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n° 18268Fiche technique28235 caractères28235
Temps de lecture estimé : 17 mn
17/02/18
corrigé 06/06/21
Résumé:  Mon plus beau trip en la matière, je l'ai organisé avec Adriano, un homme très sympa que j'avais rencontré, il y a environ trois ans, et aussi avec ma femme...
Critères:  fh extraoffre inconnu fellation préservati pénétratio -totalsexe
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message
BBQ

La matière première de cette histoire est une anecdote racontée par Stan, le concernant ainsi que sa femme Lilou.

Certains prénoms ont été modifiés ainsi que quelques détails.

Bonne lecture !





Stan



Mon plus beau trip en la matière, je l’ai organisé avec Adriano, un homme très sympa que j’avais rencontré, il y a environ trois ans. Lui et moi, nous étions entendus tout de suite, nous étions comme sur la même longueur d’onde. Pour les choses de la bagatelle et plus, Adriano est beaucoup plus cérébral que sexuel, un brin pervers même. C’est souvent à lui que je recours quand j’ai besoin d’une idée un peu… disons… spéciale. De plus, son sens de l’organisation est parfait, c’est huilé comme une montre suisse !


Ce jour-là, il avait organisé un petit barbecue avec deux de ses amis, Jacques et René. Ces deux-là n’étaient au courant de rien, et tout le sel de l’histoire repose sur ce détail. Une semaine auparavant, il nous avait expliqué son idée, à Lilou (ma femme) et à moi. Visiblement, il avait bien cogité à son coup. À peine le dernier mot énoncé, conquise, ma moitié avait dit banco tout de suite. La connaissant, le contraire m’aurait étonné, d’autant que le scénario était amusant et peu commun. Néanmoins, je trouve qu’elle a été bien prompte à accepter…


Asseyez-vous, détendez-vous, que je vous raconte tout ça…


Donc ce fameux jour, Lilou et moi, nous avons convenu d’arriver séparément chez Aldo, dans deux voitures différentes, comme si nous n’étions pas ensemble. Lilou joue la vieille copine d’Adriano, et moi, je suis un collègue de boulot de notre hôte. Auparavant, Adriano nous avait briefés sur certains points de détail, afin que nous ne nous trahissions pas.


J’arrive le premier, les deux futurs embobinés sont déjà présents. Jacques est un homme mature, assez grand, et René est plus jeune, plus timide, semble-t-il. Mais je sais d’expérience qu’il ne faut jamais se fier aux apparences et encore moins, à l’eau qui dort.


Tandis que je discute, soudain, les deux invités écarquillent les yeux. Pas besoin de savoir pourquoi ! Je parie que ma femme vient d’apparaître dans leur champ de vision. Je me retourne : bingo, j’ai parfaitement deviné, et je comprends au passage pourquoi ils ont ouvert si grands les yeux. Il faut dire que Lilou a mis le paquet avec cette robe plutôt légère et ses chaussures à talon avec ses lanières qui s’enroulent tels des serpents autour de ses chevilles. On pourrait croire que c’est une starlette égarée…


Je constate au passage que ma chérie a royalement oublié de mettre un soutien-gorge, c’est flagrant, et qu’avec les jeux de lumière, on peut aussi discerner qu’elle porte à prime vue un simple string. Moi-même qui suis son mari, ça me fouette le sang de la zieuter habillée de la sorte, je pense avoir une petite idée de l’effet qu’elle peut faire sur ces deux célibataires !



Il plaque ensuite quatre bisous bien sentis sur les joues de sa bonne copine. J’en fais de même plus modérément, après avoir été présenté à ma propre femme, mais nos deux dindons de la farce ne sont pas censés le savoir. À leur tour, Jacques et René ne se font pas prier pour faire aussi une quadruple bise à Lilou. Tandis que je m’assieds à nouveau, l’entrejambe de ma femme ondule presque sous mon nez, et je distingue sans problème la petite pièce de lingerie qui lui sert de mini-culotte. Je soupçonne même qu’elle ait mis sur elle son fameux string spécial, un accessoire déniché lors de nos vacances à Ibiza, sur une côte plutôt hot. Un accessoire pratique quand on considère les mœurs libérées du coin en été.


