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n° 18258Fiche technique18100 caractères18100
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10/02/18
Résumé:  Après "le curé" et "le retour", j'ai pris du recul et retrouvé Dieu. Avant de devenir évêque. Enfin.
Critères:  fh extracon cocus religion nympho enceinte chantage pénétratio hsodo -extraconj -cocucont
Auteur : Tito40      Envoi mini-message
Devenu évêque

Mademoiselle « de-de », devenue Madame de la Guillotière des Serres (dlGdS), venait de temps à autre nous confesser ses pêchés. Sa belle-famille était aux anges. Leur fils bien-né allait être papa, et sans nul doute il reprendrait plus tard les affaires familiales avec autorité, après une phase de transition durant laquelle il serait l’ombre de son père.


Seulement, Madame dlGds ne se sentait pas de renoncer à la gaudriole sous prétexte qu’elle avait convolé en justes noces. Préserver les apparences oui, pour le bien et l’image de la famille. Mais serrer les cuisses en toutes circonstances, il n’en était nullement question. Monseigneur dPlG s’était découvert une appétence particulière pour les ventres arrondis et porteurs d’une vie à venir ; il ne s’en cachait même pas à mes yeux. Madame, la bourgeoise, n’avait pas non plus renoncé à se faire mettre régulièrement par le désormais jeune marié, et à bouffer la chatte de la future jeune maman quand les circonstances étaient propices. C’est ainsi que durant des mois, dans la plus grande clandestinité, nous nous sommes livrés à ce qu’il conviendrait d’appeler des partouzes. J’avais moi-même pris goût au petit cul de moins en moins étroit du mari de la bourgeoise qui se précipitait à chaque occasion en s’écartant les fesses quand il voyait ma bite de curé excitée par la vision divine des cuisses écartées en grand de la jeune future-mère, saillie par Monseigneur en pleine forme.


Le mari, lui, était un peu moins disponible. Son père tenait à ce qu’il l’accompagnât le plus possible sur le terrain pour parfaire sa formation, ce qui devait le frustrer quelque peu. Au point que quand enfin il pouvait se joindre à nous, les femmes ne savaient plus où donner de la chatte.


Durant le dernier mois de la grossesse agitée de la jeune mariée volage, j’ai fait le choix, rédempteur, de m’isoler dans un monastère pour faire le point sur ma vocation. Il était grand temps que je me retrouve un peu seul avec Dieu. J’avais tant de choses à me faire pardonner, tant de sacrilèges dont il faudrait que mon maître m’absolve, que sans doute j’aurais dû rester isolé du monde pendant des siècles et des siècles. Amen.


Je suis sorti tout neuf de ma cellule monastique bien plus tard que prévu, puisqu’au total j’y suis resté trois mois pleins. Décidé à ne plus me laisser aller, puisque j’avais vécu toutes les expériences de luxure, je m’étais interdit tout écart de conduite.


Trois mois sans parler avec un humain, sans connaître l’actualité du monde extérieur, sans lire un journal, sans regarder la télé, sans lire un livre autre qu’un livre sacré, c’est ce qui s’appelle se refaire une virginité. J’allais pouvoir, à nouveau, me consacrer pleinement à ma mission évangélique.


La jeune mariée avait accouché depuis deux mois, donnant naissance à une magnifique petite fille, Lucie Corronarée, qui avait déjà été baptisée par Monseigneur dPlG, en grande pompe.


Le lien de filiation symbolique que nous avions tissé avec Monseigneur dPlG était tel qu’il m’a annoncé – alors que je lui faisais part de mes résolutions nouvelles – qu’il venait de faire partir un pli officiel à l’office du nonce pour me recommander comme son digne successeur dans l’éventualité où son état de santé ne lui permettrait pas, le cas échéant, de poursuivre sa mission divine. J’étais donc promis à un bel avenir dans l’église. J’étais un homme nouveau.


Deux années plus tard, presque jour pour jour, Monseigneur dPlG a remis son âme à Dieu. Ce Saint Homme qui m’avait guidé si finement est mort d’épectase. Ce mot peu usité désigne chez le chrétien un progrès vers Dieu. Dans le langage populaire, il s’agit davantage d’un décès dû à la montée de tension pendant un orgasme. Je cacherai la réalité à la hiérarchie ecclésiastique tant l’image de mon supérieur hiérarchique eut été altérée par la révélation d’une vérité assez crue. Monseigneur avait voulu absolument que le jeune chef d’entreprise [monté comme un âne] qui avait enfin succédé à son père, lui prenne le cul pendant que lui-même observait la jeune maman occupée à sucer un nouvel amant sarrazin. Il en a ressenti un tel plaisir multi sensoriel que son sperme a jailli en même temps que son âme quittait son corps. Tous les protagonistes s’entendirent alors pour que nul autre ne sût la vérité, si ce n’est votre serviteur lors des confessions qui s’en suivirent.


