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n° 18226Fiche technique10958 caractères10958
Temps de lecture estimé : 7 mn
16/01/18
Résumé:  En passant chez Isabelle, je découvre que son fils est seul à la maison. Mais est-ce vraiment une surprise ?
Critères:  fh fplusag miroir lingerie intermast pénétratio init -inithf
Auteur : Zen      Envoi mini-message
En passant chez Isabelle

En sonnant chez Isabelle, je savais pertinemment qui allait ouvrir la porte de son appartement. Ça ne m’a pas empêchée de très bien jouer la surprise.



Ça faisait plusieurs années que je ne l’avais plus vu. Il avait gardé son visage rond, un peu poupin. J’ai claqué quatre bises sur ses joues impeccablement rasées. Il avait l’air content de me revoir, un petit sourire sur son visage.



Il avait changé, mais pas tant que ça. Sa mère me l’avait décrit il y a quelques jours comme beau garçon, c’était vrai. Il avait peut-être grandi d’un ou deux centimètres depuis la dernière fois que je l’avais vu. Mais surtout il s’était incroyablement musclé, élargi des épaules, il avait aussi pris des pectoraux. Il arborait un look assez étudiant, tee-shirt et pantalon de toile. Il avait l’air toujours discret ou timide. Très timide, avait dit sa mère… Bon, on verra.



La aussi j’ai essayé de prendre un air contrarié… Pas sûr que je sois une très bonne actrice !



Pendant qu’il explorait l’appart, je lui ai expliqué :



Il est revenu avec le sac O***** à la main. Un petit sourire pointait sur mes lèvres. J’ai ouvert le sac devant lui et je lui ai montré les pièces. C’est vrai qu’il était timide : il osait à peine regarder l’ensemble et il rougissait. Je l’ai interrogé :



Je l’ai regardé droit dans les yeux en souriant. Il a détourné le regard, alors j’ai enchaîné :



Il était tout décontenancé. Je lui ai décoché un petit clin d’œil qui l’a légèrement surpris et je suis partie dans la chambre d’Isabelle. J’ai fermé la porte et j’ai pris tout mon temps pour mon essayage.

Je me suis déshabillée lentement, posant mes affaires bien rangées sur une chaise. J’avais pris dans mon sac des petits ciseaux pour couper les étiquettes. J’ai enfilé le soutien-gorge, bien ajusté à ma poitrine. Décidément, cet ensemble était superbe. Puis le porte-jarretelles. Puis les bas, que j’ai doucement déroulés sur mes cuisses avant de les fixer au porte-jarretelles. Enfin la culotte. Je suis allée m’observer devant le miroir mural : effectivement, j’étais rayonnante. Tout cela était superbement ajusté, mettant en valeur mes formes, et j’adorais ce tissu soyeux, si doux au toucher. Je me plaisais, et j’espérais bien que je lui plairais aussi.


En attendant qu’il se manifeste, j’ai posé ma main sur ma culotte et je me suis touchée légèrement à travers le tissu. J’étais déjà dans un état d’excitation… Il a fini par se manifester.



Il a failli tomber à la renverse en me voyant. Je lui ai fait un signe de la main en lui souriant :



J’adorais ses caresses. Son souffle s’était accéléré et il semblait extrêmement motivé à me caresser à travers la lingerie. Sur mes fesses, et puis sur mon petit minou… Ses mouvements étaient doux à travers la lingerie. Mes tétons n’ont pas tardé à durcir. Oui, il savait donner du plaisir à une femme par les seins, même à travers un soutien-gorge. Je lui ai chuchoté à l’oreille :



J’ai défait sa ceinture, ouvert son pantalon, plongé une main dans son caleçon et sorti une belle tige bien raide… Elle était si chaude, appétissante, j’ai adoré découvrir ses formes par mes mains qui le frôlaient. Je la sentais palpiter sous ma main, et lui poussait des grognements de plaisir. Il appréciait énormément ce que je lui faisais, mais bien que je sois une branleuse très douée, je ne voulais surtout pas déclencher son plaisir trop tôt… Je lui ai demandé de se déshabiller complètement et il m’a rejointe devant le miroir, lui nu, collé dans mon dos, le sexe tendu plaqué contre la culotte sur mes fesses, la tête sur mes épaules, me mordillant l’oreille, tous deux nous regardant dans la glace.


