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n° 18271Fiche technique7889 caractères7889
Temps de lecture estimé : 6 mn
20/02/18
Résumé:  Moi, le géant bodybuildé, à la merci d'un petit bout de femme.
Critères:  fh douche hsoumis fsodo hdanus tutu -couple
Auteur : Non sens            Envoi mini-message
Jour de neige



Ce matin, il neige sur la région parisienne, le réveille-matin s’est allumé et la voix de l’animatrice radio n’est pas celle d’habitude. Celui-ci explique qu’avec les précipitations de la nuit, Paris est impraticable pour les automobilistes comme pour les transports en commun de surface. J’espère de tout mon être qu’il dit la vérité et je finis par me lever. Lorsque j’ouvre légèrement le rideau, la lune se reflète partout sur la neige et je mets quelques secondes à reconnaître notre rue. Les vélos accrochés aux barrières ont dissimulé leurs pédaliers sous une épaisse couche blanche. Je comprends que ma voiture ne pourra jamais rouler avec ce handicap. Je ferme les yeux et je tente de me souvenir de mes rendez-vous rien qui ne soit irremplaçable. Un texto à ma secrétaire pour lui dire qu’elle est excusée d’avance et qu’un émail à mes rendez-vous du jour leur signifiant mon absence et mes plus plates excuses, le tout envoyé de chez elle, et on se retrouve demain matin.


Je me dirige lentement vers la cuisine où j’allume la cafetière et pendant que la délicieuse odeur de café commence à envahir l’appartement, je file à la salle de bain. L’eau chaude coule sur moi, la vapeur se dépose sur les parois de verre. Je me laisse gagner par cette sensation de bien-être. Lorsque la porte de la douche s’ouvre, je ne suis pas surpris, je reste dos à toi. Tu viens te coller, tes seins ronds et fermes sont plaqués sur ma peau. Tes doigts parcourent mon torse et ta bouche dépose de tendres baisers. Je suis très grand et des années de salle de sport pour éviter la prise de poids lorsque j’ai arrêté de fumer ont développé mes muscles. Toi, tu es petite. Face à mon double mètre, ton mètre cinquante fait de toi une brindille d’autant plus que les quelques grammes de graisse que tu as sont disposés stratégiquement sur tes seins et tes fesses. Nous portons très bien notre quarantaine et je suis l’homme le plus heureux et le plus fier lorsque nous nous rendons dans certains clubs libertins et que tous les autres participants sont unanimes : tu as le plus beau cul du monde. Tu aimes passer des heures à me masser le dos qui est certainement la partie de mon corps où les muscles sont les plus développés.


Pour le moment, tu es là, derrière moi, tes doigts ont quitté mon torse, ils jouent maintenant sur mon sexe. Tu as sorti mon membre de sa léthargie et tu entames un tendre va-et-vient en laissant tes doigts courir sur le bout. Je respire fort. Je me retourne pour te faire face et tes grands yeux verts me fixent. Tu as ce regard à la fois malicieux et candide. Ta bouche à hauteur de mon torse commence à embrasser mes tétons, mais jamais tes yeux ne quittent les miens. Les mains se sont séparées. La droite est toujours à parcourir ma tige et la gauche palpe mes fesses. C’est peut-être ta seule once de masculinité, tu aimes les fesses d’homme pour leur donner les mêmes plaisirs que ceux que tu aimes recevoir. Sans être attiré par les relations entre hommes, j’avoue aimer la sensation de tes doigts et de ta langue ou parfois même de certains de nos jouets d’adultes, entre mes fesses.


Tu es donc face à moi et tu me fixes du regard. Comme un défi. Je passe ma main sur ton corps. Tes seins si sensibles sont déjà tendus et je ne résiste pas au plaisir de les pincer. Tu te plaques sur mon corps et pris par surprise, je me colle au mur. Je suis pris au piège. Tu me sais à ta merci. Toujours le regard planté dans le mien, ta bouche embrasse mon torse, descend sur mon nombril, tu t’agenouilles et mon sexe bien raide est juste à la hauteur de tes lèvres.


