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Temps de lecture estimé : 15 mn
15/01/18
Résumé:  Après une séance épique chez un thérapeute, notre couple découvre d'autres plaisirs.
Critères:  fhh hagé extracon cocus inconnu grossexe laid(e)s boitenuit voir hmast fellation préservati fouetfesse confession -totalsexe
Auteur : Alteregaux            Envoi mini-message

Série : Je partage donc je suis

Chapitre 02
Fessée et conséquences

Résumé de l’épisode précédent :


Le thérapeute

Après une visite très particulière chez un sexologue, mon épouse qui a retrouvé le goût pour le sexe m’entraîne dans un club libertin.



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Fessées et conséquences



Étonnamment, l’idée de la sortie de ce vendredi avait été suggérée par Sandrine, mon épouse.


Elle avait été transformée par sa visite chez le thérapeute. Une séance qui était allée trop loin pour mon goût mais qui l’avait en quelque sorte décomplexée. Le sexologue l’avait amenée à un niveau d’excitation tel qu’il avait pu lui faire accepter un rapport sexuel particulièrement chaud. En un mot, il avait su s’occuper de mon épouse mieux que je n’avais réussi à le faire ces temps derniers.


Je craignais donc que Sandrine ne devienne plus réceptive aux autres qu’à moi-même, c’est la raison pour laquelle je n’étais pas totalement à l’aise avec cette visite en club.


Nous avions souvent songé à fréquenter des clubs libertins, mais au dernier moment l’envie ou peut-être le courage nous a toujours manqué. Une de ses amies lui avait parlé d’un endroit, un établissement prétendu très accueillant où tout est possible mais sans contrainte et dont le fonctionnement facilite la découverte au rythme de chacun.


Personnellement je ne voyais pas là un concept différent de ceux dont j’avais entendu parler. Deux choses cependant me poussaient à donner suite à la proposition de ma chère et tendre : tout d’abord le lieu avait été « validé » par une amie en qui elle a toute confiance ; ensuite, j’avais entendu dire que le club qui pratique volontiers l’initiation des débutants était également connu pour ses moments chauds et ses soirées à thèmes.


Nous voilà donc sur le parking de l’établissement, excités et un peu décontenancés. Une bâtisse un peu ancienne dans un quartier excentré de la ville, une porte massive qui s’ouvre sur un couple – nos hôtes probablement –, un quinquagénaire rondouillard et une jolie blonde entre deux âges, souriante et légèrement vêtue. Ils nous souhaitent la bienvenue mais s’attardent surtout sur Sandrine, très jolie avec ses yeux bleus sous une frange de cheveux noirs, sa poitrine lourde et ferme, une taille fine, un cul rebondi et de jolies jambes bien galbées. Ce soir elle est particulièrement en beauté avec une courte robe noire très élégante, très décolletée, dévoilant ses jambes gainées de noir et chaussées d’escarpins à talons vertigineux.


La charmante dame nous fait les honneurs de l’établissement et nous convie à une visite complète « spéciale nouveaux venus ». Nous découvrons le bar-restaurant, la piste de danse, la terrasse, et bien sûr, plus loin, les coins câlins : des alcôves multiples et discrètes, des lits et canapés profonds, des couloirs aux recoins sombres. À cette heure de la soirée ces espaces sont déjà en partie occupés. Nous remarquons des hommes et des femmes dans la pénombre dans des poses plus ou moins suggestives. Des gémissements trahissent des accouplements en cours. Pendant que mon épouse, guidée par notre hôtesse, explore les lieux, je remarque une jeune femme nue à l’exception de ses escarpins qui chevauche un homme pendant qu’un troisième personnage les mate en se masturbant. Cette vision fugace s’efface lorsque mes compagnes m’entraînent vers un couloir qui se termine par un escalier plongeant vers l’étage inférieur.



Ici, effectivement, les espaces sont clairement dédiés au sexe sous toutes ses formes dans une ambiance plus « gothique ». Les pièces sont fermées par des tentures ou des barreaux, des lits cohabitent avec des fauteuils gynécologiques, des croix de Saint-André ou des tables matelassées équipées de liens et d’attaches. Nous sommes plongés dans une véritable atmosphère BDSM.


