n° 18236 | Fiche technique | 22711 caractères | 22711Temps de lecture estimé : 14 mn | 25/01/18 |
Résumé: La suite de mon initiation, et celle de mon supérieur clérical. | ||||
Critères: fh grp religion collection voir hmast fellation pénétratio fsodo hdanus hsodo partouze confession délire -humour -groupes | ||||
Auteur : Tito40 Envoi mini-message |
J’ai péché, Seigneur, et je regrette. En vérité, je regrette de ne pas l’avoir fait plus tôt. Quand j’aurai à entendre des coupables de luxure, au moins je saurai de quoi il retourne. À force d’entendre des confessions sur les dérives animales de mes ouailles, j’ai fini par succomber. Je vous ai raconté tout cela en détail, n’est-il pas ? Et je prie Dieu pour que vous me pardonniez, que vous pardonniez au petit homme que je suis sa faiblesse. Pour le pardon, d’ailleurs, je reviendrai plus tard vous implorer. Plus tard, c’est-à-dire quand je vous aurai tout raconté. Ou presque.
Mon évêque m’a quelque peu désarçonné. Je m’attendais à un rappel à la morale, à une pénitence dans un monastère pour la décennie à venir, ou même à une mission en Afrique ou en Amérique du Sud. Mais au lieu de ça, j’ai eu le sentiment qu’il était émoustillé par ce que je lui racontais.
Tout de même, j’ai assisté aux ébats adultères d’une paroissienne déchaînée devant son mari qui bandait mou. Je l’ai vue se faire démonter dans tous les sens, se toucher frénétiquement les seins, se mettre des doigts dans le vagin et même dans l’anus. Je l’ai entendue crier des insanités au point que j’ai dû me boucher les oreilles et l’absoudre en continu. Mais pire encore, quand elle et son amant sont venus me pervertir avec l’aide de Satan, je n’ai opposé aucune résistance. Satan m’a vidé le cerveau de toute mon éducation, me laissant en proie à des désirs infâmes, allant jusqu’à faire usage de mon sexe pour donner du plaisir à cette folle.
Le soir encore, une fois retranché dans mes quartiers, mon sexe m’a demandé instamment des caresses afin de le calmer. Ces images sales et dégradantes qui tournaient en boucle auraient dû provoquer en moi un profond dégoût, mais au lieu de ça, c’est une excitation irrépressible qui s’est emparée de moi et que je n’ai pu calmer qu’en me faisant éjaculer.
J’ai prié, prié encore, demandé pardon à mon Seigneur et Maître, mais j’avais honte, tout de même. Qu’allais-je dire dorénavant aux candidats au mariage, aux jeunes vierges qui redoutaient le moment de la défloraison, aux mères inquiètes de savoir leur fille sur le point de copuler ? Qu’allais-je dire à ceux, hardis, qui envisageaient de se livrer à des activités sodomites, ou pire, qui avaient expérimenté cette déviance ultime et venaient implorer le pardon de notre Père ?
Monseigneur de Picherule de la Gestaille (dPlG) aurait dû m’aider, me sauver, me guérir, mais au lieu de ça il a bandé. J’en suis persuadé. Lui aussi a senti sa queue se durcir à l’évocation des frasques de Monsieur et Madame, de l’amant de cette dernière et du ministre du culte que je suis. Au lieu de me blâmer, il m’a questionné, faisant mine de me réprouver, mais je voyais dans ses yeux ce que je sentais dans les miens quand j’ai entendu pour la première fois les récits endiablés de Madame. « Pour sauver des âmes, m’a-t-il dit dans un souffle, il faut les comprendre. » C’est dire ! J’ai fini par me demander si Monseigneur dPlG n’avait pas lui-même vécu ça, et je me suis surpris à le lui demander de façon détournée. Il m’a assuré que non, juré ses grands dieux que nenni, et mon vœu d’obéissance m’a forcé à le croire. Mais un doute a subsisté, tenace et persistant. Et quand le doute m’habite, je ne suis plus le même (emprunt à un humoriste dont il me serait désagréable de devoir reconnaître le talent puisqu’il parlait de notre Père à tous dans des termes infamants).
