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n° 18250Fiche technique14669 caractères14669
Temps de lecture estimé : 9 mn
05/02/18
Résumé:  Quinze ans après mon départ, je retrouve une ancienne collègue de bureau, maîtresse officielle à l'époque de notre directeur et toujours aussi pleine de surprise.
Critères:  fhh hplusag fplusag collègues fdomine fsodo jeu confession nostalgie
Auteur : DuranDuran            Envoi mini-message
Les rapports hiérarchiques ne sont plus ceux qu'ils étaient

Hier soir, au bar de l’Univers, j’ai revu Liliane. Elle n’a pas changé.


Lili, tout le monde l’appelait Lili, est une jolie femme. Pas une femme sur laquelle on se retourne, mais une femme dont la fine allure d’adolescente, le sourire étonnamment franc et énigmatique, les postures naturellement élégantes, la sensualité gracieuse des mouvements se gravent à jamais dans vos souvenirs.


Lili était chef de projet et j’étais son assistant, voilà déjà quinze ans, avant qu’une opportunité m’amène à démissionner pour partir vivre trois ans en Argentine. Je ne l’avais jamais revue. À l’époque, elle était la maîtresse de Jean-Luc, notre manager général, brillant directeur d’une quarantaine d’années, qui donnait le sentiment que les fées de la réussite s’étaient toutes penchées sur son berceau. Beau, le regard clair, l’esprit acéré, parlant parfaitement plusieurs langues, un sens inné du commandement, une épouse sublime, bien qu’effacée quand elle nous rejoignait parfois lors des nombreux évènements organisés par la société, Jean-Luc était inconsciemment mon modèle. Et je dois avouer qu’un soir, étant venu avec sa femme et ses deux enfants, dont une fille de seize ans qui au premier regard m’avait ébloui, je m’étais dit qu’un jour, je l’épouserais, entrant ainsi par la grande porte dans une famille aussi lumineuse.


J’avais vingt-cinq ans, Lili dix de plus. Sa liaison avec Jean-Luc était connue de tous. Avec moi, elle était très gentille, attentionnée, prévenante, sans ambiguïté. Et cela me dérangeait. Je semblais pour elle comme un enfant, comme un être asexué, alors qu’à mes yeux de jeune mâle bourré d’hormones, ses tenues sexy, mais classe, dévoilant ses longues jambes fuselées, moulant ses petites fesses musclées ou sa poitrine menue, mais arrogante, m’amenaient tous les soirs dans des songes pleins de caresses et de fureur passionnée. Combien de fois avais-je imaginé une Lili qui, en pleine réunion, aurait lentement écarté ses jambes pour que je devine sa douce toison claire sous sa jupe courte ? Combien de fois m’aurait-elle sucé avec furie dans les toilettes à l’étage ? Combien de fois aurais-je introduit mon sexe brûlant dans son petit anus serré pendant qu’elle téléphonait à un client ?…


Eh non, Lili n’avait pas changé. Elle avait bien quelques rides au coin des yeux qui rehaussaient en les soulignant la pureté de son regard. Ses cheveux étaient un ton plus clair, plus courts, ses lunettes en écailles plus fines, sa jupe plus longue, mais malgré tout au bien au-dessus du genou. Ce fut elle qui me reconnut la première, et quittant son groupe attablé près du bar, elle vint me faire la bise. C’était la première fois que je l’embrassai, enfin non, la deuxième ; pour un retour du Premier de l’an, elle m’avait souhaité les vœux en me claquant un baiser amical, mais son parfum m’avait perturbé plusieurs jours. Encore maintenant, la force de notre mémoire olfactive fit qu’immédiatement, je reconnus la trace qu’elle avait laissée en moi.

Elle était avec quelques clients, elle fut ravie de me revoir, mais ne pouvant s’absenter trop longtemps, et me proposa de venir prendre l’apéro chez elle le lendemain soir. Il y aurait une surprise… J’enregistrai ses coordonnées sur mon smartphone, et elle rejoignit sa table.


