quand il avoue :
Étonné, il se redresse :
Aussitôt, ça le fait rire !
Il essuie les quelques larmes qui perlaient à ses yeux, ça l’émeut malgré moi. Après s’être mieux calé sur le pouf, il secoue la tête :
Beau résumé, même si ça me chagrine un peu qu’il ait placé son boulot en premier. Il est vrai aussi que ma frangine est une mère poule qui accapare sa fille, ne laissant que des miettes à son mari. Embarquée dans cette ambiance étrange, je ne sais pas ce qui me prend de proposer :
Incrédule, il me regarde avec de grands yeux ronds. Pas très consciente de ce que je suis en train de lui proposer, je précise :
Redressée sur mon lit, je proteste à moitié :
Je me recule un peu sur le côté, libérant un peu de place, puis je tapote les draps :
Enlevant son blouson, puis ses bottes, il s’installe gauchement à mes côtés. Je pose ma tête sur sa poitrine. Il finit par passer un bras sous ma tête pour venir capturer mon épaule, et me serrer contre lui. Une minute passe, une autre, puis une troisième. Afin de rompre le silence, je finis par lâcher :
Bonne nouvelle : je suis une femme attirante. Il veut en venir où, le Baptiste ? C’est alors que je jette un coup d’œil plus bas, et je constate que son chapiteau est levé. Ah bon ? Je lui fais de l’effet ? Première nouvelle, et autre bonne nouvelle !
Amusée, ma joue toujours posée sur sa poitrine, je murmure :
Il soupire bruyamment :
Je ris doucement :
Un nouveau coup d’œil me permet de constater que le chapiteau est très tendu ! Attirée comme un aimant, ma main glisse doucement vers ce petit mont de toile. Peu après, elle se pose dessus, je peux sentir distinctement combien le poteau est dur par-dessous !
Un peu dépassé, Baptiste proteste pour la forme :
Il se contente de rire, se laissant faire, sans chasser ma main baladeuse. Pendant quelques longs instants, le temps est comme suspendu, lui immobile, tandis que je câline délicatement sa bosse qui augmente encore de volume. Petit à petit, je m’enhardis, accentuant mes caresses, cherchant à ressentir cette forme palpitante.
Puis soudain, sans cesser de le cajoler, je me redresse pour le regarder bien en face. Il me dévisage d’un œil étonné, attendant la suite. Je lui souris faiblement :
Je vois bien qu’il est plutôt surpris, puis agréablement surpris. Je sens bien qu’il doit cogiter sévèrement, se demandant ce qu’il doit faire. Délaissant son chapiteau, j’ôte illico mon T-shirt, me présentant à lui, seins nus. Néanmoins, comme le bas de mon corps est toujours sous la couette, il ignore que, plus bas, je n’ai rien non plus. On dira que c’est la petite surprise qu’il aura ultérieurement.
En parlant de surprise, il aime visiblement la vision de mes seins nus ! Enjoué, il s’exclame :
Il tend sa main à mi-chemin entre lui et moi. Un peu stressée, je réponds doucement :
Il me le démontre aussitôt par de sensuelles caresses frôlantes qui me font frissonner, bien malgré moi. Pour mieux profiter de ses douces mains, je m’allonge à nouveau à côté de lui, tandis qu’il s’occupe de ma poitrine avec application et délicatesse. Il taquine de temps à autre mes tétons, ce qui me fait un bien fou ! J’en profite pour bichonner à nouveau son chapiteau, et je vois bien que ça lui plaît beaucoup. Sa langue suit le contour de mes aréoles, ça m’électrise ! Peu après, c’est sa bouche qui happe mes tétons érigés, et croyez-moi, il sait se servir de sa langue et de ses lèvres !
Après un long soupir d’aise, je le repousse délicatement pour lui annoncer :
Indéniablement, ma proposition le séduit, mais il conserve une trace de réticence :
En un rien de temps, Il se dévêt, je n’ai pas trop le temps d’admirer son corps nu, néanmoins, je constate qu’il tient une sacré forme, en-dessous de son pubis ! Puis il s’engouffre prestement sous ma couette, son corps chaud contre le mien. J’en frémis d’aise. Il m’enveloppe de ses bras, sa peau contre la mienne, c’est exquis !
Silencieusement, il capture mes lèvres pour y déposer un long et doux baiser. Ce n’était pas prévu au programme, mais j’aime beaucoup ! Sa main, qui est dans le haut de mon dos, glisse doucement vers le bas. Peu après, elle arrive dans le creux de mes reins pour venir taquiner l’orée de mes fesses. Nos lèvres se séparent :
Pour toute réponse, je capture son beau pénis entre mes doigts, je commence une délicate branlette, tandis que mon autre main caresse ses testicules qui semblent gonflées à bloc. Je commence doucement, puis petit à petit, j’accentue mon mouvement et mes effleurements. Je vois bien que ça lui fait un sacré effet !
Repoussant la couette, je dépose quelques baisers sur son torse, j’agace ses tétons, tandis que ses mains continuent leurs longues et douces cajoleries sur ma peau devenue si sensible. Telle une chatte en chaleur, je me frotte à lui, j’ai envie de lui, mais il ne faut pas que nous dépassions une certaine limite.