Dans une pièce plus vaste et plus éclairée, un étrange spectacle se déroule sous les yeux d’une dizaine de personnes des deux sexes. Une femme rousse pulpeuse d’une trentaine d’années est allongée en travers des genoux d’un homme entre deux âges. Sa robe est retroussée sur ses hanches et dévoile ses fesses d’un joli blanc laiteux, sa culotte est baissée sur ses chevilles, elle porte des bas à couture couleur chair et des escarpins à bride à talons hauts. L’homme lui inflige une fessée à main nue qui lui rougit peu à peu le postérieur.



Nous la remercions et elle tourne les talons. Notre attention est accaparée par la démonstration de fessée qui se déroule sous nos yeux. Les mains du fesseur se concentrent maintenant sur l’entrecuisse de la belle, légèrement écarté, dévoilant une vulve rose et lisse. Ses mouvements se font de plus en plus rapides et saccadés. Elle gémit sous les coups, les yeux mi-clos. L’homme achève sa prestation en lui assénant une dernière claque sonore puis plonge son majeur dans le sexe de la rousse qui accompagne ce geste d’un soupir langoureux. Il retire son doigt luisant de sécrétions intimes et libère sa partenaire. La femme se relève, le rouge aux joues, dévoilant le sexe de l’homme en érection émergeant de son pantalon. C’est là que je réalise que le type a joui pendant qu’il fessait sa victime. Il a éjaculé sur la robe de la rousse qui tente maladroitement d’essuyer son vêtement tout en rejoignant son compagnon assis dans l’assistance.


Émoustillés par le spectacle qui vient de se dérouler, nous sommes surpris par un inconnu qui nous fait face et qui s’adresse à nous :



Le type est un monsieur bien habillé, la soixantaine, à l’air un peu guindé et au teint pâle.



Troublés par cette expérience, nous remontons vers le bar et commandons un cocktail pour nous remettre de nos émotions.



Elle n’achève pas sa phrase car un gros homme vient s’asseoir brusquement à ses côtés. La cinquantaine, il a un visage rougeaud et un costume froissé.



Le personnage continue à parler de lui et de sa connaissance inégalée du monde du libertinage. Il commence à devenir saoulant d’autant que, se rapprochant de Sandrine, il finit par poser une main sur sa jambe et déclare :



Ce faisant, il glisse ses doigts le long de sa cuisse et remonte sa main sous sa robe, cherchant la lisière de ses bas. Sandrine interrompt son geste et lui lance :



Sur ces paroles, elle se lève et m’entraîne en laissant le type frustré et décontenancé sur son canapé.



Surpris mais enchanté, je suis ma femme dans les escaliers qui mènent au sous-sol. Quelques personnes discutent encore dans la salle des « châtiments ». Mon épouse n’ose pas aborder le sexagénaire, et je fais donc le premier pas :



Sandrine se tourne vers moi, le regard brillant d’un mélange d’excitation et d’inquiétude. Je lui souris et lui adresse un clin d’œil bienveillant.



L’homme nous entraîne de l’autre côté de la pièce où sont installées de petites cabines séparées de la pièce principale par une tenture. À l’intérieur se trouve une sorte de banquette capitonnée face à laquelle est positionné un fauteuil dans lequel il m’invite à m’asseoir et demande à Sandrine de se dévêtir. Notre manège n’a pas échappé à quelques curieux attirés par les démonstrations de fessée, qui se pressent devant la cabine et tentent d’apercevoir la scène au travers des voilages. Cependant, leur présence qui aurait pu contrarier Sandrine dans son effeuillage est vite oubliée et elle s’exécute spontanément.


Elle demande à l’homme de l’aider à baisser la fermeture de sa robe et la fait glisser sur son corps. Elle apparaît en sous-vêtements, un soutien-gorge en dentelle et une culotte minimaliste aussi légère que transparente. Elle libère sa lourde poitrine en dégrafant le soutien-gorge puis fait glisser son slip le long de ses jambes pour dévoiler son pubis entièrement épilé. Elle est désormais face à l’homme, nue et vulnérable ; ses jambes perchées sur 12 centimètres de talons aiguille sont magnifiquement gainées de bas en fin voile noir maintenus sur ses cuisses par un joli porte-jarretelles en dentelle.



Je suis stupéfait par la docilité de mon épouse qui obéit machinalement à cet individu. Sa voix calme et profonde agit comme un envoûtement. Elle est quasiment hypnotisée et se laisse manœuvrer comme une marionnette. Dans cette position indécente, ma femme offre à son partenaire son fessier largement cambré ; ses cuisses ouvertes dévoilent sans pudeur son intimité dont profite également le reste de l’assistance. Les spectateurs se rapprochent ; on sent les hommes présents très fébriles devant ce fabuleux spectacle. Je suis moi-même étonné de l’impudeur de ma chère et tendre.


