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Temps de lecture estimé : 24 mn
24/01/18
Résumé:  Juste après le boulot, je passe faire un petit coucou à Arnaud qui est très fier de me voir débarquer ainsi dans sa boutique. Très vite, il glisse son neveu dans la conversation...
Critères:  fh fplusag jeunes cadeau noculotte fmast fellation cunnilingu préservati pénétratio init -inithf
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message

Série : Sophie sans sophisme

Chapitre 04 / 06
Initiatrice

Une fois de plus, cette assez courte histoire est basée sur un fantasme de Soda, un lecteur de Rvbb. Puis j’ai brodé…




Une idée saugrenue



Juste après le boulot, je passe faire un petit coucou à Arnaud qui est très fier de me voir débarquer ainsi dans sa boutique. Après les effusions, nous nous asseyons l’un à côté de l’autre, puis nous discutons. Très vite, mon amant parle de Brian :



Une certaine lueur brille dans les yeux d’Arnaud, je m’attends à quelque chose de pas triste. D’un ton inhabituellement doucereux, mon amant répond :



Houlà ! Je le vois venir avec ses gros sabots !



Posément, il passe son bras autour de mon cou :



Il ne désarme pas pour autant, continuant à m’exposer son idée :



Il pose sa main sur mon épaule, m’attirant à lui :



Son front vient s’appuyer sur le mien :



Néanmoins, ce n’est pas pour autant que je m’éloigne de ce dangereux suborneur. Ce galopin d’Arnaud a toujours eu un petit côté entourloupeur-polisson qui fait partie de son charme. Je me mentirais si je disais que le petit Brian ne m’attire aucunement, il ressemble à son oncle de façon non négligeable, donc il ne peut que me plaire. Mais il reste un jeunot de moins de vingt ans, même si…


Même si, ce ne serait pas désagréable…


Mais je ne compte pas laisser Arnaud croire qu’il peut impunément se servir de moi de la sorte. Sans ôter mon front du sien, je lui demande :



Au final, j’accepte. Baiser avec un petit jeune, surtout un bien bâti comme Brian, c’est un fantasme à ne pas négliger… Inutile de préciser que mon amant est aux anges ! Quand j’y songe, c’est une curieuse conception qu’a mon amant de sa maîtresse ; maîtresse qu’il partage sans vergogne afin d’offrir des beaux cadeaux, sans bourse délier !




Première fois



Je suis arrivée la première. Mes talons aiguilles claquent dans cette demeure vide d’habitants mais ayant conservé tout son mobilier. Belle maison un zeste moderne, beau décor design. Idéal pour une première fois, c’est certain. C’est autre chose qu’une banale chambre d’hôtel bon marché ou une micro-chambre de bonne nichée sous les toits !


Je ne peux m’empêcher de dire à haute voix :



Mais personne ne répond, ce qui est tout à fait normal. Le contraire m’aurait sans doute affolée, et j’aurais certainement pris mes jambes à mon cou !


Lentement, j’enlève mon manteau que je pose sur un fauteuil, puis mon sac à main sur le canapé. Dans le salon qui fait corps avec la salle à manger, contre un mur, des miroirs en serpentin revoient mon image. Je pense que c’est assez réussi, Arnaud m’ayant renseignée sur les petites marottes qui trottent dans le crâne de son neveu. Je constate au passage que les idées de Brian et les manies de mon amant ont de fortes similitudes !


Je suis habillée plutôt sexy, BCBG, avec un chemisier blanc légèrement translucide et à moitié ouvert, offrant ainsi une mignonne vue sur mon décolleté. Plus bas, une jupe sage mais assez courte, puis par dessous, le grand tralala avec bas sombres et porte-jarretelles assorti. Ajoutons au passage que mes ongles sont vernis en rouge. Autant marquer les esprits pour une première, n’est-ce pas ?


J’aurais pu choisir une autre tenue, peut-être plus sexy, voire pute. Mais Arnaud m’a assuré que l’ensemble jupe plus chemisier était la meilleure option pour son neveu. J’ai donc abondé dans son sens.