Toujours est-il que je m’en suis tiré avec une journée de méditation au presbytère, laquelle journée devait être consacrée à une profonde introspection et à des prières, outre la promesse de lui faire rencontrer Madame et Monsieur pour qu’ils viennent se confier à lui. Il aurait peut-être et même certainement plus de poids que moi pour leur faire entendre raison. Monseigneur dPlG s’est dit prêt à tout entendre, et à laisser le soin à Jésus-Christ et au Saint-Esprit d’organiser un pardon charitable.
De mon noviciat à mon ordination, puis pendant les quelques années de mon ministère, j’avais réussi à oublier que nos semblables, laïques, avaient une activité sexuelle. Je parlais de reproduction avec mes fidèles, mais ce n’était qu’un concept. Ceux qui venaient me confesser des activités amorales avaient mon écoute, mais les images que renvoyait leur écoute attentive relevaient du concept. Cette fois, j’avais vu. Non seulement j’avais vu, mais aussi j’avais ressenti la chaleur d’une bouche gourmande qui m’avait pompé la trompette, la douceur accueillante d’un vagin trempé ; j’avais expérimenté le goût de la sueur, les cris de plaisir, la jouissance d’une femme et la mienne, intense et libératrice.
C’est Dieu qui m’a mené à ce chemin ; il sait ce qu’il fait, il sait à quelles épreuves il m’expose, à quels défis il me confronte, et il ne le fait pas au hasard. Il me guide sur le chemin qu’il a tracé pour moi.
Le mariage de la jeune « de-de » dont je vous parlais au tout début devait avoir lieu le samedi suivant, avec la perspective fort inhabituelle de voir mon église remplie tellement l’union de ces deux familles de bien-nés était porteuse d’espoirs.
Elle m’a appelé en pleurs, m’implorant de la recevoir en urgence. Elle venait de fauter, du moins est-ce ce que j’ai compris entre les phrases émaillées de sanglots de détresse. Il était 23 heures. J’étais dans la petite maison mise à ma disposition par le clergé, et je me voyais mal rouvrir l’église pour donner un ton formel à notre entretien. J’ai donc accepté, alors qu’elle insistait lourdement, de la recevoir chez moi le soir même.
Anne-Solange est arrivée à 23 heures 30, vêtue d’un imperméable beige de grande marque reconnaissable aux motifs de la ceinture, le visage défait par la crise de larmes dont elle sortait à peine, ses cheveux noirs en bataille dérangée. Il faisait froid ce soir-là, et quand elle a vu le poêle à bois rougi par les flammes, elle s’en est approchée spontanément. Je me suis assis derrière ma grande table, la laissant reprendre ses esprits calmement. Elle est restée longtemps debout à regarder les flammes, les bras serrés contre sa poitrine, à sangloter. Puis enfin les mots sont venus alors que je la voyais toujours de dos.
Heureusement qu’elle me tournait le dos et que je sais utiliser un ton un peu directif. Elle s’est arrêtée net. Mais rien que de l’imaginer nue à se faire prendre, j’en bandais [encore] comme un âne. J’ai prétexté une urgence – d’ailleurs, c’en était une – pour aller me calmer dans les toilettes. Elle m’avait tellement chauffé avec ses cochonneries que c’est venu très vite, épais, chaud et gluant. J’ai tiré la chasse sur ma honteuse semence et je me suis lavé les mains avant de revenir dans ma pièce principale. Elle était toujours face au feu, et moi j’étais plus tranquille, plus détendu, prêt à l‘entendre à nouveau.
Satan s’est emparé de ma bouche pour dire cette connerie sans nom. Comme quoi il faudrait toujours tourner sept fois sa langue dans sa bouche. Satan, dès la sixième, s’impatiente et cherche une autre victime. Quand elle m’a entendu, elle a fait volte-face pour me regarder dans les yeux.
