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n° 18265Fiche technique44704 caractères44704
Temps de lecture estimé : 26 mn
14/02/18
corrigé 06/06/21
Résumé:  Dans le récit précédent, Jean-Jean avait eu un accident et il lui faut bien passer par la rééducation. Pénible ? Pas tant que ça!
Critères:  fh extracon médical lunettes massage intermast fellation pénétratio -initiat -médical
Auteur : Pascal Laurent      

Collection : Véro & Jean-Jean
Jean-Jean et la kiné



Oui, je sais ! Véro a raison, mais je ne peux malgré tout m’empêcher de râler ! Comme à chaque fois où je suis obligé de monter en voiture. Il faut dire qu’on vient à peine de me retirer le plâtre, j’ai encore la jambe raide, c’est donc un peu compliqué. Le moindre faux mouvement provoque des élancements, je ne suis pourtant pas particulièrement douillet.


Alors, je râle. Pas contre ma petite femme. Non. Elle fait tout ce qu’elle peut pour me rendre la vie plus facile. Et la tâche n’a pas été simple pour elle depuis l’accident. D’abord, bien sûr, l’incertitude, avec cette commotion cérébrale qui aurait pu me transformer en légume et puis la gestion du quotidien avec un mari cloué au lit à cause d’une fracture du fémur. C’est vrai que ça aurait pu être bien pire, mais, là, tout de suite, je suis focalisé sur cette foutue guibole qui ne veut pas entrer dans cette minuscule voiture ! Oui, je sais, pas tant que ça ! Et puis, il y avait l’ambulance, je sais aussi ! Ah, ça y est : la voilà casée. Je transpire de partout et d’habitude, il me faut un bon match de basket pour en arriver à ça ! Véro s’installe au volant, pose sa main sur mon bras et, avec un beau sourire, me demande :



Mon sourire à moi est un peu crispé et je ne peux faire plus que hocher la tête pour la rassurer. Et tandis qu’elle démarre, je la regarde à la dérobée ; non, je la contemple ; mieux, je l’admire ! Elle est plus belle que jamais et même une robe aussi sage que celle qu’elle a choisie ce matin met merveilleusement en valeur son corps magnifique. Pourtant, j’aurais presqu’envie de dire que c’est secondaire car le plus important, c’est qu’elle est follement amoureuse de moi. Et même après toutes ces années de vie commune, elle me regarde toujours comme si j’étais l’homme le plus important du monde. Vous imaginez donc ma fierté quand je me promène avec une aussi belle femme qui pose sur moi un regard enamouré, oui, je n’ai pas peur de le dire, je me pavane ! Et encore, ceux qui nous voient ainsi ne savent pas que, depuis peu, nous vivons une révolution sexuelle qui n’a rien à envier à celle de 1968 ! Jusqu’alors, ça se passait plutôt bien, mais Véro était encombrée d’un tas de principes et cette rigidité nuisait à la richesse de nos rapports amoureux. Mais je sentais bien que, sous des dehors sages, se cachait une nature exaltée qui ne demandait qu’à exploser. Petit à petit, je l’ai poussée dans ses retranchements et, pour son plus grand bonheur, et le mien, elle a craqué. Depuis, nous vivons des expériences passionnantes mais mon récent accident a failli tout détruire.


Fort heureusement, je m’en suis tiré avec une fracture que d’autres pourraient qualifier de banale mais c’est ma jambe, alors j’ai un peu tendance à voir ça autrement. Et ce matin, c’est le premier rendez-vous chez le kiné pour la rééducation. Enfin ! Même si ça promet des moments difficiles.


Sachant que je fais du sport depuis toujours, on m’a proposé d’être pris en charge par un stagiaire spécialisé dans la remise en forme de grands sportifs. Pourquoi pas ? Si ça peut me permettre de remarcher plus rapidement et de reprendre le basket dans la foulée. On verra.


