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n° 18218Fiche technique20803 caractères20803
Temps de lecture estimé : 13 mn
08/01/18
Résumé:  Alyssa, jeune travesti de dix-huit ans, revient à la prostitution après une année en couple avec Rudy et une transition vers la transsexualité. Ses premières passes sur les quais du Rhône sont à la fois assez rudes mais aussi très gratifiantes.
Critères:  prost grossexe hotel hféminisé trans préservati hdanus hsodo -tarifé -transsex
Auteur : Alyssa      Envoi mini-message
La plénitude d'Alyssa

Deux heures du matin. Je suis cette silhouette sexy sous un abribus de l’avenue Leclerc, marchande d’amour pour quelques dizaines d’euros. Au milieu de cette première nuit de tapin, je réalise que je marche sur la mauvaise pente mais je prends conscience aussi que cette dépravation assouvit un profond désir en moi. Une limousine Mercedes 500 S s’arrête à ma hauteur. Un homme noir, la trentaine, le look classique costard-cravate baisse la vitre.



Je fais rapidement le tour de la voiture pour m’asseoir à côté de lui. Je me sens très excitée par les paroles crues de mon nouveau client, et surtout par mes propres sortilèges d’aguicheuse : je découvre que je prends du plaisir à harponner le client, à faire monter son envie jusqu’à ce qu’il ne puisse plus résister à mes charmes. J’ai vraiment la perversité de la pute assumée !



Un peu plus tard, il me fait entrer devant lui dans sa chambre d’hôtel ; j’en profite pour le faire monter en température en adoptant une démarche sensuelle accompagnée d’un balancement provocateur de mon petit cul. Il plaque ses mains sur mes fesses. Je pousse un petit cri de surprise feinte et me laisse aller dans ses bras en me laissant tomber en arrière. D’un coup de reins, je me retourne ; ses lèvres sont à quelques centimètres des miennes, ses yeux complices et rieurs me scrutent.



Il ne se fait pas prier et m’embrasse sur la bouche… son genou glisse entre mes cuisses, je me frotte lascivement. Nos langues jouent dans nos bouches. Le baiser est torride. Il m’embrasse, moi la petite pute trans ramassée sur le trottoir, comme si j’étais sa girl-friend. Fébrilement, j’ôte sa veste, défais sa cravate. De son côté, il retire mon chemisier et dégrafe mon petit soutien-gorge qui tombe à terre. Il semble un peu fasciné et contemple mes petits seins aux tétons roses et pointus qui dardent fièrement.



Rapidement, je lui fais un strip-tease. Je fais doucement glisser mon string, libérant entre mes cuisses mon petit sexe censé être mâle mais qui parvient, par sa finesse, à paraître féminin. Je minaude un peu en défilant lentement devant lui, montrant ma nudité sous tous les angles… Il m’observe presque avidement, et je vois à son entrejambe que je lui fais de l’effet.



Il s’approche et pose sa main imposante sur mes petites noix, les caresse et applique une légère pression, les enserrant comme dans un étau.



Je dégrafe son pantalon, et avec dextérité sors sa queue déjà raide de son boxer. Le gland est déjà un peu mouillé. Je dois l’exciter vraiment car l’érection semble être présente depuis un moment. J’en suis heureuse et comblée : il a toujours été important pour moi de susciter le désir, et j’apprécie toujours cet instant où je peux constater l’effet que je fais sur les hommes.



Remise à ma place de petite salope allumeuse junkie à la séduction, je me reconcentre sur mon job de pute. « Il ne suffit pas de racoler les mecs ; il faut aussi assumer la suite, ma petite Alyssa ! » me dis-je dans ma tête. Et ce n’est pas pour me déplaire ; je vais lui montrer que je peux être aussi une bonne pute, et pas seulement une racoleuse !