Confortablement installé dans sa chaise de jardin, Adriano m’adresse un sourire complice ; sa petite machination est sur les rails, il déguste, il savoure, tel un gros matou qui fait joujou avec ses deux souris…


Je passe maintenant la parole à Lilou qui saura mieux vous expliquer la suite…




Lilou



J’aime voir dans les yeux des hommes, et aussi dans leur pantalon, l’effet que je fais aux mâles et avec René et Jacques, je suis agréablement servie, d’autant qu’Adriano ne m’a pas trompée sur la marchandise, les deux hommes ne sont pas mal de leurs personnes, tout en étant dans deux styles différents. L’idée de notre hôte est que je m’occupe séparément des deux invités, que je les vide (texto), sans que ça ne se sache, à la sauvette, en catimini. Puis de repartir un peu plus tard, comme si de rien n’était…


Bref de jouer les belles garces, et d’être, en quelque sorte, le bon coup crapuleux du soir…


Toujours est-il que je n’ai pas loupé mon entrée, mes deux victimes me zieutent sans vergogne, c’est tout juste s’ils n’ont pas la langue qui pend ! J’aime bien quand je fais ce genre d’effet à la gent masculine ! Je sens que je vais bien m’amuser ce soir. Mon cher mari dira une fois de plus que je joue les allumeuses, voire même les putes, mais ça m’excite d’exciter mon petit monde. Et puis, je sais très bien que ça l’amuse, lui aussi ! Mine de rien, c’est un sacré pervers dans son genre !


La soirée commence, je suis zieutée à donf par les deux invités qui ne perdent pas une miette du spectacle que je leur offre avec ma robe légère et ma manie de croiser et de décroiser mes jambes, laissant souvent entrevoir le haut de mes cuisses et parfois le mince tissu de mon string rachitique.


Comme insensible à mes charmes quasi dévoilés, Adriano met en route son barbecue. Il a une certaine habilité dans ce domaine et pas que dans ce domaine. À chaque fois que nous venons chez lui, nous nous régalons à coup sûr ! Et à tel point que je coucherais volontiers avec lui rien que pour ça. Heureusement, Adriano a bien d’autres cordes à son arc.


Curieux de nature, Jacques pose une question à notre hôte, tout en me désignant :



Histoire d’ajouter de l’eau à son moulin fictif, j’interviens :



Jacques demande :



Faisant ma vicieuse, j’ajoute suavement :



C’est mon mari qui fait dévier la conversation sur un autre sujet. Serait-il un peu jaloux ? Tout ça est pure invention, nous ne connaissons Adriano que depuis peu, une bonne année. Mais il est vrai que le courant est tout de suite passé avec lui. Quant à notre soirée-piège, tout se passe bien, comme sur des rails, en attendant la prochaine station…


Tandis que je me cantonne prudemment aux jus de fruit, je constate que René et Jacques n’ont pas choisi le même type de boisson que moi. Je m’amuse à constater que dès que je regarde en direction du plus jeune, celui-ci en profite pour boire une gorgée, comme s’il devait se donner une contenance. À ce tarif, mon zozo, tu vas finir par crouler sous la table avant qu’il ne t’arrive quelque chose d’imprévu et de sexy !


Soudain, après s’être occupé quelques instants du barbecue, Adriano lance à son voisin direct :



Alors que René part dans la cuisine, Adriano me fait un petit geste discret. Ayant compris le message, quelques secondes plus tard, je m’engouffre à mon tour dans la maison, tandis que mon homme et notre hôte occupent Jacques. Quelque chose me dit que je ne devrais pas avoir trop de problèmes avec ma proie, vu comme elle me regarde depuis tout à l’heure.