Parvenus à destination, je m’extirpe, tant bien que mal de la voiture, en pestant encore un peu, bien sûr. Véro me tend les béquilles et nous entrons dans le cabinet. Après quelques minutes d’attente, le kiné nous reçoit dans son bureau pour des formalités administratives. Puis il me propose de rencontrer la personne qui va s’occuper de moi. Nous traversons une grande salle encombrée d’appareils de musculation qui s’apparentent plus à des instruments de torture et sur lesquels transpirent, en grimaçant, des personnes de tous âges et de conditions physiques variées. Voilà qui promet ! Nous entrons dans un salon et là, c’est le choc ! Le stagiaire est une stagiaire ! Une jeune femme lève les yeux d’un dossier qu’elle est en train de lire. Le kiné nous la présente :



Mais je l’écoute à peine, car je suis en arrêt sur image. Sans avoir trop réfléchi à la question, je m’imaginais avoir affaire à une sorte d’adolescent attardé, un gringalet flottant dans une blouse blanche et remontant sans arrêt ses lunettes sur son nez. Allez savoir pourquoi ! Sans doute qu’inconsciemment, quelqu’un prenant en charge des sportifs ne pouvait qu’en être un frustré, cherchant à s’approprier un peu de la force physique de ceux dont il s’occupe. Évidemment, ça n’a pas de sens. Ça doit être une histoire de complexe de supériorité de ma part…


La voix de mademoiselle Gosselin me ramène à la réalité et je considère sa main tendue tandis que me parvient, avec un temps de retard, ce qu’elle vient de me dire :



J’ai dû avoir un vide de deux ou trois secondes et je donne maintenant l’image du sportif un peu demeuré et macho. Je m’empresse de lui serrer la main et, dans le mouvement, fais tomber ma béquille. Au temps pour le complexe de supériorité ! Mademoiselle Gosselin la ramasse et reprend :



Derrière moi, le kiné, ayant sans doute d’autres chats à fouetter, ajoute :



Véro prend congé, elle aussi, en me déposant un baiser sur la joue, ce qui est sa manière de me manifester ses encouragements et sa tendresse :



Et elle se tourne vers l’apprentie kiné :



La porte se referme et tandis que celle-ci me débarrasse de l’autre béquille et s’affaire à préparer la table de massage, je la détaille un peu. Pas très grande, blonde, les cheveux plutôt longs mais tirés en arrière, des grosses lunettes qui s’efforcent de la vieillir. Une blouse fermée assez ample ne laisse rien deviner de ses formes. Les manches en sont remontées sur des avant-bras bien bronzés. Un pantalon lui cache les jambes et de confortables chaussures en toile complètent l’ensemble qui s’avère assez strict, purement fonctionnel. Au final, un aspect austère, une volonté évidente de bannir toute féminité. D’ailleurs, je ne saurais dire si elle est jolie ou pas : l’air revêche qu’elle affiche est très dissuasif ! Le message est clair : les dragueurs, au large ! Ça ne me dérange pas. Je ne suis pas comme mon ami Vincent pour qui toutes les femmes sont des proies… Mais je sais que je vais vivre des moments un peu difficiles en sa compagnie, j’aimerais juste un peu de compassion, mais bon, on verra.


Elle prend enfin la parole pour me dire de me mettre en slip et de m’allonger sur le dos. Une telle demande formulée par une femme pourrait éveiller quelques fantasmes chez certains, mais le ton glacial employé par mademoiselle Gosselin remet les pendules à l’heure. En me déshabillant maladroitement, je me sens comme un petit garçon face à la maîtresse d’école peau de vache. Je m’installe non sans difficultés sur la table de massage et laisse échapper un discret soupir de soulagement une fois en place. Sans un mot, elle prend un tube de crème dont elle me tartine la cuisse. Sa fraîcheur me fait sursauter mais très vite, ses mains chaudes l’étalent et entreprennent un massage dont la douceur me surprend. D’une telle personne, j’aurais plutôt imaginé quelque chose de rude, de vigoureux. Ma crispation initiale fait vite place à une bien agréable détente tandis que ses doigts palpent toute ma cuisse, travaillant sans doute sur des muscles dont j’ignore l’existence. Je pense à ma petite femme qui, elle aussi, s’est occupée de moi ces derniers temps. Elle avait eu si peur de me perdre dans ce stupide accident qu’elle avait besoin de me toucher pour se rassurer. C’était évidemment un véritable ravissement d’autant que, invariablement, elle concluait par un magistral massage de mon pénis…