L’homme s’approche, et son premier geste est doux. Il caresse ses globes fessiers avec des mouvements circulaires. Il lui pelote littéralement les fesses de manière sensuelle. Il s’interrompt soudain et assène une première claque sonore sur la fesse gauche qui arrache à Sandrine un petit cri. Il se met ensuite à caresser sa fesse droite puis la frappe. Il alterne ainsi caresses et coups sonores assénés du plat de la main qui laissent des marques rouges sur les chairs. À chaque frappe, mon épouse sursaute et laisse échapper une légère plainte. À chaque effleurement, elle se détend en soupirant.


Ses caresses se concentrent progressivement sur son entrecuisse alors que les coups pleuvent sur la périphérie de son fessier. Les doigts agiles de l’homme pâle virevoltent autour de sa vulve lisse et douce, largement exhibée dans cette position de soumission. Ils effleurent ses lèvres intimes et provoquent des frissons sur sa peau. Par contraste, les claques qui suivent se font plus appuyées. Son tourmenteur vise maintenant l’intérieur des cuisses ; la peau fine se colore d’écarlate.


Après une série de coups sévères qui arrachent à Sandrine un long gémissement, les doigts du sexagénaire écartent doucement ses lèvres intimes et caressent lentement le fruit défendu. En même temps, de sa main gauche il saisit l’un de ses seins qui oscillent librement sous elle. Il enferme son téton entre le pouce et l’index et le pince violemment. Ma femme pousse un cri de douleur mais ne cherche pas à se dégager de l’emprise de son partenaire. Stimulant doucement d’une main son clitoris turgescent, l’homme maltraite ses seins de l’autre main, conjuguant plaisir et douleur. Sandrine tangue, les yeux mi-clos, le souffle court. Une claque sonore met fin à l’épisode. Une quinzaine d’autres suivent et rougissent ses fesses. Ma femme gémit.


Elle gémit plus encore lorsqu’il cesse ses coups et introduit brusquement deux doigts dans son vagin. Le son humide que provoquent l’index et le majeur qui fouillent le sexe de Sandrine ne laissent aucun doute sur son excitation : elle est complètement trempée. Elle halète alors qu’il la branle sans vergogne tout en lui malaxant les seins. Il réduit la cadence, joue avec ses orifices puis reprend une fessée lente et mesurée qui décroît pour enfin cesser complètement. Mon épouse est dans un état d’excitation et d’hypersensibilité extrêmes. L’homme s’approche et lui murmure longuement à l’oreille ; elle hoche la tête. Il se tourne vers moi et me dit :



J’acquiesce et tente de me lever. L’homme pâle me fait signe de rester assis :



Il me désigne le fameux client, notre compagnon de bar, qui a écarté la mince tenture qui nous isolait du monde et s’est avancé sur le seuil. Il a ouvert son pantalon et tient en main une verge épaisse et puissante en pleine érection. Il tient un préservatif qu’il enfile précipitamment sur son sexe.



Le gros cochon s’approche derrière Sandrine qui est restée en position durant cet échange et qui semble attendre stoïquement la saillie. Le client passe devant moi en me regardant d’un air narquois, se place sur la banquette derrière mon épouse et dirige sa grosse bite vers sa vulve luisante d’excitation.


L’instant d’après restera gravé dans ma mémoire. Tout se mêle dans mon esprit : le gémissement que ma femme pousse lorsque le gros mandrin de son baiseur se glisse dans son étroit fourreau, le cri conquérant de cet abruti et le bruit de succion insoutenable qui accompagne la pénétration.

Mon sexe durcit instantanément lorsque ma chère épouse se fait pénétrer sans ménagement et jusqu’à la garde par cet individu. Il est incontestablement bien monté et lui dilate largement le vagin.


Le plus terrible, c’est qu’elle apprécie.


Un regard furtivement lancé derrière son épaule lui a permis d’identifier l’homme lorsqu’il a plaqué son énorme gland contre son sexe humide. J’ai capté dans son regard un éclair de crainte et d’hésitation lorsqu’elle a reconnu son client indésirable, mais il s’est éteint lorsque l’implacable mandrin s’est frayé un passage en elle et le plaisir a pris le pas sur les convenances.