Comme convenu, je déniche ma proie dans la cuisine, elle vient juste de refermer la porte du four. Aussitôt, innocemment, je lui demande :



Cinq minutes maxi ? Dans la catégorie « vite fait, bien fait », ça me convient très bien. Mon seul souci reste comment m’y prendre avec ce jeunot pour que ça semble naturel et allant de soi. René me regarde toujours d’un air très intéressé, malgré une timidité évidente. Tout en me zieutant, voire en louchant, intensément du côté des seins mal cachés par ma robe légère, il me propose :



Encore un qui ne sait pas saisir sa chance ! Minaudante, je propose :



Il jette un rapide coup d’œil au four, détachant avec difficulté son regard de mes seins :



Pour ma part, je regarde plus bas, il est évident que je fais un certain effet à René, si j’en crois son pantalon assez tendu. Ce qui me facilitera la tâche. Je décide d’agir sans trop de subtilité, d’autant que les minutes me sont comptées :



Il ouvre de grands yeux étonnés, ne sachant pas quoi répondre. Quelque chose me dit que c’est à moi de prendre purement et simplement l’initiative. Alors, je m’agenouille devant lui, et avant qu’il ait pu faire un geste de défense, je fais jaillir un beau morceau hors de sa prison de tissu.



Et sans l’avertir de quoi que ce soit, je commence à déguster cette sucette improvisée.


Je fais remonter doucement ma langue le long de sa veine palpitante, les hommes adorent ça. Je lape sa queue à petits coups, vicieusement. Je taquine son frein, puis je remonte sur son méat. Puis ouvrant mes lèvres, j’enrobe son gland, ce qui fait gémir son propriétaire, assez dépassé par la situation !


Comme à chaque fois, je prends beaucoup de plaisir à sucer un homme, à lui donner du plaisir, c’est l’un de mes petits vices. Puis j’engloutis la moitié de sa bite pour commencer une succion dont mon jeunot se souviendra ! En effet, je le sens se crisper comme si c’était intenable. Je suis fier de moi et de mon effet sur lui.


Afin de le laisser respirer un peu, je l’ôte de ma bouche, et je lui demande innocemment :



Alors ma langue remonte lentement le long de sa barre. Arrivée au bout, je lape suavement son méat telle une petite chatte. Voyant que l’issue est proche, car sa bite est de plus en plus assaillie de spasmes, j’enfourne à nouveau une bonne partie de sa queue frémissante, et je commence un pompage dans les règles de l’art !



Soudain, après deux-trois autres va-et-vient, sa bite frémit de façon incroyable, puis un énorme jet inonde ma bouche d’un sperme lourd et épais. Son goût reste plaisant, un peu acide. D’autres jets surviennent, moins puissants. Je les bois à la dernière goutte, aspirant bien à fond afin de ne laisser aucune trace de mon sensuel forfait. Après une dernière léchouille, je le retire de ma bouche, puis tendant le bras, j’éteins le four :



Je me relève tout en contemplant la bite à présent molle et avachie de mon jeunot. Puis prenant une démarche chaloupée, je quitte tranquillement la cuisine, laissant derrière moi un René qui n’a toujours pas compris ce qui vient de lui arriver ! Ça n’a même pas duré deux minutes, ce qui n’est pas plus mal, car je n’aime pas toujours que ça s’éternise…


Sauf pour mon homme qui a le droit et le devoir de me faire l’amour durant des heures et des heures. Et quelques rares autres hommes…


Nous dînons tout en discutant. Comme d’habitude, la viande est succulente. Le nez dans son assiette, René est un peu absent, Jacques met sans doute ça sur le compte de sa timidité, mais nous autres, nous savons très bien le pourquoi du comment, et ça nous procure une jouissance contenue. D’ailleurs, il n’y a qu’à entendre certains sous-entendus de la part de notre hôte ou de mon mari, pour jubiler intérieurement.


