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n° 18209Fiche technique50468 caractères50468
Temps de lecture estimé : 27 mn
31/12/17
Résumé:  Un jeune homme paraplégique et encore vierge découvre les joies de l'amour et du sexe dans les bras de son auxiliaire.
Critères:  fh extracon enceinte voir hmast intermast pénétratio fdanus -inithf
Auteur : Loumossous            Envoi mini-message
Aïcha, ou la délicieuse tutrice...

Âgé d’à peine dix-huit ans, cela faisait quatre ans qu’Eddy subissait la torture quotidienne de devoir rester cloué, assis… Quatre ans, suite à un accident de scooter, à vivre et à se déplacer dans ce fauteuil qu’il maudit comme étant l’objet de son calvaire quotidien.


Habitant seul avec sa mère, une profonde solitude demeurait en lui, il avait peu d’amis et ne cherchait pas, de toute manière, compagnie des gens de son âge, sentant un certain décalage entre son univers solitaire et celui des autres. « Et puis en quoi un handicapé pourrait-il intéresser d’autres adolescents en perpétuelle activité ? » se rabâchait-il.


Ce mélange d’orgueil et d’introversion l’avait d’ailleurs souvent amené à décliner et esquiver les multiples invitations que ses camarades de lycée lui proposaient, amalgamant ces égards à de la pitié. Cette simple idée lui faisait horreur, et ne sachant pas faire la part des choses, il préférait rester en marge.


Depuis l’accident survenu, la mère d’Eddie étant une femme professionnellement très active car tenue à faire vivre son foyer monoparental, rémunérait régulièrement Aïcha afin qu’elle puisse venir tenir compagnie à son fils chaque mercredi après-midi et samedi.


Aaahhh ! Aïcha !


Aïcha est une jeune femme pleine de charmes au seuil de la trentaine, d’un aspect enjoué et d’une personnalité douce mais vive. Elle avait depuis le début été perçue par l’adolescent comme une réelle amie sur laquelle il pourrait toujours compter, lui confiant à l’occasion ses peurs, ses colères, ses espoirs, sa bonne humeur bien souvent floutée par son caractère ronchonneur.


Elle l’aidait souvent à rédiger des synthèses, à son anglais, à le faire réviser avant chaque interro… bref, grâce à elle, Eddy se dévouait d’abord à ses devoirs puis à ses occupations sur ordinateur, le soir lorsqu’il rentrait de cours.


Le physique de celle-ci ne l’avait jamais laissé indifférent ; il faut dire que la Nature l’avait pourvue d’un corps de rêve et d’une silhouette qui lui permettait bien souvent de se vêtir de façon à laisser entrevoir ses formes si féminines ainsi que sa généreuse poitrine. Combien de fois, dans de multiples circonstances, Aïcha s’était-elle penchée en avant sans se soucier du spectacle qu’elle offrait à Eddy ? Jetant un rapide petit coup d’œil furtif dans son décolleté plongeant, celui-ci se laissait ainsi vaquer à imaginer à quoi pourrait ressembler le reste de sa poitrine.


Aussi, combien de fois alors qu’elle lui tournait le dos ne riva-t-il pas ses yeux malicieux sur le postérieur pourvu de deux fesses généreuses et dont le tissu les enveloppant laissait même parfois soupçonner au travers le type de sous-vêtement qu’elle portait ?


Jamais elle ne s’était doutée que ses charmes envoûteurs ne laissaient indifférent d’aucune façon celui qu’elle considérait presque comme son petit frère de cœur.


Eddy s’était accoutumé à profiter pleinement de ce type de circonstances, dérobant à chaque coup d’œil une part d’intimité de son aînée…


Lorsque les jours chauds et ensoleillés revenaient, apportant avec eux une armada de petites jupes ou robes légèrement hautes. Le petit gredin, au matin, sachant que sa déesse au teint doré n’allait pas tarder à arriver, se donnait à cœur joie de laisser traîner certains effets personnels au sol, calculant précisément où les placer de sorte qu’elle lui tourne le dos au moment même où elle se courberait en avant pour les ramasser, le bord de sa jupe remontant ainsi à l’extrême limite de ses fesses dévoilant ainsi le mystérieux petit appareil en tissu cachant son petit abricot tandis que lui, sournoisement, baisserait la tête pour contempler, avant de se redresser brusquement détournant son regard comme si de rien n’était.


Dans ces moments là, le jeune paralytique se voyait contraint de prendre sur ses genoux soit une couverture, ou tout autre objet volumineux pouvant cacher une érection apparente.


Mais malgré la profonde amitié qui régnait entre les deux protagonistes, Aïcha restait incontestablement LE grand fantasme d’Eddie, lequel durant de longues soirées seul dans son lit, membre à la main, se remémorait ces fractions de secondes voluptueuses qui avaient, dans la semaine, ébranlé sa soif de voyeurisme, et se prolongeait lui-même la scène de sorte que, intentionnellement, l’objet de son désir se retrouve nue face à lui et s’adonne à l’émanciper aux plaisirs que chaque orifice de son corps pourrait lui procurer, telle une institutrice enseignant son savoir-faire à son élève.

Mais une fois la main enduite de sa sève coulante, le rêve s’évaporait, le ramenant subitement à sa réalité grise, le faisant presque culpabiliser d’avoir de tels espoirs qui ne seraient sans doute jamais réalisés.