À dix-neuf heures exactement, je sonnai à la porte de Lili, dans une rue discrète et cossue du centre-ville. Ne sachant qu’apporter, j’avais opté pour un bouquet de tulipes rouges.

Elle m’accueillit d’un large sourire et me prit dans ses bras. Elle portait une robe assez courte, bleue aux motifs floraux, dans un style bohème chic, mais marqué à la taille qui s’évasait sur les cuisses. Chaussée de hauts talons, elle était sublime malgré ses cinquante ans. Je m’en voulus immédiatement d’avoir une pensée aussi « macho » concernant son âge, car elle était délicieusement divine.

Elle prit le bouquet et m’entraîna à la suivre dans la maison.



Nous entrâmes dans le salon, et sur un canapé club couleur havane, sirotant un whisky avec glace, me souriait Jean-Luc.

Il se leva pour me serrer chaleureusement la main. Il avait pris un coup de vieux, mais portait encore beau. Son visage s’était marqué de rides viriles, mais sa mâchoire puissante révélait une autorité naturelle. Le plus frappant était sa chevelure. Je l’avais connu brun, coupé en brosse, je le retrouvai grisonnant le front dégarni. Il avait légèrement forci, mais la poigne restait vigoureuse et l’allure robuste.

Nous nous assîmes autour de la table basse, Lili nous servant quelques verres, et nous échangeâmes en riant les souvenirs, égrenant les uns et les autres des anecdotes amusantes.



Ma gorge était serrée, j’avais honte d’être ainsi pris par mon ancien boss en plein péché de concupiscence. Je baissai la tête.



Lili protestait mollement et je perçus quelques échanges furtifs et connivents avec son vieil amant. Leur complicité me sautait aux yeux. Ils jouaient et j’étais leur distraction.



Le ton sévère de Jean-Luc, sa voix grave, son regard dur, ne semblaient pas laisser de place à une trop longue hésitation, et confus, je me suis extrait du confort du fauteuil. Lili vint se placer face à moi, me lança un sourire triste et des baisers doux vinrent picorer mes lèvres. Elle sentait bon le parfum de mes souvenirs.


Ses mains parcoururent mon corps, lentement, et doucement elle s’accroupit devant moi. J’avais une vue plongeante sur son décolleté, devinant le relief de ses seins. Elle écarta ses genoux et me fit venir entre ses cuisses. Sa robe s’était relevée et je distinguai la peau blanche au-dessus de ses bas noirs, mais son entrejambe m’était caché. Mon imagination s’emballa. Je sentais sans les voir les lèvres de son sexe s’ouvrir et s’humidifier, et ma verge me fit mal. Lili déposait des baisers sur ma braguette et cherchait à dégrafer ma ceinture. Non sans mal, elle fit glisser mon pantalon et mon caleçon, et une queue bien dure frappa son nez.



Elle m’engloutit avec rapacité, et rapidement, ses lèvres carmin coulissèrent sur ma queue pendant que d’une main, elle triturait mes bourses épilées. Elle s’arrêta un moment et regarda Jean-Luc, toujours assis sur le canapé.



J’allai de surprise en surprise. Je la croyais soumise à son maître et patron, mais leurs relations semblaient plus complexes, plus troubles. Qui dominait qui ? Je me laissai faire…

Jean-Luc vint se mettre à genoux derrière elle et glissa sa main dans la culotte de satin blanc que je distinguai maintenant. Il la branlait avec douceur et après quelques mouvements, retira ses doigts et les huma.



