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Temps de lecture estimé : 9 mn
11/02/18
Résumé:  Après plus de vingt ans de mariage, fatigués par la routine et le travail acharné, notre couple a décidé s'octroyer une année sabbatique en partant faire un tour de l'Atlantique en voilier qui fut l'occasion d'aventures pas toujours programmées.
Critères:  fh couple vacances plage noculotte pénétratio -occasion
Auteur : Paul Conazole      

Série : Une année de plaisir autour de l'Atlantique

Chapitre 02 / 20
Vive les plages tranquilles en arrière-saison

Dans le premier épisode : « Une première matinée en mer qui commence bien le voyage »


Je m’appelle Paul et, avec ma femme Marie, nous avons la cinquantaine. Partis en couple de Pornichet début septembre pour un tour de l’Atlantique à la voile de neuf mois, après quatre jours de navigation où nous avons pris du plaisir, nous étions arrivés à La Corogne puis commencions notre descente vers le Portugal en longeant la côte tout en faisant escale dès qu’un endroit sympathique apparaissait sur notre carte. C’est ainsi qu’en ce samedi 11 septembre, nous étions arrivés à Vigo où nous allions passer une journée, histoire de visiter un peu et de se dégourdir les jambes.



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Lorsque la température le permet, Marie aime s’allonger sur la plage pour faire une sieste postprandiale au soleil. Personnellement, j’ai du mal à rester en place à me faire dorer la pilule, sauf à l’embêter en essayant de l’exciter ou de lui tirer les ficelles de son maillot de bain. En ce début d’après-midi, Marie a donc souhaité que nous nous reposions sur la plage, avant d’arriver avec nos trottinettes à la presqu’île de Toralla située à cinq kilomètres au sud de notre marina dans la baie de Vigo.


Il faut dire qu’après nos quatre jours de traversée du golfe de Gascogne, nous étions encore un peu fatigués. En cette période de fin d’été, la plage était peu fréquentée et, cachés par quelques arbres débordant sur le bord de plage, nos premiers voisins semblaient être à plus de 200 m. Abrité du vent il faisait même un peu chaud, si bien qu’une fois nos serviettes étalées sur le sable, Marie n’a pas hésité à retirer sa jupe et son tee-shirt avant de s’allonger sur le ventre. Je restai quelques instants à l’admirer. Elle portait ce bikini noir que je lui avais acheté il y a quelques années et qui lui allait toujours aussi bien, mais qu’elle ne mettait pas assez souvent à mon goût.


En effet, sans être un string, ce modèle dégageait bien ses petites fesses sculptées par les séances de vélo, que j’aimais tant, et son soutien-gorge ficelle lui moulait parfaitement la poitrine qui semblait plus ferme depuis qu’elle travaillait ses pectoraux. Résultat de cette contemplation, mon sexe commençait à grossir dans mon maillot de bain. L’envie de m’approcher et de la tripoter était très forte, mais mon esprit réussit à reprendre le contrôle sur mes pulsions et je laissai Marie se reposer pendant que j’allai marcher un peu le long de la plage les pieds dans l’eau jusqu’à quelques rochers que j’ai escaladés. Sur cette partie de la côte atlantique, la mer est particulièrement fraîche, réprimant toute envie de baignade. Donc après environ trente minutes s’exploration, je suis retourné voir ma femme. De retour à ma serviette, je pris quelques photos de Marie a priori endormie, en zoomant en particulier sur ses fesses, puis je me suis allongé sur ma serviette pour lire quelques pages du guide touristique que j’avais emporté.


Néanmoins, après avoir péniblement réussi à parcourir une demi-page, je me suis endormi en pensant à la chance que nous avions d’être ici alors que pour la plupart des personnes de notre âge, le travail avait repris depuis plusieurs semaines. En me réveillant, je constatai que j’avais dû m’assoupir pendant un peu plus de trente minutes. Il était maintenant 15 h 30 et si cela faisait au moins une heure trente que nous étions arrivés, je vis à ma droite que Marie n’avait pas bougé. En observant autour de nous, les plagistes ne semblaient pas s’être rapprochés, la plupart restant groupés à l’entrée de la plage à proximité du parking. En regardant à nouveau ma femme, j’ai pensé que je l’avais sûrement laissé tranquille assez longtemps pour me permettre de commencer à l’embêter un peu. Ma main commença donc à creuser entre nos deux serviettes un tunnel dans le sable fin pour passer sous son ventre en direction de son pubis.