Voilà deux ans déjà qu’Aïcha avait emménagé avec son copain avec qui elle avait élaboré des projets d’avenir, de famille, etc. et, il y a peu longtemps de cela, elle annonça à Eddy qu’elle était enceinte de trois mois, que son compagnon allait être muté de l’autre côté de la France, et que par conséquent, d’ici deux mois, elle déménagerait pour le suivre et continuer sa vie ainsi.


En entendant la nouvelle, son jeune ami se força à sourire par politesse, la félicitant de ces évènements, tandis qu’à l’intérieur il tombait de haut, sachant qu’il allait perdre celle pour qui il avait la plus grande estime.


Ce samedi serait le dernier pour Aïcha. Eddie étant seul devant son ordinateur, essayait de se changer les idées, incarnant un personnage virtuel dans un jeu vidéo multi-joueurs.


La chambre étant ouverte, il entendit la serrure de la porte d’entrée, mais ne se donna même pas la peine de tourner la tête, sachant pertinemment qu’il s’agissait d’Aïcha venant lui rendre visite pour sa dernière astreinte ; ce n’était pas encore l’heure des au-revoir, mais il trouvait déjà l’atmosphère morose et triste.



L’apercevant figé devant son PC, Aïcha s’approcha et lui déposa un affectueux baiser sur sa joue. Elle vit clairement dans la pupille de ses yeux noirs qu’une tristesse le remplissait, elle se doutait que son départ le rendait malheureux, mais elle refusait que les quelques dernières heures qu’ils allaient passer ensemble se déroulent de manière aussi froide. Cherchant un sujet de conversation qui puisse l’égayer, elle posa ses deux mains sur son ventre arrondi par sa grossesse.



Fixant son ventre, il prêta également attention sans pour autant les observer directement, aux seins enflés d’Aïcha et s’efforça à sourire légèrement, plus par politesse que par amusement.


Se rendant compte que ce n’était pas partie gagnée, elle ne s’avoua pas vaincue, et refusa que leur ultime adieu se fasse d’une manière aussi sèche.



Préférant briser la glace le plus tôt possible la jeune femme prit son courage à deux mains et prit la décision avec toute sa franchise de parler à son jeune protégé.



Ne pouvant parer à une telle demande, Eddy n’avait d’autre choix que de s’excuser et d’accepter, sur quoi Aïcha le prit dans ses bras pour une amicale accolade. Légèrement brusqué et pas assez accoutumé à la familiarité de ce geste, le jeune homme l’entoura maladroitement de ses bras. Dire qu’après toutes ses années, il n’avait jamais osé la toucher à l’exception des fois où il posait sa main sur sa douce épaule pour lui faire la bise.


Il trouvait ô combien agréable l’effleurement de ces seins moelleux sur son torse. Cela ne dura que quelques secondes. Elle se releva, se retourna allant en direction de la salle à manger chercher le téléphone en vue d’appeler la pizzeria et, à son habitude, le regard de l’adolescent se jeta sur sa démarche, faisant danser ses hanches de manière sismique, les vibrations de chaque pas se répercutant dans chacune de ses fesses serrées dans son jean usé.



Le combiné téléphonique raccroché, elle revint dans sa chambre.



Elle lui fit un clin d’œil agrémenté d’un sourire complice. Elle s’assit sur son lit, se débarrassa de ses chaussures à mi-talons pour se mettre à l’aise, et les envoya valser d’une manière inhabituelle au milieu de la pièce.



Il s’ensuivit une discussion sur les sujets habituels : le lycée, les anecdotes, les projets d’avenir d’Aïcha, etc., avant que ne retentisse la sonnette du livreur sur le palier. Elle farfouilla dans son sac, sortit son portefeuille et courut ouvrir.


Deux minutes plus tard, elle revint les bras chargés des cartons de pizzas et de la bouteille préalablement ouverte, Eddy se douta alors qu’Aïcha avait pour aujourd’hui décidé de bousculer les habitudes puisqu’ils boiraient au goulot, et mangeraient qui plus est dans la chambre comme deux parfaits ados.



Tandis que les deux protagonistes mangeaient gaiement et buvaient, les sujets de conversation anodins passèrent au fil du temps. De fil en aiguille, elle aboutit au sujet des filles. Aïcha demanda à Eddy s’il avait une copine ou du moins une "nana qui le ferait kiffer". Gêné par la question, il tentait au maximum d’écourter le dialogue lui avouant que non, et déclarait de tout son orgueil, que de toute manière aucune fille dans son entourage scolaire ne lui plaisait.


Elle sentit clairement qu’Eddy ne souhaitait pas s’étendre d’avantage sur ce sujet, et y mit un terme. Le court déjeuner s’étant achevé, elle demanda au jeune garçon ce qu’il aurait souhaité faire. Préférant rester en toute intimité avec elle, il lui proposa de visionner un DVD et d’aller en choisir un dans le meuble bas sous la télévision.


Ni une ni deux, Aïcha se dirigea vers l’endroit en question, et dut s’accroupir au mieux face au meuble afin d’avoir accès aux boîtiers de films. Le regard d’Eddy plongea instantanément sur la croupe tendue qu’elle offrait en spectacle, distinguant de peu le bout de textile noir qui débordait de son jean chaque fois que son bras allait chercher un dvd. La vision de ce cul, dont les formes étaient généreusement déclencheuses de l’appétit vorace que le jeune garçon entretenait pour cette femme, l’hypnotisait.