Anne-Solange a quitté son imperméable tout en continuant la conversation. Elle était vêtue de façon inhabituelle pour elle. Un pantalon legging noir (j’ai trouvé le mot sur Internet, je ne connaissais pas) ajusté à son corps de liane, qui soulignait ses formes parfaites. Un petit haut blanc en élasthanne également très ajusté, un peu transparent, mais qui ne couvrait pas totalement son ventre plat et musclé. Ses petits seins ronds, son ventre lisse orné d’un piercing brillant au nombril, ses hanches de déesse, ses yeux brillants d’avoir pleuré, son visage qui exprimait un besoin immédiat d’une tendresse divine pour la laver de ses pêchés… J’ai cru me trouver mal. Une trique, mon Dieu, mais une trique… J’ai compris en une fraction de seconde qu’il était impossible de voir une telle beauté sans ressentir dans l’instant une irrépressible envie de la sauter. Pourtant, Dieu m’est venu en aide pour garder mon calme, ne rien montrer de mon émoi, et j’en fus ravi, rassuré, fier même.
Elle s’est approchée de moi, s’est mise à genoux et a posé délicatement son petit visage sur mes cuisses. Elle a passé ses bras autour de mes jambes, comme pour chercher un réconfort immédiat. J’ai cessé de respirer. Mais elle attendait une marque d’affection, c’était évident ; alors, négligemment, j’ai caressé ses cheveux, amicalement.
Anne-Solange a cessé de parler. Elle a serré mes jambes de plus en plus fort jusqu’au moment où sa tête est arrivée contre mon ventre. Elle m’enlaçait tendrement, comme elle aurait pu le faire avec une copine. Sauf que quand on fait ça avec une copine, on ne sent rien de dur qui gonfle dans son pantalon.
J’ai lutté, je le jure. J’ai lutté quand elle a relevé son visage vers moi pour m’adresser un regard interrogateur. J’ai lutté quand sa main a caressé ma cuisse, puis qu’elle est remontée jusqu’à ma ceinture. J’ai lutté quand elle a fait sauter la boucle. J’ai lutté encore quand elle a ouvert la fermeture et qu’elle a écarté les pans. Elle m’a regardé dans les yeux avant de sortir mon sexe déjà dur de son logement. Après, c’est allé trop vite pour que je lutte efficacement. J’ai demandé pardon à mon Dieu et Maître quand j’ai ressenti du plaisir dans la bouche de cette coquine, et demandé pardon à nouveau quand enfin elle fut nue.
J’ai baisé la future jeune mariée. Oui, je peux utiliser ce mot-là, ce vil mot. J’étais en colère contre moi-même, contre mon évêque qui ne m’avait pas guéri de mes pulsions inavouables, contre elle qui m’offrait son magnifique petit cul. En revanche j’ai remercié Dieu d’avoir mis cette fille sur ma route. Sans doute le paradis est-il peuplé de ce genre de filles très chaudes, qui écartent les cuisses pour un rien, vous demandent de les baiser plus fort, vous lèchent partout, vous mettent leurs seins dans la bouche, vous pompent comme des malades. Si c’est ça le paradis, j’en ai eu un avant-goût prometteur.
Sous le legging, c’était encore plus beau et plus excitant. Sous le petit haut, c’était ferme et réactif. Et entre ses cuisses, quel bonheur ! Elle était chaude, humide, et très étroite. J’ai dû faire appel à Jean de la Fontaine pour me calmer, tellement elle me disait du bien sur ma façon de la prendre avec fougue. « Apprenez, Maître du Corbeau, que tout flatteur vit aux dépens de celui qui l’écoute. » Et pour autant, je ne peux me résoudre à nier totalement que cette nuit-là j’ai fait des choses que je n’imaginais pas être capable de faire. Continuer sur le même rythme jusqu’à ce qu’elle jouisse alors que je venais de l’inonder profondément. Rebander quelques minutes seulement après avoir craché dans sa bouche, la faire jouir plusieurs fois de suite, la faire hurler comme une truie alors que nous étions en opération depuis plus d’une heure…
J’ai oublié l’espace d’une nuit qui j’étais pour me livrer totalement à son plaisir, et même en sachant que c’était la pire chose qui puisse m’arriver, je ne peux qu’avouer que j’ai adoré ça. Pour elle, sans doute, le fait qu’on me voit plus souvent en soutane qu’à poil a constitué une sorte de victoire personnelle. Elle avait réussi à faire bander un curé, et si j’en crois son enthousiasme, elle ne pensait pas me découvrir aussi « gros », aussi « dur » et aussi endurant. Un coup à prendre la grosse tête.