Oui, on était beaux dans le miroir, lui si musclé, bouillant de désir. Moi magnifique dans mon ensemble de lingerie, avec une si forte envie de le combler, et qu’il me fasse du bien. Et le fait qu’on ait vingt ans d’écart ne changeait rien à la chose. J’ai écarté les cuisses pour qu’il puisse frotter son sexe contre mon minou. Sa queue s’est glissée jusqu’à ma zone sensible, son gland se frottant contre mon clito à travers la mince barrière de la culotte. Oh, que j’avais eu envie de ce moment-là ! Déjà en choisissant le modèle de lingerie ; peut-être même avant. Et maintenant c’était la réalité, plus forte que tout ce que j’avais espéré.


Il m’a retiré mon soutien-gorge pour prendre mes seins à pleines mains, toujours collé derrière moi. Il était incroyablement doué pour me donner du plaisir en s’occupant de mes seins. Faut dire que c’est mon point sensible. Chacun de ses mouvements de reins, chaque frottement de sa tige contre mon sexe délicatement protégé par le tissu mince m’arrachaient des gémissements et rendaient le tissu plus humide. Ma main guidait le mouvement de son sexe sur moi, le caressait. J’adorais nous voir comme ça dans le miroir. J’ai tourné ma tête vers son visage pour qu’on s’embrasse, et ça a été une grosse pelle fougueuse, les langues se sont déchaînées. Je lui ai dit « Je veux ton sexe en moi. », mais était-ce bien nécessaire de le dire ?


Il a fait tomber ma culotte à ses pieds. J’ai posé mes mains sur le miroir, je me suis cambrée, les jambes légèrement écartées, la croupe offerte. Son sexe est revenu se frotter contre le mien, maintenant directement en contact avec ma chatte, son gland titillant mon clito. J’étais surexcitée, et l’entrée de sa tige en moi a été une libération. J’ai crié. Lui aussi, je crois…


Ça a été court, intense, presque violent. Il tenait les deux globes de mes seins dans ses mains, les caressant, en stimulant le bout, puis caressant l’ensemble ou juste le téton, le pinçant, jouant avec. Une folie…


Notre plaisir est vite monté, ses mouvement s’accélérant, son sexe en moi déchaînant des vagues de plaisir en moi. Quand sa main droite a quitté mon sein pour venir stimuler mon petit bouton, je n’en pouvais plus : j’ai crié mon plaisir, j’ai hurlé mon orgasme, ça a été énorme, et j’ai senti sa queue se raidir et son jus couler en moi. Lui aussi a hurlé. Quelle libération ! On a chancelé sous le choc du plaisir et on est allés s’écrouler sur le lit proche.


On y a passé le reste de l’après-midi. Un étonnant moment de complicité entre un jeune homme et une femme qui avait l’âge d’être sa mère, avec sourires, tendresse, caresses, rires, sexe. Beaucoup de sexe, même. On a un peu sali le lit d’Isabelle, mais je sais qu’elle ne m’en voudra pas, on est des copines si proches… Kevin était doué de ses mains, de sa bouche, de sa langue, et j’en ai bien profité. Et je lui ai donné beaucoup de ce qu’un garçon de vingt ans peut espérer d’une femme expérimentée…


Quand je me suis relevée pour me rhabiller, il m’a demandé :



Je lui ai lancé ma culotte, qu’il a tout de suite portée à son nez pour humer mon odeur intime. C‘était une culotte magnifique, si sexy, qui avait contribué à faire exploser son désir. Un beau souvenir, quoi. Je ne savais pas à ce moment-là si on allait se revoir, mais je savais déjà que cet après-midi nous avait durablement marqués lui et moi.


Plus tard dans la soirée, j’ai été un peu inondée de SMS par Isabelle :


« Et alors ? »

« Alors quoi ? »

« Tu es passée chez moi ? »

« Oui. »

« Et ? Kevin était là ? »

« Oui. »

« Et alors ? »

« Alors quoi ? »

« Comment ça s’est passé ? Il n’a pas fait le timide ? »

« Timide ? Non. Mais jamais de la vie, j’étais sa première… »

« Et alors ? »

« Alors quoi ? »

« C’était comment ? »

« Comment tu peux poser ce genre de question ? Tu es sa mère ! »

« Oui je sais, mais c’était comment ? »

« Mieux que ça :) »