Ne décrochant toujours pas les yeux, il imaginait à quoi pourrait ressembler ce si merveilleux tableau s’il avait été nu. Il voguait visuellement dans la raie de ces fesses qu’il aurait voulu croquer à pleine bouche, s’enfonçant progressivement dans la pénombre étroite et accéder à la volupté de son entrecuisse.



Sorti de son doux rêve, la voix d’Aïcha le fit sursauter, et il aperçut à l’arrière-plan du postérieur qu’il fixait, le regard de son amie qui le foudroyait sur place.



Eddy en eut des sueurs froides, il ne pouvait le nier, il avait été bel et bien pris la main dans le sac. Il aurait souhaité se défendre face à cette accusation fondée, mais le manque d’imagination mêlé au stress qui l’envahissait le paralysait totalement et aucune parole ne put sortir de sa bouche.


Aïcha se releva aussitôt, amusée par l’état embarrassé d’Eddy, elle s’approcha de son jeune protégé, calant chacune de ses mains sur chacune de ses hanches.



Eddy ne pouvant toujours piper aucun mot acquiesça parcourant de son regard embarrassé le sol, craignant de devoir affronter celui d’Aïcha. Elle se tourna, positionnant sa croupe ostentatoirement à hauteur du visage du jeune homme.



La phrase, si directe fut-elle, fit l’effet dune bombe dans l’esprit d’Eddy. Abasourdi par une telle question, Eddy ne sut pas s’il fallait prendre cela sur le ton de la plaisanterie ou si Aïcha tentait réellement de jouer de son charme. Voulant éviter de passer pour le dernier des imbéciles sa réponse fut courte mais rapide.



Il s’ensuivit un gloussement d’appréhension quant à la réaction d’Aïcha.



Cette phrase audacieuse alla jusqu’à surprendre non seulement le jeune puceau, mais aussi la jeune femme elle-même, laquelle s’était surpassée hors des limites de son inhibition, elle trouvait d’ailleurs ce petit jeu de plus en plus excitant et l’idée de faire découvrir son anatomie féminine à son jeune novice semblait accroître la température naissante dans son bas-ventre.


Il faut dire que sa grossesse avait un effet fulgurant sur sa libido. Jamais elle n’avait eu autant d’envies et de fantasmes qui, en dépit du bon sens, des mœurs, de son éducation, demeuraient inavouables. Son compagnon ne la rassasiant pas assez, elle se laissait souvent aller, lors de ses absences, à vaquer sur le web, à la recherche d’images et de vidéos impudiques et obscènes, jusqu’à tant que la jauge de son appétence ne déclenche l’action irrépressible de sa main chatouillant à travers le tissu collé sur sa chair son sexe ardent et affamé, qu’elle venait enfin nourrir, plongeant ses doigts entre ses cuisses grandes ouvertes. Se branlant frénétiquement, elle imaginait se faire ramoner de toute robustesse par ces longs pieux de chair de fond en comble jusqu’au déclenchement de la foudre qui l’électrisait des pieds jusqu’à la tête, laissant alors son corps inerte et anéanti par les secousses sismiques l’ayant parcourue. Jamais elle n’avait été autant obnubilée par le sexe, cela tournait à l’obsession.


En conséquence ce rôle d’exhib-éducatrice qu’elle incarnait à présent, franchissait les frontières morales établies, aiguisant alors tout ses sens.


Se retournant, elle déboutonna son jeans, se cambra, et tel un serpent muant de son ancienne peau, laissant glisser pantalon et string simultanément jusqu’aux chevilles, sa croupe s’exposait pleinement aux mirettes brillantes du jeune voyeur.


Le septième ciel oculaire battait son plein. De son existence, jamais il n’avait vu de chose plus belle que ce cul tendu et rebondi d’une couleur caramel à donner envie de le croquer à pleines dents. En maintenant sa position courbée, elle leva un pied, puis le deuxième se libérant de son pantalon retroussé, et sans même prévenir se déchargea de son haut, puis de son soutien-gorge, laissant ballotter à l’air libre sa voluptueuse poitrine dont l’excitation d’une telle audace avait eu pour effet de darder ses tétons brunâtres.


Eddy était tétanisé d’une paralysie entremêlée de gêne par rapport à cette relation qui outrepassait leur amitié, et de cette situation rêvée tant de fois qui se réalisait enfin. Son pouls battait la chamade, et des gouttes de sueur se mirent soudainement à perler de son front.



Elle tourna la tête, lui adressa un petit clin d’œil et continua :



Dérivant ses yeux de ses fesses à son regard, il acquiesça et répondit :



Ses deux mains se déployèrent alors sur les fesses d’Aïcha, il les caressa longuement, puis se mit à les pétrir avant d’oser aventurer ses doigts dans la raie chaude et glissante de douceur dont un premier renfoncement l’emmenait à effleurer un petit trou serré de tous ses muscles.


Il écarta alors les monts de chair dissimulant ce petit passage orné de rayons, lesquels se rejoignaient dans le même centre.

Il eut grande envie d’y immiscer son doigt, mais manquant encore d’assurance, il maintint son action en surface, tourbillonnant autour de l’anus d’Aïcha, lequel s’ouvrait aléatoirement sous les pressions exercées.