… Et à cette évocation, je le sens précisément frémir dans mon slip comme s’il s’y sentait à l’étroit ! J’ai beau lui intimer l’ordre de rester calme, de minuscules mouvements l’agitent et il se met à enfler doucement tandis que les doigts de mademoiselle Gosselin continuent de courir sur ma cuisse à quelques centimètres. Horreur ! Je m’efforce de penser à des choses tristes : la misère, la guerre, le changement climatique… histoire de calmer ses ardeurs. Rien n’y fait. Je soulève ma tête pour mesurer l’ampleur des dégâts. Une belle bosse gonfle déjà mon slip et elle ne cesse de croître. Concentrée sur son massage, ma kiné ne semble rien remarquer mais c’est une question de secondes avant qu’elle n’avise cette obscénité ! Si seulement, je m’étais fracturé la cheville ou mieux encore le bras, elle ne se serait rendu compte de rien. Mais là, elle ne peut pas en être plus proche et si ça continue, il ne va pas tarder à sortir du slip. Je n’y peux rien, la nature m’a bien pourvu et c’est bien la première fois que je le déplore ! Véro dirait :



Elle lève les yeux vers moi, puis les baisse vers l’objet du délit. Je me sens mortifié, je m’attends à tout : qu’elle s’enfuie en poussant des hauts cris, qu’elle m’insulte. Mais non. Elle enlève ses lunettes et me regarde de ses yeux bleus :



Elle se retourne, prend une serviette et la déploie elle-même sur la zone incriminée. Elle reprend ensuite son travail sans plus y faire allusion. Bien à l’abri, mon gland en profite pour prendre ses aises et il est désormais franchement sorti du slip. Véro dirait, oui, maintenant, je peux à nouveau penser à ma coquine :



Ma kiné me revient tout à coup à l’esprit et plus particulièrement ses yeux. Je n’y ai pas prêté attention quand elle a retiré ses lunettes car j’étais à ce moment trop gêné. Mais maintenant, je les revois : ils sont magnifiques, d’un bleu limpide, très doux aussi et son visage aussi m’apparaît. Débarrassé de ses lunettes et sans l’air revêche du début de la séance, il est beau tout simplement et constitue l’écrin parfait pour ses yeux. Elle se redresse enfin après m’avoir longuement massé et, en s’étirant le dos, me dit :



Et elle me tend la main avec cette fois une ébauche de sourire. Nous sortons ensemble du salon et j’aperçois alors mon ami Damien qui m’attend. Il jette un coup d’œil à ma kiné et me dit :



Sur la route du retour, je fais le bilan de cette première séance : le contraste entre le début et la fin de la séance est très marqué. L’inconfort et la gêne ont vite cédé la place à la détente et au bien-être. J’attends avec impatience la suite.


Le lendemain, nous arrivons sous une pluie battante et Véro s’affaire autour de moi pour m’éviter d’être trempé. Puis, une fois que je suis installé dans la salle d’attente, elle dépose sur mes lèvres un rapide baiser de connivence et part. Ma kiné vient me chercher immédiatement et, à peine sommes-nous dans le salon que je perçois un changement d’ambiance par rapport au premier contact de la veille. Son aspect n’a pourtant pas changé : même blouse lâche, lunettes, pantalon informe, cheveux tirés mais c’est l’expression du visage qui s’est modifiée. Il n’y a plus de froideur, de distance et même sa voix a changé quand elle me dit :