Mon téléphone sonne, c’est Brian. Je décroche :



Le petit jeunot n’en mène pas large, c’est évident au ton de sa voix. Et ça m’amuse. Il fait moins le fier que la première fois que nous nous sommes vus ! J’entends des pas hésitants dans le couloir, je me poste au centre de la grande salle à manger, face à la porte que Brian ouvrira dans quelques instants.



La porte s’ouvre, Brian se fige quand il me découvre. Il faut dire qu’avec les jeux de lumière liés aux fenêtres derrière moi, je dois être nimbée d’un halo lumineux, et ça doit aussi accentuer les reliefs de mon chemisier, surtout ceux qui sont en dessous du fin tissu !



Je l’ai connu nettement plus téméraire. Aujourd’hui, on dirait franchement un jeune communiant totalement intimidé. C’est amusant, je le confesse, mais un collégien empoté, ça ne fait pas trop mes affaires. Déjà que Brian est jeunot, mais avec cette attitude, il semble encore plus infantile ! Et moi, les gamins sortis du berceau, ça ne me dit trop rien.



Et il me plaque un timide bisou sur chaque joue. Il n’y a pas si longtemps, c’est sous mon nez et au-dessus de mon menton qu’il avait visé ! Je sens qu’il va falloir que je prenne les choses en main, car mon petit coq est en train de se dégonfler comme une chambre à air qui aurait fait un petit tour dans une usine à clous !


J’avise le salon qui est derrière moi, le canapé en particulier ; je pars m’asseoir dedans. Installée confortablement, jambes croisées que lorgne avec application mon petit Brian, je tapote la place libre à côté de moi :



Il s’assoit au bord du coussin, comme s’il devait se sauver à la moindre alerte. Je souris intérieurement ; être la chatte croqueuse de souriceaux, ça m’amuse !



Je pose ma main sur son genou, il frémit un peu. L’image de la chatte s’impose de plus en plus en moi. Je tourne la tête vers mon jeunot pour lui demander :



Il se trémousse sur place, n’osant pas me regarder :



Et menant le geste à la parole, je m’approche de lui, plaquant mon sein contre son bras. À ma stupéfaction amusée, il rougit. C’est alors que j’ai le déclic :



Puis prestement, il ajoute :



Maladroitement, il s’approche de moi puis pose ses lèvres sur les miennes. Puis il s’enhardit, j’entrouvre plus ma bouche, ma langue commence à taquiner la sienne. C’est alors qu’il s’enflamme, posant sa main sur mon sein, tandis que l’autre ceinture ma taille, et que sa langue enrobe la mienne. Et il s’y prend plutôt bien ! À prime vue, Brian ne semble pas être néophyte dans le domaine du baiser, ce qui est un bon point.


Par contre, il va falloir que je lui explique que mon sein, ce n’est pas de la pâte à modeler ! Je profite qu’il abandonne mes lèvres afin d’aller m’embrasser dans le cou pour le lui signifier gentiment :



Sans cesser d’être enfoui dans mon cou, il modère ses ardeurs, ce qui est nettement mieux. Puis quelques instants plus tard, c’est son nez qui se fait un plaisir d’aller fureter dans mon décolleté. Ses doigts fébriles déboutonnent mon chemisier, sans trop de dégâts. Ses lèvres déposent des baisers brûlants sur la double rondeur de ma poitrine, je dois reconnaitre que ça me plaît beaucoup, je dirais même que ça me fait de l’effet !


Soudain, il me pose une question :



Dit comme ça, j’aurais mauvaise grâce de refuser. Je lui fais remarquer un détail :



Conseil qui n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd, car trois secondes plus tard, l’agrafe s’ouvre, laissant s’échapper mes seins. Aussitôt, j’ai la confirmation que Brian veut les embrasser, les lécher, les sucer ! C’est beau la jeunesse et son impétuosité ! Quoique son oncle a conservé ce genre de manière, mais en plus modéré. Il va néanmoins falloir que je fasse attention, son neveu serait bien capable de me faire des bleus ou des suçons, et j’aurais alors un mal de chien à justifier ça auprès de mon mari !