Désireux d’en découvrir davantage, il faufila sa main dans la partie basse de la pénombre, et put y ressentir tous le désir et l’excitation que sa chatte manifestait. Entre deux pétales enflés, son doigt se noya dans un bain chaud et bouillant de sève, et délicatement remonta jusqu’à en atteindre le sommet, lequel avait la particularité d’y renfermer une petite pointe.


L’effleurant, il constatait que ce petit bouton éveillait le plaisir de la jeune femme de laquelle s’échappaient de petits râles, en ondulant du bassin. Elle fut hantée brièvement par un sentiment de culpabilité puis se laissa totalement aller aux sensations procurées par ces doigts qui s’agitaient dans tous les recoins de son intimité, tantôt empressés de curiosité, tantôt soyeux de dextérité.


Les parois humides de sa caverne facilitaient les intrusions progressivement profondes des phalanges du jeune protagoniste. Se sentant prise et animée par ses pulsions animales dominant ses plus bas instincts, elle recula, se retrouvant plus proche d’Eddie et lui agrippa sa main occupée à pétrir son cul, tandis que l’autre s’évertuait à la pénétrer, la passa au-devant, et écartant plus amplement ses cuisses et lui ordonna dans des paroles quelle n’avait jusqu’alors jamais osé prononcer sans aucune retenue :



Elle écrasa alors le bout de ses doigts contre son pubis, et se mit à tournoyer le tout dans une cadence infernale. Le pauvre bougre bandait à s’en transpercer le pantalon. Il n’arrivait pas à réaliser qu’une telle chose se produise, et simultanément il pilonnait d’une main le con baveux de sa tutrice, tandis que l’autre, perdue entre une fine lignée de poils et de replis de chair, stimulait le mont de Vénus. Le buste plongé en avant, ses seins et son petit ventre arrondi étaient secoués à chaque butée exercée.


Enlisant son pouce dans la moiteur de ses entrailles il en récupéra de la cyprine, puis le ressortant imbibé y replanta son index et son majeur, le pouce vint alors s’appuyer contre l’orifice supérieur, disparaissant continuellement dans ce soleil brunâtre. Aïcha ressentit ce bout de chair forcer le passage qu’elle avait jusqu’alors défendu à quiconque, mais la concupiscence du moment présent était trop intense pour qu’elle n’osât protester, et quelques instants plus tard, elle se mit même à apprécier de se sentir possédée par sa petite rosette. En un instant tout son corps se raidit et se crispa, la respiration de la jeune beurette et ses halètements s’accélérèrent :



Il redoubla alors d’efforts et sentit la chatte délivrant davantage de liquide que précédemment, se resserrer autour de ses doigts. Aïcha poussa un long gémissement saccadé, son regard rivé sur la main d’Eddy qui flattait son bourgeon enflammé, lorsque tout à coup ses yeux se révulsèrent et un cri aigu se fit entendre. Ses jambes se resserrèrent et elle alla s’effondrer sur le lit non loin de là, anéantie par la foudre l’ayant parcourue.


Le détachement les ayant séparés, le jeune homme se sentit à ce moment un peu seul, mais pas peu fier de ce qu’il avait su apporter à sa délicieuse Aïcha qu’il contempla nue et abandonnée sur sa couche.


Elle se frotta les yeux comme pour se réveiller d’un doux rêve, avant de les entrouvrir et d’apercevoir dans le flou se dissipant son jeune ami, lequel était manifestement dans l’attente d’une suite. Elle referma quelques courts instants les yeux, le temps de reprendre ses esprits, et souleva son pouce en signe de félicitations pour son apprenti doigteur.



Ne sachant que répondre, Eddie se contenta d’un merci. Ses doigts imprégnés commençaient à sécher, et il profita du regard absent de sa déesse pour les porter à ses narines et humer l’odeur légèrement épicée qui s’en dégageait.

Ces phéromones enchanteurs l’excitaient encore plus, son parfum était adéquat avec la beauté orientale de son enveloppe charnelle, et son odorat envoûtant lui en faisait perdre la tête.


Émergeant de sa noyade sensationnelle, elle reprit ses esprits, tourna la tête en direction du jeune paralytique, et fut étonnée de distinguer à travers son pantalon son bâton de chair enflé et en suspension. Voilà une question qu’elle s’était posée à de nombreuses reprises sans jamais l’aborder avec Eddy ni sa mère, et la réponse se présentait visuellement là, juste sous son nez. Elle devina à son visage qu’Eddy était en attente d’un juste retour sans oser le demander. Elle se releva et sans pour autant quitter le lit s’assit sur le rebord.



Saisissant chacune des roues de son fauteuil, il s’élança vers l’avant jusqu’à ce que les étriers soient en face des pieds fins et galbés d’Aïcha. N’ayant plus aucune gêne envers lui, elle décida qu’il aurait droit à une compensation pour les efforts déployés.

Il resta immobile face à elle, les mains encore posées sur les roues. En aucun cas il ne souhaitait brusquer le déroulement de cette petite aventure, tel un enfant craignant que l’oiseau ne s’envole au moindre geste brusque.


Sans se soucier de sa nudité, la nymphette se dressa face à lui, les mamelles s’agitant au fil de ses mouvements, figea son regard sombre et envoûtant dans celui de son jeune prisonnier, saisissant sa main elle la pressa contre son opulente poitrine.