J’ai beau savoir qu’elle fait allusion à ma cuisse, j’ai encore le rouge aux joues quand je repense à cette autre réaction, imprévue et inattendue ! C’est donc avec encore beaucoup de gêne et en bafouillant presque que je demande une serviette pour me couvrir. Elle retire alors ses lunettes, pose les yeux sur moi et me fixe quelques secondes. Avec un soupçon d’amusement dans la voix, elle reprend :



Elle marque une pause, puis reprend :



Elle s’arrête à nouveau, semble vouloir continuer mais se détourne et s’affaire à ses préparatifs. En tout cas, je comprends mieux son changement d’attitude. Les femmes sont tellement confrontées à l’incorrection de « certains hommes » qu’une attitude normalement respectueuse leur paraît extraordinaire. Quoiqu’il en soit, mes craintes initiales sont balayées et ma rééducation me semble placée sous les meilleurs auspices.


De fait, elle entreprend de me masser la cuisse comme elle l’avait fait la veille et, cette fois, je me laisse aller. Un délicieux bien-être m’envahit qui se communique à mon pénis et je le sens se tendre à nouveau. Elle ne peut manquer de remarquer la bosse qui déforme la serviette quasiment sous son nez et je ressens malgré tout à nouveau de la gêne. Ma kiné doit percevoir un changement dans mon attitude car elle me dit :




  • — Vous ne voyez pas l’état dans lequel vous me mettez ? Allez, vous n’en avez pas pour longtemps à me soulager. Ou encore cet autre qui avait mis un slip tellement étroit que son sexe était à peine contenu à l’intérieur.



Là, c’est moi qui l’avais couvert d’une serviette. En plus, ils étaient loin d’être des sportifs en rééducation et leur physique laissait franchement à désirer.


Je suis on ne peut plus surpris par ces confidences et surtout par l’état d’esprit qu’elles révèlent : la défiance de la veille a totalement disparu. Et paradoxalement, c’est à cause de mon érection ! Elle a suscité chez moi tellement de gêne que ma kiné en a été émue. Tout en continuant à me masser, elle m’interroge sur ma pratique du basket et j’apprends qu’elle fait du volley dans une équipe, tout aussi régulièrement que moi. Peu à peu, au fil de la conversation, se noue une complicité que je n’aurais pas crue possible lors de notre premier contact.


Le lendemain, Véro et Cédric me conduisent à ma séance et ils mettent un point d’honneur à m’accompagner jusqu’à la salle d’attente et n’en partent qu’une fois sûrs que je suis bien installé. Mademoiselle Gosselin survient à ce moment et surprend le doux baiser que Véro dépose sur mes lèvres. Puis son regard les accompagne tandis qu’elle part avec Cédric.


Je la sens pensive quand nous entrons dans le salon. Je lui tends la main pour lui dire bonjour mais cette fois, c’est elle qui a un temps de retard : mon « Bonjour, mademoiselle Gosselin » semble la ramener à la réalité. Elle me regarde en souriant :



Ravi de ce côté informel qui convient bien aux sportifs que nous sommes, je m’installe et attends avec impatience que ses doigts experts dénouent mes muscles. Et, bien à l’abri sous la serviette, mon pénis anticipe le plaisir à venir et entame une belle érection. Alors qu’elle s’apprête à m’étaler de la crème sur la cuisse, Fanny s’en rend compte et commente avec un franc sourire :



Et devant mon air penaud, elle éclate de rire puis se reprend :



Elle entame son massage et je m’abandonne totalement, savourant pour la première fois mon érection ! Après quelques minutes de silence, Fanny reprend beaucoup plus sérieusement :



Je la remercie mais je sens qu’il y a autre chose, que ce compliment n’était qu’un préambule. Il me semble qu’elle n’ose pas aller plus loin. Je lui tends donc une perche :



Elle me regarde, surprise, et, après quelques secondes, reprend :



Ah ? C’est à mon tour d’être un peu décontenancé. Quelle attitude dois-je adopter ? Lui faire part de notre ouverture aux autres et tout le bienfait que nous en retirons ? Ou pratiquer la langue de bois et présenter mon couple comme un modèle de vertu ? N’ayant aucune idée de la tolérance qui est la sienne, j’opte pour une solution intermédiaire. Prudemment, j’entreprends de lui présenter l’ambiance qui règne dans notre couple mais sans lui décrire les implications concrètes.