Sans me quitter de ton regard émeraude, tu passes mon membre au plus profond de ta bouche. Comment fais-tu pour faire cela ? Je n’ai pas un sexe énorme, mais je suis bien pourvu par la nature et tu me fais disparaître sans jamais cesser de jouer avec ta langue. Je suis fou de bonheur lorsque ta main s’insinue entre mes fesses et que ton doigt trouve l’entrée. Tu me connais et tu joues à merveille de tes doigts comme de ta bouche. Moi le géant musclé, je suis à la merci de ce petit bout de femme. Mon plaisir monte et tu le sens. Sans arrêter tes caresses buccales et ton magnifique massage anal, tu récoltes ma semence sans laisser perdre la moindre goutte. Puis tu te relèves et tu m’attrapes en passant tes bras autour de mon crâne lisse pour un baiser fougueux où se mêlent nos langues dans un parfum aux effluves de ma semence et de ton rouge à lèvres. Tu es suspendue à moi, je passe mes mains sous tes fesses, tu es si légère que sans aucun souci, je peux te porter jusqu’au lit où tu te laisses tomber. Sans attendre, tu me tournes le dos et tu me dis :



Je ne me fais pas prier. Tu n’as jamais aimé les rapports vaginaux, mais tu prends beaucoup de plaisir dans les rapports anaux. Nous avons essayé plusieurs fois avant de nous rendre compte que c’était peine perdue. Que ce soit avec moi ou un autre lors de nos soirées candaulistes, la taille, l’épaisseur, la courbure, rien n’y fait, tu n’éprouves du plaisir que par-derrière.


Le rêve pour beaucoup d’hommes et donc aussi pour moi. Me voilà donc présentant mon sexe devant ton postérieur. Comme à ton habitude, tu joues à faire entrer et sortir mon gland plusieurs fois. Tu aimes la sensation de ton anus qui se dilate pour laisser pénétrer ce membre. Je te prends les hanches et alors que tu es toute à ton plaisir, je donne un coup de reins puissant comme tu les aimes et je rentre la totalité de mon membre en toi ce qui te fait pousser un « ouuuiiiiiii » de bonheur. Nous nous connaissons et je sais que tu aimes la brutalité dans la pénétration. Tes fesses claquent sur mon bas-ventre. Tu ne crains pas de crier fort le bonheur que tu ressens à être prise ainsi. La maison est isolée et tu n’as aucun complexe.


Nous avons fait l’amour plusieurs fois dans le jardin, la piscine, et même un jour où tu ne pouvais pas patienter, tu as exigé que je te prenne dans la voiture alors que nous étions devant la maison. Les voisins nous ont déjà avoué t’avoir entendue et que cela leur avait donné envie de nous imiter. Ce à quoi tu avais répondu que notre lit était assez grand et qu’ils étaient les bienvenus d’un air si convaincant et coquin que je sais que c’était la vérité.


Le mari un peu prude a eu l’air légèrement choqué, mais la femme doit y penser et je ne serais pas surpris de les avoir tous les deux un jour dans mon lit, car elle a déjà plusieurs fois fait des allusions. Mais pour le moment, tu es à genoux devant moi. Mon sexe qui disparaît et réapparaît au rythme de tes râles et de tes encouragements parfois vulgaires, mais tellement excitants. Tu sais que j’aime les grossièretés toi qui es d’un naturel si élégant. Toi qui respires la haute aristocratie française. Toi qui utilises encore des termes tels que « sacrebleu ! » ou d’autres tout aussi inusités et qui me sont tellement étrangers à moi qui suis un homme issu de la rue et totalement autodidacte. Je m’amuse à varier ma vitesse et cela te fait redoubler tes encouragements à aller plus fort et plus loin en toi.


Tu jouis fort, sans t’arrêter. Je finis par te rejoindre bruyamment à mon tour. Tu te figes pour ressentir les spasmes de mon sexe laissant échapper ma semence au fond de toi. Tu es prise de frissons, c’est ton orgasme à toi. Tu restes de longues secondes ainsi. Chacun de tes frissons me fait t’aimer un peu plus. L’amour avec toi est exceptionnel.