Sous l’excitation, son esprit ne pouvait se concentrer sur le vocabulaire travaillé qu’il aurait souhaité employer afin de décrire son exaltation et son émerveillement, il ne sut répondre que « C’était génial ! » sans en rajouter davantage.


Le novice bandait fort, et cette érection flagrante allait devenir l’amusement de sa tutrice, laquelle baissa son regard en sa direction, et guida sa main libre en direction du chapiteau dressé



Elle passa alors langoureusement ses doigts sur le sommet compressé par le pantalon, et put distinguer au toucher la couronne du gland du reste de la verge.

Un souffle de plaisir s’échappa de la bouche d’Eddy, c’était la première fois qu’une main autre que la sienne venait à effleurer sa partie intime, et voir cette si belle main dont les doigts fins, soignés, ornés d’ongles manucurés et brillants sur lesquels la lumière se reflétait se promener sur son organe, ne faisait qu’accroître la température de son thermomètre charnu.


Les phalanges glissèrent sur le textile du jean, dans un tourbillon infernal, frustrant ainsi considérablement le jeune homme, lequel agonisait de ne pouvoir en avoir plus immédiatement. Mais, comme escompté, son plaisir reposait entre les mains de sa maîtresse. Aïcha se jouait intérieurement et savait que chaque geste calculé déclenchait un frisson parcourant le corps transi de celui qu’elle manipulait.



D’un geste soudain, elle agrippa le haut du pantalon, le déboutonna, fît glisser la fermeture Éclair, saisit le tout au niveau des hanches qu’elle s’efforça de retrousser vers le bas en dépit de la verge enflée qui coinçait le déroulement de l’action. Eddy observait la scène d’un œil minutieux, son pantalon maintenant au niveau de ses maigres genoux, le seul obstacle séparant sa bête affamée de sensations du grand jour restait le caleçon ample bleu griffé de la marque renommée "Hugo Boss". Jambes écartées, mains placées sur le bassin de son petit séquestré, elle sentait l’extrême nervosité de ce dernier, et pensait préférable de devoir immiscer une pincée d’humour cherchant à détendre l’atmosphère au mieux :



D’une main habile, elle ne chercha pas à faire couler le léger appareil qui cachait cette nudité proéminente, mais fit glisser l’ouverture ballante vers le mât érigé, et c’est ainsi que s’offrit à ses yeux cette queue d’une longueur assez classique, mais remarquablement épaisse, mate de peau, dont les veines saillantes et à vif refluaient au rythme palpitant du cœur battant de son propriétaire. Le gland excité et d’une largeur conséquente mettait en avant les couleurs et contrastes multiples allant du mauve chair entourant les bordures, au rouge prononcé à l’extrémité, non loin de l’urètre.


Aïcha resta un court moment prostrée, sa conscience commença à lui rappeler qu’elle était engagée avec un homme qu’elle chérissait éperdument et que bientôt le fruit de leur amour verrait le jour, mais son sentiment de culpabilité fut rapidement balayé par le démon brûlant entre ses cuisses dont les braises encore ardentes réanimaient son besoin d’assouvir sa passion charnelle. Sans précipitation, elle avança sa main, se mit à caresser langoureusement la belle inconnue qui gisait sous ses yeux.


Ses doigts surfaient sur les courbes arrondies du casque gonflé à son apogée, puis coulaient le long de la douce colonne implantée dans une forêt brune dans laquelle ses ongles allèrent s’égarer. Puis, enveloppant les bourses encore dissimulées, elle les fit délicatement émerger hors du sous-vêtement. Le « trois pièces » du jeune monsieur, lequel agonisait de plaisir, était désormais à découvert dans son intégralité.


Ainsi, tandis que la main droite s’évertuait à maintenir la vigueur de cette bestiole charnue frétillante, la gauche, elle, malaxait sensiblement les deux galets ovales annexes de cette trinité indécente. Aïcha ne distinguait plus en face d’elle le jeune adolescent, lequel s’était transformé littéralement en son sens, en un… adepte d’attentions et de traitements. Penchant son buste en avant, sa soyeuse chevelure brune se répandit sur les hanches d’Eddy, et tel un serpent, elle sortit le bout de sa langue pour tâter l’extrémité du membre. Empoignant le reste de la verge qu’elle branlait d’un mouvement agité et régulier, elle constata que l’excitation était telle qu’une perle de sécrétion blanchâtre fit doucement irruption de la pupille de l’œil qu’elle choyait.


Elle écrasa la goutte de son pouce qu’elle étendit avec parcimonie sur la surface écarlate, rapprocha son visage, et d’un coup sec, goba le gland entier dans sa bouche. Ses lèvres étaient telles les portes du paradis qui s’ouvraient, et Eddie en voyait des étoiles. Jamais il n’avait connu de sensations aussi intenses et agréables, son corps et son esprit était tous deux, à ce moment même, en état de transe et se fondaient dans la bouche chaude et suave de son inquisitrice, d’une intensité à presque en oublier son handicap physique.


Aïcha, quant à elle, se concentrait sur son exercice buccal, sa langue tournoyant à une cadence infernale, elle ne se sentait plus elle-même, mais comme en état de schizophrénie, incarnait à ce moment précis l’une de ces héroïnes de films pour adultes dont la seule vocation est de jouir et donner du plaisir.