Je me tais et attends sa réaction. Son massage est toujours aussi appliqué mais son silence est révélateur ; elle digère ma tirade. Puis, pas convaincue, elle reprend :



À nouveau, elle cogite, réfléchissant sans doute aux implications de mes paroles. Je dois certainement bousculer sa conception des rapports amoureux. Sans doute n’a-t-elle jamais envisagé qu’un couple puisse avoir un tel mode de fonctionnement et elle a envie de comprendre.



La formulation est hésitante, elle ne veut pas me heurter mais a quand même envie de savoir jusqu’où on peut aller avec une telle ouverture d’esprit. Elle n’est pas du genre à se contenter de demi-révélations.



Là, je me suis laissé emporter et, même si je ne suis pas entré dans les détails, j’en ai peut-être trop dit. Je ne voudrais pas la heurter dans ses certitudes. Elle reprend bien vite :



Avec un petit rire forcé, elle ajoute :



Je ne m’attendais pas à de telles révélations de sa part, je ne sais quoi lui dire. L’ouverture que Véro et moi pratiquons lui fait prendre conscience de l’enfermement qui est le sien, de la soumission à son compagnon.



Elle a quasiment chuchoté la fin de sa phrase comme si elle peinait à prononcer ces mots, puis s’installe dans un silence lourd de réflexions tout en continuant un massage moins appliqué, peut-être plus proche de la caresse. Elle sort tout à coup de son mutisme et, comme si elle ne se résignait pas à renoncer à ses règles de vie, me lance :



Elle en est presque agressive, elle doit se sentir ébranlée dans ses convictions. Elle reprend de manière véhémente :



Elle a cessé son massage et se trouve maintenant au niveau de ce bien fragile rempart que constitue la serviette. Ses yeux sont posés sur la bosse qui la déforme. Une forte tension sexuelle s’est peu à peu installée entre nous. Elle ne dit plus rien mais sa respiration est précipitée. Elle retire distraitement ses lunettes qu’elle pose derrière elle, dénoue ses cheveux qui tombent comme un rideau blond sur ses épaules et enlève sa blouse qu’elle jette en boule sur une chaise. Il me semble qu’elle n’a plus envie de se cacher : Fanny me semble alors être une autre personne, une belle jeune femme qui ose se montrer telle qu’elle est. Un ensemble t-shirt pantalon met bien en valeur des formes qu’il était bien dommage de dissimuler car même si elle n’a pas les rondeurs de ma Véro, son corps de sportive est très harmonieux, avec des petits seins haut perchés, une taille fine, un ventre plat et de jolies fesses bien rondes.


Elle ne cesse de regarder la serviette sous laquelle mon érection est à son maximum. Va-t-elle oser ? Tout son corps est tendu vers moi, mais elle hésite encore à jeter aux orties son ancienne vie !