Il la maintient fermement par les hanches et la pistonne ; son gros bide claque sur les jolies fesses de ma chérie à chaque poussée. Il la baise avec des mouvements amples et cadencés en faisant presque ressortir sa queue luisante à chaque fois pour la replonger l’instant d’après au plus profond de l’intimité de ma femme.


Elle gémit sous les coups de boutoir, je la sens effectivement terriblement excitée et pleinement offerte au type qu’elle avait éconduit une demi-heure plus tôt et se laisse posséder vigoureusement. Le gros profite de l’ascendant qu’il exerce sur elle et réalise visiblement avec ma femme un fantasme ancien. Il faut dire que cette sublime créature uniquement vêtue de bas noirs et de hauts talons offerte en levrette et brûlante ferait bander un mort.


Le fesseur profite lui aussi du spectacle et encourage mon cocufieur :



Puis il se tourne vers moi :



Effectivement, Sandrine, la sueur au front et le regard brillant, marmonne une mélopée quasi-incompréhensible faite de gémissements et d’encouragements à son partenaire de la prendre encore et encore. L’homme a abandonné ses hanches et s’est saisi de sa lourde poitrine qui oscille sous elle au rythme de la pénétration. Il lui pétrit les seins tout en la pistonnant énergiquement.



Sandrine ne répond pas mais continue de gémir. L’homme surexcité la fourre de plus en plus vigoureusement ; je les sens tous les deux au bord de l’explosion.


Sandrine le devance. Son gémissement s’intensifie pour s’éteindre complètement ; elle a joui intensément. L’homme se retire alors d’un coup. Il laisse son orifice dilaté et béant. Je n’en crois pas mes yeux : je ne l’avais jamais vue aussi élargie. Il arrache sa capote et se termine en se branlant sur ses fesses.


Le salaud est moche comme un pou, mais il faut reconnaître qu’il est bien membré, endurant, et je m’aperçois qu’il dispose de réserves. Il jouit sur les fesses de sa partenaire et son gros vit ne semble jamais vouloir cesser d’éjaculer. Son sperme glisse dans sa raie, souille son petit trou plissé, s’insinue dans les replis de sa vulve et dans son sexe encore dilaté. En quelques instants mon épouse est gratifiée d’un magnifique « creampie » et son entrecuisse est entièrement poisseux d’une semence abondante.



Il se dirige vers mon épouse alors que son baiseur s’écarte. Il prononce quelques mots que je n’entends pas. Sandrine, qui émerge de sa torpeur, acquiesce machinalement. Il sort alors de son pantalon un sexe fin et long en demi-érection qu’il présente devant ma femme toujours agenouillée. Elle le prend entre ses lèvres et se met à le sucer. L’homme place sa main sur ses cheveux et accompagne ses mouvements de tête ; elle le pompe consciencieusement.


Il me regarde. Il prend visiblement son plaisir pendant que son sexe va-et-vient dans la bouche de mon épouse.



Je suis à la fois abasourdi et terriblement excité devant cette scène, comme pour la précédente. Sandrine agenouillée devant un inconnu qui l’a fessée le suce avec application alors que s’écoule entre ses cuisses le sperme d’un autre homme qui vient de l’enfiler sans ménagement.


Les talents de ma femme ne tardent pas à porter leurs fruits : le type se raidit et jouit à son tour dans la bouche de ma chère et tendre. Une fois ses couilles vidées, il range son attirail pendant que Sandrine, peu spermophile, recrache son jus dans un Kleenex.


Quelques minutes plus tard nous nous retrouvons tous au bar. Sandrine, de nouveau habillée, est assise sur un sofa entre ses deux partenaires de la soirée. À la fois troublée et comblée, elle me regarde d’un air mi-complice mi-inquiet, craignant peut-être que je désapprouve son libertinage. En fait, je suis très serein. Avant qu’elle ne se rhabille au sous-sol, je lui ai demandé l’autorisation de me masturber sur ses seins alors que la semence de deux inconnus souillait ses cuisses et son menton. Je me suis branlé alors que deux hommes avaient eu le plaisir et l’avantage de pénétrer ses orifices et de jouir de son corps. Cette posture de cocu frustré m’a excité comme jamais.


Les messieurs semblent moins gênés que nous de cette situation étrange.



Effectivement, Sandrine semble comblée ; de mon côté, je découvre de nouvelles sensations.


Oui, ces deux hommes me rappellent de façon humiliante que je suis cocu, mais je découvre que j’adore ça !