L’archevêque, après avoir dirigé l’office œcuménique pour les obsèques de Monseigneur dPlG, m’a confié dans les coursives du presbytère qu’il serait de ceux qui prôneraient mon ordination auprès de l’office du nonce. Trois mois plus tard, c’est sous les ors du Vatican que j’ai reçu mission, par le Pape lui-même, de guider les prêtres de diocèse vers l’amour de Dieu. Je devenais ainsi un descendant des apôtres, un guide du peuple vers son Père.


Bien connaître son histoire, c’est ne pas se condamner à la revivre. J’avais rompu momentanément mon vœu de chasteté, mais c’était pour la bonne cause. Comprendre, apprendre, aider, accompagner, je n’avais que suivi le chemin que Jésus avait tracé pour moi. Mes parents, devenus vieux, avaient éprouvé une fierté immense à l’annonce de ma promotion. Deux fils pour l’armée, devenus l’un général et l’autre lieutenant-colonel, et un pour l’église, devenu évêque. Ils pouvaient attendre patiemment, et rassurés, que Dieu les rappelle à lui. Ils étaient promis, c’était certain, à la vie éternelle.


Un jeune prêtre africain, Jean-Georges, a pris ses fonctions dans ma paroisse d’origine pendant que je m’installais au presbytère avec mes vicaires. Il me faudrait m’habituer à entendre mon entourage m’appeler « Monseigneur », à agir toujours avec justesse et sévérité, et à soutenir mes curés de campagne comme jadis j’avais été soutenu.


L’Archevêché n’était pas une hypothèse si futile, tant les dons en numéraire faits pas mes parents avaient pu être nombreux, visibles et conséquents. Me restait à démontrer au Vatican que son choix avait été le bon.


Des années durant, j’ai rempli ma mission avec conviction et détermination. Et pourtant, peut-être devrais-je vous le cacher, de nombreuses fidèles en jupe plissée et queue de cheval, qui vont à la messe chaque dimanche et envoient leurs nombreux enfants à la catéchèse, sont en réalité de fieffées salopes. J’ai à maintes reprises dû lutter contre des afflux sanguins dans mon bas-ventre pour repousser les avances hystériques de quelques-unes qui se voyaient se faire mettre dans une sacristie par un ponte en mitre. Je ne dis pas qu’il ne m’est jamais arrivé d’en éprouver quelque regret, mais le respect de ma parole passait avant tout, et je m’y suis tenu. Longtemps.


Cela faisait six ans que je n’avais commis aucune incartade quand je me suis rendu dans mon ancienne paroisse pour assister aux travaux de restauration de l’église du XVIIe et de son cimetière attenant. J’avais mobilisé des fonds importants pour soutenir cette opération, et le curé local, mon successeur donc, tenait à ce que je montre, par ma présence, à quel point la hiérarchie ecclésiastique était impliquée dans ce projet.


Le jeune curé, d’origine togolaise, semblait parfaitement à son aise au milieu de ses fidèles. Souriant, enjoué, il rayonnait dans son église comme dans la rue. Un prêtre somme toute moderne, un peu à l’image de que je fus à mes débuts.


Naturellement, je savais qu’en la circonstance, et compte tenu de la forte implication de la famille « de-de » dans ce projet, il fallait que je me prépare à croiser le regard de ce couple satanique qui m’avait poussé à vivre tant d’outrages aux mœurs, et peut-être aussi la vioque avec son mari cocu tout mou, qui voudrait peut-être cette fois bouffer de la bite d’évêque. L’armure que je m’étais construite devait m’aider, comme Dieu le ferait, à ne pas me laisser aller à une nostalgie mal venue.