Sa main gauche déserta la grappe gonflée, elle orienta son bassin relevant ainsi que son pubis, ouvrit plus amplement ses jambes, et y glissa ses phalanges, recueillant au passage du nectar dans la profondeur de son sanctuaire, son majeur et son index tous deux imprégnés, firent ascension de sa crevasse flasque pour attendre le sommet clitoridien glorieusement pointé sous les replis de chairs.


C’est alors qu’elle entreprit de se fournir elle-même du plaisir manuel, tandis que son orifice oral se consacrait à téter avec ferveur la queue qui lui était offerte, pistonnant cette dernière au rythme que sa chatte aspirait à être baisée par ses propres doigts.

Eddy soupirait, sourcils haussés il endurait au mieux ce concupiscent supplice tentant de retarder au maximum l’éjaculation, laquelle se faisait davantage pressante à chaque seconde. Un interlude vint stopper la succion :



Ni une ni deux, elle se remit à la tâche. Il dut user de nombreux stratagèmes pour éviter de lâcher sa jouissance trop tôt, comme imaginer le scandale qui éclaterait si à tout instant sa mère rentrait à l’improviste et assistait à la scène, ou encore quelle serait la furieuse colère du compagnon d’Aïcha s’il venait à être mis au courant de cette trahison, et de l’œil au beurre noir qu’il pourrait lui en coûter. Mais le plaisir présent était tel que toute notion conditionnelle s’effaçait.


Pendant un temps, elle s’arrêta de masturber le corps du phallus, et le faisant coulisser, elle l’engouffrait au plus profond de sa gorge jusqu’à en atteindre ses amygdales, puis dut écourter brièvement cette méthode peu confortable, mais qui emportait le jeune homme dans une incroyable sensation d’immersion dans la bouche fiévreuse de sa maîtresse, et derechef réamorça le pompage goulu du gland simultanément à l’action de sa pogne le long de la pine luisante de salive.



Ne sachant si elle devait continuer ou pas, elle choisit de retirer sa bouche, plus par principe que par dégoût, acceptant d’avaler uniquement la semence de son homme, elle ne souhaitait en rajouter à ce qu’elle considérait à cet instant plus comme un écart qu’un adultère.


Néanmoins elle ne décéléra point les secousses entraînées par l’oscillation de son poignet agité, et subitement le phallus se contracta des testicules jusqu’à la cime, puis une éruption volcanique se mit à gicler une saccade d’averses blanches sirupeuses. Continuant à branler le manche, Aïcha n’en voyait pas la fin, jamais elle n’avait vu pareille quantité jaillir à une puissance si régulière.


Son visage, sa chevelure, sa poitrine, et sa main extirpant jusqu’à la dernière goutte de cette guimauve en étaient recouverts, mais aussi la couette sur laquelle elle était assise et le mur derrière, avaient été témoins des éclairs foudroyants provoqués par la douce déesse de cette incroyable débauche.


Léthargique, flirtant avec l’amnésie émotionnelle, et pupilles dilatées, la lucidité prenait le dessus sur cette féerie sexuelle terminée pour Eddie. Ornée de perles de sperme, ce revêtement ne dégoûta guère la belle Aïcha, bien au contraire, la preuve de jouissance de son disciple de luxure ne fit que de l’enfiévrer et l’émoustiller davantage.


Elle se recula s’adossant à la façade murale coulante de…, mit ses pieds en appui sur le matelas, ouvrit les cuisses de façon impudique offrant ainsi en spectacle sa chatte vernie de mouille à son jeune voyeur dont la queue bien qu’affaiblie par les tirs mitrailleurs déchargés restait timidement érigée en diagonale, la stimulation visuelle l’emportant sur la satisfaction insatiable.


Inconsciemment son esprit percutant qu’une occasion aussi rare que celle-ci ne se reproduirait pas de sitôt, son corps et son appétence sexuelle l’emportaient et la maintenaient en état coïtal. Elle ancra son regard scandaleusement enivrant dans celui d’Eddie et se remit à se masturber de façon ostentatoire.



Cuisses impudiquement ouvertes, du bout de son index et de son pouce elle déplia ses deux rideaux de chair, puis entraîna sur le devant de la scène les doigts de sa main droite lesquels entrèrent dans les muqueuses ruisselantes avant de réapparaître dans une tornade de caresses sur son clitoris.



Le jeune homme s’exécuta sans discussion, agrippant son manche lequel reprenait visiblement de la vigueur, l’extrémité encore quelque peu sensible. Il commença doucement à se palucher, parallèlement polarisé par l’action hypnotique qui déroulait sous ses yeux.


Interrompant ses tours de carrousel, Aïcha ramassa quelques gouttes de semence pendues à sa longue chevelure qu’elle fit se mélanger à sa cyprine, puis reprit son activité manuelle. Submergé par tant de beauté indécente, Eddy en restait ébahi de contempler sa douce tutrice entièrement nue, seins dont les tétons bruns, sans doute dus à la grossesse, trônaient sur ces parfaites vallées de chair.


Sa bouche pulpeuse entrouverte, le regard obsédé par l’objet en rut que son poulain polissait soigneusement, elle voulait désespérément le sentir en elle mais était pleinement consciente que ce pas de trop les entraînerait irrémédiablement sur un chemin qu’elle risquerait de regretter à tout moment. Ce petit jeu étant déjà allé suffisamment loin, aussi se contentait-elle de le toucher avec les yeux et de laisser son imagination reproduire la sensation que pourrait constituer cette queue épaisse pilonnant son antre envahi de désirs. Elle se sentait éprise d’une liberté immodérée et dévoilait au grand jour la femme amoureuse des plaisirs charnels qu’elle avait longtemps refoulés tout au fond d’elle-même. Soudain un projet lui vint à l’esprit. Elle arrêta net son autostimulation, se releva, saisit le bras du jeune paraplégique qu’elle plaça autour de son cou.



