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n° 18230Fiche technique7925 caractères7925
Temps de lecture estimé : 6 mn
17/01/18
Résumé:  Il y a plusieurs années pendant les grandes vacances, en Auvergne, dans le haut Livradois, à la ferme de mes parents, certains jeux conduisent à de belles découvertes.
Critères:  hh jeunes vacances campagne hmast intermast hsodo jeu init
Auteur : Alaiko      Envoi mini-message
Jeux coquins

Avec mon copain Chris, nous regardons un reportage sur les sumos, nous sommes séduits ; âgés de 18 ans, assez sportifs, nous décidons de le pratiquer. Les contacts des corps sont puissants, les roulades agréables, mais parfois délicates sur le sol. Nous avons seulement un short, un slip et un tee-shirt. Je décide de faire ceci dans la grange sur le foin fraîchement récolté ; tout en haut, nous aurons ainsi un bon matelas pour les chutes. Chaque après-midi, c’est un plaisir.

Un jour, Chris me dit :



Je me rends vite compte que l’idée est bien, sauf que nus dans le foin ce n’est pas confortable quand on tombe. Le lendemain, je soustrais une couverture à ma mère ; là, c’est bien.


Jouer aux lutteurs nus, le contact des corps réveille des désirs ; en se tenant par les épaules et voulant faire tomber l’autre les bites balancent bien, raidissent. Chacun de nous se rend compte qu’il se passe quelque chose. Lors d’une roulade les corps sont enlacés, les queues se frottent. Nous nous relevons, nous tenant par les épaules, tête contre tête. Je rapproche ma bite de celle de Chris ; le jeu consiste à faire un combat comme avec des sabres. C’est super, chacun assez bien décalotté.


Soudain, Chris se dégage, vient se placer derrière moi glissant sa bite entre mes cuisses et pose ses mains sur mes hanches. Un petit frisson me parcourt, ma queue se dresse contre mon pubis. Il vient de s’en rendre compte et donne quelques coups ; je reste sans réaction, alors Chris, avec douceur, me glisse sur le côté et se place devant moi. Légèrement, il écarte les cuisses, recule un peu ma bite plantée dans sa raie. Moment intense. Mon gland bute sur sa marguerite. Il se penche un peu vers l’avant. L’instinct mâle est là : j’essaie d’aller plus loin, comme il avait fait avec moi, mais pas possible, il est trop serré. J’éjacule rapidement. Sentant mon liquide, Chris se masturbe et jouit.

Nous venons de connaître les joies de la puberté.


Le lendemain, nous recommençons nos jeux. La lutte n’est plus de mise : nous cherchons la relation. Chris a compris le souci de la veille : il en veut plus, il me désire en lui.


Après avoir excité nos bites entre elles, Chris se place devant moi, mais il a eu l’idée de prendre un tube de vaseline. Il se courbe vers l’avant. Par dessous, il vient mettre sur sa rosace et jusqu’aux œufs un peu de gel (il n’y avait pas autre chose à notre disposition). Je glisse mon sabre entre ses cuisses. Tenant mon gland qui s’enduit de vaseline, je remonte un peu et me voilà sur sa rosace. Chris bouge des fesses ; il me sent, il me cherche, ses mains empoignent mes cuisses, me forçant à me coller à lui. Je pose mes mains sur ses hanches. Cela ne dure pas longtemps : le sphincter s’ouvre, mon bout glisse. Passage de la couronne de mon gland : je viens de franchir la porte de sa rosace, Chris pousse un cri (oui, un peu de douleur). Je pénètre lentement. La vaseline aide bien, me voilà au fond de son ventre. Je prends sa bite dans une de mes mains et je me rends compte que celle-ci vient de se raidir ; à chacun de mes mouvements elle se dresse. Je lime doucement, il est serré, mais c’est que du bonheur, Chris pousse des gémissements de plaisir. L’échange de chaleur est formidable ; je le masturbe, il me caresse les prunes.