Après le repas, mais avant le dessert, Adriano nous propose une petite pause. Avec une habileté diabolique, il nous envoie Jacques et moi vers le fond du jardin. Je suis admirative de la méthode employée.



Bien vite, accompagnée par Jacques, je me retrouve au fond du jardin. Après avoir examiné la petite bâtisse en question, je m’adosse nonchalamment contre le mur du petit chalet, à l’abri des regards, cherchant une ouverture envers Jacques. À ma grande satisfaction, celui-ci se fait un plaisir de me la fournir sur un plateau !



Je décide de mentir un peu :



Jacques saisit aussitôt la perche que je lui tends :



Devant ses yeux étonnés, je relève le bas de ma robe pour révéler au soleil ma petite lingerie intime.



Aussitôt, sans se faire prier plus longtemps, Jacques s’accroupit pour mieux voir :



Le dénommé Jacques ne brille pas par sa légèreté, mais ce n’est pas le but du jeu. Se penchant encore un peu plus, il finit par remarquer :



Sans me demander la permission, Jacques s’empare avec précaution du préservatif noir niché dans la poche. Mon string, qui ne cachait pas grand-chose, devient plus translucide, révélant à présent assez bien ma blanche fente bien lisse.



J’ai déjà vu des hommes extirper leur zob et le revêtir de latex en un temps record, mais là, je crois que je viens d’assister à un exploit en la matière ! Je n’ai presque pas eu le temps de voir la couleur de sa peau ou de son gland ! Crac (bruit de l’emballage qu’on déchire), zip (le préservatif qu’on enfile), et hop (zgeg en position victorieuse).


À peine s’est-il protégé que Jacques me plaque contre le mur en bois, soulevant de sa main une de mes jambes pour mieux accéder à ma fente offerte, après avoir repoussé mon arachnéen string sur le côté. Puis sans plus de préambule, il s’enfonce victorieusement en moi, et il commence à me limer avec empressement et énergie. C’est un bon petit coup à la va-vite, ce qui n’est pas désagréable de temps à autre.


Quelle différence entre ces deux hommes, Jacques et René ! Le jour et la nuit !


Il ne lui faut pas bien longtemps pour éjaculer, remplissant allègrement sa capote. À moitié essoufflé, il se retire lentement. Flegmatique, je remets en place mon string, puis je retourne vers la terrasse, tandis qu’il fait un nœud au préservatif qu’il vient d’enlever.


Quelques minutes plus tard, le dessert est servi. Tandis que je le déguste, mes lèvres maculées de Chantilly, tout en regardant Jacques dans les yeux, je félicite notre hôte :



Je suis contente de moi, j’ai rempli mes deux objectifs et je déguste un bon dessert, ma récompense en quelque sorte… Chacune de mes deux performances a été faite en quelques minutes, sans bavure, sans être découverte, avec naturel. Oui, je suis fière de moi !


Le reste de la soirée, les deux cibles sont toutes bizarres, parfois absentes. Moi, je ris sous cape, particulièrement satisfaite de mon double coup. Je vois bien que mes deux complices sont dans le même cas que moi. Félicitation, Adriano, c’est un beau scénario que tu nous as concocté là.


Il est un peu moins de vingt-trois heures quand j’annonce qu’il faut que j’y aille.




Stan



Une fois, Lilou partie, nous sommes restés à quatre hommes sur la terrasse, la nuit étant douce en cette saison. Adriano et moi voyons bien que nos deux vis-à-vis étaient comme perturbés, troublés. Nous rions sous cape, sachant très bien le pourquoi du comment ! La soirée continue un certain temps dans cette étrange atmosphère.