À peine mes quartiers pris dans l’annexe de l’église où j’étais arrivé la veille des cérémonies, j’ai été approché par le jeune papa devenu moins jeune, qui a fait le siège de mon sacristain pour obtenir une audience. Il portait beau, l’industriel, maintenant qu’il avait succédé à son père. Il portait beau, mais il avait pris un air un peu supérieur, hautain, dédaigneux. Il avait besoin de retrouver le chemin de Dieu. Mais ce qu’il avait à me dire ne prêtait pas à sourire. Son fils, me dit-il alors sur le ton de la confidence, ressemblait de plus en plus à Monseigneur dPlG jeune. Il avait pris contact avec la famille de ce dernier, officiellement dans le cadre de recherches sur les vocations, pour mettre la main sur des photos de Monseigneur alors qu’il était tout petit. Et en effet, le doute n’était pas permis. Son fils était en réalité le fils d’un évêque décédé, et si l’entourage du petit garçon n’y avait rien vu encore, pour ses parents officiels, c’était une évidence. Charles Édouard avait ensuite fait faire des prises de sang à la ville, discrètement, lesquelles avaient confirmé ce qu’il pressentait : à l’évidence, il ne fabriquait pas de quoi enfanter.


Alors que dans un réflexe corporatiste j’avais commencé par nier l’évidence, j’ai dû me taire pour le laisser finir. Il n’avait pas en tête l’idée saugrenue de faire savoir la réalité par quelque moyen que ce soit et au contraire, il voulait que rien ne fuite. C’était indispensable pour lui, pour son fils, pour sa femme, pour leurs familles, que le fait que Monseigneur dPlG avait fécondé sa future épouse reste un secret pour toujours. Ainsi soit-il !


Quel choc !


Comment Dieu avait-il pu laisser cette infamie se produire ? Pourquoi diable n’avait-il pas, s’il souhaitait néanmoins laisser Monseigneur dPlG se vider les couilles avant de le rejoindre, fait en sorte que son sperme ne fût pas fécond ? Après tout, il avait bien réussi à engrosser Marie grâce au Saint-Esprit, il aurait tout aussi bien faire en sorte que les ovules de la jeune mariée restent au calme un instant !


Mais le mal était fait (le mâle aussi). J’allais devoir porter le fardeau de ce secret scandaleux jusqu’à ce qu’à mon tour, je sois appelé auprès de Lui au Paradis. Dire que Monseigneur avait donné le sacrement du Baptême à sa propre progéniture…


Heureusement, si j’avais fauté par le passé, tout était pour moi rentré dans l’ordre Divin. J’éprouvais même une espèce d’indifférence à l’évocation de nos soirées passées. J’étais plus proche de Dieu que jamais.


Charles Édouard ne me demandait rien d’autre que de savoir, pensais-je alors. Mais vite j’ai compris qu’il espérait davantage. Sa femme pécheresse attendait dans le couloir que je digère la première salve avant de pénétrer dans mon bureau pour me porter l’estocade.


Elle était encore plus belle, encore plus sexy, encore plus désirable. J’étais encore plus évêque. Des images que j’aurais voulu chasser de mon esprit se sont imposées à moi. Cette femme que j’avais vue naguère se livrer sans retenue aux assauts débridés de ses amants. Cette femme qui avait été possédée par Monseigneur dLpG, lequel avait laissé en elle la source d’une nouvelle vie, cette femme me faisait face, arrogante dans sa tenue légère, fière et racée, sexy en diable.


Mon vicaire avait bien tenté de la maintenir éloignée, mais elle s’était montrée persuasive. Il était là, comme un con, à m’interroger du regard, humilié d’avoir été débordé. J’ai dû lui donner congé, le faire sortir de mon antichambre, me montrant rassurant sur les intentions de la furie.


Allez résister, quand assis dans votre fauteuil d’audience, vous sentez des mains passer sous votre soutane et venir flatter vos bourses pleines ; allez résister quand la tête d’une femme chaude comme une baraque à frites passe dessous pour venir les gober, les lécher, les sucer. Je suis un fils de Dieu, pas Dieu lui-même. Quand bien même il m’aurait fait à son image, je n’ai pas pu m’abstenir de bander comme un âne alors qu’elle me suçait.


Cette garce était, elle l’était restée, une experte. Elle était capable de détecter avec précision, chez chaque homme, le point de bascule. J’aurais accepté de jouir dans sa bouche, de souiller ma robe, de cracher sur ses seins, de juter dans le vide, mais elle n’était pas disposée à me faire ce plaisir. Si elle était là, c’était pour une saillie, et si d’aventure je n’y avais pas été disposé, elle me fit le serment de révéler au monde que son fils était celui de feu mon prédécesseur. Un chantage incroyablement violent, une épouvantable ruse, tout ça pour que malgré mes vœux renouvelés, je la prenne dans l’instant.