Je reculai lentement et Lili, ne lâchant pas ma bite de sa bouche, avança à quatre pattes. Jean-Luc suivit, il baissa le string de sa maîtresse et se mit à lui dévorer la chatte et le cul. Le jeu dura plusieurs minutes, je me retenais pour ne pas jouir dans la sublime bouche de Lili. À un moment, elle se tourna et d’un ton ferme, demanda à Jean-Luc d’aller chercher Hector. Jean-Luc sourit, se leva et quitta la pièce. La situation me dépassait. Lili vint s’allonger sur le canapé à côté de moi, me goba à nouveau après avoir frappé ses joues de ma queue gluante, prit ma main et la glissa entre ses fesses.



Je ne savais que dire. La perversité de la situation me rendait muet. J’obéis donc et avec mon majeur, puis avec deux doigts, je me mis à tarauder son anus qui s’ouvrit avec voracité. Je pensai subitement que c’était la première fois que je mettais mes doigts dans le cul d’une femme avant que d’ausculter son vagin. L’excitation s’en trouva décuplée et je la pilonnai avec violence.


Jean-Luc était revenu, il se tenait debout devant le canapé où mes doigts enculaient sa maîtresse sans ménagement. Les mains dans son dos, il souriait. Il s’approcha lentement de la scène. Son visage était maintenant à quelques centimètres de la pénétration digitale. Il semblait fasciné.



Jean-Luc ramena de son dos un gode de silicone blanc zébré de noir aux dimensions extraordinaires et Lili, délaissant ma queue ridicule, se jeta sur l’engin. Elle bava dessus, ânonnant des « Hector, mon bel Hector », et le glissa dans un mouvement souple dans sa chatte qui n’en demandait pas moins. Mes doigts toujours dans son cul se trouvèrent compressés brutalement.



Toujours assis sur le canapé, mon pantalon avait glissé jusqu’aux chevilles. Lili vint s’asseoir sur moi, et elle glissa ma bite sans difficulté dans son large trou du cul. Elle s’enfonça dans un râle animal jusqu’à la garde, releva et écarta ses cuisses. Jean-Luc lui prit Hector des mains, et à genoux devant nous, introduisit le gode entre les lèvres ouvertes et gonflées de sa maîtresse. Lili ondulait du bassin, s’enfonçant successivement chacun de ses orifices avec bestialité. C’était la première fois de ma vie sexuelle que je voyais autant de violence, d’autant plus de la part d’une femme menue aussi féminine. La pièce dégageait de lourdes odeurs de sexe. La bouche enfin libre, Lili s’exprimait de manière essoufflée.



Je ne le voyais pas caché par le dos de Lili, mais je devinai, à l’accélération saccadée des mouvements d’Hector dans la chatte de Lilli, que Jean-Luc s’énervait. Une mince paroi de chair et de peau séparait ma queue du gode de silicone et la brutalité des mouvements devenait désagréable. J’étais dans un état d’inconscience entre un plaisir absolu et une douleur absolue.



Il me semblait que les deux amants avaient l’habitude de ce type de scénario, car Jean-Luc, dans un floc bruyant et mouillé, sortit le gode de la chatte ruisselante de Lili, il poussa la table basse et s’allongea sur la moquette. Lili se décula et vint se placer accroupie sur le visage rouge de mon ancien directeur. Il prit ses fesses à deux mains, et d’une langue vicieuse, il vint lécher sa femelle humide du clitoris à l’anus. Cette vision des plus perverses accéléra la jouissance et j’eus à peine le temps de me lever et de m’abandonner sur le visage halluciné de Lili. De longues traînées de sperme dessinaient sur son visage, ses lunettes, ses lèvres, une carte crémeuse. D’un doigt mutin, elle récupéra ma semence et l’avala dans un sourire mauvais. Mon corps était pris de tressautements, de balancements, et dans un voile noir, je m’évanouis sur le canapé.

Quand je me réveillai, allongé sur le divan, Jean-Luc et Lili discutaient paisiblement de leur fauteuil respectif.



Sur son fauteuil, Lili commençait à s’agiter en me souriant. Et dans un mouvement de jambes plus amples, doucement elle écarta les cuisses, et sous sa jupe, je devinai sa chatte…