Puis, dans un geste brusque, elle tire la serviette qui tombe au sol. Mon sexe apparaît magnifiquement indécent avec son gland rouge violacé qui dépasse du slip incapable de le contenir. Plus d’hésitation chez Fanny : d’une main, elle baisse le devant de mon slip et de l’autre, elle saisit la hampe de mon pénis. Il y a beaucoup de force et d’énergie dans ses mains. Malgré tout, elle le caresse doucement, comme pour l’amadouer. Ses doigts l’explorent, le découvrent de haut en bas, puis l’autre main entoure mes testicules qu’elle effleure lentement. Elle prend son temps, elle savoure visiblement cette situation interdite et, d’ailleurs, elle s’en explique :



Elle baisse doucement la tête et dépose un baiser timide sur mon gland, puis me regarde, peut-être pour guetter ma réaction. Je devine que ça ne lui est pas permis non plus. Devant mon absence de réaction, elle s’enhardit et me donne une série de baisers sur le pourtour du pénis. Elle s’arrête de nouveau et m’adresse un sourire, sûre d’elle, cette fois. Puis sa langue vient lécher mon gland tandis que ses mains me caressent les testicules et la tige de mon sexe. C’est délicieux, j’en oublie complètement que la porte peut s’ouvrir à tout moment : je me laisse aller à ses divines caresses. Ma main se pose dans ses fins cheveux et lui masse doucement la tête, le cou, lui donnant ainsi mon assentiment si tant est que cela soit nécessaire !


Est-ce le signal qu’elle attendait ? En tout cas, elle prend résolument mon pénis en bouche qu’elle suce avec ardeur. Ses mains ne sont pas en reste car elle me masturbe énergiquement et me masse les testicules. Son excitation semble avoir monté de plusieurs crans d’un coup et le traitement qu’elle m’inflige est à la limite du supportable. Je cherche moi aussi à la toucher et ma main descend sur ses épaules, puis le long de son dos. Devinant mes intentions, elle s’oriente de façon à être plus proche de moi mais ne ralentit pas pour autant son activité sur mon sexe. Ma main peut accéder au bas de son dos et se faufiler dans son pantalon de jogging dont l’élastique est fort heureusement un peu lâche. J’entre alors résolument dans sa culotte car le temps m’est compté : la masturbation frénétique qu’elle me prodigue associée à une divine fellation va porter ses fruits à très court terme !


Mon objectif étant clair, elle écarte les jambes et cambre son bassin, mes doigts glissent le long de son pli fessier, effleurent son anus et enfin écartent les lèvres de son sexe qui se révèle trempé. Je trouve enfin son clitoris que je caresse d’un mouvement circulaire : la surprise et le plaisir mélangés la font s’interrompre brièvement dans la succion de mon gland mais elle reprend bien vite et tout aussi vigoureusement. Je n’y tiens plus et, sentant mon éjaculation venir, je cherche à repousser son visage pour ne pas la lui infliger dans la bouche mais elle refuse de s’écarter. Alors je lâche un flot de sperme qui s’échappe des lèvres tant il est important. Elle peut alors se concentrer sur ses propres sensations car je n’ai cessé de lui solliciter le clitoris. C’est à son tour d’être merveilleusement indécente : appuyée sur la table de massage, le bassin arc-bouté avec le pantalon baissé sur l’arrière tandis que ma main s’agite dans sa culotte, son visage maintenant tourné vers le plafond, les yeux clos et du sperme s’échappant de sa bouche.


Mes doigts se partagent maintenant entre caresse de son clitoris et franche pénétration de son vagin. Sa respiration s’accélère et son bassin vient au-devant de mes doigts. Bien vite, je sens tout son corps se tendre dans une jouissance puissante mais silencieuse, car derrière la porte, il y a du mouvement… Nous sommes d’ailleurs obligés de reprendre rapidement nos esprits de peur d’être surpris à tout moment. Fanny rajuste sa blouse et se rince la bouche au petit lavabo. Entre-temps, je me suis également composé une attitude plus conforme à la situation. Elle réenfile sa blouse et chausse ses lunettes puis vient se poser debout près de moi. Je suis toujours allongé, sa main se pose négligemment sur ma cuisse et elle me regarde. Je me rends compte que, même cachée derrière sa blouse et ses lunettes, ce n’est plus la Fanny de tout à l’heure : une expression de bien-être adoucit son visage, mais c’est malgré tout avec un peu d’inquiétude dans la voix qu’elle me demande :



Elle rit franchement et me dit :