Pour lui faciliter la tâche, j’enlève mon chemisier, ainsi que mon soutien-gorge devenu inutile, afin d’être torse nu sous les baisers et les caresses de mon jeune amant. De temps à autre, il s’exclame en sourdine :



Ou bien :



Il exagère un tantinet, mais ça fait toujours plaisir à entendre ! Tandis que je me laisse faire, je vois bien qu’il se tortille, comme gêné plus bas. Mutine, je lui demande :



Et sans attendre son feu vert, je m’attaque avec dextérité à sa ceinture, un peu curieuse de découvrir ce qui peut bien se cacher sous le chapiteau de son pantalon. Je dégrafe sa braguette pour y découvrir un caleçon tendu à mort. J’en profite pour lui demander :



Et hop, je fais glisser en même temps son pantalon et son caleçon jusqu’à mi-cuisses. C’est alors que je découvre la bête, elle est curieuse, je n’en ai jamais vu des comme ça : cette queue est très dure et courbé vers le haut, un sacré arc de cercle. La plupart du temps, c’est tout droit, comme un i, ou un peu fléchi, mais pas comme un ر. Brian me regarde d’un air assez étonné, comme incrédule de ce qui va lui arriver dans très peu de temps :



Et avec un grand sourire coquin, je m’empare de cette queue frémissante ; la sensation est curieuse, sans doute liée au fait que c’est celle d’un jeunot. Néanmoins, c’est avec un certain plaisir que je referme mes doigts autour de cette tour incurvée. Doucement, je le branle délicatement, sous le regard attentif de Brian.


Lentement, graduellement, suavement, comme il se doit…


Ses yeux n’arrivent pas à se détacher de ma main aux ongles vernis enserrant sa verge frissonnante. Celle-ci tremblote sous mes va-et-vient tout en douceur. Brian soupire d’aise, la bouche ouverte. Je suis très satisfaite de ma dextérité et de mon pouvoir sur mon jeune amant en devenir. Sa tige vibre de plus en plus ; réjouie par la situation, je suis en train de me demander si je ne lui fais pas trop d’effet, quand soudain, l’explosion !


Un puissant jet décolle vers le plafond, pour venir s’écraser plus loin devant nous. C’est assez surprenant ! D’énormes giclées fusent à leur tour, tels des feux d’artifice ! Et ça n’en finit plus, comme si Brian était en train de se vider de plusieurs années de retenue. À y réfléchir, c’est quand même le cas. En tout cas, on peut carrément dire que ça déborde ! Faudra ne pas oublier de nettoyer ensuite !


Un dernier jet pulse, pour retomber mollement entre ses jambes. Tandis que j’essuie ma main poisseuse par tant de sperme, essoufflé, Brian jure :



Et me saisissant à nouveau de sa verge molle, je commence diverses petites caresses qui revigorent très vite ce bâton de chair, l’apanage de la jeunesse. Peu après, je m’en saisis pour amorcer une délicate branlette qui fait derechef un effet non négligeable à Brian. Moins de cinq minutes, pari gagné haut la main, ou plutôt haut le poignet !



Je sors une capote de mon sac à main. Brian rougit. Je l’aide à la mettre, lui expliquant la marche à suivre pour ne pas avoir de problème par la suite, ou simplement lors de la pose. Peu après, je peux contempler une jeune verge encapuchonnée comme il se doit. Puis je m’allonge à moitié sur le canapé, lui disant :



Ah, je sens que l’ancien Brian remonte à la surface, avec l’assurance. On verra ce que ça donne par la suite. Il s’empare de ma bouche tandis que sa main s’égare sur mon sein, le massant doucement, titillant mon téton érigé et dur. Puis quelques instants plus tard, cette main descend sur mon ventre, glisse sur ma jupe, pour venir s’emparer de mon genou.


C’est à ce moment que son autre main s’empare de mon autre sein pour le câliner délicatement. Brian a bien retenu la leçon. Cajoler en haut, caresser en bas, sa main remontant petit à petit le long de ma cuisse, mais elle s’arrête à l’orée du tissu de ma jupe, n’osant pas aller s’aventurer plus loin. Le voyant venir, me décollant à regret de ses lèvres, je lui propose :



Il se recule afin que je me relève, ses yeux rivés sur mes seins qui se balancent un peu. Je ne peux m’empêcher de sourire. Pour me faciliter la tâche, je me lève et je viens me planter devant Brian qui n’arrive toujours pas à détacher son regard de ma poitrine. Mais je sais que dans peu de temps, il va regarder ailleurs, plus bas.


