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n° 18213Fiche technique13170 caractères13170
Temps de lecture estimé : 8 mn
04/01/18
Résumé:  Une partie de cartes, à quatre, qui se termine normalement, à deux plus deux...
Critères:  fh grp inconnu grosseins revede cunnilingu pénétratio -extraconj
Auteur : Utabitch      
Et à la fin, on se mélange !

Quelques années après leur mariage, Rémy était encore hanté par des souvenirs de sexualité libérée, très libérée, vécue lors de sa jeunesse insouciante, mais il hésitait : son épouse Louise, au comportement et à la conduite très sages et très conformistes, bridera-t-elle ses rêves ?


Mais Rémy avait été très « ému » par une vidéo dont les gros seins nus de l’héroïne avaient gratté sa libido (et qu’une petite paluche avait dû calmer), tout en regrettant de n’avoir pas le loisir d’en caresser d’aussi gros, réels.


Aussi, il prit son courage à deux mains et parla à Louise de son fantasme. Il fut surpris quand celle-ci lui avoua, avec franchise, qu’elle se sentait soulagée par cette proposition car, plusieurs fois, en faisant l’amour avec lui, elle avait joui en imaginant que les mains, les lèvres, la langue d’un autre homme la caressaient et qu’un autre sexe la pénétrait. Le reste du corps de l’amant rêvé l’indifférait.


Aussi, de concert, avaient-ils pris l’initiative de contacter, sur un site de rencontres libertines, un couple, qui vivait pas trop loin de chez eux, pour une rencontre « libérée ». Rémy s’était assuré que la description du couple mentionne la « poitrine généreuse » d’Odile, et l’affirmée « forte virilité » de Marcel avait excité Louise. En bref, il pourrait s’amuser avec une belle paire de gros nichons et Louise se divertirait avec la bite du mari… Ils les avaient invités à passer le week-end à la maison.


Odile était une femme pas très grande, au visage un peu vulgaire, mais excitant, loin de celui d’une Sainte Nitouche, fessue et nantie de très gros seins arrogants (à la Dubout) qui tendaient son chemisier comme une montgolfière. En la voyant, Rémy se sentit tout émoustillé. Quelle belle fête s’annonçait pour ses mains, pour ses lèvres, pour son…


Marcel était en surpoids, très largement même, mais bon, Louise n’éprouvait pas de penchant particulier pour les minces éphèbes… Son visage était taillé à la hache, mais franc, et ses yeux ne cachèrent rien de son désir quand il se trouva en présence de Louise, qui se sentit tout émoustillée par le regard lubrique qu’il posa sur son corps.

Comment allait se comporter cet homme, quand… ? La fausse vertu qu’elle affichait l’empêchait de montrer l’intérêt érotique qu’il éveillait en elle…


Rémy était excité par les volumineux seins d’Odile, mais aussi un peu inquiet. Comment allait réagir Louise ? Allait-elle accepter de frotter son corps nu contre le corps nu de Marcel ? Elle lui avait bien avoué son propre fantasme de sexualité ouverte mais il y avait loin du fantasme à la réalité. Il l’aimait et la respectait trop pour lui imposer quoi que ce soit…


Marcel, lui, préférait les femmes rondes mais il était néanmoins ébloui par la sveltesse du corps de leur hôtesse, et l’idée de le retrouver en face de lui, contre lui, l’excitait malgré tout. Il avait bien essayé quelques manœuvres d’approche, oculaires et verbales, mais Louise, demandeuse mais joueuse, prenait son temps avant de se donner et prenait soin de ne pas montrer son excitation. Cette apparente indifférence avait excité Marcel :


Attends un peu, il allait bien la faire jouir, cette bourgeoise, elle allait en redemander…


L’apéritif, puis le repas, arrosé, se déroulèrent dans une apparente tranquillité. Rémy et Louise étaient assis d’un côté de la solide table de couvent, Louise et Marcel de l’autre côté. Odile voyait bien les regards appuyés que Rémy adressait à son corsage bien rempli, puis le sourire qui la remercia quand elle en dégrafa deux boutons (« Qu’est-ce qu’il fait chaud, vous ne trouvez pas ? ») pour offrir à ses yeux ses seins, libres de toute contrainte sous le chemisier. Louise tentait d’imaginer le futur comportement sexuel de Marcel, et sentait son sexe s’humidifier progressivement en entendant les grivoiseries qu’il lâchait. Son corps finissait par être impatient du moment où, le repas terminé, chaque « néo-couple » serait face à face.