Elle se penche sur moi et sa bouche se pose la mienne. Sa langue s’insinue entre mes lèvres et ses mains appuient sur mes épaules pour me plaquer contre la table de massage tandis que ses petits seins m’écrasent la poitrine. Puis, au terme d’un long et fougueux baiser, elle se redresse et en souriant me susurre :



Et avant que je puisse faire le moindre commentaire, elle ajoute :



Quand nous quittons le salon de massage, elle avise Damien et Vincent qui sont venus me chercher et leur adresse un grand sourire avant de s’éloigner. Mes deux compères la suivent du regard, peu discrètement, et Vincent ajoute même un commentaire :



Je bafouille quelque chose d’inintelligible tout en m’éloignant aussi rapidement que mes béquilles me le permettent…


À la séance suivante, ça n’est vraiment plus la même femme qui m’accueille : les lunettes ont disparu, les cheveux sont libres et bougent à chacun de ses mouvements. Sous sa blouse ouverte, elle porte une jupe, certes sage, mais qui dévoile de bien jolies jambes musclées et bronzées. Mais surtout, à peine sommes-nous dans le salon de massage qu’elle se colle à moi et j’ai à nouveau droit à un baiser passionné. Quand le souffle vient à lui manquer, elle fait une pause puis me dit :



Elle reprend plus sérieusement :



Elle laisse sa phrase en suspens puis enchaîne :



Et, avec une expression espiègle, elle introduit sa main dans mon slip et saisis fermement la hampe de mon pénis toujours aussi tendu. Elle le masturbe vigoureusement quelques secondes avant de s’interrompre brusquement et me lancer un joyeux :



Même si elle est strictement professionnelle, la séance de massage est toujours aussi délicieuse. Par contre, comme annoncée, la suite l’est beaucoup moins. Je mets malgré tout un point d’honneur à réaliser correctement tous les exercices demandés mais je grimace de douleur à chacun d’eux. Quand enfin, elle me dit :



Je transpire sous le coup des efforts fournis. Mais, bien vite, ses mains s’activent sur mes muscles endoloris et je sens à nouveau le bien-être qui irradie à partir de ma cuisse ainsi massée. Et, paradoxalement, cette détente a un effet inverse sur mon pénis ! Jusqu’alors recroquevillé sur lui-même car toute mon énergie était utilisée par ailleurs, le voilà qui prend à nouveau prend ses aises, s’épanouit et sort du cadre qui est le sien. Fanny, pourtant concentrée sur son massage, s’en aperçoit et commente son apparition :



Et, sans s’interrompre pour autant, elle se penche et dépose un baiser appuyé mais bref sur mon gland, puis ajoute :



Elle se focalise ensuite à nouveau exclusivement sur ma cuisse. Décidément, cette fille est vraiment bien. Même si nos séances ont pris un tour imprévu, elle ne délaisse pas la rééducation qu’elle a entreprise. Elle sait concilier la rigueur et la détente, mais cette seconde partie du programme ne semble pas souvent présente dans son quotidien. Pourtant, même si je ne la connais pas beaucoup, il est évident qu’elle aime la vie, elle a besoin de rire, s’amuser… et prendre du plaisir, comme elle le dit elle-même. La voilà d’ailleurs qui s’interrompt et déjà, avec un air faussement tracassé, elle me dit :



Un sourire malicieux se dessine sur ses lèvres tandis qu’elle ôte sa blouse puis, dans un mouvement délicieusement sensuel, elle se penche légèrement et ses deux mains partent sous sa jupe pour descendre sa culotte qu’elle amène devant son visage. Songeuse, elle la contemple et ajoute :