De son côté, il se retient comme il peut, mais il finit par gémir doucement, alors je continue de plus belle mes agaceries et ma lente masturbation. Son sexe est tendu à mort, son gland est rouge écarlate, ses veines palpitent le long de sa verge.
J’ai envie de cette bite, de la posséder, de tout prendre. Je me laisserais bien tenter à sucer ce beau morceau de chair, mais il s’agit quand même du mari de ma sœur, même si elle le délaisse ! Alors je décide de l’achever en le branlant encore plus fort !
Il ne faut pas que je répète, il éjacule aussitôt ! Une pluie de sperme s’écrase sur mon ventre et sur mon pubis ! Un jet plus puissant que les autres vient s’aplatir sur mon sein droit. Je suis étonnée de tout ce foutre qui s’échappe de cette lance en folie ! Il n’a quand même pas fait des réserves depuis des mois et des mois ? Toujours est-il que j’en ai partout, de ma chatte à mes nichons ! On dirait que je me suis fait arroser par plusieurs mecs en même temps. Ah tiens, c’est un fantasme qu’il faudra que j’essaye d’assouvir un beau jour, des tas de queues qui jutent sur moi ! Mais en attendant, je m’occupe de Baptiste, et je dois reconnaitre que ça me plaît…
Les doigts poisseux, je continue à le masturber délicatement jusqu’à ce que sa queue s’apaise, s’amollisse. Alors que je continue à le branler doucement, mon beau-frère m’avoue :
Il se gratte la tête tandis que je joue toujours avec son sexe avachi :
Après une dernière caresse, je délaisse sa bite toute molle, je m’apprête à me lever :
Je souris, puis mue par un réflexe et une envie que je n’ai pas assouvie tout à l’heure, je dépose un petit bisou sur sa queue au repos. Je vois bien du coin de l’œil que ça l’étonne. J’en profite pour m’esquiver vers la mini-salle de bain pour faire couler l’eau de la douche.
Alors que je m’apprête à entrer dans la cabine, Baptiste arrive derrière moi et me demande :
Ah… franchement, je ne sais pas quoi répondre. Je préfère continuer à lui tourner le dos afin qu’il ne voit pas mon expression hésitante. Oui, ça me plairaît, et en même temps, ça me gêne vis-à-vis de ma sœur, même si ce que nous venons de faire n’était pas innocent. Alors que je cogite à la chose, mon beau-frère poursuit :
Je tends le bras pour vérifier la température, l’eau ruisselle sur ma main et mon bras :
Ça va, il semble raisonnable. Je me décide :
J’entre la première sous le jet chaud, ça me fait beaucoup de bien, surtout avec mon studio un peu froid. Baptiste entre à son tour. Il ne perd pas de temps : la seconde suivante, il caresse mes fesses ruisselantes. Je dois reconnaître que ça me fait aussi beaucoup de bien. J’aime qu’on me caresse, qu’on me désire. Je ne suis pas en pénurie de bonshommes, mais celui-là est un peu particulier : il a quand même hanté mes nuits d’ado. Et ça, je ne suis pas prête à le lui avouer.
Il s’empare du gel douche et commence à me savonner sensuellement le dos. Même si j’estime qu’il va un peu plus loin que de me caresser les fesses, je le laisse faire, surtout quand il entame un délicieux massage de mes épaules ! Je lui fais quand même remarquer :
Mais je le laisse toujours faire. Ma résistance s’affaiblit au fur et à mesure qu’il me masse. Une question me turlupine, je me décide de la poser :
Je préfère ne rien dire. Ma grande sœur est décidément une grande crétine ! Moi, je serais presque capable de tuer pour qu’on me masse de la sorte au moins une fois par semaine ! Je me laisse aller sous ses mains expertes. Entre ce type de massage et faire l’amour, je ne suis pas certaine que je choisirais la deuxième option, c’est dire !
Soudain, Baptiste cesse son massage, je suis un peu triste. Mais la suite l’est nettement moins, car il m’enlace se plaquant contre moi. Je sens alors comme une barre bien dure s’incruster le long du sillon de mes fesses, tandis que deux mains se referment sur mon ventre. Je proteste mollement :
Dit comme ça, c’est vrai qu’il serait idiot de refuser, même si je sens quelque chose devenir de plus en plus ferme et dur du côté du bas de mes reins. De plus, je ne suis pas non plus une oie blanche, et je ne déteste pas apprécier sur ma petite personne la démonstration de l’effet que je peux faire sur un homme normalement constitué.
Et puis sentir un homme contre soi, c’est toujours très agréable, surtout quand une bonne eau chaude vous enveloppe de sa douce moiteur… Si nous étions sous les tropiques, en bord de mer, sous une pluie chaude en soirée, ce serait même le paradis !
Lentement, les larges mains, qui caressaient mon ventre, remontent vers ma poitrine. En peu de temps, elles capturent mes seins, tandis que des lèvres brûlantes s’activent le long de mon cou. Je sais que je devrais refuser, mais j’ai envie d’être désirée, c’est tellement bon et ça me fait un bien fou !