D’un geste décidé, je dégrafe le haut de ma jupe, puis après avoir descendu ma zipette, je laisse choir le tissu à mes pieds. Bouche ouverte, yeux grand ouverts, Brian semble figé. J’en profite pour pivoter de gauche à droite, alternativement, comme si j’étais sur un podium. Mon jeunot finit par articuler :



Je reconnais que je suis fière de mon effet, une femme sûre de ses charmes, quasiment nue, en bas noirs, porte-jarretelles assorti, en talons aiguilles ! On a vu pire comme vision. En tout cas, Brian semble transporté par celle-ci. Cette fois-ci, c’est mon ensemble de lingerie et mon entrejambe qu’il ne quitte plus des yeux. Et je vois bien qu’il ne sait pas très bien par où commencer !


Je décide de trancher pour lui, m’approchant de lui, près, très près, mettant mon pubis à portée de ses lèvres. Il se jette dessus, commençant à m’embrasser comme un jeune chiot fou, ses deux mains plaquées sur mes fesses nues qu’il pelote sans vergogne !

Attendrie par tant de fougue, je caresse délicatement ses cheveux. Quelle situation étrange ! Je suis en train d’initier le neveu de mon amant. Si on me l’avait proposé, il y a quelque temps, je n’aurais pas accepté. De plus, je n’aurais pas cru que ça m’aurait plu. J’éprouve un sentiment étrange, curieux, excitant.


Houlà, mon jeune amant s’enhardit ! Il vient de glisser sa langue dans ma fente. Il farfouille un peu partout, sans bien se focaliser là où il faut. Toujours caressant ses cheveux, je murmure :



Comme il est plutôt doué, il le déniche tout de suite, sa langue sachant très bien me câliner, m’exciter petit à petit. J’en attrape des délicieux frissons, ce qui fait que ce petit vicieux, qui comprend vite les tenants et les aboutissants, accentue son emprise autour de mon clitoris exacerbé !


Dieu que c’est bon ! Excitée, je plaque carrément cette bouche vorace contre ma fente détrempée. Obéissant, Brian fourrage de plus belle en moi, c’est divin, c’est excitant ! Je dirige sa tête pour mieux en profiter. Puis, mon désir montant, je décide de me laisser aller. Quelques secondes plus tard, sans aucune honte, je jouis !


Tandis que mon corps irradie de plaisir, Brian continue sa douce léchouille. C’est bon, très bon, divinement bon ! Puis n’en pouvant plus, je le repousse. Devant son air étonné, je réponds de façon hachée :



Puis je m’avachis sur le canapé, tandis que mon corps continue à être parcouru de frissons, tandis que mes paupières deviennent lourdes…


Enfoncée dans les coussins, je soupire longuement. Puis je susurre à mon jeune amant :



Le double sens de ce mot m’amuse. Le temps passe, rédempteur.


Je suis à présent confortablement allongée sur le canapé, jambes largement ouvertes, prête à l’accueillir pour sa première fois. Avant qu’il ne plonge en moi, je lui explique que si les jeux de langue sont très bons, les jeux de doigts sont très bons eux aussi. Et la meilleure des explications se fait avec un exercice pratique ! De ce fait, Brian est en train de caresser, de titiller l’orée de ma chatte, taquinant ci et là mon clitoris déjà bien exacerbé. Il faut que je le modère un peu :



Je pense que je vais réussir à en faire un amant plus que potable. Ses futures conquêtes pourront me remercier ! Je me laisse faire, le guidant parfois de la main. C’est bon, très bon ! Mais je me dis qu’il va falloir passer à l’étape supérieure.