Comprenez mes amis que cette fois, je n’ai pas vraiment cédé à la tentation de la luxure. Il fallait que je défende mon église, la réputation de Monseigneur dPlG, l’intégrité du culte. Quand elle s’est relevée pour relever sa jupe et ôter sa petite culotte pour me montrer son cul, qu’elle m’a ordonné de venir la « baiser comme une chienne », que j’ai vu son mari se reculer de trois pas dans un endroit sombre, j’ai compris que je n’avais pas le choix. Ce n’est pas Dieu qu’elle voulait en elle, mais ma queue, celle de son représentant. Elle a tenu à ce que je garde ma soutane pour la sauter, ultime outrage. J’ai libéré ma bite et je l’ai guidée vers sa chatte offerte. Cette salope était trempée, elle mouillait abondamment à l’idée de me sentir progresser dans ses chairs. Et j’avoue, mea culpa, j’ai tout oublié au moment où mon gland est venu au contact de sa chaleur humide, j’ai oublié qui j’étais et mes vœux avec. J’ai saisi ses hanches de femme et j’ai poussé fort pour défoncer sa chatte. Je me suis occupé d’elle comme autrefois, avant qu’elle ne soit mère. Dans mes souvenirs, elle était plus étroite, plus serrée, mais pas plus salope.


Sentant me couilles douloureuses remonter avant l’extase, je me suis reculé pour cracher sur son cul. Mais cette salope n’avait pas décidé de stopper aussi vite mon calvaire. Elle en voulait davantage encore.


Elle s’est dirigée vers le canapé d’époque, bordé de dorures anciennes, et au-dessus duquel une représentation brodée de la Vierge Marie nous donnait son amour débordant. Elle s’est y allongée sur le dos, et m’a ordonné cette fois de quitter ma soutane pour venir la prendre « comme un homme prend une honnête femme ». Il n’était plus temps de gamberger, et la présence du mari n’était pas un frein. J’ai quitté mes vêtements de culte pour me présenter entre ses jambes. Ses seins gonflés, ses hanches larges, sa petite chatte poilue, ses yeux de vipère qui me fixaient tandis qu’un rictus de satisfaction ornait ses lèvres pulpeuses, et le démon s’est emparé de moi totalement. Je me suis allongé sur son corps et j’ai accepté sa bouche sur la mienne. Nous nous sommes embrassés comme des amants ordinaires, mélangeant nos langues et nos salives. J’ai senti sa main se saisir de mon sexe pour le guide vers le sien, et nous avons fait l’amour, tendrement cette fois. Longtemps. L’étendue de mon renoncement serait la même, quoi qu’il en soit, que je prenne du plaisir ou pas, alors autant en prendre. J’y ai mis tout mon cœur, toute mon âme. La faire jouir plusieurs fois fut un délice satanique, un délice renouvelé. Me retenir pour ne pas cracher fut un supplice si délicat, si subtil, que quand j’ai senti les mains de son mari sur mes fesses, je n’ai même pas réagi. Le mari stérile voulait participer, ce qu’elle me dit au creux de l’oreille alors qu’il me léchait entre les fesses. Elle voulait sentir mon sperme la féconder pendant que son mari se rependrait en moi. Il en était ainsi de leur plan machiavélique. Obtenir ma semence, fut-ce par un immonde chantage, et inonder mon cul.


Les premiers instants furent douloureux, mais la douleur était compensée par le plaisir immense de me sentir coulisser dans la chatte de la bourgeoise, et elle a fini par disparaître. J’ai récité des Pater Noster en continu pour demander pardon à mon créateur, mais je ne pouvais pas reculer. J’ai retardé le moment de mon éjaculation le plus possible pour profiter encore de ce moment, profiter de la bite énorme du mari qui me pistonnait le cul, profiter de la chaleur de la chatte de la dame, de la douceur de sa peau, de la tendresse de sa bouche, de la fermeté de ses seins de femme. Et enfin j’ai joui, me libérant de toute la tension accumulée, pendant que le mari se vidait dans mon cul douloureux. J’ai joui bien au fond de sa chatte, comme elle l’exigeait.


Au baptême de la petite Emma, nos regards se sont naturellement croisés. Cette femme est sans doute persuadée que si ses enfants ont été le fruit d’accouplements avec des évêques, leurs âmes et la sienne sont sauvées à tout jamais. Ce qu’elle semble ignorer, c’est que Dieu traitera tous ses enfants sans distinction de race, d’origine ou de couleur. Mais après tout, si c’est pour elle le chemin de l’espoir, alors c’est le bon chemin. D’autant qu’elle m’a dit qu’elle voulait huit enfants, qu’elle n’en a que deux, et que je suis encore jeune.