Soudain, l’un d’entre eux lâche l’affaire en disant ce qu’il s’était passé. Curieusement, c’est René qui craque le premier, j’aurais plutôt cru que Jacques irait se vanter d’abord de sa bonne fortune. Le jeune homme s’agite sur place :



Aussitôt, comme libéré, l’autre invité renchérit :



Jubilant intérieurement, mon complice et moi, nous nous moquons, moi le premier :



Rigolard, Adriano renchérit :



Tout aussi agité, Jacques conforte son collègue :



Sarcastique, je rétorque :



Comme écrasé par un énorme poids sur les épaules, Jacques se tourne vers René :



Cette réponse interloque René, qui en reste bouche ouverte. Dans notre coin, nous nous amusons beaucoup de la tournure des événements. Je glisse en catimini à Adriano :



Durant ce temps, le ton monte entre les deux invités. Étant revenu de sa surprise, et ayant repris du poil de la bête, René lance :



Et ça continue comme ça durant quelques instants. Posant son verre, Adriano finit par intervenir pour calmer les esprits. Puis la soirée continue d’une façon un peu étrange. Puis René part le premier, puis Jacques suit le mouvement peu après. Juste avant de démarrer sa voiture, notre dernier invité insiste lourdement, sa vitre baissée :



Puis Adriano et moi sommes restés seuls, avec l’immense satisfaction d’avoir réussi quelque chose de géant, un truc que, peut-être, nous ne dépasserons jamais par la suite…




Retour à maintenant



Je crois qu’encore à ce jour, nos deux bonshommes ne savent toujours pas que ce qui leur est arrivé durant cette soirée était organisé. Un détail curieux, ces deux-là n’ont jamais cherché à contacter Lilou. Ils n’ont même pas demandé son adresse ni son téléphone à Adriano. Pourtant, c’est bien ce que j’aurais fait à leur place… Ah si, c’est vrai, j’oubliai : Adriano m’a raconté que René avait évoqué la chose une seule fois en termes vagues. Sans plus… Tant pis, ils ne savent ce qu’ils perdent…


Peut-être ont-ils cru que ma Lilou était une sacrée garce et qu’ils ne seraient pas à la hauteur. Ou bien, peut-être ont-ils cru que ma Lilou était justement une trop sacrée garce…


Pour en revenir à ce traquenard, le plus jouissif est qu’il est probable que personne ne les croira jamais ! Et croyez-moi, de savoir la vérité, c’est terriblement excitant ! De plus, cerise sur le gâteau, Adriano nous avouera quelques jours plus tard qu’il avait placé des petites caméras aux endroits stratégiques. Pour se faire pardonner, il nous a donné un montage vidéo, et j’ai pu contempler ma douce et tendre dans ses œuvres de perversion ! Une sacrée salope, mais ça, je le savais déjà !


Tandis que j’étais en train d’évoquer tous ces souvenirs à haute voix devant elle, Lilou me lance :



Oui, à bien y réfléchir, c’est sans doute le plan le plus chouette de tout ce que nous avons pu faire depuis que nous libertinons. Et ce plan-là nous reste gravé en mémoire à tous les trois, non, à tous les cinq. Nous espérons bien recommencer un jour un truc pareil, mais mis à part des machins assez classiques comme le coup du livreur de pizza et autres, depuis des mois, Adriano ne nous a pas encore pondu un plan millimétré au quart de poil, sans que même que nous ayons à baiser, nous les hommes.


Quant à Lilou, la notion même de jouissance intellectuelle sans baiser lui est étrangère, vous avez pu le constater. Mais comme ma chère et tendre est le moteur essentiel de nos petites combines, ça ne prête pas à conséquence, je dirais même que ça nous arrange, Adriano et moi.


Un large sourire aux lèvres, Lilou se lève. Provocante comme toujours, elle laisse tomber sa robe légère, dévoilant son adorable corps nu :



On dira que c’est le mot de la fin, pour vous, chers lecteurs, mais pas pour nous…