Alors qu’il me masse les seins, qu’il joue avec mes tétons, Baptiste commence à se frotter lascivement contre mes fesses. Je nourris quelques appréhensions : faire des minauderies, des frottis-frottas, pourquoi pas, mais aller plus loin, je ne veux pas. À prime vue, mon partenaire de douche semble l’avoir compris :
Je ne réponds rien, je suis à nouveau partagée. Oui, j’ai envie. Non, je suis sa belle-sœur. Lâchement, je le laisse décider à ma place, me défaussant de toute responsabilité. Sa réponse muette ne tarde pas : des doigts aventureux se glissent dans la fente humide de ma chatte offerte.
Très vite, ces doigts inquisiteurs trouvent ce qu’ils sont venir chercher. Ils entament une délicieuse agacerie sur mon clitoris en émoi ! Ça fait peut-être un bon bout de temps que Baptiste n’a pas fait l’amour à une femme, mais il n’a pas oublié le mode d’emploi ! Je me tortille, tellement l’effet est puissant ! Mais il ne relâche pas sa pression ni son étreinte. D’ailleurs, je n’ai nulle envie de m’enfuir. Ses doigts virevoltent autour de mon bouton ultra-sensible, c’est bon, c’est délicieux, ça fait même un peu mal, mais pour rien au monde, je ne chasserais sa main de mon intimité !
Tandis que mon visage ruisselle d’eau chaude, que mon corps frémit d’aise, que mon bas-ventre est si brûlant, il murmure à mon oreille :
À ces mots susurrés d’une voix rauque, je cède, je sombre, je jouis comme une petite folle tandis qu’il éjacule sur mes fesses. Nos plaisirs synchronisés et en harmonie décuplent nos sensations, et pour ma part, j’ai l’impression de décoller très haut, plus loin peut-être que le septième ciel. C’est inédit pour moi, mais je ne vais certainement pas bouder mon plaisir et je m’abandonne totalement à cette jouissance qui fuse en moi dans tous les sens, tel un long et bon feu d’artifice !
Puis lentement, le calme revient, telle la mer qui se retire.
Nous nous lavons mutuellement, comme si c’était parfaitement naturel, voire inné. Puis la douche achevée, nous nous séchons réciproquement, tel un couple ayant des années de cohabitation. Je surprends à trouver tout ça évident, spontané.
Comme le chauffage n’est toujours pas réparé, nous nous habillons rapidement. Il remet ses vêtements, tandis que je me contente d’un chaud peignoir bien épais. Baptiste me capture dans ses bras pour déposer un chaste baiser sur mon front encore légèrement mouillé :
Un grand sourire lumineux éclaire son visage, il s’esclaffe :
Puis aussitôt, il se rembrunit !
Oh-oh, on dirait que mon beau-frère a un gros truc à dire. Je l’aide un peu :
Encouragé, il se lance :
Pour un gros truc, c’est un gros truc ! Je reconnais que ça me fait plaisir qu’il dise ça, même si ce n’est pas très moral. À fois heureuse et embêtée, je le raisonne comme je peux :
Il a presque l’air offusqué, ce qui ne l’empêche de resserrer son étreinte :
Il est dubitatif :
Pour éviter de répondre, je le repousse doucement mais fermement, puis je le pousse vers la porte, il se laisse faire. Avec une légère hésitation, il pose sa main sur la poignée, puis il se décide à ouvrir la porte. Avant de franchir le seuil, il se tourne vers moi :
Ces simples paroles me font un sacré effet, et ce grand lâche en profite pour déposer un furtif baiser sur mes lèvres. Puis prestement, la porte se referme sur lui.
Puis ses pas s’éloignent dans le couloir. En soupirant, je m’adosse à la porte, me demandant si j’ai bien fait ou si j’ai fait la pire connerie de ma vie. Nous avons flirtouillé (un peu plus, il est vrai), il ne m’a pas pénétrée, mais ce que nous avons fait n’est pas anodin. Et puis, malgré le fait que je me refuse à regarder la vérité en face, quelque chose s’est passé. Idem pour Baptiste.
Des bonshommes, j’en ai connus, mais le seul qui m’intéresse vraiment m’est interdit. Je pourrais devenir sa maîtresse, mais, soyons pragmatique, c’est une voie sans issue. Je pourrais aussi l’oublier, mais ça va être dur, très dur. Enfin, je pourrais carrément piquer le mari de ma sœur, mais là, c’est un coup à ce que ma famille me renie, sans parler du fait que, connaissant Béa, Baptiste risque de ne plus revoir sa fille.
Quelle situation à la con ! Et c’est moi qui m’y suis mise toute seule dedans en tentant de consoler mon pauvre beau-frère…
Il faudra que j’aie une discussion sérieuse avec ma frangine afin qu’elle arrête de débloquer alors qu’elle a un gentil mari. Et pour utiliser le même verbe, il faudra aussi qu’elle débloque cette situation à la con. Sinon, si elle ne veut plus de son homme, moi, je suis prête à le consoler à ma façon.