Nous nous sommes réveillés à même le sol, puant la sueur et le sperme. Je me suis laissé faire une dernière fois, tremblant d’émotion au moment de jouir dans sa petite chatte de future jeune mariée. Il en avait de la chance, le coquin, d’avoir obtenu l’accord d’une telle perle lubrique pour convoler en justes noces !
Nous nous sommes quittés au matin sur la promesse que tout cela resterait entre nous et qu’elle se consacrerait désormais à son futur mari.
Mais je ne pouvais pas garder ça pour moi. Expier mes fautes m’est apparu comme une impérieuse nécessité, et même si je savais qu’il ne me serait probablement pas d’un grand secours, je suis allé glaner quelque compassion et absolution chez Monseigneur dPlG. Quel crétin je suis !
Il ne m’a même pas laissé terminer. Il m’a assailli de reproches violents, d’insultes à mon ministère. Sa colère rouge ressemblait à s’y méprendre à de la jalousie. Il a fini par se calmer et m’avouer que sa colère était surtout dirigée contre lui-même, qui à une époque avait confessé la mère de demoiselle « de-de », mère aussi déjantée que sa fille et dont l’appétit pour la bagatelle avait manqué de lui coûter sa carrière. Enfin, mon évêque, Monseigneur dPlG, m’avoua qu’à mon âge il avait tout comme moi trempé sa bistouquette dans des moules avides de transgressions, qu’il s’y était vidé les bourses jusqu’à plus soif. Tard dans la nuit, nous avons échangé d’égal à égal sur la vocation, sur le don de soi, sur les écarts de conduite, sur notre amour du Christ, et sur la forme des fesses de la famille « de-de ». Au petit matin, nous étions d’accord pour abandonner l’espace d’une soirée toutes convenances pour profiter des largesses de la future mariée. Il nous serait loisible, ensuite, de nous confesser mutuellement pour implorer le pardon de notre divin Maître, pardon qu’il ne manquerait pas de nous accorder.
Seulement, rien ne s’est passé comme prévu.
Rendez-vous fut pris le lendemain soir, à mon domicile, avec la demoiselle. Monseigneur était arrivé peu avant elle et nous avions partagé un peu de vin pour nous mettre en joie. Il s’était tout comme moi habillé en civil, et nous étions convenus que Mademoiselle ne saurait pas qui il était.
Quand la sonnette a retenti, quelques minutes avant l’heure prévue, nous étions déjà tout excités à l’idée de voir entrer la demoiselle déjà prête pour une partie fine, mais en réalité c’est Madame qui est entrée, suivie de son idiot de mari. Monseigneur lGbT et moi-même avons eu beau leur expliquer que nous attendions quelqu’un et que nous ne disposions pas de temps pour discuter avec eux, ils se sont incrustés, faisant comme chez eux. Madame était très en beauté, habillée de façon minimaliste, et son mari semblait lui aussi tout en joie. Alors qu’ils étaient occupés à nous expliquer que Madame avait fait affaire avec un amant bien plus vigoureux que la brute qui lui dilatait la rondelle depuis quelques semaines, la sonnette a de nouveau fait entendre son tintement aigu. À peine avons-nous eu le temps de comprendre que déjà pénétrait dans la pièce le jouvenceau, futur mari de la demoiselle « de-de » qui aurait dû en principe être déjà arrivée pour se confesser. Quelle panique, d’un coup, dans le regard de mon supérieur clérical !
Monseigneur lGbT avait sorti son chapelet pour en appeler à la conscience divine, puisque la sienne semblait lui faire défaut. Madame, qui s’était approchée du jeune en nous le présentant comme son nouvel amant, avait joint le geste à la parole en l’embrassant d’une façon outrageusement indécente alors que sa main était partie vérifier la forme du paquet-cadeau qu’il cachait dans son ample pantalon. Le mari, rigolard, nous expliqua alors qu’il n’avait jamais vu un jeune homme aussi bien monté, et que Madame ne jurait plus que par lui. Qu’en surplus, il faisait le spectacle en projetant une semence abondante à chaque orgasme, pour la plus grande joie de Madame qui en raffolait.
