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n° 18248Fiche technique21998 caractères21998
Temps de lecture estimé : 13 mn
03/02/18
Résumé:  Le couple qui s'est occupé de ma compagne lorsqu'elle était enfant me propose de rattraper le temps perdu. A presque 60 ans, une femme veut enfin assouvir un fantasme avant que la vieillesse la rende moins séduisante.
Critères:  fhh fplusag voisins fépilée sandwich fsodo confession
Auteur : DuranDuran            Envoi mini-message
Au crépuscule des fantasmes

Chaque fois que nous allions chez mes beaux-parents, dans la Nièvre, vers les contreforts du Morvan, nous devions passer un après-midi chez Jane et Franck, le couple qui s’est occupé de ma compagne Nicole étant petite. Le père de Nicole, un industriel volage, prétextait de nombreux contrats à l’export pour fuir autant que faire se peut le foyer familial. Quant à la mère de Nicole, la revêche Astrid, son métier d’avocate d’affaires l’amenait à multiplier les heures de travail. Ainsi, Nicole passa le plus clair de son enfance et de son adolescence chez les voisins, Jane et Franck, qui n’ayant pas d’enfant et étant tous les deux enseignants, disposaient du temps et de l’envie pour aider Nicole à grandir.


Ainsi, à chaque escapade, nous prenions plaisir à passer du temps avec eux, et lors des grandes vacances, nous nous installions dans la grande maison familiale près du lac de Pannecière et organisions de fréquents barbecues pour échanger avec eux.

Franck avait été un cycliste acharné dans ses belles années et gardait une allure et un cœur de jeune homme malgré ses soixante ans passés. Jane a toujours été fine et élégante. Grande, très mince, une poitrine menue, mais très ferme, des fesses musclées de cavalière, elle avait encore fière allure quand elle venait passer l’après-midi à la piscine de mes beaux-parents, jouant à n’en plus finir avec nos deux enfants. N’étant ni pervers ni malheureux en amour, je ne l’avais jamais regardée autrement que comme une amie, voire une parente. Je ne savais pas à ce moment que le destin allait changer ma vision de Jane.


Personnellement, je me sentais infiniment plus à l’aise avec eux qu’avec mes beaux-parents qui, du fait que je ne sois qu’un technicien en électricité, me considéraient toujours avec la commisération et la morgue de ceux qui doivent parler à des gueux.

L’été dernier, nous étions donc pour trois semaines dans la Nièvre. Un après-midi, après un repas brochettes trop arrosé d’un délicieux rosé du Var, tout le monde faisait la sieste autour de la piscine dans des transats de toile. Mes beaux-parents, détestant l’inaction, proposèrent à ma compagne et aux enfants d’aller à Nevers pour faire les courses de la rentrée scolaire. Ils nous le proposèrent également, par feinte politesse, mais Jane, Franck et moi refusâmes simplement.

Nous étions tous les trois assis au bord de la piscine, les pieds dans l’eau quand Franck prit la parole d’un ton grave.



Jane me regarda droit dans les yeux et me prit la main. Le soleil donnait à ses courts cheveux blonds des reflets blancs aveuglants.



Elle me serra la main très fort et respira plusieurs fois profondément, sa poitrine rosie par le soleil d’août se gonflant comme un soufflet.



Elle baissa la tête, comme une petite écolière prise en faute. Franck reprit.



Je restai estomaqué. Jane m’avait lâché le bras, et je ne savais pas trop quoi dire.



Pendant une dizaine de minutes, nous échangeâmes encore sur le sujet, et je leur promis de donner une réponse le lendemain.

Je dormis mal, mon esprit tiraillé entre l’envie et le sentiment de trahison. Et au petit matin, j’envoyai un SMS à Franck lui disant que j’étais d’accord et que je passerai le lendemain à dix heures, à l’occasion de mon footing. Il me répondit qu’ils étaient impatients, inquiets et émus.


À dix heures, je sonnais chez eux, ayant fait attention que personne, chez mes beaux-parents, ne puisse me voir.

Jane m’ouvrit, son sourire était triste, ses yeux brillaient étrangement derrière ses fines lunettes, et elle me serra fort dans ses bras. Je sentis son cœur battre la chamade. Son parfum vanillé m’envoûtait. Elle portait une robe légère en jeans bleu ciel, boutonnée de haut en bas de boutons de nacre.



Franck nous attendait dans la chambre, les persiennes entrouvertes donnaient à la belle lumière du matin une teinte orangée à la pièce. Il me sourit. Je suggérai qu’ils commencent tous les deux et que je les rejoigne ensuite. Je pris place, gêné, sur une chaise près d’une commode qui jouxtait le grand lit.