Se désistant de son dard, il agrippa l’accoudoir de son fauteuil et y prit appui, puis d’un geste calculé réussit à effectuer une rotation qui le fit atterrir sur le rebord de son matelas moelleux. D’un mouvement brusque, elle poussa le buste d’Eddy, le couchant ainsi platement, et relevant ses minces jambes inanimées, l’allongea dans le sens de la longueur.


Elle monta à son tour sur le lit, s’installa à califourchon au-dessus du visage de son apprenti de sorte qu’il eut une magnifique vue par le dessous du cul et de la région pubienne de celle qui le dominait, et enfin fît retomber son postérieur, imposant en conséquence sa croupe au visage juvénile lequel obtempéra laissant s’échapper de sa bouche sa langue pointue et frétillante, avide de goûter au minou juteux qui lui était présenté.


Tête-bêche, tandis que les sensations de cette petite anguille frémissant son corail rose commençaient à se faire ressentir, elle saisit le manche rigide à portée de bouche face à elle, réitérant ainsi l’action déjà entreprise quelques minutes plus tôt.

C’est ainsi que la première initiation à ce qui se nomme dans le jargon du sexe "soixante-neuf" s’enchaînait à toutes ces pratiques nouvellement expérimentées par le jeune homme dont la virginité était à moitié rompue par cette fornication, tandis que l’instigatrice rassurait sa conscience se refusant à considérer de tels actes comme de l’adultère du fait qu’aucune pénétration coïtale n’avait eu lieu. Néanmoins au plus profond d’elle-même, elle savait que la tentation de l’immoralité sexuelle l’avait emporté sur sa vertu jusqu’alors irréprochable… et elle se réjouissait d’une pareille indécence.


Le démon qui possédait son corps l’attisait à proférer des paroles crues et inhabituelles au langage correct et cadré qui lui appartenait.



Enflammée, elle relaxa de sa poigne la pine de son mâle, se pencha, et l’engloutit dans sa cavité buccale d’une traite au plus profond qu’elle put, se gargarisant ainsi du phallus au léger goût de sperme. Ses paroles laissèrent place à des râles étouffés et dont les vrombissements se dissipèrent dans l’objet prisonnier, et ne manquèrent pas d’accroître sa tension.


Les lèvres enfouies dans le sexe d’Aïcha, cette dernière s’abandonna totalement et pressa tout son bassin vers le bas, trémoussant de cette manière sa région clitoridienne contre le menton légèrement imberbe de l’adolescent, lequel continuait de s’abreuver de cette grotte gorgée de nectar succulent.


Eddy peinait à respirer, les fesses ondulantes d’Aïcha collées aléatoirement contre son nez, il reprenait sa respiration dès que les vagues charnelles se retiraient avant de se replonger en apnée dans leurs abysses enivrantes.


Prenant appui sur ses coudes, elle concentra sa bouche à n’aspirer plus que le gland, et de son pouce et de son index droit elle encercla tout le contour de la verge qu’elle agitait soigneusement et butant systématiquement ses doigts contre ses lèvres lesquelles formaient une calotte roulant sur l’extrémité.


Ne pouvant se contenter du menton de son jeune amant, elle s’accapara de la main de celui-ci, sans même se ménager en lâchant prise de son pompage, le guidant tout droit sur la partie haute de la fente couverte de son jus mélangé à la salive, lui faisant ainsi comprendre qu’elle désirait qu’il choie manuellement son bourgeon, et il n’eut besoin d’aucune indication complémentaire pour comprendre cela. Eddy s’affaira à la tâche sans attendre ; la main plaquée contre le pubis féminin, il infiltra son pouce entre le bas de son visage et les plis baveux, s’efforçant de tourbillonner sur la petite pointe dressée.


Le yin et le yang que formait cet accouplement créait une puissance sexuelle sans précédent, et l’un étant soumis à la ferveur de l’autre, chacun s’appliquait de façon presque religieuse à lécher, à sucer, et à malaxer l’organe sensoriel qu’ils se confiaient mutuellement.


De temps à autre, la belle dulcinée à la bouche pleine se dérobait au pouce agité, positionnant son point sensible au niveau de la langue dissipée de son complice, dont le nez venait à plonger dans le con fiévreux et préalablement labouré, puis rebasculait subitement sur l’opération initiale.


Interrompant la scène, Aïcha régurgita l’épaisse queue qu’elle dévorait tout en continuant à l’astiquer, baissa la tête en direction d’Eddie lequel continuait à se délecter, et lui demanda sourcils froncés vers le haut :



Un instant d’hésitation s’installa puis elle ré-enchaîna :



Elle se sentait libre de parler comme bon lui semblait, et de se laisser aller à des pratiques qui lui auraient semblé autrefois dégradantes, mais la confiance qui s’était installée entre les deux protagonistes, mélangée à l’excitation intense du moment, et le fait de savoir qu’au vu du futur éloignement géographique aucune conséquence de ses actes et dires n’aurait de répercussions sur sa vie, elle goûta à ce libertinage sans aucune retenue et sans aucun tabou.