Monseigneur avait épuisé son chapelet plusieurs fois et tournait en rond avec des pater noster alors que la langue bouillonnante de Madame tournait dans la bouche du futur jeune marié et que sa main tournait dans le pantalon désormais ouvert.
Quand la porte s’est ouverte à nouveau, c’est Mademoiselle « de-de » qui est entrée. Son futur mari, qu’elle vit de profil, avait le pantalon baissé jusqu’aux chevilles et la bite profondément plantée dans la chatte bourgeoise de Madame qui hurlait son plaisir. Le mari en profitait pour s’astiquer devant le nez de Madame pendant que Monseigneur lGbT avait relevé sa soutane et s’astiquait, lui aussi, en implorant la Vierge Marie de lui pardonner. Et votre serviteur n’était pas en reste, assistant à ce spectacle satanique la queue à la main et un doigt dans le cul.
Mademoiselle aurait pu en prendre ombrage, se sentir trahie, mais elle ne pouvait en toute honnêteté reprocher à son futur époux de se taper la vieille alors qu’elle-même avait mangé de la bite de curé et d’autres, encore, aussi interdites. Elle s’est donc approchée de son futur mari qui s’était arrêté de bourrer la bourgeoise pour l’embrasser à pleine bouche et lui pousser les fesses de sa main pour qu’il reprenne sa saillie perfide.
C’est ainsi, sans véritablement le vouloir ou l’organiser, que je me suis retrouvé au milieu d’une copulation débridée sous les yeux de notre Seigneur et Maître qui, me suis-je dit pour me dédouaner, en avait ressenti quelque émoi génital.
Le jeune futur marié, auquel on aurait donné jusque-là sans hésiter le Bon Dieu sans confession, se montra en effet fort endurant et particulièrement doué pour faire jouir les femmes. La bourgeoise était prêteuse ; en tout cas elle accepta sans renâcler que le jeune se tapât sa future épouse pendant qu’elle reprenait ses esprits. Il les a copieusement arrosées l’une et l’autre, sous les yeux ébahis du mari qui se tirait sur l’élastique en proférant des insanités. Monseigneur, profitant de la fatigue du jeune qui venait de se vider les couilles à plusieurs reprises, a profité d’un moment d’inattention de nos invités pour s’insinuer entre les cuisses de la bourgeoise qui cria « Mon Dieu, que c’est bon ! », ce à quoi il répondit, primaire, « Je ne suis qu’évêque, salope ! » Entendre Madame hurler qu’elle aimait la bite m’a fait sortir de ma réserve et, comme la jeune future mariée était encore en demande, je lui ai rendu service en remplaçant son futur mari qui venait de jouir dans son petit cul blanc. Là, c’est moi qui en ai appelé à Dieu pour qu’il m’aide à ne pas jouir trop vite, qu’il me pardonne d’avance de me livrer ainsi à la débauche, et qu’il veuille bien m’absoudre.
Quand enfin le calme est revenu, nous étions tous un peu hagards. Pour la première fois de ma vie, j’ai eu le sentiment que la pudeur ou les convenances devenaient inutiles. Ainsi, je n’ai pas été choqué que Madame caresse la future jeune mariée qui avait la langue de mon évêque entre les fesses, pas plus d’ailleurs que de voir le mari écarter ses fesses devant moi, comme une invitation à le posséder. « Après tout, me suis-je dit, si je dois un jour absoudre des pratiques sodomites entre personnes du même sexe, autant savoir de quoi je parle. » Aussi, c’est avec curiosité que j’ai plongé mon sexe là où il m’intimait de le faire et que je me suis mis à l’enculer. C’était finalement assez plaisant, bien qu’il me semblât que pour lui, le plaisir venait de la douleur qu’il en ressentit.
Me pardonnerez-vous comme Dieu me pardonne d’avoir fait ces expériences ?
J’ai marié le jeune bien monté et la vierge qui ne l’était plus, laquelle m’a avoué avant l’office qu’elle n’avait pas eu ses règles. Madame et son mari étaient présents à la cérémonie en tant qu’amis des parents, seuls à ne pas savoir que la nuit de noces avait déjà eu lieu.