Je vis alors Marie tourner la tête vers moi, me faire un sourire accompagné d’un bisou puis refermer les yeux ; signe selon moi que j’étais autorisé à continuer. C’est ainsi qu’après quelques minutes à jouer les experts en génie civil, j’avais créé une véritable cavité où ma main, en toute discrétion put partir en exploration pour essayer d’exciter Marie. Dans ma conquête progressive de nouveaux territoires, je sentis les cuisses de ma femme s’écarter légèrement et je crus percevoir quelques réactions à mes pressions au niveau de l’entrée de son sexe dont je devinai la fente à travers sa serviette, montrant qu’elle était réceptrice. Jouer ainsi ne me laissait pas indifférent, moi non plus, bien au contraire. Mon sexe comprimé dans mon maillot de bain commençait à devenir douloureux. J’ai donc, avec ma seconde main encore disponible, creusé un trou sous mon ventre pour être plus à l’aise, puis libéré ma queue qui bien dressée dépassait maintenant de mon maillot de bain. Alors que je continuais à jouer avec le sexe de Marie, elle m’a demandé d’un air pas très convaincant :



Je me suis alors approché pour l’embrasser et elle se tourna pour répondre à mes baisers. Nos corps se trouvant face à face, j’en ai profité pour glisser une main entre nous deux afin d’accéder cette fois directement à sa chatte en glissant un doigt sous son maillot où j’ai trouvé un sexe déjà bien ouvert et tout humide. Pendant ce temps, mon autre main, tout en lui caressant les fesses et le dos, commençait à jouer avec les ficelles de son haut de maillot. En absence de réprobation, je tirais de plus en plus sur la ficelle jusqu’à ce que la rosette se détache. Ainsi libéré de son attache, j’ai facilement pu dégager les triangles de tissu qui couvraient sa poitrine pour voir ses seins que j’ai commencé eux aussi à embrasser.


En voyant les tétons bien gonflés de ma femme, j’ai compris qu’elle devait être sacrément excitée. J’en ai eu confirmation quand j’ai senti sa main venir m’attraper la bite et commencer à me baisser le maillot de bain pour atteindre mes couilles. En général, Marie est assez pudique et n’aime pas s’exhiber en public. Elle m’a déjà plusieurs fois reproché de la forcer à se mettre seins nus sur des plages lorsqu’il y avait du monde autour de nous. Il est vrai que moins elle est habillée et plus je suis heureux et que je prends un certain plaisir à la dénuder. Néanmoins, lorsqu’elle arrive à passer un certain niveau d’excitation, plus rien ne semble l’arrêter et c’est souvent moi qui fais alors preuve d’un certain manque d’assurance. Ce point de non-retour pour elle semblait atteint, car elle commençait maintenant à prendre en main les opérations. Tout en continuant à me masturber, elle m’embrassait avec une sensualité dont elle a le secret et se frottait de plus en plus à moi. J’ai commencé à l’allonger sur le dos et je suis venu sur elle. D’abord en biais, elle n’a pas tardé à me dire en m’attirant en même temps :



Une fois complètement sur elle, mon sexe frottant son pubis à travers son maillot, j’ai senti sa main écarter le tissu et empoigner ma tige pour l’amener à l’entrée de sa fente. Ainsi guidé, je n’ai eu aucun mal à m’enfoncer dans sa chatte tellement elle était mouillée. Un peu stressé je regardai autour de moi, mais personne ne semblant s’être approché, je commençai un va-et-vient pour faire glisser mon pénis dans son vagin. Après quelques minutes dans cette position à bien appuyer à chaque mouvement mon pubis contre son clitoris, comme j’ai senti que je n’allais pas tenir longtemps, j’ai donc demandé à Marie :