Je saisis en main son sexe en pleine érection et le décalotte complètement, laissant le gland apparaître intégralement, une grosse goute perlant du méat. Je m’accroupis pour caresser ses couilles. Ma langue touche son gland ; je sens à cet instant son corps vibrer comme sous l’effet d’une décharge électrique. Quelle tension sexuelle ! Va-t-il vraiment réussir à résister plus de cinq minutes à mes caresses buccales ?


Je lape comme une chatte la goutte au bout du gland et titille le méat avec le bout de la langue, puis je prends sa bite dans ma bouche. C’est à ce moment que je réalise que son dard est très épais car je dois presque me décrocher la mâchoire pour l’engloutir. Je m’efforce de le sucer en utilisant tout mon savoir-faire de petite pute, tout en le regardant dans les yeux. J’accélère le rythme en faisant coulisser ma bouche le long de sa tige avec application. Sa queue est assez longue et vient buter au fond de ma gorge, à la limite de provoquer un réflexe de régurgitation.



Il me soulève et me pose sur le lit ; j’ai l’impression d’être une plume. Je me laisse aller dans ses bras, la tête posée sur ses pectoraux. Bon sang, que c’est bon ! J’éprouve à ce moment un puissant sentiment de sérénité, de plénitude, comme si je venais de trouver le nid que je cherchais depuis longtemps. J’ai déjà eu de nombreux amants, mais aucun ne m’a jamais fait cet effet.


Installée sur le dos, la tête appuyée sur les oreillers, je suis désormais offerte à ses caresses. Ses mains parcourent mon corps et me prodiguent mille caresses subtiles. Depuis que je suis sous traitement hormonal, mon érection s’est nettement affaiblie, mais à cet instant elle est quasi magique. Ma petite bite est tendue, et son gland pointu est offert. Il pose ses doigts sur ma fine et frêle tige ; elle se raidit encore plus. Je frissonne de plaisir en le regardant dans les yeux et en agrippant son bras.



Il vient de glisser ses doigts entre mes fesses et a trouvé mon petit trou qui palpite déjà. Je lui facilite le passage en écartant largement les cuisses et en remontant mon pubis. Mes fesses dévoilent mon petit anus qui montre les stigmates de nombreuses pénétrations et lui prouve encore un peu plus quelle petite salope je suis. Il me masse la verge qui tremble sous ses doigts et provoque l’écarquillement de mon petit trou qui semble réclamer son maître ; mes petites boules font du yoyo, remontant à la base de ma queue quand elle se tend.



Il place son gros mandrin au-dessus de mon visage ; je lape le long fil épais qui s’écoule. J’en ai plein les lèvres, et l’odeur musquée de son sperme m’enivre. Ses mains s’activent sur ma petite queue de trans ; elle bande fort comme jamais depuis le début de mon traitement hormonal. Mon sexe est agité de petits spasmes, il est tendu. Avec le pouce, il presse le long de ma tige, faisant naître une goutte translucide au bout de ma queue. Je frissonne violemment quand il capte la goutte avec le bout de sa langue puis, lentement, il prend mon gland dans sa bouche et le suce doucement avant de prendre ma petite bite toute entière dans sa bouche, jusqu’au pubis.


Ses doigts cherchent ma petite chatte de trans qui palpite, attendant son plaisir. Sans hésitation, il pousse son index dans ma petite fournaise qui l’accueille avec gourmandise. Alors qu’il me pénètre, je sens mon petit sexe qui gonfle et tressaute dans sa bouche. Je tortille du cul puis je me cambre sous l’effet de l’intrusion des doigts de mon bel amant. Il trouve enfin dans mon puits d’amour la petite bosse qu’il cherchait. Je me mets aussitôt à couiner comme une petite salope en chaleur. Il laisse mon sexe sortir de sa bouche. Il est bien dur maintenant, et quand il me masturbe, ma petite queue se tend et rapidement se met à donner son miel. Il tient mon sexe entre deux doigts ; son pouce remonte le long du canal de l’urètre et fait naître une grosse goutte translucide.