Il cherche à activer mes mouvements ; l’instant est proche, je ressens monter le jus dans mon urètre. Délicat est le passage au niveau de sa rondelle ; je m’enfonce au fond dans ses entrailles. Mon souffle est rauque, puissant. Je transpire. Un râle de puissance m’échappe (ohoooooooo ouiiiiii), les jets partent en saccades.

Là, Chris :



Son corps se raidit, sa tête balance de tous les côtés, il me serre les testicules. Je le fais jouir, ma main est pleine de son jus. Je me retire de son corps en feu ; lorsque mon gland franchit la rosace, j’éprouve un plaisir intense. Chris se relève, se colle contre moi. Nous sommes bite à bite. Nous nous enlaçons, heureux d’avoir découvert une relation de nos corps autrement, nous avons franchi le pas sexuel.


Le soir je revis cet instant. Le frein de mon prépuce est un peu gorgé (normal), la bite bien raide, les testicules en mouvement. Envie de jouir, je ne résiste pas : la sauce arrive en jets puissants. Le lendemain, Chris me confie avoir senti son anus un peu bizarre, qu’il avait eu besoin de le caresser, de mettre son index dedans ; il avait l’impression que j’étais toujours en lui.


Parfois on se demande comment cela arrive ; il suffit de laisser les choses aller simplement : les corps savent ce qu’ils veulent. Notre complicité continue ; chaque jour on découvre de petits trucs. J’aime le tenir par le bout des tétons dans la position de levrette, on sait que cette façon.


Un jour nous avons une surprise.

Il fait orageux, avec du vent. Nous grimpons sur le foin jusqu’à notre cachette, nous avons besoin, envie de nous prendre.


Entre nous, ce n’est que de la douceur. Nous apprécions le moment où la couronne de mon gland franchit la porte de sa rosace ; à ce moment-là son corps se raidit, se cabre en arrière, son « ouiiiiiiii » me met en transe ; pour moi, cet instant est magique de sentir le sphincter se dérouler sur mon gland, mes mains reposant sur ses hanches. Je m’enfonce lentement au fond de son ventre par de petits va-et-vient afin que ma bite prenne sa place dans son anus. Je suis complètement en Chris, mes testicules butant sur l’arrondi de ses fesses. Mes bras enserrent ses hanches, mes doigts jouent avec ses testicules, sa verge. Les mains de Chris sont accrochées à mes cuisses.


D’un seul coup, un grand bruit : la porte de la grange claque. Nous tressaillons, la peur d’être découverts. Comme je tiens fortement Chris, nous basculons sur le côté. Je le serre fermement contre moi, toujours attaché par ma bite en lui. Nous restons sans bouger quelques instants, sa verge devient molle ; la mienne aussi, mais je suis en lui. Encore un grand bruit de la porte qui se referme : c’est tout simplement le vent qui nous a joué un tour. Le calme revient, plus un bruit.


Je n’ai pas pensé que ceci allait nous donner un autre plaisir. Je suis un peu en érection en Chris ; par contre sa rondelle, sous l’influence de la peur, est venue me serrer la verge à sa base. Donc un peu gros dedans et serré à ce niveau – encore l’instinct – mon copain me caresse délicatement les œufs. Je le serre encore plus fort contre moi, ma bite reprend du volume en lui. Au niveau de la marguerite, c’est intense pour chacun de nous : Chris a trouvé le moyen de faire jouer son muscle autour de ma verge. Hummmmm, nous adorons ce jeu, mais pas assez habitué, je lâche le jus rapidement.


Pas la peine de le masturber : il vient d’éjaculer dans ma main. Je me retire lentement de son anus, la verge encore enfle, rougie par les frottements intenses. Le sperme s’écoule entre ses cuisses. Chris prend son slip pour s’essuyer ; je fais de même avec le mien pour nettoyer ma main de sa liqueur. Nous garderons les saveurs de chacun de nous.


Cette union super – seulement une inflammation de courte durée pour chacun –, nous avons cherché à refaire ceci ; après quelques imperfections, Chris arrivait bien à me tenir en lui.