Jane se lova dans les bras de son mari. Ils s’embrassèrent fougueusement sur la bouche et les mains de Franck parcoururent le dos et les fesses de son épouse. Il la fit basculer sur le lit et ainsi allongés, les longues jambes bronzées de Jane s’étaient légèrement ouvertes et je distinguai sa culotte blanche aux reflets satinés. À ce moment-là, je sentis au bas de mon ventre une montée d’excitation irrépressible. Bien sûr, j’avais vu Jane de nombreuses fois à la piscine dans des tenues bien plus légères sans plus de réaction, mais là, la simple vision fugace d’une culotte sous une jupe courte, l’atmosphère érotique de la chambre, la pensée que dans quelques minutes, j’aurai accès à ce sublime corps, tout cela déclencha un désir animal.


Jane me regarda et me fit signe de les rejoindre. Ils se poussèrent pour me faire de la place et avec tact, Franck retourna sa femme pour qu’elle puisse m’embrasser. Son baiser fut fougueux et ses mains parcoururent mon torse jusqu’à venir toucher mon short. Elle prit une de mes mains et la glissa entre ses cuisses. Sa petite culotte était soyeuse et déjà légèrement humide. Je m’appliquai à la caresser doucement.



Mes doigts glissèrent à l’intérieur du fragile tissu et je sentis un pubis complètement épilé.



Mes doigts reprirent leur voyage et mon majeur s’insinua entre les lèvres lisses et humides de ma maîtresse. Elle émit un petit râle et tourna son visage vers son mari qui se tenait silencieux et caressait ses seins.



Franck se mit debout sur le lit, baissa son caleçon et tendit son sexe vers la bouche de Jane, maintenant uniquement vêtue d’un collier de perles aux teintes nacrées. D’un mouvement de menton, il me signifia de faire de même et je m’exécutai, partagé entre la honte et l’envie.


Jane d’une main douce, soupesa délicatement mes bourses, regarda son mari qui lui dit « Vas-y ma belle, fais-toi plaisir » et elle glissa mon membre gonflé entre ses lèvres entrouvertes. Objectivement, elle me prodigua une fellation infernale. Elle restait au niveau du gland, mais aspirait si fort que j’étais partagé entre douleur et bonheur absolu. Elle s’amusa ensuite à essayer d’engloutir nos deux bites en même temps. C’était la première fois de ma vie que mon sexe entrait en contact avec un autre sexe d’homme et ma gêne immédiate s’estompa quand je vis le regard gourmand de Jane qui jouait avec ces deux virilités dressées qui rendaient hommage à sa sensualité.

Elle changea de position, se mit à quatre pattes sans que sa bouche avide ne me lâche et Franck vînt se placer derrière elle, pour lécher son sexe. Elle grognait son plaisir, la bouche pleine.



Ma phrase eut l’effet inverse et elle m’avala de plus belle, coulissant maintenant sur toute la longueur de ma verge.



Et sans attendre ma réponse, Jane fit un demi-tour sur le lit. Je me retrouvai face à ses fesses blanches, les écartai dévoilant un anus rose troublant et des lèvres humides ouvertes sur un orifice vaginal vertigineux. Je plongeai mon visage et dégustai ses orifices avec avidité. Avec curiosité et malice, je tentai du pointu de ma langue une profonde feuille de rose.

Jane accélérait maintenant ses mouvements de balancier et son mari commença à haleter sous l’effet d’une fellation sauvage.



Il prit sa verge en main et arrosa le beau visage de Jane, laissant d’épaisses coulées de sperme jusqu’aux cheveux, sur les lunettes et évidemment dans la bouche.

Jane se mit à rire, ce qui interrompit mon léchage.



Se tournant vers moi, elle me fit un clin d’œil et se leva d’un bon pour s’éclipser dans la salle de bain. J’angoissai à l’idée de rester seul, nu, le sexe dur, sur le lit avec Franck, mais ce dernier, peut-être aussi gêné que moi, se leva pour chercher une bouteille d’eau dans la cuisine.

Depuis la salle de bain, Jane m’appela.



Elle était là, ruisselante, désirable, souriante, se remettant les lunettes.



Cette petite discussion m’avait de nouveau excité et c’est maintenant au garde-à-vous que je me tenais face à Jane. Elle me guida par le sexe jusqu’à la chambre. Dans le couloir, je caressai son corps filiforme. Bien sûr, elle n’avait pas la fermeté d’une jeune fille et sa peau n’avait plus la teinte uniforme de ses vingt ans, mais l’onctuosité moelleuse de ses chairs et la transparence diaphane de sa carnation lui donnaient une fragilité émouvante.