Je me casse en deux sous l’effet de la douleur, mes mains hésitant entre enlever les siennes et choper ma queue pour me branler. Je le regarde, les yeux grands ouverts la bouche béante et gémissante, le corps agité de spasmes alors que ses doigts pressent toujours mes couilles. Ma queue se tend convulsivement tandis qu’elle mouille plus abondamment encore. En effet, un long filament coule de mon gland et se perd sur mon ventre.



Il relâche la pression. Mon sexe est bandé au maximum. Il replonge ses doigts dans mon anus qui les accueille avec plaisir. Ma rondelle est humide, je commence à mouiller aussi du cul comme une bonne salope. Je dois me retenir pour ne pas lui demander d’enfoncer sa queue dans ma chatte de trans. Il bande très fort ; sa queue est gonflée et je languis vraiment de l’avoir dans le cul. Je me tords sous ses caresses et je suis éperdue de plaisir. J’apprécie beaucoup sa façon de faire, le contrôle qu’il a sur moi et mon plaisir, en vrai mâle expérimenté. Il essore ma queue ; elle coule maintenant abondamment. Le plaisir monte, ses doigts sont mouillés de ma liqueur qu’il lèche un peu avant de les poser sur mes lèvres. Je lape mon sperme avidement.



Je me cambre, écartant mes fesses de mes mains. Il me bouffe aussitôt le cul, me faisant une feuille de rose puis plongeant sa langue bien au fond de mon puits d’amour. Cette fois, il entre aisément trois doigts dans ma petite fournaise. Il tourne et fouille mon anus souple et trempé. Ma petite bite est tellement tendue que mes couilles minuscules sont quasiment devenues invisibles. Il a senti que je ne suis plus très loin du coït car il attrape un préservatif et l’enfile prestement sur son membre puissant.



Je ne tiendrai plus longtemps et j’ai envie de le sentir lâcher son foutre dans ma chatte de trans. Avec ses doigts il m’ouvre le cul, massant ma prostate gonflée. Mon anus de salope suinte comme une fontaine, je suis lubrifiée naturellement. Mon bel amant présente doucement le gland de son membre imposant sur mon sphincter anal. Il enfonce son énorme pieu dans mon anus ; je me sens aussitôt remplie, comblée, et dans ma tête la plénitude s’installe. J’ai trouvé mon mec, celui que j’attendais. Je suis sa petite femme et je lui appartiendrai pour toujours. Mon sperme gicle aussitôt sur mon ventre en longues coulées, une première puis une seconde plus forte entre mes deux seins, enfin une dernière qui échoue dans mon cou. Je recueille mon sperme dans mes doigts et le goûte : il est bon, chaud et salé. Il est le symbole d’un bonheur enfin trouvé. Mon amant profondément enfoncé dans mon puits d’amour vient délicatement m’embrasser.



Sur mon petit nuage, je retrouve malgré tout très vite mes réflexes de petite femelle attentive au plaisir de son mec et resserre mon sphincter pour stimuler le membre de mon amant.



Je lève mes fines jambes gainées pour qu’il attrape mes chevilles et ainsi offrir pleinement mon cul à mon amant. Il les saisit délicatement mais fermement et commence un lent va-et-vient. La sensation merveilleusement féminine d’appartenance à un mec m’envahit à nouveau. Je me repais, aux anges, de la vision de ce bel éphèbe de bronze en train de prendre du plaisir dans mon cul.


Le plaisir anal monte lentement tandis que le mouvement de piston du puissant dard de mon amant s’accélère. Après quelques minutes de plaisir commun grimpant crescendo, à son tour il jouit, et un énorme spasme le secoue. Je sens alors un flux chaud et puissant me remplir et je pousse aussitôt un cri aigu provoqué par une brutale jouissance anale. Il se retire doucement de mon anus, s’allonge à mon côté et pose sa joue sur mon ventre maculé de mon propre sperme.