Ses doigts s’arrêtent de me farfouiller, il lève la tête :



Je me cale mieux dans le canapé, ouvrant largement mes jambes gainées de soie noire, lui offrant une autoroute à son envie et à son désir. Gauchement, il se positionne tant bien que mal entre mes cuisses. Je constate qu’il ne sait pas trop bien comment se placer, il est vrai qu’un canapé est moins facile à gérer qu’un lit. Je l’aide un peu :



Avec application, il s’exécute, puis il constate :



Peu après, je sens sa tige toute dure venir cogner à mon entrée. Il remue un peu du bassin pour trouver le meilleur angle d’attaque, je pense que ça doit être inné chez les hommes, pas trop besoin qu’on leur explique ce genre de notion, sauf à tomber sur un neuneu de première catégorie !



Il m’a fait presque peur à soupirer de la sorte ! Oui, ça doit sans doute être bon pour lui d’entrer en moi, mais il est très expressif, nettement plus que son oncle. On dirait qu’il vient de trouver le mode d’emploi car il commence à présent une série de va-et-vient qui s’accélère petit à petit, sur toute sa longueur, profondément, posément. Je suis un peu étonnée de l’effet que ça me fait, un effet un peu étrange mais absolument pas désagréable : est-ce la forme curieusement incurvée de sa queue ou le fait que j’initie un puceau ? Ou les deux en même temps ?


En tout cas, Brian se laisse aller, tout en me pistonnant de plus en plus vite et de plus en plus fort. Et il fait une de ces têtes, sans parler de tous les grognements et soupirs que sa bouche laisse sortir ! Sa jouissance doit être toute proche ! Je vais le laisser aller, je rectifierai le tir ensuite.


Soudain, il se raidit alors qu’il est enfoncé au plus profond. Son corps est comme secoué de décharges électriques, puis il part dans une sorte de long hululement, un peu à l’image de son oncle, il y a comme une parenté. Il jouit alors brutalement, sans retenue.



Sa jouissance n’en finit pas, comme s’il avait des litres et des litres de sperme à évacuer ! C’est assez impressionnant, à moins qu’il n’en rajoute. Mais vu son visage, j’aurais tendance à penser qu’il ne bluffe pas.


Visiblement épuisé, il se redresse afin de se retirer, puis il s’affale par terre, utilisant le canapé comme dossier. Il jure à voix basse :



Attendrie, je pose ma main sur sa tête :



Je me penche sur lui, mettant mon visage au niveau du sien. Je lui souris affectueusement :



Je montre du doigt sa capote :



Il fait comme je viens de dire. Je constate avec une certaine surprise qu’il a bien rempli la capote. Il s’essuie ensuite à l’aide du paquet de mouchoirs que je n’ai pas oublié de prendre avec moi. Ceci fait, il se relâche, comme pour récupérer d’une grosse fatigue. Je m’assieds puis je lui conseille :



Aussitôt je me penche sur lui pour capturer sa bite entre mes lèvres. Surpris, il sursaute mais se laisse faire. D’ailleurs, je connais peu d’hommes qui refusent ce genre de caresse ! Il ne me faut pas longtemps pour que ce tuyau rabougri devienne une fière colonne pointant vers le ciel ! Je reconnais qu’avec les petits jeunots, c’est nettement plus facile qu’avec les hommes un peu trop matures qui ont de plus en plus de problèmes avec la tenue de leur tuyauterie !


Quand j’estime qu’il est à point, je le retire de ma bouche, puis je pose délicatement une capote sur sa queue bien dure. Je me relève pour lui expliquer la suite de son initiation :



Je m’agenouille sur le canapé, posant mes avant-bras dur le dossier, présentant ainsi ma croupe de façon très équivoque, ce qui est d’ailleurs le but recherché. Je continue ma leçon :



Et Brian fait plus que supposer, puisqu’il se positionne juste derrière moi, à la bonne hauteur. Il ne faut pas plus de trois secondes pour venir m’investir à nouveau. Il entame un pistonnage du plus bel aloi, qui m’échauffe les sens. Pour être certaine de ne pas être laissée sur le bord de la route, je commence à me masturber ; moi aussi, j’ai envie de jouir !