À l’écoute de la demande lui ayant été formulée, Eddy passa la main qui jusqu’à présent était resté passive, contourna les reins et le bassin, patinant deux de ses phalanges dans la raie entrouverte par la cambrure, faisant une première halte dans le bourbier de sa chatte dilatée, s’enduisant de ce précieux liquide qui faciliterait l’introduction anale, remonta le précipice jusqu’à en atteindre le cratère charnu, et entraîna dans une ronde diabolique le bout de son doigt sur la surface de la petite couronne boursoufflée qu’il cherchait à relaxer.


Puis il exerça une pression qui le conduisit graduellement à être encerclé par ce muscle serré si singulier. Ça y était, son doigt investissait à présent l’anus féminin, et les sons prononcés par la jeune femme laissaient présager que cette pratique devenait appréciable.


Continuant à déguster et frotter son organe génital, Eddy amorça simultanément le ramonage avec doigté et dextérité, il trouvait cela fort agréable et bandant, cette sensation de se sentir au chaud intérieurement et gentiment compressé à l’entrée de la paroi, cela n’avait pas son pareil.


Toute cette aventure avait entraîné chez lui un déclic. Une confiance en lui-même s’était installée, il se sentait homme et aurait souhaité le crier au monde entier, son sentiment d’infériorité et sa frustration disparaissaient.


« Puisque j’ai été capable de rassasier Aïcha, je suis tout autant capable de rassasier n’importe quelle autre femme pour autant. » songea-t-il à cet instant précis.


Le retirant de son gosier, la belle Orientale captive du plaisir que lui procuraient ses deux trous mitoyens prévint son novice qu’elle ne tarderait pas à jouir.



De son côté, Eddy était également au paroxysme de son excitation et sentit que son tuyau n’était pas loin de relâcher toute sa pression. Submergé par cette vague de plaisir il se libéra la bouche prononçant d’une voix hâtive :



Aïcha prit un léger recul, figea son regard avide sur cette bite luisante de salive et d’une couleur vive écarlate due à son exacerbation.


Elle voulait à nouveau apercevoir le fruit de son glorieux ouvrage jaillir et se répandre de manière désordonnée à la cadence de son battement de main, et le simple fait d’avoir les orifices de son arrière-train ensorcelés par ces irréductibles machines humaines décuplait son désir et l’entraîna violemment dans le gouffre de la jouissance, tandis que le sceptre soumis aux impulsions persistantes de sa masturbation déploya majestueusement des lignées certes moins généreuses mais non moins épaisses et puissantes que les précédentes, et dont certaines traînées vinrent onctueusement consteller le doux faciès de celle qui les avait provoquées.


Le jeune mâle rugissait de pouvoir à nouveau toucher à l’éphémère septième ciel, tandis que sa femelle de jeu se mit à pousser des cris d’allégresse. Dépassée par cette implosion, elle laissa tomber le haut de son corps si bien que sa tête s’accola au membre continuant à cracher, sa récolte blanchâtre venant barbouiller sa joue qu’elle ne chercha pas à essuyer. Chacun décéléra sa stimulation et tous furent bientôt inactifs, de cet état second qui les maintenait dans un black-out dont seul le temps pourra les en tirer.


Aïcha roula sur le côté, laissant ainsi le visage du jeune homme aspergé de fluide au grand jour et au grand air. Quelques minutes s’écoulèrent sans qu’aucun ne pipât mot. Aïcha se releva et vint s’allonger en silence près d’Eddy lequel restait là à la contempler, et il trouvait beau l’étalage de son sperme sur son magnifique portrait, mais digne d’un gentleman, il attrapa une serviette de papier disposée au pied du lit, proche des victuailles consommées et la tendit à sa tutrice qui s’essuya.


Ils restèrent un bon moment blottis dans le silence à se regarder et, d’un geste, elle tourna le poignet lequel renfermait le cadran de sa montre. Elle savait que la mère d’Eddy devait rentrer sous peu, aussi telle une inconnue quittant son amant d’une nuit, elle sortit du lit, récupéra ses vêtements qui jonchaient le sol, les enfilant de façon élégante au fur et à mesure, se débarrassa des dernières gouttes de semence encore enfouies dans sa chevelure.


Elle savait que cela paraîtrait rude et malpoli, mais elle ne souhaitait pas rencontrer la mère d’Eddie. Aussi saisit-elle un crayon et un papier sur lequel elle inscrivit un petit mot à son attention, stipulant qu’elle devait partir un peu plus tôt et qu’elle l’appellerait par téléphone dans la semaine. Elle s’avança ensuite vers celui qui avait été son jeune protégé ces quelques dernières années, et qui était devenu un homme en l’espace d’une heure, elle lui sourit, et il put apercevoir qu’une infime larme coulait au coin de son cil. Cela lui déchira le cœur, mais il acceptait dorénavant mieux son départ. Elle s’accroupit élevant son visage à la même hauteur que le sien, élança ses lèvres et déposa un tendre baiser sur celles d’Eddy.



Par fierté, il ne répondit pas, craignant de trahir son émotion à travers sa voix tremblante, mais en l’observant s’éloigner vers la porte de la chambre qu’elle franchit, il pensa intérieurement « J’aurais tant aimé que tu sois cette fille… Je t’aime. »