Ils parlaient de tout et de rien lorsque Marcel brisa l’érotique fausse neutralité de la situation et proposa de jouer aux cartes. Rémy, qui sentait le parfum de stupre extraconjugal qui émanait de leur invitée, regarda Marcel, Odile, puis Louise, et il demanda, faussement finaud :



Rémy dirigea son regard vers Odile, dont le regard brillant ne cachait plus son excitation, puis vers Louise qui, baissant les yeux pour ne pas trahir son désir croissant, répondit, feignant l’ignorance naïve :



Marcel le lui expliqua. Louise fit mine de saisir et regarda son mari pour quêter son aval avant de se lancer dans cette nouvelle expérience. Se retrouver à poil devant des inconnus, elle ne l’avait jamais fait, et si Marcel ne la trouvait pas désirable, que faire… ? Mais Rémy insista, et les yeux de Marcel itou…


La situation devenait tout autre… Marcel rassurait Louise en la couvant d’un œil concupiscent… Il se mit à contempler son corps élégant, mince, sa taille fine, ses jambes fuselées, ses beaux seins qu’un sage chemisier dissimulait à sa lubricité. « Ma foi pas mal, après tout… » Certes, il aimait les femmes bien en chair, mais celle qu’il détaillait le tentait néanmoins, et le regard interrogateur qu’elle avait lancé à son mari trahissait, à ses yeux, une femme bien décidée à devenir sa maîtresse…


Et les cartes furent distribuées, avec fébrilité. La première à se retrouver torse nu fut Odile, fière d’étaler ses gros seins, lourds, mais pleins et arrogants sous les yeux des deux hommes. Les deux mâles suivirent de peu le mouvement de déshabillage sans se plaindre de perdre, mais la chance permettait à Louise de conserver chemise et slip… Le vent tourna enfin et elle se retrouva en sous-vêtements. Mutine, elle tenta de retarder l’échéance inéluctable de sa complète nudité en ôtant ses bracelets, mais un tollé général l’en dissuada.


Louise accepta avec une condescendance bienveillante le désir des autres joueurs et retira, très lentement, son chemisier. Ensuite, les yeux baissés, elle dut retirer tout aussi lentement son soutien-gorge, révélant à tous ses deux beaux seins couronnés par une belle aréole sombre, puis sa petite culotte d’enfant sage, ce qui accrut l’excitation de Marcel. Émue en voyant ses seins et son sexe, nus, exposés aux regards de tous, elle voulut confier son trouble à son mari mais celui-ci ne la regardait plus. Elle ne voyait plus que son dos, que sa nuque, caressée par les mains d’Odile, qu’il embrassait à pleine bouche, les mains caressant avidement les seins généreux qu’elle lui offrait…


Louise attendait que Marcel prenne l’initiative. Elle voyait son corps exposé au regard concupiscent d’un homme, à son sexe qu’elle n’osait regarder que d’un œil, dont elle avait rêvé, qu’elle voyait tendu vers son ventre, prêt à s’y enfoncer… Et quand son mari se leva, prit Odile par la taille et, sans cesser de l’embrasser, l’emmena hors de la pièce, elle vit s’évanouir définitivement le peu de pudeur qu’il lui restait.


Marcel ne put résister plus longtemps. En souriant maladroitement, parce que tout de même un peu gêné par la beauté du corps que Louise lui offrait, il se tourna vers elle et, couvant son corps de ses yeux brillants de stupre, il tendit les mains vers ses seins. Elles en effleurèrent les tétons, s’en emparèrent, les caressèrent avec délicatesse avant de les empoigner doucement, comme si elles craignaient de les blesser, de les briser. Louise ferma les yeux, encore sous le coup de l’émotion, après avoir vu son mari nu embrasser, peloter, puis emmener une femme nue vers leur chambre. Elle fut agréablement surprise par la délicatesse des caresses de cet homme qu’elle aurait cru plus fruste.