En un clin d’œil, elle escalade la table de massage sur laquelle je suis toujours allongé et m’enjambe sans que j’aie le temps – et l’envie – de faire le moindre mouvement. Je comprends mieux pourquoi elle porte une jupe. J’avais d’abord cru qu’elle voulait ainsi afficher sa volonté de sortir de cette austérité que lui impose son compagnon mais je me rends compte maintenant qu’en femme pratique, elle avait anticipé ce moment. Dans le mouvement, sa jupe se déploie en corolle autour d’elle et masque la nudité de nos sexes. Si quelqu’un venait à entrer, il ne serait pas dupe car sa position est sans équivoque, mais en tout cas, il ne verrait rien. D’ailleurs, elle évoque cette éventualité :



Pour donner plus de poids encore à ses paroles, elle les a murmurées en se penchant vers moi. Pour cela, elle a pris appui sur ses avant-bras sur le bord de la table et dans le même temps, son bassin s’est appuyé plus intimement encore sur mon sexe. Je sens sa vulve entourer mon gland tandis qu’une douce humidité l’imprègne peu à peu. La sensation est aussi soudaine que puissante, Fanny semble d’ailleurs la partager car elle abandonne le registre délicieusement moqueur qu’elle avait adopté jusque-là. Elle ferme les yeux et sa bouche s’arrondit en un « Oh » silencieux. Sa respiration s’est soudainement bloquée. Voilà maintenant que son bassin s’arc-boute, appuie sur mon sexe et qu’elle entame de timides mouvements d’avant en arrière.


Ce faisant, mon gland frotte l’ouverture de son vagin mais aussi son clitoris. J’imagine ce qu’elle doit ressentir, d’ailleurs, sa respiration se fait haletante : c’est comme si elle se masturbait contre moi. La sensation doit être nouvelle pour elle et intense car soudainement, elle jouit en expurgeant un flot de cyprine. Elle s’effondre sur moi et je l’entoure de mes bras tandis que le plaisir continue de déferler en elle. Elle retrouve peu à peu ses esprits et quand sa respiration lui permet de parler, elle me dit :



Sa main se glisse alors sous sa jupe pour saisir ma verge qui n’a pas faibli et la guide à l’entrée de son vagin. D’un léger mouvement de bassin, elle l’introduit en elle, introduction largement facilitée par l’humidité de son récent orgasme. Elle pousse malgré tout un léger cri qui ne semble pas motivé par une quelconque douleur car elle continue de pousser jusqu’à ce que mon gland atteigne le fond de son vagin. Elle se justifie alors :



Elle entame de nouveau un va-et-vient mais lentement cette fois et avec mon sexe bien enfoncé en elle. Je me sens effectivement bien comprimé entre les parois de son vagin comme si celui-ci n’était ordinairement pas sollicité par un calibre comme le mien ! Pourtant, elle continue de bouger doucement et, miracle de la morphologie féminine, son fourreau s’adapte à la taille de son occupant. Alors, insensiblement, elle accélère le rythme ; mes mains ne restent pas inactives et se sont invitées sous sa jupe pour se cramponner à ses fesses et accompagner ainsi le mouvement. Toujours aussi silencieusement, elle monte et descend régulièrement sur ma verge bien ancrée en elle. Les stigmates du plaisir apparaissent à nouveau sur son visage tandis que le traitement qu’elle m’inflige porte brusquement ses fruits. Une grande quantité de sperme gicle et se déverse en elle. Elle ne s’arrête pas pour autant mais cela facilite encore plus le coït qu’elle me prodigue et tout à coup, elle atteint de nouveau le paroxysme. Elle se fige, le visage déformé par le plaisir, mon sexe toujours figé en elle, sa poitrine écrasant la mienne. Elle est comme tétanisée et, peu à peu, ses muscles se détendent tandis que la tension quitte également mon pénis qui reflue, accompagné d’un écoulement de sperme. Elle ouvre enfin les yeux et me dit dans un souffle :



Elle pouffe silencieusement, puis murmure :



Quelques minutes plus tard, nous sommes à nouveau présentables et, juste avant mon départ, elle m’enlace et me dit :



Elle dépose un baiser sur mes lèvres et ajoute :