J’en profite pour le conseiller à nouveau :



Il me lime avec plus de retenue, ce qui ne l’empêche pas d’y aller quand même de bon cœur ! Le moins que je puisse dire est que je le sens passer ! Ses mains agrippent férocement mes hanches, son bas-ventre claque sur mes fesses, c’est assez bestial, mais le but d’une initiation n’est-il pas d’explorer divers pistes ?


Mes doigts s’agitent dans ma fente. Parfois, par amusement, je taquine ses couilles pendouillantes qui battent la mesure en même temps que ses coups de piston. Oui, c’est bestial, c’est même un tantinet vulgaire, mais c’est tout aussi bon, voire même parfois plus ! Je sens que ma jouissance monte, lentement mais irrésistiblement ; je murmure :



Je ne sais pas comment il fait, mais son engin entre encore plus loin en moi, et ça me fait un sacré effet ! Tellement que je ne résiste pas très longtemps !



Il ne dit rien, il continue sa besogne, fortement, puissamment, puis soudain, la vague survient, elle me submerge, totalement, irrésistiblement, dévastatrice. À travers le brouillard dans lequel je suis plongée, je l’entends jouir à son tour, ce qui déclenche en moi une seconde vague qui m’emporte au loin ! Je me laisse aller, ballotée, retournée…


Je me laisse flotter, c’est si bon ! Le reste ne m’importe plus ! Je suis si bien !


Il me faut un certain temps pour ré-émerger, et je ne suis pas la seule. Brian semble comme hébété. Il cligne des yeux, avant d’avouer :



Il reste évasif :



Je constate avec amusement qu’il rougit. Je pose ma main sur son sexe. À mon contact, celui-ci frémit, et redonne très vite des signes de raidissement, ce qui étonne assez son propriétaire, mais ce qui le rassure aussi. Je lui fais remarquer :



J’en profite pour remplacer son préservatif. Cette petite manip augmente encore plus le volume de son sexe qui commence à se dresser de plus en plus fièrement. Je reprends la parole :



Il obéit, assez curieux de la suite à venir. Je le mets au parfum tout de suite en le chevauchant, puis en m’empalant sans vergogne sur son sexe bien raide. Celui-ci entre sans problème, comme une lettre à la poste. Il faut dire que jouer les initiatrices me plaît beaucoup, et que je mouille abondement !



Et sans attendre, il capture à pleines mains mes deux seins et commence à jouer avec eux sans relâche, les massant, les pressant, les soupesant, titillant mes tétons, les étirant, et plein d’autres choses du même acabit. Un peu songeuse, je me demande si Brian ne dépassera pas son oncle en la matière, il m’a l’air d’avoir de bonnes dispositions !


Quelques instants plus tard, m’agitant autour de sa belle bite, pivotant pour qu’elle me baratte le vagin, jouant les cavalières émérites, voire un peu salopes, il ne me faut pas longtemps pour sentir venir du fin fond de mes entrailles cette sourde et chaude irradiation que j’aime tant. Et je vois du coin de l’œil que mon amant du jour a quelques difficultés pour ne pas céder trop vite…


Je pense que j’en ferai quelque chose de ce petit jeunot…




Post initiation



Un peu plus tard, alors que je suis chez moi, mon mari rentrant tard ce soir, je reçois un coup de fil particulièrement enthousiaste d’Arnaud :



Je m’exclame aussitôt :



Nous continuons à bavarder de tout et de rien, souvent de Brian. Puis un bon dix minutes plus tard, je raccroche, pensive.


J’ai un mari, j’ai aussi un amant, et je viens de servir d’initiatrice au neveu de mon amant. Ce qui ne fut pas désagréable ; je dirais même que ça ne me déplairait pas de recommencer, mais pas tout de suite, il faut savoir ménager les bonnes choses, sous peine de les trouver banales.


Si un jour je dois écrire mes mémoires, je devrai avouer que je n’ai pas eu une sexualité de nonne, sans toutefois que ce soit trop débridé. Je pourrai dire que j’ai au moins bien vécu ma vie de femme. Peut-être que plus tard, je franchirai d’autres étapes en allant plus loin. D’ailleurs, à ce sujet, je soupçonne Arnaud de vouloir m’entraîner plus loin encore, mais chaque chose en son temps.


Oui, chaque chose en son temps…