Louise, ouvrant à moitié les yeux, jeta sa vertu par-dessus les moulins, se tourna vers Marcel qui s’empara de ses lèvres, pour un baiser de soudard raffiné. Louise sentit sa bouche pénétrée par une langue agile, avide, pendant que des mains fébriles se régalaient au contact de ses seins, qu’il commençait à exciter. Dans le miroir mural, Louise se voyait nue, pelotée, tripotée, par un homme aussi nu qu’elle, au corps massif. Elle osa le toucher, prendre dans sa main fine le sexe, bandé, dur, que le désir pointait vers elle. Elle se surprit à le comparer au sexe de Rémy… Le sexe de Marcel soutenait la comparaison, mais était bien différent…


Pensant que Marcel finirait par emmener Louise dans la chambre d’amis, Rémy guida Odile vers la chambre conjugale, sans cesser de l’embrasser et de la lutiner. Sans séparer leurs lèvres, ils roulèrent sur le lit et Rémy entreprit de s’intéresser (enfin !) à la chatte de sa partenaire. L’une de ses mains lâcha le sein qu’elle caressait pour se poser sur la toison, courte et taillée, puis sur le clitoris qu’elle se mit à titiller, puis s’enfonça dans son vagin. Aussitôt, à la grande surprise de Rémy, Odile se mit à se tortiller sous ses caresses et à pousser de grands cris qui, s’ils n’eussent été de plaisir, auraient été le signe d’une immense souffrance…


Dans la salle à manger, Marcel se détacha du corps de Louise, se leva de sa chaise, la fit également se lever et l’assit sur la table, les jambes dans le vide, pour mieux continuer de l’embrasser et de la caresser. Il s’agenouilla et sa bouche, et sa langue, s’emparèrent longuement du pubis de Louise, puis de son clitoris, puis de ses lèvres jusqu’à ce qu’elle jouisse, dans un petit cri, discret. Puis il se releva et, debout, fit s’allonger Louise sur la table, lui releva les jambes à la verticale et, après avoir longuement caressé l’entrée de sa chatte, il enfonça son sexe dans le ventre d’une Louise haletante, en un double râle de plaisir…


Tout en gémissant sous les coups de boutoir de Marcel dans son ventre, Louise entendait les cris que poussait Odile dans la chambre. Curieuse. Un peu envieuse, elle s’interrogeait, essayait d’imaginer Rémy et cette femme… que lui faisait-il donc pour provoquer un tel enthousiasme ? À la fois mue par une pointe de jalousie et emportée par le violent orgasme qui l’assaillit subitement, elle se mit, elle aussi, à se lâcher et à pousser des cris de plaisir, en les exagérant, afin d’informer son coquin de mari qu’elle aussi prenait son pied…


La maison résonna un long moment des cris que poussaient les deux femmes, incitant les deux hommes à forcer leur talent, et à prolonger cet instant, si valorisant pour leur vanité de mâle enfoncé dans une femelle…


Alors que, bien enfoncé au fond du ventre de Louise, il était sur le point de cracher son plaisir, Marcel entendit sonner son téléphone, oublié sur la table. Curieux, il décrocha. C’était l’une de ses maîtresses qui s’inquiétait de son silence. Tout en tentant de contrôler son souffle, il l’assura, bêtement, que tout allait bien. Fine mouche, Yvette nota les halètements retenus de son amant et, faussement indifférente, lui demanda crûment :



Honteux de son inutile mensonge, mais excité par cette situation, Marcel avait cessé ses mouvements dans le ventre de Louise. Celle-ci sentait palpiter dans son sexe le sexe de son amant, immobile, dur, gorgé de sang. Elle voyait dans le miroir ses fesses, serrées, qui maintenaient sa queue au fond d’elle… Cette femme, au bout du fil, était une rivale… Surexcitée par le spectacle, dans le miroir de sa propre nudité, à moitié couchée sur la table, les jambes dressées, ouvertes, le con rudement pénétré par une belle et bonne queue, Louise pouvait à peine retenir ses cris. Marcel finit par avouer :



Pour en finir, Louise se mit à remuer son bassin, pour masser le sexe enfoncé en elle avec les muscles de son vagin… À bout de résistance, Marcel ouvrit tout grand les vannes, crachant son plaisir dans le ventre de Louise, qui joignit son orgasme à celui de son amant, en l’accompagnant par un cri de tigresse.


Furieuse, Yvette raccrocha…