La pièce, réchauffée par les rayons obliques d’une matinée d’été, sentait encore la lourde et capiteuse odeur de l’amour. Franck n’était toujours pas là. Elle s’assit sur le bord du lit, les jambes écartées et approcha ma virilité jusqu’à sa bouche. Penchée en avant, elle lécha ma verge, tritura mes bourses, aspira mon gland.



Jane reprit une fellation endiablée puis me repoussa gentiment.



Son visage se ferma et un perceptible mouvement des genoux resserra ses cuisses largement ouvertes.



Je m’allongeai sur le tapis et glissai ma tête sous ses fesses. Toujours accroupie, elle s’asseyait sur moi et je pus à loisir introduire ma langue dans ses trous.

Franck entra dans la chambre.



Nous restâmes de longues minutes ainsi jusqu’à ce que Jane nous supplie de venir en elle.

Je m’allongeai sur le lit et elle vint sur moi, en cavalière qu’elle était. Je glissai dans son vagin avec frénésie. Franck, à genoux à côté d’elle lui suçait violemment les tétons pendant qu’elle le branlait avec vigueur. Elle se pencha brutalement sur moi et dit à son mari :



Afin de le dilater, elle avait introduit ses doigts humides dans son anus puis y guida la verge de son mari. Je sentis à travers la mince paroi de chair la pression sur ma bite. Jane poussa un long râle, m’embrassa comme une possédée, inondant mon visage de larmes.



Jane continuait à délirer tandis que nous pistonnions son corps brûlant comme des forcenés. Soufflant comme une forge, Franck me proposa de prendre sa place. Je ne pus m’empêcher d’être surpris.



Franck se sortit, Jane se tourna et s’assit sur moi. D’une main experte, elle glissa ma verge dans son anus et je m’enfonçai sans peine. C’était bien plus serré que le vagin et les sensations ressenties étaient bien plus « perverses ».

Franck, se caressant la bite, admirait son épouse ainsi prise qui lui rendait bien en montant et descendant lentement sur le membre qui la labourait.



J’assistais à ce jeu amoureux entre deux personnes qui se connaissaient si bien, mais qui se découvraient comme de jeunes amants aux fantasmes inassouvis. Ma présence révélait leur véritable nature, sans fard, sans tabou, sans réserve, sans pudeur. Je me sentais à la fois voyeur et fier. Moi aussi, je faisais et disais des choses que jamais je n’aurais osées avec Nicole, mon épouse. Nous étions tous les trois dans une autre dimension, où le désir avait pris le pas sur la raison, où les vannes de la bienséance avaient explosé.


Jane, toujours puissamment sodomisée, mit ses mains en arrière et je pus ainsi libérer une des miennes qui soutenait son dos pour la glisser jusqu’à son anneau exagérément dilaté. Je voulais m’assurer que je ne rêvais pas et que j’avais bien ma bite au fond de la femme qui avait élevé ma compagne. Non, je ne rêvais pas. Je tentai de mettre un doigt dans l’anneau, mais la pression était trop forte. Franck, après s’être une nouvelle fois fait sucer par la bouche vorace de sa femme, vint se mettre entre ses jambes, et je sentis le poids des deux corps sur mon ventre. Jane avait remonté ses longues jambes pour faciliter la pénétration et l’idée de savoir que ce corps fragile recevait ce double hommage me fit oublier la douleur de ma position.


Quand Franck annonça qu’il allait jouir, je fus soulagé, car je tétanisai sous l’effort. Couvert de sueur, le trio se disjoint et Jane se retrouva allongée, branlant de chaque côté de son visage nos membres turgescents.



Quasiment simultanément, nous offrîmes notre élixir de bonheur à Jane qui avala ce qu’elle put et se barbouilla le visage et les seins du reste. Franck se roula sur elle et l’embrassa de mille baisers. Je me sentis subitement de trop et m’éclipsai en jetant un dernier regard sur ce couple à l’énergie fusionnelle. Je ne savais pas en me douchant, qui avait fait le plus beau cadeau à l’autre.

Je regardai ma montre. La parenthèse enchantée avait duré deux heures. Je n’avais jamais fait un aussi long footing de ma vie et Nicole allait être inquiète. Je prétexterai une cheville foulée pour expliquer mon retard.

Ma vision sur Jane et Franck avait définitivement changé. Quand ils vinrent l’après-midi à la piscine pour jouer avec mes enfants, comme prévu de longue date, ils irradiaient une énergie nouvelle, mes beaux-parents semblant si ternes à côté d’eux. Je regardais Nicole, endormie sur son transat, et me mis à rêver qu’un jour aussi, peut-être, nous ouvririons nos vannes.