Ayant elle aussi l’intention de jouir, elle a répondu par l’affirmative, la coquine retirant au passage son bas de maillot de bain pour être plus à l’aide. Il faut dire que faire l’amour sur la plage est probablement un de ses plus grands fantasmes et que sentir le soleil sur ses fesses pendant qu’elle me baise l’excite au plus haut point. C’est donc toute nue qu’elle s’est mise à me chevaucher. Au départ allongée sur moi et m’embrassant, elle s’est progressivement redressée dégageant ses seins qui ont commencé à se balancer au-dessus de moi. En me redressant également, puis en la faisant s’asseoir, nous avons testé la position dite de la déesse, avant qu’elle ne revienne sur moi dans la position du gaufrier avec les cuisses légèrement écartées pour passer autour de mes jambes à chercher, en se cambrant légèrement, l’angle de pénétration lui procurant le plus grand plaisir pendant qu’avec mes mains sur ses fesses, je donnais la cadence. Le plaisir, attisé par mes caresses et celles de mon allié le soleil, a monté progressivement, ses yeux se sont fermés et elle s’est mise à jouir ; sa jouissance intense s’est accompagnée d’abondantes sécrétions qui, en sortant de son sexe, me mouillaient les couilles.


À peine quelques secondes après ma femme, ne pouvant résister à la compression de son vagin sur mon sexe, je me suis à mon tour mis à jouir sans avoir eu le temps de changer de position. Il faut dire que depuis le début, je n’avais qu’une crainte ; éjaculer avant qu’elle n’ait pris son plaisir. Marie est ensuite restée deux ou trois minutes allongée sur moi à apprécier ce moment de fusion renforcé par l’effet du soleil sur ses fesses toutes nues. Puis ma bite s’est mise à ramollir pour finir par sortir de son sexe et nous nous sommes séparés. Après avoir rapidement essuyé les sécrétions mélangées à mon sperme qui coulaient abondamment de sa chatte avec un kleenex, Marie a enfilé sa jupe sans remettre de culotte. Je me suis bien retenu de commenter la chose, mais cela m’a fait grand plaisir de la sentir ainsi libérée.


Après avoir bu un peu et échangé quelques banalités, nous sommes convenus qu’il était temps de quitter la plage si nous voulions visiter un peu les environs. Chacun enfila son tee-shirt, Marie sans remettre son haut de maillot de bain, et une fois les affaires pliées et rangées dans nos sacs à dos, nous avons marché vers la sortie de la plage. En passant devant certaines personnes, j’ai eu la ferme impression aux regards qu’elles nous portaient, que notre petite partie de jambes en l’air n’était pas tout à fait passée inaperçue.


Mon interprétation est que les femmes semblaient réprouver ce que nous avions fait alors que les hommes eux m’enviaient et auraient bien aimé être à ma place. Après la plage, nous sommes allés jusqu’à la presqu’île de Toralla en prenant quelques photos, dont certaines un peu coquines, puisqu’au détour d’un coin de rue Marie soulevait son tee-shirt pour me montrer un sein et en montant les marches de la digue, elle remontait sa jupe pour que je puisse en contre-plongée prendre en photo sa lune. Quand cachée par quelques rochers elle a relevé sa jupe pour faire pipi, j’ai même pu filmer ses exploits.


Il faut dire que, penchée en arrière, appuyée sur sa main gauche pour bien avancer son bassin, elle formait un V avec l’index et le majeur de son autre main afin de tirer ses lèvres internes de son sexe imberbe vers l’avant et orienter le jet provenant de son urètre qu’elle réussit ainsi à envoyer à au moins deux mètres devant elle. Pas peu fière de son effet, elle me regardait d’un air coquin et cela fut le signal qu’il était temps de prendre le chemin du port pour retourner sur notre voilier. En route, discrètement, j’ai à plusieurs reprises glissé ma main sous la jupe de ma femme pour lui palper les fesses tout en faisant attention de ne pas la faire tomber de sa trottinette la suite éventuelle que je commençais à échafauder.


La situation commençait à m’exciter à nouveau et cela semblait aussi amuser ma chérie qui aime tout en me résistant, que je lui tourne autour en essayant de la draguer. Comme des chevaux sentant l’écurie, nos trottinettes semblaient progressivement accélérer le pas sur ce chemin du retour. Il faut dire qu’il me tardait de rentrer au bateau pour pouvoir poursuivre plus en profondeur cette exploration ; et je ne semblais pas être le seul à avoir envie d’une nouvelle partie de jambes en l’air. Décidément nous étions vraiment bien tous les deux sur ce bateau et je commençai à me demander si les équipiers que nous avions convenu d’embarquer aux Canaries n’allaient pas venir gâcher cette harmonie du plaisir.